Libreville, 13 août (GABONEWS) – De nombreuses femmes issues de l’Union des femmes du Parti démocratique gabonais (PDG, au pouvoir) ont marché sur un peu plus d’un kilomètre, ce jeudi matin sur le boulevard Omar Bongo, entre le rond-point de la place de la Paix et la Primature, pour affirmer leur total soutien au candidat à la présidentielle du 30 août prochain, Ali Bongo Ondimba.
Tout au long de cette marche, les femmes de l’UFPDG ont délivré des messages de paix, d’unité et de dialogue.
« Nous voulons que la paix, chère à notre papa Omar Bongo Ondimba, soit préservée », a déclaré Angélique Ngoma, responsable de l’UFPDG qui, au terme de la marche, a remis un manifeste au premier Ministre, Paul Biyoghé Mba.
Acquis à la cause du candidat du Parti Démocratique Gabonais, Ali Bongo Ondimba, les rangs de l’UFPDG ont, à l’occasion, reçu le soutien massif des associations comme le Cercle d’action et de soutien à Ali Bongo Ondimba (CASABO).
Le chef du gouvernement, appréciant l’initiative à sa juste valeur, a exhorté les femmes de ne jamais se détourner du chemin tracé par feu le président Omar Bongo Ondimba.
La marche pacifique, qui s’est déroulée sans incident, était encadrée par les éléments de force de police nationale.
Vendredi dernier, l’esplanade baptisée place de la « Tolérance », au carrefour Rio dans le 3ème arrondissement de Libreville, avait été le théâtre de violents affrontements entre les partisans du changement, qui voulaient absolument organiser une marche de protestation contre le maintien au gouvernement d’Ali Bongo Ondimba (Ministre de la Défense), et les forces de sécurité, intervenant en obstacle pour faire respecter la loi du 8 juin 1960 portant sur les réunions publiques. Le bilan était de deux blessés, selon le ministère de l’Intérieur.
Ces mamans qui ont marché pour ali BEN sont formatées pour rester fidèles au PDG;et ce cela ne devrait surprendre personne. J’ai le regret de constater que le peuple gabonais manque cruellement de culture politique. Bongo a developpé la passivité politique dans notre pays pendant les 42 années de son règne sans partage au point où les Gabonais sont aujourd’hui très faibles dans la révolte. Nous n’avons aucune stratégie de resistance face aux forces de l’ordre et c’est très Dangereux. De plus il manque une véritable solidarité entre les gabonais; chacun est attiré par le choix ethnique.Nos leaders de l’opposition eux-même sont attachés à la préférence ethnique. On voit par exemple le ralliement de MAYILA et KOMBILA à MAMBOUNDOU,et MBA ABESSOLE s’est rallié à MBA OBAME. Le peuple Gabonais sera contraint de faire son choix sur la seule base ethnique et ça c’est très regrettable. On a là tous les ingrédients d’une guerre civile en cas d’echec des uns et des autres à l’issu de ce scrutin.
En outre, je suis traumatisé par la façon dont un compatriote a été tâbassé et traîné comme un animal à la manifestation de Rio, sous les regards impuissants de Bruno BEN MOUBAMBA et des autres manifestants. Les manifestants devraient être entrainés et soutenus militairement par les leaders politiques en cas de dangers de mort comme ce fut les cas à Rio. Ce n’est pas un jeux, c’est une guerre; les armes des policiers sont chargées et peuvent à tout moment s’en servir pour affaiblir le mouvement.
La communauté internationale n’a rien à faire de nos problèmes. On a vu avec le RWANDA , ou au SOUDAN. L’indifférence est totale à chaque génocide. Les leadrers politiques devraient nous donner une garantie de soutien militaire au cas où les choses tourneraient mal.
Je cherche à m’intégrer dans un mouvement armé fort pour mener une révolte sans état d’âme face à ce pouvoir Bongoïste très enraciné dans notre pays. c’est la seule solution pour délivrer notre pays. Je ne m’impliquerais pas du tout si les mouvements d’opposition ne nous donnent pas les moyens de nous défendre.
Je conseille à tous mes compatriotes à faire attentuion aux hommes politiques, beaucoup d’entre eux ont des ambitions personnelles et n’ont rien à faire de nos vies. Ils ont suffisamment d’argent sur les comptes pour quitter tranquillement le pays et aller vivre en exil si les choses tournaient mal pour eux. Tout ces anciens PDGISTES ont cet état d’esprit; il faut s’en méfier. Ils auraient du tous se rallier à MAMBOUNDOU pour causer des misères à Ali BEN et sortir les Gabonais de cet enfer, mais non chacun ne voit que son propre intérêt et joue le jeux d’Ali BEN.
Ouvrons vraiment les yeux chers compatriotes; nous connaissons qui est MBA ABESSOLE, nous connaissons qui est MAGANGA MOUSSAVOU, CASIMIR OYE MBA, MYBOTO, et EYEGUE NDONG.
POur mon premier vote je ne donnerais pas ma voix à tous ceux qui ont partager la même table que le diable Bongo pendant que les Gabonais souffraient. Je suis NDZEBI de MOUNANA, et je vais voter pour MAMBOUNDOU à défaut de mon Leader MENGARA qui n’a malheureusement pas été retenu.
MAMBOUNDOU a fait beaucoup derreurs qui ne lui permettent pas aujourd’hui d’avoir toute la confiance des Gabonais, mais nous devons lui donner une chance. Il ne fera pas pire que les PDGISTES. Je lui donnerai mon vote sans pour autant adhérer à son parti, et toute ma famille en fera de même, uniquement pour qu’Ali BEN ne vienne pas au pouvoir.
Que Dieu bénisse le Gabon
Franchement je ne comprendrai jamais nos meres ?!pr un peu de bierre et un tee-shirt elles st pretes a ts,meme a alle se vendre !!!!quelle honte !!!!quelle exemple pr les jeunes filles et ns garcons qui sommes leurs enfants ?ne voient-elles pas qu ‘elles st exploitees, abusees ?au tant de questions qui ne trouverons surement pas de reponses !!!
Je pense que cette marche a ete initiee comme reponse du Pouvoir a celle du 7 aout,de l’auto-reaction quoi,comme betes-de- sommes nos mamans !ils fallaient bien un show eux aussi excusez-moi du sinisme !
A nos mamans,porquoi ne st-elles pas allees marcher par rapport aux resultats mediocres aux examens de BAC qui on ete enregistres ou l’avenir de leurs MOUANAS est ainsi bafoue et mis en perile ?non, pr elles ,il vaudrait mieux marcher pr quoi je ne sais !ok continuons ainsi et ns verons ou tout cela ns menera .si vs voullez etre tjrs les memes pauvres,restrez le !elles ont vraiment rien compris jusqu’alors.quelle honte pr les 2 MOUANAS morts LE 7 AOUT !!!allez bouger vs derrieres sous vos pagnes ; laissez faire violer vos enfants(filles et garsons) ;faites vs acheter pr du dindon,une REGAB,un tee-shirt,un tissu,un billet(ou la couleur et le nombre dependent du notre de coups de reins ou de son activisme ds le show).
Il est temps pr vs de prendre votre avenir,notre avenir en main en arretant de participer leurs BETISES !!!!prenez une part active ds le changement !!!!j’ai bcp de respect pr vs, dc ne me faite ps honte par votre attitude parfois ps digne de meres d’enfants souffrants, laisses pr compte, violes, mourants de famines !!!!la pauvrete pecuniere frappe trop,dc ne laissons pas la pauvrete intellectuelle s’y mettre aussi !!!!
J’ose esperer que vs avez compris mon message.
Respectueusement votre enfant !
Yves (Amerique) : Prélude d’une conflagration 14-08-2009
Alors comme ca, les bougeuses de fesses du PDG ont marche aujourd’hui et surprise des surprises, pas un seul flicaillons à se mettre sous la dent ; pas même une petite bombe lacrymogène, encore moins un petit coup de matraque ou de brodequins en pleine gueule, dans les gencives… Rien du tout. Une bonne petite marche, que dis-je, une promenade de bonne femme pour commémorer la royauté naissante et progressante (mot inventé) au Gabon. Même le ministère de l’intérieur n’a pas juge opportun d’interdire cette marche qui caressait le candidat « pré-élu » dans le sens du poil. A mes frères Gabonais je dis ceci (surtout a ceux qui viendront me faire chier en parlant de jurisprudence et tutti quanti…) je vous sommes de bien observer les événements en cours au Gabon car vous êtes en train de nous précipiter vers un scenario a l’Ivoirienne, car j’ai bien peur que la déchirure soit déjà prononcée. Les conclusions sont déjà établies dans la tête des gens. Nous sommes assis sur une poudrière et l’étincelle du 30 Aout pourrait nous pousser dans une spirale infernale dont les tenants de l’ordre établi à sens unique (ils gouvernent et nous on subit) seront les seuls responsables. C’est le prix qu’il faudra payer pour empêcher la deuxième génération de Bongo de se maintenir au pouvoir aussi longtemps qu’ils le désireront, tout en nous saupoudrant d’une apparence de démocratie. Le spectacle en l’espace d’une semaine de milices autorisées à tabasser les manifestants anti-Bongo et ne se déplaçant même pas pour la marche des putes du PDG, constituent une garniture d’équité devant la loi des plus appréciées. Ces indigestions du deux poids deux mesures risquent d’être fatales au Gabon. Surtout que nos autocrates ont besoin pour réussir, des ingrédients suivants : a) des citoyens très pauvres qui dépendent des dons des gens nantis de temps en temps pour survivre (un emploi ici, une sac de riz par la…, mais rien de bien substantiel) ; b) Des inégalités abyssales où une pauvreté inimaginable cohabite avec une richesse obscène, de façon à ce que le fameux axiome de Bongo « je peux faire d’un chien un ministre et d’un ministre un chien, ait de la résonnance. Il faut que les chiens observent les ministres et que les ministres observent les chiens de façon à ce que les uns et les autres sachent ce qui peux arriver quand on est gentil et obéissant ou alors récalcitrant ; c) de l’injustice, de l’exclusion et de la discrimination, une corruption omniprésente par une élite politique et économique arrogante, persuadée que «nous contrôlons la situation, rien n’arrivera ici, car c’est nous qui commandons depuis 40, 50 60, ou 70 ans» ; d) Des partis politiques discrédités et une population apathique, déçue par la démocratie, la politique et ceux qui la font, ce qui renforce encore le pouvoir du roi qui leur demande encore et toujours de se courber et baisser leur froc ; e) un parlement, une justice (Mborantsuo) et des forces armées (les principaux généraux) trilles sur le volet et ramollies par un bain prolongé dans la marinade du roi faite de gaspillage, de copinage, de villageoiserie et de corruption ; f) des «milices» armées, entraînées et prêtes à briser les membres de ceux qui s’opposent au régime. Il n’est pas nécessaire que ces milices soient très nombreuses. Il suffit que les brutes qui les composent intimident la population en pratiquant le tabassage, l’assassinat, l’enlèvement ou d’autres formes de violence, et le message sera clair. Mais cette recette très dangereuse va leur exploser au visage et quand le Gabon brulera, souvenez vous de la progression des événements
Il n y a que les pédés-gistes qui ont le droit d’organiser des marches,et pourtant vendredi une marche pacifique de l’opposition a été durement reprimée…c’est ca la democratie bongoiste,quel honte!!!
biyoghe mba joue les fiers, lui qui habite à bikele sur une route non bitumée,quel honte vous etes tous…chaque chose a une fin ,si bongo qui vous a fabriqué est mort c’est pas vous qui allez survivre.
angelique ngoma vit à louis sur une route non bitumée en plein centre de libreville au milieu des bicoques,ca doit continuer ainsi…apres avoir été la maitresse du pere elle veut etre celle du fils sans doute…pathetique ,aucune dignité,moralité zero,quarantenaire toujours celibataire.Bonne continuation à la tete de l’ufpdg(union des femmes putes du partie destructeur du gabon) il existe un dieu et son plan pour le gabon va se realiser vous irez bruler en enfer.
Donc certains ont le droit de marcher et pas d’autres au Gabon??
Vraiment ROGOMBE, je ne savais pas que tu devais te comporter de la sorte en établissant une justice au bénéfice d’une infime partie de la population et au détriment de la plus grande… c’est triste de ta part ROSE, tu me déçois, DIEU te voit, et crois moi nous allons faire de toi et tes putes du PDG des femmes de trottoirs dans quelques temps…
A bon entendeur…