Ali Bongo Ondimba (ABB), l’un des vice-présidents du Parti Démocratique Gabonais (PDG-au pouvoir), Ministre de la Défense nationale aujourd’hui et demain président de la première force politique du pays déjà candidat à l’élection présidentielle de 2009, c’est une lapalissade, n’est pas un inconnu.
La cinquantaine depuis le 9 février dernier, fils aîné du défunt président Omar Bongo Ondimba et de Patience Dabany, Ali symbolise le père de famille respectable et responsable, confie son entourage.
A la tête du Conseil supérieur des Affaires islamiques, musulman pratiquant, il ne prône pas moins le dialogue religieux, rejette le syncrétisme ou l’assimilation d’une religion à une autre.
Les nombreux cultes œcuméniques célébrés, lors des récentes obsèques de son père, illustrent la cohabitation des confessions basée sur le respect de l’autre.
Des valeurs que cet ancien étudiant en droit à l’Université Paris 1 Panthéon-Sorbonne, sorti avec un doctorat, promeut. Attaqué tant dans la presse que dans certains milieux politiques sur sa nationalité, il prie ses « détracteurs » de se rapprocher de sa mère.
Dans son style direct, l’ex-épouse du chef de l’Etat, sous les projecteurs de la télévision nationale, conclut son propos par « mon fils est gabonais à part entière et tout court ».
Avec cet épisode, l’homme, qui aspire à la magistrature suprême conformément aux dispositions constitutionnelles accordant à tout citoyen sans exclusif le droit de solliciter les suffrages du peuple, prend la mesure de ses responsabilités dans un sérail politique où calculs, intrigues, arrivisme et opportunisme, entre autres, meublent le quotidien.
Ayant bénéficié de l’encadrement d’un grand homme d’Etat qui avait fait des trois vertus paix, unité et dialogue, ses leitmotivs de gouvernance, Ali Bongo Ondimba, s’est distingué, selon ses proches, par la retenue et la sagesse devant la « cabale médiatique ».
Chevelure noire teintée de blanc soutenue par un visage presque rond, allure de jazzman de la Nouvelles Orléans (Etats-Unis), polyglotte (Français, Anglais notamment), il peut se prévaloir d’une expérience gouvernementale de plus d’une vingtaine d’années.
Des Affaires étrangères à la Défense où il inaugure le concept d’Armée-Nation, le prétendant à la magistrature suprême se construit un destin dans les allées du pouvoir même si le président Bongo n’en a jamais fait un « dauphin naturel » de son vivant. « Il y a mille et un Gabonais capables », notait le chef de l’Etat disparu devant l’insistance d’un confrère occidental sur la succession au Gabon.
NI TRAHIR NI DECEVOIR
Député de Bongoville (Sud-est), sans adversaire réel dans la contrée, Ali Bongo Ondimba s’apprête à s’engager dans une bataille d’une autre nature, plus intense : la présidentielle. Une élection qui se déroule dans une circonscription unique, à un seul tour, et qui peut garantir une victoire d’une courte tête.
Sorti du lot parmi la dizaine de candidats à la candidature du PDG au scrutin du 30 août prochain, le futur patron de cette formation entend aller à la pêche aux voix pour convaincre du vote massif de toutes et de tous autour de sa personne et du projet de société que doit concocter son écurie politique.
La liste de ses adversaires s’allonge au quotidien. Huit(8) se sont déjà positionnés pour le prochain scrutin en attendant les poids lourds de l’opposition.
Ni trahir ni décevoir la pensée d’Omar Bongo Ondimba s’est engagé, dans son oraison funèbre, le 17 juin dernier au Palais présidentiel, Ali Bongo Ondimba, représentant de la famille, devant un parterre de personnalités locales et étrangères.
Un engagement sur fond de programme, peut-on le reconnaître maintenant, qui a dépassé les frontières nationales par sa quintessence, résonnance, signe d’une ambition pour son pays, d’un partage et d’une implication face aux défis que doivent relever l’Afrique et le reste du monde à l’image du doyen des chefs d’Etat du continent désormais icône.
Le candidat « favori » au rendez – vous du mois prochain va-t-il rejoindre l’histoire déjà écrite par Georges Walker Bush, Faure Gnassigbé et Joseph Kabila ? « Pourquoi pas ? », espèrent les partisans d’ABB.
si le gabon appartient au bongo tout le monde du gabon s’appelle ondimba bongo donc celui qui sait ki ne sapel pas com ça doit se lever pour le changement sinon les memes personnes finiront par nous diriger a vit patiente son fils ainé on ne refuz pas mais cela ne veut rien dire on ne veut pas D ALI BONGO le ngabon appartient a tout le monde les fraudes commencent meme a dakar c deja partiiiiiiiiiiiiii
SANS COMMENTAIRE !!!!!!
agiteeeeez,agitez pour le meilleur homme,le chantre de la paix,l’héritier de l’unité,du dialogue,de la tolérence et de la construction nouvelle ,l’homme du progrès,il est le meilleur,Ali Bongo Ondimba,soutien ABB,président!!!!il est docteur en Droit à l’université Paris 1,au gabon on a toujours une idée arreté des fils du pouvoir ,bonne chance ABB,soutien!!! avec Aliii,c’est plus sure,il sera l’instigateur des reformes!!!!
je ne suis pas une intellectuelle je crois que vous pourrez me lire sans dificulter. Le momemnt est arrive, le moment de nous battre pour notre indépendence, depuis quarante deux ans nous avons subis toutes les injustices de la terre j’ai cinquante trois j’ai vue bongo venir au pouvoir j’ai grandie avec aujourd’huit je suis abligée de venir me cacher en france et dire que si mon beau pays avait été bien gerer je ne serais pas là demande au peuple gabonais de bien refrechir avant de metrre leurs billetins de vote dans l’urne. Je sais que nous sommes pauvreset c’est l’argent qui parle au gabon de bongo. j’ai bouge les fesses devant tout ce monde c’est a dire denser avec les groupes d’animation du pdg parti unique, je suis vielle pour me battre, une chose est sure je vais voter…
oh!Ali ben a un doctorat en droit depuis qd??? ça commence les manipulations de CV!!! C même insultant pour les docteurs qui savent ce que s’est que faire un doctorat!!!
he mes freres ce n’est qu’une mascarade,voici une dynastie qui ne nous laissera pas et nous pillera jusqu’a notre derniere energie.