Le Premier ministre gabonais Jean Eyeghe Ndong a affirmé lundi, à la clinique Quiron de Barcelone (nord-est de l’Espagne), que le président gabonais Omar Bongo Ondimba «est bien en vie». Voici le texte de sa déclaration :
«Le dimanche 7 juin 2009 en soirée, des organes de presse audiovisuelle français ont momentanément arrêté leurs programmes pour annoncer le décès du Président de la République gabonaise son Excellence El Hadj Omar Bongo Ondimba. »
Cette information de la presse française a surpris et étonné le peuple gabonais et les plus hautes autorités de la République. C’est pourquoi en ma qualité de Premier ministre chef du gouvernement, j’ai fait une déclaration pour non seulement rassurer le peuple gabonais, car l’information n’était pas fondée, mais aussi pour déplorer cette tendance de la presse française à vouloir semer le trouble dans l’esprit des Gabonais, pour des objectifs inavoués.
Je voudrais s’agissant de la santé du président de la République gabonaise rappeler qu’il a été admis à l’Hospital Quiron de Barcelone pour un bilan de santé approfondi et des soins appropriés.
Ce matin en compagnie du président de l’Assemblée nationale, du ministre des Affaires étrangères, du directeur de cabinet du président, du Haut représentant personnel ainsi que de quelques membres de la famille du chef de l’Etat j’ai rendu visite au président de la République après m’être entretenu avec l’équipe médicale qui suit le chef de l’Etat. Nous avons tous du reste constaté à cette occasion qu’il est bien en vie.
J’ai instruit le ministre des Affaires étrangères, de transmettre par voie diplomatique aux autorités françaises compétentes, la protestation du gouvernement gabonais face aux dérives répétées de la presse française, notamment les organes publics.
source: le parisien
Depuis deux ou trois jours, les langues commencent se délier au sein du sérail politico-familial gabonais. Surtout qu’il a été admis par toutes les parties concernées par la succession d’Omar Bongo Ondimba que Rose Francine Rogombé, présidente du Sénat devait assurer la transition, comme prévue par la constitution. Les intrigues et les marchandages politiques battent le plein et c’est ainsi que certaines personnes, n’ayant plus rien à perdre, ont décidé de parler et de livrer des informations jusqu’ici connues par un cercle très restreint.
On apprend ainsi que c’est depuis le 7 mai que Omar Bongo serait décédé. La nouvelle a été tenue secrète par la France et la famille de Bongo.
Toutes les personnes qui ont assisté aux funérailles d’Edith Bongo (fille de Sassou Nguesso) on remarqué l’état fantomatique dans lequel se trouvait le président gabonais. Et ce n’est pas seulement le décès de sa bien-aimée qui l’affectait ainsi, cette extrême souffrance provenait aussi du cancer qui le menait vers la mort. Plusieurs personnes disent l’avoir vu par moments, grimacer sur sa chaise et donner l’impression qu’il perdait connaissance. Et selon des sources d’informations venues de l’intérieur du cercle familial et politique, c’est le 7 mai dernier dans les airs, entre le Maroc et l’Espagne, que le Président Omar Bongo a rendu l’âme dans l’avion médicalisé dépêché par la France et qui le conduisait en Espagne. Alors que son décès est constaté par les médecins qui étaient dans l’avion avec lui, l’Elysée et sa cellule Afrique, en accord avec Pascaline Bongo, Directrice du Cabinet et fille de Bongo maintiennent la destination « Barcelone » et imposent le silence total.
Pourquoi ? Parce que dit-on, L’Elysée tient à récupérer un certain nombre de documents que possédait (puisqu’il est déjà mort) le Président gabonais. Parmi ceux-ci un dossier sur le financement de la dernière campagne électorale en France – En retour la famille Bongo (Pascaline Bongo et son époux Ntoungui- membre du gouvernement-, Ali Ben) mais aussi, apprend-on, Jean Ping l’actuel Président de l’Union Africaine (qui a des enfants avec Pascaline Bongo) et Mba Obame (le puissant ministre de l’administration territoriale, issu de l’ethnie Fang, majoritaire au Gabon-40%-)…tout ce monde demande à la France un certain nombre de choses dont notamment la levée des saisies de compte de la famille en France. En plus, Ali Ben exige son adoubement par la France comme successeur immédiat, ce à quoi Pascaline est opposée et continue à s’opposer.
C’est ainsi qu’on comprend mieux « l’hospitalisation » médiatisée d’Ali Ben à Paris. Devant l’opposition de sa soeur et de ses partisans, il a fait appel aux deux Congo et a menacé de faire « sauter les légionnaires sur Libreville ». Nicolas Sarkozy et ses conseillers de la cellule africaine ont frappé du point sur la table et décidé d’exfiltrer Ali Ben du Gabon – officiellement alors on annonce qu’il est hospitalisé à Neuilly à l’hôpital américain – mais personne ne confirme sa présence dans cet hôpital. Après les discussions parisiennes, Ali Ben est retourné au Gabon pendant que Sarkozy dépêchait en Espagne Brice Hortefeux avec pour mission de convaincre la famille Bongo du soutien de la France.
Au moment où le Premier ministre français François Fillon arrive à Yaoundé, au Cameroun, nous sommes le 20 mai – il fait alors cette étrange déclaration « Je sais que le président est soigné. Je sais qu’hier soir encore et ce matin sa santé était satisfaisante. Je formule mes voeux de prompt rétablissement à M. Bongo en espérant naturellement qu’il sera remis sur pied le plus vite possible ». Pour ceux qui connaissent Fillon, le fils du Mans, catholique pratiquant, on le voit mal à l’aise avec ces africanités teintées de Francafrique, il ne comprend pas pourquoi l’on ne veut pas rendre la nouvelle officielle.
Le 6 juin soit presque un mois après le décès de Bongo, l’Espagne somme la France de prendre ses responsabilités – le premier ministre espagnol le socialiste Zapatero un ancien religieux jésuite demande à son ministre des affaires étrangères sous la pression des médecins qui ne comprennent pas qu’on garde dans une chapelle ardente un corps aussi longtemps, et qui en plus n’a pas trouvé la mort dans leur établissement – de rendre la nouvelle publique – le Gabon dit n’être pas prêt et pour les problèmes de sécurité intérieure – L’Espagne refuse de reculer – Comme cela se fait toujours quelques journalistes reçoivent des instructions et c’est alors que le journal Le Point lance un ballon d’essai -.
On décide de dépêcher un avion à Libreville en mission commando avec une conseillère de l’Elysée avec pour mission de ramener en Espagne le premier ministre gabonais – ce qui est fait -. Avant la conférence de presse, les témoins, présents affirment que les membres de la famille Bongo l’auraient menacé de mort : « Salaud ! Si tu dis un mot de travers on te pend haut et court ». Le premier ministre Jean Eyeghe Ndong annonce donc que Bongo est en vie ; pendant ce temps, des dispositions sont prises pour rapatrier le corps au Gabon avant que le décès ne soit annoncé. Las d’attendre, l’Espagne annonce le décès et le premier ministre gabonais est contraint de confirmer la nouvelle.
AAAAhh OBO est MORT. Je ne savais pas que le gars la allait mourir un jour…
Maintenant Mangara tu va retourner au pays aller faire la bouche que tu fais ici????
Maintenant les masques vont tomber on vA BIEN VOIR QUI EST/ET QUI !!
AAAAhh mes cheres compatriotes Papa Bongo est mort, maintenant c’est au tour de fiston…. ou bien???
Eyeghé ndong est le plus rigolo du monde,il va penser à cette journée durant toute sa vie de venir se contredire à moins de 8h.
c’est la honte devant le monde,qu’on arrive à dire ouvertemnt au journal que le PM gabonais se contredit c’est une insulte à tout un peuple.
ENFIN! Le PM doit se rendre à l’evidence, sa declaration du matin est battue en brêche par les medecins d’omar, qui confirment la mort du president de plus de quarante ans de rêgne; même si me dira t on, apres le constat du PM du deces, il s’est convenu avec les medecins pour cette declaration, laquelle pourra lui faire dire que le deces est survenue apres qu’il soit parti de l’hopital; Fin de l’episode et, attendons la suite apres des obsèques qu’aucun monarque n’ait eu. LA MORT D’OMAR BONGO EST OFFICIELLE DEPUIS LE MILIEU DE L’APRES MIDI.
Mes cher freres gabonais,je vous confirme que bongo est bien mort aujourd’hui a 14h,en fait tout ce que son 1e ministres raconte n’est que pour masquer la peur qui regne le camp du pouvoir.depuis un certain temps je lis beaucoup vos articles et je peux vous rassurer, que nonbreux de mes conpatriotes congolais qui menent le meme combat que vous ici a londres,bien que ce combat soit contre le dictateur sassou,mais je sait que nous allons triompher bientot,car nous aussi nous souaitons le depart de ce satan de sassou qui pour nous est la cause de tous nos malheurs.ce qui est sure,c’est que leur temps est arriver.
vous n’avez plus honte en fait.pendant 42 ans si vous vous saviez positifs avec des résultats concrets la nouvelle devrait etre donnée depuis,mais comme c’est le cas opposé vous avez peur.
Peu importe la durée çà finira par tomber et ce dont vous avez peur on vous le montrera.
pourquoi avoir peur encore,même si vous avez toute l’armée du monde on y fera face.
EYEGUE NDONG TU ES UN VRAI PLAISANTAIN,BONGO EST BIEN MORT VOUS NE LE CACHERER PAS BIEN LONGTEMPS,ET SURTOUT N’ENGAGER LES GABONAIS DANS VOS MENSONGES,PARCE QUE ,COMME L’AVAIT DIT BOB MARLEY,TIME WILL TEL.