La Commission électorale nationale autonome et permanente (Cénap) du Gabon a proposé au gouvernement d’organiser l’élection présidentielle anticipée le 30 août, selon un calendrier publié hier soir par le média privé d’information en ligne Gabonews.
Selon l’agence Gabonews, généralement bien informée, la Cénap a arrêté un calendrier électoral, devant encore être examiné par le gouvernement, qui prévoit notamment l’organisation de la présidentielle le 30 août. Ce scrutin est à tour unique au Gabon. D’après le Code électoral, c’est la Cénap qui détermine « la date de convocation des électeurs », ensuite « matérialisée par décret pris en Conseil des ministres ».
La Cénap envisage la période du 17 au 22 juillet pour le dépôt des dossiers de candidature, et le démarrage de la campagne électorale le 15 août à minuit, pour deux semaines. Aucune date n’avait jusqu’à présent été proposée pour ce scrutin. La Cour constitutionnelle avait indiqué qu’il devrait se tenir « au plus tard le 6 septembre ».
La semaine dernière, le ministère de l’Intérieur, chargé de la préparation des scrutins, avait arrêté un calendrier d’opérations pré-électorales, incluant la révision des listes électorales, qui a débuté le 10 juillet.
Justement c’est parce que le Gabon va mal, qu’on ne peut plus se permettre de rester ad vitam eternam sur ces élections, il est urgent qu’on se remette au travail le plus vite possible, l’économie ne fonctionne plus, les opérateurs économiques sont au plus bas niveau, il n’y a plus d’entrées en douane parce qu’il n’y a plus d’importation ; je vous rappelle tout de même que ce sont les impôts et taxes douanières payés par les opérateurs économiques qui contribuent au paiement de la masse salariale de la fonction publique.
Des opérateurs économiques qui ne fonctionnent plus depuis le décès de la première dame, et qui n’importent plus non plus. Donc je vous laisse imaginer les conséquences de tout ce désordre! Outre le fait que depuis 2005, on passe notre temps à subir des campagnes politiques, voila qu’après les évènements de ces quatre derniers mois, des voix s’élèvent pour prolonger ce désordre plus longtemps, cela montre à suffisance que les partisans de la prorogation de ce délai sont des irresponsables qui ne tiennent pas compte de la précarité grandissante des populations gabonaises. Lorsque ces mêmes opposants allaient toutes les semaines voir le président Omar Bongo, ils avaient plus de vision quant à son état de santé défaillant que la moyenne des gabonais, il aurait été alors judicieux de se préparer à des élections présidentielles anticipées. Et c’est maintenant qu’ils viennent crier au scandale? Foutaises que cela! Il faut remarquer également que la plupart de nos opposants y compris les membres de la société civile ne sont pas des smicards, mais plutôt des multimillionnaires, voire des milliardaires. Alors les préoccupations du gabonais moyens, ce n’est pas vraiment leur problème!
c’est une rapidité aussi pourkoi pas fin septembre bon sont les gouvernants du pays mais le gabon va mal saugardons le gabon il a besoin de nous c enfant si le gabon etait juste pour les ondimba tout le monde s’appelera ondimba gabon