Présidée Richard Auguste Onouviet, ministre gabonais de la Planification et de la Programmation du développement, la rencontre de Libreville qui s’est tenu à la veille du lancement des grands travaux d’infrastructures a été pour plusieurs, un ouf de soulagement, compte tenu des différentes réserves émises souvent par le principal bailleur de Fonds du projet (la Banque mondiale).
Pour le ministre Richard Auguste Onouviet, l’examen en détail des travaux d’intérêt public qui seront exécutés, appelle à une véritable prise de conscience des différentes entreprises adjudicataires et le sens patriotique de tous les intervenants qui gravitent autour du projet.
Aussi, il revient à la Commission interministérielle des TIPPEE de fixer les objectifs et d’orienter les activités, d’approuver le programme d’investissement public, d’adopter les projets de textes législatifs et réglementaires relatifs aux opérations TIPPEE, d’approuver les conventions de financements, de veiller à la coordination et à la régularité des dossiers et des informations à soumettre au gouvernement, une sorte de courroie de transmission entre l’exécutif et le secrétariat permanent.
Les ministères en charge des Travaux publics, de la Santé, des Affaires sociales, de l’Aménagement du territoire, de l’Education nationale, des Finances et de l’Intérieur avaient pris part aux travaux de cette commission.