Le président du Morena (Mouvement de Redressement National, opposition), Luc Bengone Nsi a exprimé jeudi à Libreville ses appréhensions de voir l’élection présidentielle se tenir dans une situation de trouble.
S’exprimant à la faveur du conseil national de son parti, il a extériorisé les frayeurs de son parti politique de vivre des élections présidentielles entaché d’irrégularités.
‘’ J’ai peur que nous ne soyons amenés à vivre des moments assez difficiles, que l’élection se déroule, comme par le passé, dans la confusion totale’’ a déclaré Bengone Nsi, ajoutant que la liste électorale dont dispose actuellement le ministre de l’intérieur n’est pas fiable.
Pour le président du premier parti gabonais d’opposition, les affirmations du chef de l’Etat Rose Francine Rogombé relatives à l’utilisation en 2006 de la liste électorale actuelle, occulte l’aspect lié au manque de fiabilité de cette liste électorale.
‘’ C’est vrai que cette liste électorale a été utilisée en 2006, mais le chef de l’Etat omet de préciser qu’à la suite des élections législatives de cette année là, la cour s’était retrouvé avec près de 150 recours ‘’ a-t-il indiqué, soulignant que la haute cour s’en était émue et par la voix de son président avait invité en vain, les acteurs politiques à s’organiser en vue d’assainir le fichier électoral querellé.
Le président Bengone Nsi a également dit que le Morena a envoyé le 3 juillet dernier une correspondance destinée à attirer son attention sur la nécessité pour le Gabon d’avoir une élection transparence pour qu’elle soit crédible.
Pour le Morena a noté son président, la daté arrêté par la cour ne tiens pas compte de certaines réalités.
‘’Pour nous, la force majeur c’est l’incompatibilité qui existe entre les délais constitutionnelles et les dispositions du code électorale ‘’a martelé le président Luc Bengone Nsi, soulignant que les partis politiques de l’opposition ont envoyé au chef de l’Etat gabonais un mémorandum dans lequel ils formulent leurs appréhensions de voir l’élection présidentielle se dérouler dans le désordre.
Dans un communiqué rendu public jeudi soir,La cour constitutionnelle gabonaise, a indiqué après délibération que l’élection présidentielle devra impérativement se tenir au plus tard le 6 septembre prochain, soit 57 jours après la constatation de la vacance définitive de pouvoir, par la haute cour.
Le PDG est un système politique fondé sur le machiavélisme. Il n’a jamais sû organiser une éléction démocratique depuis la prise de pouvoir du feu président candidat nature! « esclavagisme intellectuel ». Ce n’est dons pas aujourd’hui qu’il le fera?? Les consultations organisées par la préseidente de la république avait pour objet de bien paraître. La preuve, le PDG a proposé 60jrs et c’est ce qui na été fait. De même le PDG mettra Ali comme candidat et c’est ce qui sera. Ensuite il forcera la main au gabonaix, en passant par le maintien de la paix à tout prix même s’il faut tricher, corrompre, ménacer… Bref, plus rien ne m’étonne. J’attends de m’exiler et c’est ce qui reste à faire.Mes souffances ne sont pas prise en compte, mon vote est méprisé, ma terre surexploité, mes impôts dilapidés par un clan??? quoi de plus? autant aller payer les impôts qui serrviront à quelqu’un quit à s’expatrier????