Dans un article sur ce site, voici quelques jours et bien avant l’AFP à Libreville et le site gaboneco.com, j’ai attiré l’attention sur l’aventurisme diplomatique de M. Ali BONGO ONDIMBA. Comme souvent, les « professionnels » de la chose politique gabonaise ont ignoré cet « avertissement » avant de le reprendre à leur compte. Tant mieux ! J’espère seulement que l’égotisme exacerbé qui caractérise malheureusement les « spécialistes » du Gabon ne tournera pas à notre désavantage définitivement dans quelques temps.
Je redis aujourd’hui et solennellement que la « politique étrangère gabonaise » est dans l’impasse parce qu’elle est captive du Bongoïsme (qui est l’art de réduire les meilleurs à moins que rien en valorisant le plus abject en nous) : c’est le management de la misère gabonaise sous toutes ses formes.
Je souhaite véritablement tirer la sonnette d’alarme sur l’extrême dangerosité des choix diplomatiques du nouveau Raïs Ali BONGO ONDIMBA. Ils nous conduisent dans le mûr aussi sûrement que ses politiques économiques et donc sociales. Ce n’est pas faire dans l’intellectualisme paranoïaque que de prévenir les Gabonais et la communauté internationale. Oui, la « diplomatie gabonaise » est devenue comme folle et nous sommes au bord de l’abîme atomique. La responsabilité des Gabonais dans les crises nucléaires à venir est engagée.
Et si nous avions une vraie démocratie (même du niveau de nos coutumes ancestrales) le parlement gabonais se serait déjà saisi de ce dossier.
Mais comme certains n’ont pas fini de nous considérer comme des primates à peine évolués, les générations actuelles de notre pays n’ont pas fini de payer non seulement la déstabilisation de pays frères africains dont la responsabilité incombe non seulement au défunt Omar BONGO (Bénin, Biafra, Guinée équatoriale, Tchad, Côte d’Ivoire, Angola, Congo Brazza, Rwanda, Cameroun…etc.) mais aussi à nous tous, solidairement avec ceux qui ont gouverné le Gabon. Pour exemple, sur la seule parole d’Omar BONGO des immigrés africains en terre gabonaise ont subi des traitements inhumains naguère sans que nous ne décelions la manipulation bongoïste qui nous a poussés à agresser de façon irrationnelle Camerounais et autres Béninois pour ne citer que ces peuples.
Aujourd’hui, le Gabon s’apprête peut-être à aller plus loin dans la folie diplomatique : l’Afrique étant sans doute trop petite pour Ali BONGO, voici que notre Raïs s’est pris d’amitié pour Mahmoud Ahmadi Nejad le président iranien très discutablement élu dans des condition qui rappellent étrangement celles du Gabon : un vote manipulé massivement contesté par le Peuple et une répression féroce.
Quelques mois plus-tard, s’invite à Libreville (Ali BONGO dans la cour des Grands ?) le célèbre ministre iranien des Affaires étrangères, Manouchehr Mottaki (pas moins que ça !) le 2 avril 2010 plus exactement. Ali BONGO est donc devenu en quelques mois un meilleur « médiateur » qu’Omar BONGO qui pourtant ne s’est jamais frotté à des dossiers aussi sensibles que la Corée du nord ou l’Iran.
Il faut croire qu’à force de fréquenter l’Elysée, le nouveau maître du Gabon se voit déjà parmi les maîtres du monde. C’est son droit ! Mais, c’est également le mien de lui dire qu’il ne peut pas engager le Gabon dans les crises nucléaires à venir !
Le Nouveau Pouvoir gabonais a dit à l’AFP n’avoir pas évoqué le dossier nucléaire lors de la visite de M. Kim Young Nam l’envoyé de Kim JONG Il le dictateur fou de la Corée du nord qui cherche de l’uranium partout dans le monde. Et voici que le chef de la diplomatie iranienne dit être venu solliciter la compréhension du Gabon dans le différend du nucléaire qui l’oppose aux autres nations membres de l’ONU.
Au nom de quoi et en vertu de quelle autorité du Raïs Ali BONGO ONDIMBA ? Au passage, le porte-parole d’Ali BONGO va contredire sans le vouloir son « chef d’état » en rappelant que « le président » Bongo avait donné la même réponse au dirigeant iranien et au président du présidium de l’Assemblée populaire suprême de Corée du Nord Kim Yong Nam lors de leurs visites : « Oui pour le nucléaire mais à des fins civiles et pacifiques ». Bigre ! J’ignorais que le Gabon était aussi puissant dans le monde pour s’inviter dans un dossier que les USA et l’Europe ont du mal à gérer.
Autre bizarreries de l’aventurisme diplomatique d’Ali BONGO : la visite de l’iranien M. Mottaki (à un niveau de représentation aussi élevé ) n’avait même pas été officielement annoncée. Et l’on apprend que l’Iran des mollahs veut » soutenir le Gabon (…) en lui apportant des financements dans les secteurs industriel, des mines, du développement de ses infrastructures, du développement en matière de logement, de la forêt et de la pêche ». Quand on connaît la sévérité de M. Nicolas SARKOZY dans le dossier iranien, c’est à se demander si son « on est ensemble ! » du 24 février 2010 à Libreville est encore à l’ordre du jour.
Loin de moi, l’idée de ternir le Gabon sur la scène internationale, j’alerte pour l’amour du Peuple Gabonais à nouveau (et du bas de mon « inexpérience ») pour dire que le Gabon est en train de prendre des chemins diplomatiques qui ne mènent nulle part du fait de l’égocentrisme politico-théologique de ses autorités actuelles. Et vous verrez demain la plupart reprendre cet avertissement sans me citer.
Mail l’essentiel est que le Gabon ne signe plus de « pacte avec le diable » qui engage les Gabonais. Si un jour, des « états voyous » ont la bombe nucléaire à cause du Gabon ou de certains réseaux nord-coréens voire chinois, il se trouvera bon nombre de gens et de spécialistes du Gabon à s’écrier : Comment est-ce possible ?
Nous ne savions pas ! Je me souviens encore de tous ces responsables politiques de premier plan au Gabon qui ne croyaient pas au coup d’état électoral et m’encourageaient à arrêter la grève de la faim. Les aînés reconnaîtront un jour que même les plus jeunes et les moins riches peuvent avoir de temps en temps raison. Wait and see !
Dans tous les cas, j’espère que l’UNION NATIONALE condamnera sans réserves les visites coréennes et iraniennes (même en catimini) au Gabon ! J’espère aussi que nous finirons par rompre avec la Chine libérale-communiste et que ce pays qui refuse de respecter les droits-humains n’exploitera jamais le fer de Belinga. Mais ce n’est que le simple point de vue d’un « activiste » comme disent certains.
Bruno Ben MOUBAMBA
Vice-Président de l’Union Nationale
SOS.SOS.
DETOURRNEMENT DES BOURSES DES ETUDIANTS GABONAIS DE CUBA
CUBA , avril 2010
Detourrnement des bourses des etudiants gabonais de cuba .
A l heure actuelle ou les autorites gabonaises parlent de GABON emergent les realitees sont tout autres sur le terrain. En effet depuis deja plus de 7 ans les etudiants gabonais de CUBA sont confrontes aux memes problemes le GABON n ayant pas de representation diplomatique dans ce pays le payement des bourses se fait par virrement bancaire. Pour la petite histoire il faut reconnaitre que depuis 7 annees succecives
le taux de reusite des etudiants gabonais a CUBA avoisine les 99% comment expilquer que les etats des bourses de tout les 28 etudiants se font aux meme moment et que seul 10 sur 28 recoivent leurs bourses c est le cas du dernier payement de decembre 2009 , le probleme se trouverait entre les bourses et stages , les finances et le tresor ou certains individus virent ces bourses dans leurs comptes personels et cela date de plus de 7 ans la bourse etant un
droit les
etudiants exigent que la lumiere soit
faite. Imaginez vous que certains etudiants et pourtant en situation reguliere n ont
pas percus plus de 2 trimestre de l an denier alorque nous sommes deja en 2010.« nous voulons que l on nous disent qui est notre payeur car nous savons que ce dernier est a l origine de nos problemes , prive un etudiant de sa bourse c est
un crime sachant que seul la bourse nous permet
de subvenir a nos besoin , la direction des afffaires americaines du ministere des affaires etrangeres du GABON ne fait plus signe de vie alors que nous savons que beneficiant tous d une bourse de cooperation l ambassadeur devrait etre notre intermediaire il est pourtant venu plusieurs fois a CUBA mais il n a jamais voulu reencontré les etudiants . cette fois nous interpelons les autorites gabonaises