A l’initiative du ministère gabonais des Affaires Etrangères et de la Francophonie, une conférence consacrée aux organisations non gouvernementales, notamment celles oeuvrant dans le relations internationales contemporaines, vient de réunir les responsables des ces structures qui jouent un rôle non négligeable dans la société alors qu’il n’existait jusque-là aucune collaboration avec les instances dirigeantes de l’Etat qui affichent désormais le désire de pouvoir canaliser les missions et les rôles des uns et des autres, en vue des résultats plus probants.
Entre autres points abordés au cours de ces échanges, les relations entre le gouvernement et les organisations non gouvernementales ont constitué le point d’appuie de Joséphine Patricia Ntyam Eya qui édifié les participants, tous membres des ONG, sur l’importance d’une franche collaboration entre une organisation non gouvernementale et le gouvernement, ce qui la rendrait plus compétitive, crédible et mieux protégée sur le plan national et international.
Pendant cette rencontre, l’Etat, représenté par le ministère des Affaires Etrangères, a tiré la sonnette d’alarme dans le but d’amener certaines ONG à respecter les closes des engagements qu’ils ont pris, même de manière tacite par rapport à leur action sur le terrain.