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Communiqué: URGENT : Gabon: Le Dr. Daniel Mengara sera candidat BDP à l’élection présidentielle anticipée de 2009

Dr. Daniel MengaraPour diffusion immédiate

Comme le BDP-Gabon Nouveau le disait à l’époque de Bongo (Dieu ait son âme), rien de bon ne pouvait se passer au Gabon tant qu’Omar Bongo et son régime seraient au pouvoir. Omar Bongo est mort, mais le système Bongo demeure. Parce que notre activisme de 10 ans pour la rupture et le changement véritable au Gabon n’a jamais été une lutte contre un seul homme, mais contre tout un système, le combat pour la fin du bongoïsme au Gabon reste le même. C’est conscient de cette réalité et motivé par l’urgence et l’impératif d’une alternance démocratique immediate dans notre pays que le BDP-Gabon Nouveau déclarera officiellement le 20 juin à Paris, lors d’une conférence de presse, la candidature du Dr. Daniel Mengara à la Présidence de la République gabonaise.

Conférence de Presse de déclaration officielle de candidature

Samedi 20 juin 2009 à 14h00
Sofitel Paris Champs-Elysées
8, rue Jean Goujon – 75008 Paris

Intervenants:

Dr. Daniel Mengara, Président du Mouvement « Bongo Doit Partir »
Dr. Bruno Ella Nguema, Porte Parole du BDP-Gabon Nouveau
Curtis Bezauna Mabika, Secrétaire Exécutif, Coalition Gabonaise du Refus et de Salut National

Sont invités :

La Coalition Gabonaise du Refus et de Salut National
Tous les représentants des associations gabonaises et africaines
Tous les Gabonais et amis du Gabon
Les médias

La Conférence de presse est également ouverte au public

Contact Email: Cliquez ici.
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Pour tous les contacts:

CELLULE D’URGENCE

– Dr. Bruno Ella, (France): +33 (0) 6 15 26 44 27
– Curtis Bezauna Mabicka (Angleterre):  (+44) 79 50 84 29 92
– Sylvain Ndong (Mali/Luxembourg):  (+22) 3 78 34 51 28
– Dr. Jacques Okoué Edou (Canada): (+1) 418.609.0454

– Felicité Vincent (France): (+33) (0) 6 99 94 20 39

CELLULE COMMUNICATION ET MEDIAS

-Dr. Emmanuelle Nguéma (France): (+33) (0) 6 30 80 36 20
– Dr. Thierry Gérard Obiang (France): (+33) (0) 6 15 84 84 38
– Narcisse Nguéma (France): (+33) (0) 6 67 52 02 86
– Alice Vincent (France): (+33) (0) 6 98 80 24 49

Siège USA

BDP-Gabon Nouveau
P.O. Box 3216 TCB
West Orange, New Jersey, 07052, USA
Tel: 973-447-9763
Fax: 973-447-9763

Coordination Nationale (Gabon)

– Guy Serge Angoué: (+241) 07 23 39 01




Exprimez-vous!

  1. franchement le BDP nous sort ses limites dans la cours au trône du Gabon.je réalise finalement que vous et tous les autres petits candidats aux élections présidentielles n’avez pas d’amour pour votre peuple.ce qui vous intéresse, comme l’a été le cas de Bongo et son régime, c’est de vous voir tout ventripotent(es).symbole de bonheur/aisance, de puissance/pouvoir, de domination…Le cas contraire serait de vous entendre dire que vous vous alliez à un opposant plus charismatique et ayant plus de chance d’être élu.le deuxième cas qui contrarierait ma maladroite opinion sur vous, serait, pour moi et pour tous les gabonais, de savoir que vous appliquez votre slogan: »Le BDP-Gabon Nouveau recherche le départ d’Omar Bongo et de son régime du pouvoir par tous les moyens possibles » (haut de la page).hélas, c’est malheureusement le peuple qui est pris en otage.et vous n’êtes pas les seuls dans cette manipulation.ce même peuple est pour quelque chose.bref

  2. j’ai veux savoir pourkoi vouz avez supprimez mon message.le BDP n’a-t- il pas aimé? ou vous gardez seulement les messages qui vous intéresse? il faut apprendre a accepter les critiques ça permet de grandir mais je réitère que nous Gabonais voulons d’un président GABONAIS et pas comme le BDP disait que c’est au tour des FANS de prendre le pouvoir vu qu’ils sont majoritaires au GABON.Ça jamais.le GABON n’appartient pas aux FANS ni aux OBAMBA etc…,le GABON appartient aux GABONAIS.Que ce soit le Dr MENGARA ou Mr MAMBOUNDOU etc..qui est president,peut importe nous ce que nous voulons c’est quelqu’un de réfléchi et non quelqu’un qui veut ethniser ce pouvoir.merci

  3. FRANCAFRIQUE – Le président français réitère le souhait de la France de ne pas interférer dans la succession d’Omar Bongo au Gabon…

    En marge des obsèques du défunt président, Nicolas Sarkozy a affirmé ce mardi à des journalistes que la France n’avait «aucun candidat» pour la succession d’Omar Bongo au Gabon. «La France ne soutient personne. La France n’a pas de candidat», a martelé le président français à la fin de la cérémonie oecuménique.
    «Les Gabonais choisissent qui ils veulent et la France travaillera avec le président ou la présidente choisi par les Gabonais», a-t-il ajouté.

    Nicolas Sarkozy entend ainsi faire taire les rumeurs d’ingérence française dans la vie de son ancienne colonie, dont le président défunt était un des symboles de la «Françafrique».

    La Constitution gabonaise prévoit l’organisation d’une élection présidentielle 45 jours au plus tard après la prise de fonction du chef de l’Etat intérimaire, survenue le 10 juin.

    Ali Bongo souhaite «aborder sereinement» l’avenir du Gabon

    Pendant la céremonie funéraire, Ali Bongo, le fils du défunt président Omar Bongo, et candidat potentiel à sa succession, s’est exprimé. Il s’est engagé à «aborder sereinement» l’avenir du Gabon. Rendant hommage à la «philosophie du pardon» et au «dialogue» qui guidaient selon lui l’action du président Bongo, Ali, ministre de la Défense s’exprimant au nom de la famille, a déclaré : «Nous, tes enfants, ta famille, prenons l’engagement solennel de garder allumée avec l’aide de nos concitoyens la flamme sacrée de l’harmonie familiale, de la concorde républicaine et de l’unité nationale».

    Ali Ben Bongo n’a pas évoqué plus directement la question de la succession, publiquement taboue en cette période de deuil mais qui attise déjà les luttes de pouvoir en coulisses.

    Sarkozy hué

    Un peu plus tôt, Nicolas Sarkozy avait été hué par plusieurs dizaines de Gabonais ce mardi à son arrivée au palais présidentiel de Libreville. Une partie de la foule a d’abord timidement applaudi le chef de l’Etat français, mais les huées ont rapidement pris le dessus, et une cinquantaine de personnes ont même pris verbalement à partie Nicolas Sarkozy, lui lançant à distance: «On ne veut plus de vous, partez!»

    A l’intérieur du palais, c’est ensuite des invités plus disciplinés qui ont applaudi Nicolas Sarkozy et son prédécesseur Jacques Chirac lorsqu’ils ont déposé, ensemble, une gerbe de fleurs devant le cercueil.

    Le chantre de la Françafrique

    C’est une page de la «Françafrique» qui se tourne tout doucement. Alors que Nicolas Sarkozy a toujours clamé haut et fort qu’il voulait en finir avec les relations ambiguës que Paris a entretenues avec ses anciennes colonies africaines, cela ne l’a pas empêché de faire le déplacement pour assister aux obsèques de celui qui est considéré comme le chantre de cette «Françafrique».

    Au total, une quinzaine de chefs d’Etat assistent aux obsèques solennelles du président gabonais, dont la succession attise les luttes en coulisses. Après une minute de silence, les invités étrangers, parmi lesquels figuraient la plupart des présidents de l’Afrique francophone ont commencé à s’incliner à tour de rôle devant le cercueil recouvert par le drapeau du Gabon sur fond de musique religieuse.

    Le président français, dont l’avion s’est posé vers 6h20 locale, fait partie de la quinzaine de chefs d’Etat, la plupart d’Afrique francophone, qui ont fait le déplacement jusqu’à Libreville pour les obsèques de Bongo. cet homme qui passé 41 ans à la tête du Gabon et dont la succession s’annonce difficile.

    Importante délégation française

    La délégation française est annoncée importante. De nombreuses personnalités françaises devaient s’incliner devant le cercueil, dont le ministre des Affaires étrangères Bernard Kouchner et le secrétaire d’Etat à la Coopération Alain Joyandet ou les anciens ministres Michel Roussin, Jean-Louis Debré, Jacques Godfrain.

    Après un culte oecuménique à 10h, les oraisons funèbres gabonaises sont très attendues dans un contexte politique tendu. Après un défilé militaire, le cercueil s’envolera vers Franceville, capitale du Haut-Ogooué, où Omar Bongo sera inhumé jeudi dans l’intimité. Quelque 350 journalistes, dont une centaine d’étrangers, ont été accrédités.

  4. Moi en tant que citoyen Gabonais voulant à tout prix le changement immédiat de la situation actuelle de mon pays, je dirais que je suis déçu.
    D’abord, avec la mort d’ OBO, je croyais mon pays délivré de la dictature, de la misère, de la corruption, de la COLONISATION et pourtant, avec une vision plus lointaine, je me rends compte que cette « GALERE » n’est pas encore finie et qu’elle n’est pas prête de cesser. En effet, chers compatriotes, il semble que notre cher ami voleur ait préparé son départ car avec comme ministre de la défense son soit disant fils Ali OBO, le Gabon risque de ne pas connaître la démocratie tant rêver et tant espérer par tous. Pourquoi a t-il fermé les frontières à l’annonce du décès d’ OBO? Tenais t-il à nous protéger d’une invasion? Ou peut être souhaitait-il prendre le pouvoir avec la force? Si c’est le cas, pourquoi as t-il renoncé? Ah!!! peut être ils veulent nous faire croire que le Gabon suit la voix de la démocratie en faisant semblant de respecter l’article 13 en acceptant que Mme Rose Rogombé assure l’intérim. Or, nous savons bien qu’avec un Mba Obame, un Eyeghe Ndong, un Miboto et je ne sais qui, il ne peut avoir d’élections présidentielles réellement transparentes, non, ces gens là feront tout pour maintenir le régime en place et continuer de piller notre beau pays.
    En tant que fidèl citoyen, je crois que Mme Rose Rogombé, dans son droit en tant que présidente du Gabon, devrait virer ces hommes (citer ci dessus) du gouvernement et ainsi éviter le CHAOS au Gabon. Mme Rogombé, je sais que le mouton broute où il est attaché mais en tant que croyante, regarde ce qu’est ton pays, ton peuple, tes frères et tes soeurs Gabonais et décide d’agir pour le bien de tous. Pour cela, commence par virer du gouvernement Mba Obame, Eyeghé Ndong et tous ceux que nous savons dangereux pour l’avenir du pays.
    Je compte sur l’opposition pour empêcher l’ancien régime de reprendre le pouvoir car je le dis encore, si Rose Rogombé ne vire pas certains membres du gouvernement que j’ai cité en haut, nous aurons droit à 42 ans de pouvoir sans partage à nouveau. Je compte personnellement sur Manboundou, il est en bonne position pour freiner ces voleurs, il connait comment fonctionne le système OBO et je pense qu’il sait comment le détruire.
    Pour moi, L’opposition devrait se regrouper et former une seule arme pour affronter ce régime destructeur porté par Ali OBO. Tous les leaders de l’opposition, Mengara, Manboundou et tous les autres, doivent faire équipe et choisir soutenir parmi eux, celui qui ira défier Ali OBO. C’est là une stratégie politique pour renverser Ali OBO et son système. L’UNION FAIT LA FORCE.
    Que Dieu nous protège et qu’il nous donne de sortir de cette misère, ouvrons les yeux et si possible, luttons pour la démocratie car c’est l’heure ou jamais. Vive la république Gabonaise, vive le peuple Gabonais.

  5. La lettre ouverte au Président français est très sensée.
    continuer comme ça! c’est vous les vrais patriotes défenseurs de la paix!

    Mais, si les colombes de la paix que vous êtes ne sont pas entendu.

    Si une puissance étrangère s’avise de vouloir maintenir notre bien aimé peuple dans la misère la plus abjecte en soutenant l’arrivée au pouvoir d’un nouveau dictateur, alors en vérité, je vous le dis, nous qui ne sommes pas des colombes nous prendrons nos responsabilités pour sauver notre peuple d’un nouveau nauvrage qui pourraît durer 30 ans. NOUS prendrons nos responsabilité!

    A bon entendeur … salut

  6. « Les choses ne peuvent pas continuer comme ca. Quel que soit le nouveau président, il faudra un changement » : les Gabonais qui, depuis trois générations, n’ont connu qu’Omar Bongo, sont comme saisis par le vide, la crainte de l’avenir. « Yaya Bongo », « Papa Bongo » disparu, ses enfants se tournent naturellement vers la France, pour garantir la paix et une transition véritablement démocratique.

    Pendant 42 ans la France a été l’ombre d’Omar Bongo projetée sur tout le Gabon. De Charles de Gaulle à Jacques Chirac « l’Africain », en passant par François Mitterrand et ses velléités d’imposer la démocratie en Afrique, les réseaux et les intérêts croisés n’ont cessé de prosperer entre Paris et Libreville. Aujourd’hui la Françafrique, ne signe pas tant la présence francaise au Gabon que certaines méthodes qui ont la vie dure. Des méthodes que dénonce l’ONG Brain Forest qui lutte contre la corruption et pour la bonne gouvernance.

    C’est de cette Françafrique là dont Nicolas Sarkozy veut se debarrasser depuis son arrivée à l’Elysée. Mais le président français est un inconnu dans l’équation gabonaise : moins proche de l’Afrique que ne l’étaient ses prédecesseurs, Nicolas Sarkozy a notamment beaucoup dérouté par son discours de Dakar et sa tirade sur « l’homme africain qui n’est pas entré dans l’histoire ».

    « Il faut en finir avec les fantômes du passé. La Françafrique, c’est fini », confiait la semaine dernière un diplomate français agacé. A Libreville, la rupture annoncée dans la politique africaine de la France a encore ajouté à la confusion. Cette absence de lisibilité a contraint l’élite dirigeante gabonaise à faire sienne la nouvelle donne.

    Mais quel que soit le résultat des élections, si elles ont lieu un jour, la France sera bien inspirée de poser aux nouveaux dirigeants la question des inégalités sociales criantes, qui minent la société gabonaise, car les relations privilégiées entre Paris et Libreville n’ont été profitables qu’à une toute petite minorité de Gabonais.

    Le long règne d’Omar Bongo laisse en tous cas le pays exangue. Aujourd’hui, le Gabon est une nation sans route, chemin de fer, ecoles et hopitaux dignent de ce nom. Ce pays faiblement peuplé (un million d’habitants à peine), est pourtant riche de son pétrole, de son uranium, de ses forêts… Un piteux bilan que certains n’hésitent plus à faire endosser à la France.

    Enquête : Hervé Toutain

  7. Monsieur le Président,

    Dans 45 jours des élections présidentielles se dérouleront au Gabon. Après 42 ans d’une « dictature » ayant entraînée la pauvreté, la désespérance de la majorité des gabonais et le détournement de plusieurs milliards d’euros. Il est imoortant de signaler que ces sommes phénoménales circulent sans contrôlent et disparaissent dans la nature. Elles peuvent financer n’importe quoi…y compris le terrorisme.

    Aujourd’hui c’est un SOS que je vous adresse : aidez-nous M. Le Président à entrer en démocratie et dans l’alternance démocratique des élites politiques et administratives. Nous souhaitons une alternance réellement démocratique avec des élections non truquées. Nous comprenons bien les intérêts de la France et de ses industriels. Si le peuple gabonais vous voit comme un allié et un ami fiable, vos intérêts ne seront pas en contradiction avec ceux de notre modeste et jeune nation. M. Le président, la sauvegarde des intérêts économiques français, ne doit pas se coupler avec la sauvegarde des amitiés coupables des politiques et des indutriels français avec des hommes politiques gabonais véreux et peu soucieux de l’avenir de laur pays.

    Contrairement à ce que l’on n’a pu vous faire croire, soutenir aveuglement Ali Ben Bongo n’est pas dénudé de risque. S’il force sa prise de pouvoir en trichant aux élections et en utilisant l’armée pour s’imposer, le pays deviendra vite ingérable, ingouvernable et ne le redeviendra qu’au prix de nombreuses souffrances et de nombreux massacres. Tensions dont pourraient profiter d’autres puissances pour s’octroyer les richesses du Gabon en soutenant les oppositions et en négociant sous cape des contrats plus juteux. Si Ali Bongo gagne vraiement démocratiquement, les gabonais accepteront cette décision. Mais comment être un candidat démocrate et ministre des forces armées. Seule force capable d’aller contre le choix d’un peuple et dont Ali en maîtrise une partie?

    Monsieur le président, vous avez accéder au pouvoir les mains blanches, ne laissez pas des opportunistes assoiffés de pouvoir et d’argent facile vous tachez les mains du sang des gabonais qui ne vous demandent finalement qu’une seule chose : « pour le développement de notre pays, nous voulons avoir la possibilité de choisir nos dirigeants et de les révoquer s’ils sont incompétents.» Par les valeurs que vous incarner et par les valeurs qui fondent votre pays, aidez nous.

    Car, face a notre volonté pacifique de changement, les détenteurs du pouvoir actuel, tous héritiers de l’ancien régime ont la force militaire. Aidez nous à les empêcher d’organiser la triche puis un coup d’état électoral. Vous pouve le faire par des pressions diplomatiques sur ses individus et mêmes par des menaces. Ne soutenez pas les fraudeurs, mais les gabonais, vos amis.

    Ce film vous montrera certaines réalités qu’on vous cache du Gabon :
    http://www.youtube.com/watch?v=WFZHKqbVwXU

    Aidez nous…aidez nous avant qu’il ne soit trop tard et que nous sombrions dans la guerre civile. Et où, finalement, de l’incompréhension de votre attitude à soutenir ou à faire semblent de ne pas e soutenir, jaillira une inamitié dont le Gabon ne souhaite pas mais qui est malheureusement arrivée en Côte d’Ivoire. Il est interessant de rappeler que cette séparation brutale avec le peuple ami de cote d’Ivoire n’est arrivée que parceque votre prédécesseur et ses équipes n’ont pas voulu comprendrent les attentes et les aspirations de tout un peuple. Et finalement n’ont écouté que de certains amis et affairistes. M. Le Présidet le Gabon aime vraiment la France. Tout en préservant vos légitimes intérêts soyez du côté du peuple. Ce choix dans l’avenir, vos industriels le ressentiront dans les contrats qu’ils signeront avec les dirigeants reconnaissants et démocratiquement élus.

    Dieu bénisse et protège le Gabon et votre pays

  8. Moi peuple, pence ceci  » au nom de ta propre personne et des ideos que la coalition gabon nouveau defend, il n’est pas prudent de se presenter à ces éléctions, car les dés sont pipés, nous avons attendu le changement depuis des lustres, nous pouvons toujours attendre jusk’an 2012″

  9. Cher Obengo ton information nous étions tous au courent tout ce que l’on voulait c’était une confirmation officielle et celà a été fait la n’est plus notre probleme aujourdhui nous regardons en avant et voulons des élections libre et transparantes qui emmenerons notre leader créateur du BDP depuis 1998(11ans) au pouvoir.Si je peux me permettre je te dirais que n’etre pas obsédé par le pouvoir ne veut obsulument pas dire que l’on ne voudrais pas si l’occasion le permet prendre le pouvoir et diriger dignement.Le temps du changement que tous les gabonais attendaient est arrivé dont s’il te plait évite nous tes parole bongoiste on veut tourner la page avec un homme integre qui n’a jamais été souillé par l’argent sale.Merci de ta bonne compréhension et j’espere que tu nous rejoindra avec des bonnes idées car je sais que tu en a pour relevé notre pays des 42ans de famine, maladie et de manque d’éducation(l’école est toujours en greve)
    Que Dieu benisse le Gabon et tous ceux qui veulent son bien etre

  10. A votre attention!!!!!

    Ali ben Bongo,sale nigerian!
    Telle est l’injure proférée en l’endroit de Mr Ali ben Bongo,par certains gabonais qui souhaitent un développement du Gabon,après le décès de Bongo.
    Je me permets de vous dire ceci:Tout développemnt est humain avant d’être matériel(changement de mentalité).Traiter un être humain de sale du fait qu’il soit gabonais d’adoption(à vérifier),est un manque de civilité puérile et donc comparable à un animal.
    Le Gabon est entrain de tourner une page de son histoire,et d’où la néccessité de tout gabonais de contribuer à son développement.
    On pourras infiniment dire que Bongo a tué le Gabon;mais n’oublions pas qu’il était entouré des gabonais et que personne n’a pu faire mieux.Je suis surpris de lire certains qui font appel à des personnes telles que Mba Abessole,Maganga Moussavou,,Myboto… à une mobilisation or ce sont les mêmes qui des décennies durant ont contribué à la débacle du Gabon.
    Bref,je voudrais juste dire au peuple gabonais d’être vigilents.

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