Le chef de l’Etat a reçu en audience le directeur pour l’Afrique de l’ouest et du centre du groupe Colas, Didier Calbry, le 12 août dernier au palais présidentiel de Libreville pour examiner les nouvelles solutions infrastructurelles proposées par la société pour fluidifier le trafic routier de la capitale gabonaise. La société spécialisée dans les grands travaux publics a notamment présenté au président Bongo Ondimba les aménagements susceptibles de pallier les insuffisances du réseau routier urbain de la capitale.
Libreville cherche des solutions aux problèmes de circulation qui constitue aujourd’hui un frein au développement cohérent de la ville. Spécialisée dans les travaux publics d’envergure, la société Colas a été sollicitée pour proposer des aménagements susceptibles de pallier les insuffisances du réseau routier et l’incohérence du plan d’urbanisation.
Le directeur de la société Colas pour les régions d’Afrique de l’ouest et du centre, Didier Calbry, a été reçu en audience par le chef de l’Etat le 12 août dernier au palais présidentiel pour aborder les solutions envisageables pour l’aménagement routier de la capitale gabonaise.
Monsieur CAlbry a fait part au président de la République des propositions relatives aux nouvelles stratégies que sa société propose pour juguler flux routier de manière à le rendre plus fluide. A cet effet, il a détaillé les différents ouvrages tels que les échangeurs ou les passages à niveau qui semblent convenir aux problèmes rencontrés à Libreville.
«Nous avons fait voir au chef de l’Etat, sur des images animées par écran d’ordinateur, des principes de passage supérieur ou d’échangeurs que nous serions susceptibles de construire» a expliqué le directeur pour l’Afrique de l’ouest et du centre de la société.
«Il appartient maintenant au chef de l’Etat et à son gouvernement de décider de l’endroit où seront implantés tous ces ouvrages» a conclu Didier Calbry au terme de l’audience.
Les modalités et la période d’exécution de ces grands travaux devraient faire l’objet de rencontres ultérieures entre les autorités de tutelle gabonaises et les responsables du groupe Colas.
Les embouteillages croissants qui paralysent la capitale dans nombre de ses quartiers constituent aujourd’hui un poids pour la croissance, étant donné le frein que cela représente pour les activités socio économiques des populations de Libreville. Certains quartiers centraux de la capitale nécessitent aujourd’hui de tels aménagements pour le développement harmonieux de la ville.