La 4ème édition de la « Grande Nuit de la musique », organisée par la Fondation Albertine Amissa Bongo et IrisCom international s’inscrit désormais comme une plate forme musicale internationale, mais également comme une tribune d’expression de la diversité culturelle.
Cet événement culturel qui a la particularité de réunir autour d’une même scène des artistes locaux, entre autres, Patience Dabany, Kaki Disco, Bertrand Epepe, Movaizhaleine, Baponga, ceux d’Afrique, à l’exemple de Fally Ipoupa, Lokua kanza, et ceux du monde à l’exemple des rappeurs Kerry James, Oxmo Pucino, du Guadeloupéen, Jacob Desvarieux, des américains, Fat Joe etc. reste un moment fort de l’union des peuple et de la présence ou de l’acception de la diversité culturelle.
Tel que scander sur scène, tous les artistes ont eu à un moment ou à un autre souhaiter une cohésion forte entre les peuples, même dans leur diversité. C’est en cela que les artistes à l’instar de l’Américain Fat Joe ont pu quelque fois dire des mots en langues locales: « M’bolani », malgré le maniement constant de la langue de Shakespeare sur scène.
C’est donc un foisonnement de culture qui se réunit autour d’un seul idéal, vanté la diversité culturelle en générale et la musique en particulier.
Pour Titi Dibeng, Coordonnatrice du comité d’organisation, cet événement à pour but de faire de Libreville, le carrefour des Arts et de la musique en particulier.