Alors qu’ils étaient en poste dans les autres localités du Gabon, leurs classes se sont employées à décimer leurs familles à Libreville et à Port-Gentil.
ls l’ont appris par sms, envoyés par les familles, que les gars qui gisent sur le sable chaud de Port-Gentil, ou dans les caniveaux de kinguélé, les poitrines trouées par des balles tirées à l’aide des mêmes Famas mitraillettes (de marque française) qu’ils portent, seraient leurs frères, cousins, ou neveux.
C’est ça, la triste réalité du Gabon. Un petit Etat d’un million deux cent mille habitants, dans lequel les communautés sont imbriquées les unes, les autres. Il compte près de douze mille hommes qui constituent les forces de sécurités (armée, gendarmerie, police et la sécurité pénitentiaire).
Chaque famille gabonaise a au moins un fils ou une fille dans un corps
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Le système francafrique de BONGO et BOURGI, n’a pas prévu de campements à ces gars qui serviraient de maquisards devant mâter la rébellion de tout ce qui revendiquerait la liberté, la démocratie.
Les deux grands camps militaires de Libreville, Baraccas et Gros-bouquet ne prévoient pas de logements à tous ces gars habillés, qui sont obligés de se replier dans les mattitis avec leurs familles. Drôle de façon de gratifier une armée à sa solde.
Erreur stratégique ou incompétence, lorsque nos brillants généraux, formés par correspondance à Saint-Cyr et ayant fait tous les grands foyers de tension du 20è siècle, Indochine, Afghanistan, Irak, Kossovo, Tchad, Centrafrique, Tchétchénie…ont ordonné de nettoyer, le Gabon de ces rats des « mattitis » qui empêcheraient au Roi de régner, certainement que dans la précipitation, ils ont oublié de demander à leurs sbires de mettre à l’abris leurs familles.
Toujours est –il que certains en ont fait les frais. Le Caporal chef Jacques dont le salaire ne dépasse guère cent un mille Francs CFA net à payer, n’a plus que ses yeux pour pleurer.
Rentrer précipitamment de sa mission de maintien de l’ordre à Oyem, il doit payer la morgue, le cercueil et un trou à MINDOUBE, pour aller jeter son cadet, pillard, abattu à bout portant par les éléments de la G.R., les mains vides.
De sources, sures, ils sont nombreux, nos sbires, qui se sont défouler sur les parents de leurs collègues.
« Je pêterai la gueule à ces enculés de merde » s’est exclamé le caporal chef, dans leur jargon militaire, « je me vengerai ». Jean Maixan (son frère décédé) était possesseur d’un baccalauréat serie D session de Juillet 2009. Il devait intégrer l’école Polytechnique de Massuku.
A faire à suivre.
Le caporal chef qui a été dépossédé de son arme, rentrerait certainement dans le maquis avec ses collègues victimes du même traitement, pour rejoindre ces milliers de gens, qui vont bientôt en découdre avec ce système de bandits.
source: lvdpg
Ali Bongo ne va pas gouverner le Gabon. Le peuple ne veut pas de lui. Il ya une insurection qui arrive au Gabon.Il ya une autre form et classe d’opposant au Gabon. Mr Mengara souleve toi et conduit nous vers la liberte.
Voilà ! S’il y a parmi les tués un parent de ces généraux J,espère qu’ils seront contents. Pensez-vous ce genre de soldat ne pourront être des témoins en cas d’action au TPI ? Le doungourou national peut toujours s’amuser il n’est pas au-dessus des lois internationales.