Le Gabon a bâti sa fortune sur le pétrole. Bien avant l’indépendance, dès les années 30, les découvertes sont prometteuses. Mais le boom pétrolier sur lequel le pays s’est reposé aura lieu entre les années 1970 et 1990, vingt belles années avec un pétrole et des pétrodollars qui coulaient à flot. Or, et ce n’est pas là le moindre des paradoxes, ce petit pays de moins d’un million d’habitants a eu toutes les peines du monde à se développer. C’est ce que certains économistes ont appelé la « malédiction du pétrole » ou le « syndrome hollandais ». Parce que le Gabon a produit et continue de produire du pétrole sans pour autant avoir construit les routes et les infrastructures nécessaires à son développement économique. Un Etat qui s’appuie sur l’or noir et n’estime pas utile de diversifier son économie ou encore de créer un fond pour les générations futures comme il en existe en Norvège par exemple.
Une histoire indissociable du groupe français Elf intimement imbriqué dans la politique de la France en Afrique. Dans les années fastes, le Gabon a produit jusqu’à 370 000 barils par jour. Aujourd’hui, la manne pétrolière est en déclin, avec entre 200 000 et 250 000 barils par jour, essentiellement exploités par le groupe français Total.
De fait, selon le classement du PNUD, le Programme des Nations unies pour le développement, le pays a dégringolé de la 91e place à la 123e de cet indice de développement humain qui mesure le niveau d’éducation, de santé, de développement et de bien-être de la population.
Le Gabon, une histoire de matières premières
Le Gabon s’est construit sur les matières premières. Le pétrole, avant tout, mais aussi les minerais comme le manganèse, exploité par le français Eramet, ou le bois précieux. Excepté les matières premières, très peu de diversification. Dans son dernier rapport sur le Gabon d’avril dernier, le Fonds monétaire international (FMI) soulignait l’urgence à diversifier une économie qui ne peut continuellement s’appuyer sur le pétrole, les mines et le bois, qui dépendent entièrement des marchés extérieurs. Aujourd’hui, le Gabon a compris qu’il fallait penser l’après-pétrole mais il a dû mal à traduire cela dans les faits, avec une pêche artisanale qui vivote et des jeunes des quartiers de Libreville ou de Port Gentil qui ont du mal à trouver leur place dans une économie dominée par les matières premières.
La présence de plus en plus forte de la Chine
Même si le pays tente de diversifier ses partenaires économiques, la France reste le premier partenaire du Gabon. Mais le pays a suivi le mouvement que l’on observe partout sur le continent avec la présence de plus en plus forte de la Chine qui sécurise, un peu partout, ses approvisionnements en matières premières. Résultat : au Gabon, la Chine a décroché l’exploitation de l’immense gisement de fer de Bélinga, dont les réserves sont estimées à 1 milliard de tonnes. Mais la crise économique mondiale pourrait retarder le projet. Au départ, la première tonne de fer devait sortir du Gabon en 2011. Mais pour cela, il faut que les Chinois construisent le barrage hydro-électrique pour la mine, les 600 kilomètres de voie de chemin de fer entre Bélinga et la côte et un port en eau profonde pour accueillir les bateaux. Pour 3 milliards de dollars remboursables sur les cargaisons de fer.
Autant dire que les Gabonais vont avoir du mal à ressentir les effets économiques de l’exploitation de ce minerai. Et là encore, le FMI qui s’inquiète du réendettement d’un pays comme le Gabon auprès des Chinois va suivre de près l’élaboration du projet.
Ah les Gabonais!
Pourquoi donne tant d’importance a la mort d’un tyran? Avons nous une mémoire courte car 42 ans de pouvoir c’est 42 de dictatures 42 de tueries, d’exécutions d’extorsions et de détournements. Pensez vous qu’un Gabonais conscient peut pleurer Bongo (JE PENSE QUE NON).Pensons plus tôt aux familles de Mba germain, Leon Mba, Mandza, Joseph Redjambe, Martine Oulabou la liste est tellement longue bref.. donc réveillons nous car arrêtons de mettre le nom d’Ali au devant de la scène il ne sera jamais président du Gabon même si les français le veulent moins encore Pascaline (aucun back ground, aucune référence une femme qui n’a rien fait pour cette petite nation avec tout le pognon qu’elle gérait) ils n’aiment pas le GABON et reste a savoir s’ils sont Gabonais.
Demandons plutôt les comptes a cette famille déjà que le tyran est mort parce qu’il faut que l’argent des Gabonais revienne aux mains des Gabonais Pascaline en possède une partie alors récupérons cela.
Mr Pierre sache que les français ne veulent pas de toi mais je peux te rassurer une chose c’est que le peuple sera avec toi car nous n’allons poursuivre les bongos. Nous estimons les biens en France d’une valeur de 250 millions d’euros c’est un bon départ pour redémarrer l’économie de notre pays.
Je reviendrais pour donner les stratégies comment faire pour récupérer cet argent.
Sans être extrémiste, mais réaliste et constructiviste pour la paix et le bonheur des Gabonais sans nom, sans voix,sans droits, des Gabonais humiliés, soumis, appauvri par une seule et unique famille:BONGO. Je suis partisant du « TOUT sauf la famille BONGO », « TOUS Contre la famille BONGO », 42 ans suffisent!Les Gabonais ne leur demanderont pas les comptes, mais simplement de se mettre à l’écart et observer comment on peut gérer autrement sans appauvrir, sans avilir, sans terroriser,en aimant son pays, son peuple, sa population, en investissant chez soi pour enrichir son pays.
42 ans de pillage, ca suffit la richesse accumuler permettra à 4 de vos génération de vivre tranquillement sans travailler!
la famille BONGO a montré ses limites, sa haine contre le peuple gabonais, la seule façon d’avoir encore un peu d’estime à ce pays exangue, c’est de laisser les autres gabonais montrer leurs capacités, le Gabon n’est pas un royaume, ni une principauté,vous nous avez déjà fait assez de mal, vous nous avez laisser dans la merde, de pousser pas TROP LOIN le bouchon, il y a d’autres gabonais dans ce pays capable de faire 1000000 fois mieux que votre famille, s’il vous plait famille BONGO quitter et laisser le pouvoir aux patriotes voulant faire leur preuves, je compte sur votre bon sens,votre EGO, sur la RAISON, la seule chose qui nous distingue des autres êtres vivants. Merci la famille BONGO de quitter la politique, la vraie et unique alternative pour garantir la paix!
disons a la famille BONGO que le Gabon n’est pas un royaume que ses enfants qui sont plus riches que leur père laissent le Gabon à ses vrais gabonais et gabonaises qu’ils cherchent a faire autres choses. Pascaline mère congolaise pourquoi parlons seulement d’ALI BEN
Entre les réseaux de bienséances et la raison économique, se trouve un territoire vide de sens.
Même le meilleur des partenariats peut toucher à sa fin, à sa faim, plus en temps de crise que de famine.
Depuis que l’anticolonialisme festif a laissé sa place à un mariage de convenance sans amour, la culpabilité d’usage a construit des repentances saisonnières.
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