L’Agence française de développement (AFD) a octroyé mercredi à Libreville une somme de 130,2 millions de FCFA (198.550 euros) à trois ONG gabonaises qui oeuvrent dans l’environnement, rapporte un journaliste de l’AGP.
Ce financement destiné à renforcer le projet d’aménagement des petits permis forestiers gabonais (PAPPFG) lancé en 2007 va à l’endroit des ONG Mogheso du parc de la Lopez(58.550 euros), »Ibonga » du parc national de Loango sud (85000 euros) et »Edzengui » de la réserve de Minkebe (55000 euros).
L’AFD compte par cette initiative contribuer à la réduction du “désordre environnemental“ sur plus de 2 millions d’hectares livrés à une exploitation erratique, a indiqué le directeur régional de l’AFD, Eric Baulard.
Pour M. Baulard, ce financement permettra de faire progresser le niveau de connaissance sur les ressources forestières et instaurer des règles de gestion durable sur ces zones dans le domaine forestier, social et environnemental ».
Il a en outre souligné que l’un des objectifs de ce projet reste le maintien des opérateurs nationaux dans la filière bois, précisant que le coût de ce projet est de 15,2 millions d’euros et que la contribution de l’AFD est de 9,2 millions d’euros, laquelle se décompose en 8,2 millions d’euros sur prêt concessionnel et 1 million d’euros sur subvention.
»L’AFD va par ailleurs instruire pour le compte de l’Etat français, les projets mis en oeuvre dans le cadre de l’accord de conversion de la dette française en faveur du développement durable des écosystèmes forestiers gabonais, d’un montant global de 60 millions d’euros », a-t-il conclu.
Depuis 10 ans, l’AFD appuie la gestion durable des forêts du bassin du Congo, en particulier l’écosystème forestier du Gabon, à travers l’aménagement durable des forêts exploitées.
Sur les quelque 3,2 millions d’hectares de forêt sous aménagement durable, l’AFD appuyée par des financements du FFEM, a financé plus de 2,9 millions d’hectares, soit plus de 90 % pour un montant total de plus de 12 millions d’euros.
Depuis 2002, le Gabon a mis en place un réseau de 13 parcs nationaux, soit un peu plus de 10% de son territoire.
Les gabonais ont trop peur des personnes à peaux blanches!! Incapables de dire non à une injustice commise par ces personnes.
Pour ce qui est de ce projet, il est vraiment porteur. Cependant, il serait temps de redefinir la gestion des fonds alloués pour la réalisation des activités du peojet. Etant géré en meme temps par des experts gabonais et français, ces derniers continuent de se comporter comme à la coloniale, en créant l’inégalité entre les blancs et les noirs. Le conseillé du chef de projet, Philippe MORTIERa tendance à se substituer à la pace du chef du projet en prenant des initiaives à l’nsu de ce dernier, surtout pour ce qui est de la gestion des financements. Le gabonais affectés par le ministere des forêts au sein du projet sont tres mal payés.
Des renseignements sur la gestion du budget doivent etre menés en l’endroit de Mortier, surtout pour ce qui est de certains fournisseurs du Projet. En l’occurrence General Bureautique (GB), Gabon Meca et les autres. En cresant bien, on remarquerait que ce type recupere une ristourne aupres de ces entreprises, pour chaque commande d’articles faite.