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Un enseignant de l’UOB soupçonné d’avoir assassiné une étudiante

Un enseignant du département de psychologie de l’université Omar Bongo, Jacques Alain Bitsi, est soupçonné d’avoir assassiné son étudiante de 24 ans, Lena Marcelle Mouketou Mouketou, à qui il faisait la cours, selon les parents de la victime rencontrés vendredi à l’UOB où ils organisent un sitting.

Les faits remontent au samedi 17 dernier à 19 h (heure locale) au quartier Louis, un quartier huppé de Libreville, où la victime a été invitée par son enseignant pour un entretien autour d’un café.

A 22h la famille reçoit un coup de fil anonyme qui leur informe du décès de leur fille dès suite d’un accident de circulation.

Selon les explications données à la famille par un anonyme au téléphone, une voiture non identifiée l’aurait percuté alors qu’elle marchait au bord d’une route déserte qui longe le bord de mer avec son enseignant.

La famille arrivée sur place n’aurait constaté aucun indice qui pouvait faire croire à un accident. Ni témoin, ni trace de sang mais plutôt une fille totalement méconnaissable avec une profonde blessure de plus 50 cm allant de la tête jusqu’à la clone vertébrale.

L’étudiante a également enregistré un autre dommage au ventre au point de se retrouver avec des intestins hors du corps et de perdre son sein gauche.

Pour les parents, cet accident est une simple manipulation qui laisse croire à un crime rituel mal orchestré, vu que la décédée avait donné à sa famille les détails de ce rendez-vous qui lui a été fatal.

Ce qui conforte la thèse défendue par la famille, c’est le fait que l’on est retrouvé le jeune Lena-Marcelle avec ses effets à l’endroit où le corps a été retrouvé. Elle estime que pour un accident les sandales de la jeune fille auraient au moins été éparpillées.

De plus, le portable de la jeune fille qui n’avait pas l’habitude d’être éteint s’est, comme par enchantement, retrouvé fermé juste après l’accident. Et c’est M. Bitsi qui fut le dernier à l’avoir appelé.

La veille de ce drame, la jeune dame avait déjà eu un entretien dont la teneur reste non révélée avec son enseignant.

A ce jour, le psychologue est entre les mains de la police judiciaire pour enquête et la famille se mobilise pour attirer l’attention des pouvoirs publics après une communication du rectorat de l’UOB qui met en avant la thèse que réfute la famille de la victime, celle de l’accident.

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