Ouvert jeudi dernier, le séminaire de formation en éthique et déontologie en milieux scolaire et universitaire a été clos vendredi dernier à l’Ecole Normale Supérieure de Libreville par le directeur général dudit établissement, le Pr. Ambroise Edou Minko.
Le rapport général de ces assises qui a été rendu public et qui sera transmis aux autorités de tutelle dans les tous prochains jours, ne s‘est pas uniquement limité à une litanie de recommandations.
En effet, les trois ateliers mis en place, bien qu’ayant abordé la question selon les spécificités des différents cycles (pré primaire et primaire, secondaire et universitaire), comme de manière concertée, tout en se basant sur des cas pratiques et vécus, se sont attelés à analyser « les dérives en milieux scolaires », en distinguant séparément la nature, les causes et les conséquences de celles-ci.
Ainsi, se sont tous les acteurs, internes et externes, du système éducatif qui ont été appelés à assumer leurs responsabilités.
Avant la remise de diplômes aux participants, le Pr. Amboise Edou Minko, a félicité tous les séminaristes pour la richesse des contributions, qui seront remises aux autorités afin de renforcer les dispositions du code de déontologie.
En rappel, ce séminaire, parrainé par le président de l’Assemblée Nationale, Guy Nzouba Ndama, enseignant de carrière, qui avait d’ailleurs présidé la cérémonie d’ouverture, a été organisé avec le soutien de l’UNESCO et l’appui technique du Laboratoire de psychopédagogie (LAPPED), de l’initiatrice et hôte de la rencontre, l’Ecole Normale Supérieure de Libreville.