Le premier ministre gabonais Jean Eyeghé Ndong était toujours en sursis dimanche matin, malgré l’annonce la veille de sa démission imminente recommandée par la Cour constitutionnelle.
« On attend toujours. On attend depuis hier », a affirmé dimanche matin une source proche de la Primature.
« Si en surface, tout est lisse, il y a des dissensions en interne. Tout le monde n’est pas d’accord », a commenté une source gouvernementale.
Saisie par la présidente par intérim Rose Francine Rogombé, la Cour Constitutionnelle a décidé vendredi soir que « les fonctions du gouvernement cessent automatiquement à l’issue de la prestation de serment du président de la République élu ou désigné », selon le texte publié samedi par le quotidien semi-officiel L’Union.
Rose Francine Rogombé a prêté serment mercredi après le décès du président Omar Bongo Ondimba annoncé lundi par les autorités.
Samedi, des sources concordantes avaient affirmé que le Premier ministre allait remettre sa démission dans la journée et avait même déjà écrit sa lettre, après avoir été informé de la décision de la Cour.
Toutefois, le Premier ministre qui a assisté à un culte en hommage au président défunt samedi soir au Palais présidentiel, était toujours en poste dimanche.
Samedi soir, une source gouvernementale avait affirmé à l’AFP: « Il y a des tractations. Un remaniement (…) est probable ».
daccord avec le felin il est temps daller sur le terrain si vous voulez avoir le vote des gabonais ne rester pas loin du gabon sinon ca sera qu’ambiguité deja des bruit de couloir disentt que vz serez elu sur le net dixit le ministre de linterieur ,et que vous netes pas un parti politique mais plutot une association de malfaiteurs alors allez surplace et montre ce que vous valez et on sera avec vous si et seulement si vous vous montre aussi fort que sur le terrain que sur le net car vos adversaire sont des tricheur patentés des voleurs et des presumes assassins sans scrupules
A beau parler nous aurons maintenant l’occasion (si les évènements s’enchaînent comme convenu par la Constitution)de voir ce que le Docteur Mengara fera. Gabonais et fier de l’être je souhaite un changement pour mon pays.
Loin d’être contre lui, je suis juste dubitatif quant aux volontés profondes des politiciens qui savent « carresser » les envies et lespeurs du peuple pour gagner l’éléction. Ma vision est peut-être tronquée. Aussi je demande qu’il me prouve le contraire.
Une chose est sûr, il faudra que le gouvernement soit très clair sur les messages qu’il va véhiculer. Changement oui mais SVP faites comprendre au peuple que le développement prendra naissance avec lui. Donc il devra Y CONTRIBUER. Ce n’est pas quelque chose qui est exogène et qu’il devra comtempler en espérant que les choses se passent!
Il faudra avoir un impact profond sur les mentalités pour que le peuple se rende compte qu’il a son destin entre les mains et que la bataille va être rude étant donné la rétrogadation que nous connaissons d’année en année.
A voir…
Je suis d’accord avec toi,cher compatriote felin. Le DR MENGARA va devoir affronter les dures réalités du pays. C’est son destin et je crois qu’il le fera pour l’intérêt de tous ses compatriotes Gabonais dont il a le souci. J’espère ne pas m’être trompé sur ce leader politique. En tant que chrétien je suis persuadé que le temps de dieu est arrivé pour notre pays. J’ai vraiment aimé Bongo et sa famille sans jamais les connaître, mais en regardant la situation dans laquelle notre pays se trouve aujourd’hui, je comprends que ces gens sont les seuls responsables de nos malheurs.
Il y a eu de nombreux crimes rituels perpetrés par des hommes politiques dans notre pays sans que ces derniers ne soient interpellés par la justice. Tout Gabonais aujourd’hui de choisir un leader capable d’apporter la justice dans notre pays.
Je crois que MENGARA va mettre en place un programme de logement pour tous les Gabonais, le plein emploi, les routes, la santé , l’éducation, les allocations familiales et un meilleur SMIG pour tous les Gabonais .
J’appelle tous les compatriotes à faire le bon choix de notre futur président.
Que Dieu bénisse le Gabon
Nous sommes un peuple qui a trop souffert et sommes un peuple qui ne veut plus souffrir!
L’article 34 de la constitution dit ceci : « les fonctions du gouvernement cessent à l’issue de la prestation de serment du président de la République et à l’issue de la proclamation des résultats des élections législatives par la Cour constitutionnelle.
En cas de démission, le gouverment assure l’expédition des affaires courantes jusqu’à la constitution d’un nouveau gouvernement »
Cet article nous explique que la nouvelle présidente ayant prété serment le mercredi 10 juin 2009, le gouvernement devait donner sa démission pour montrer à la communauté nationale et internationale que la constitution est appliquée à la règle. Nul ne peut comprendre les tergiversations actuelles qui commencent non seulement à peser lourd, mais aussi et surtout à semer le doute sur les stratégies et tactiques en cours d’exécution par les autorités actuelles. Que l’esprit initial qui agrandit notre pays se poursuit sans calcul partisan, cela ne fera que nous faire gagner du temps et surtout honorer l’image du peuple gabonais
Nous sommes un peuple qui a trop souffert et sommes un peuple qui ne veut plus souffrir!
De toutes les façons il doit le faire, c’est la constitution qui l’exige. Toutefois, nous déplorons le comportement dérisoire de vos sbires docteur Mengara. Ces derniers n’ont aucun respect vis à vis des institutions et ne savent pas ce que l’on appelle l’intérêt supérieur de la nation. Je pense que vous avez été l’une des personne qui été d’une agressivité verbale sans précédent vis à vis de Bongo, mais j’ai pu constater toutefois que vous observer, au moins par respect de la fonction présidentielle, une accalmie relative en cette période de deuil. C’est aussi cela la démocratie. Maintenant que Bongo n’est plus, il serait préferable que vous rentrez au Gabon pour vous battre sur le terrain et vous frotter aux réalités du pays. Mieux, il est temps d’aller prouver au peuple gabonais que votre popularité n’est pas que virtuelle. Entre le clavier d’un ordinateur et les dures contraintes des rues de libreville, port gentil, mouila, oyem etc… la réalité est toute autre.