Lors de la présentation du Rapport portant sur le plan d’action du programme national de bonne gouvernance (PNBG) en atelier de validation mercredi, les experts par la voix du secrétaire exécutif du PNBG, Arsène Meye, ont tracé les repères susceptibles de conduire à la réussite dudit programme.
Selon Arsène Meye, il faut un programme transversal, multisectoriel et complexe. Aussi est-il nécessaire de mettre en exergue un leadership et un cadre institutionnel opérationnel.
De plus, la mise en œuvre exigeante de l’implication de l’État, du secteur privé et des partenaires au développement est plus qu’urgente aux affaires publiques.
De fait, toutes les parties sociales au premier rang desquelles l’Etat, doivent garantir la justice, lutter contre la corruption, assainir la gestion des finances et œuvrer pour la viabilité du fichier électoral.
Enfin, la volonté politique est un facteur stratégique et capital. Car, au-delà de l’adoption, il faut une appropriation du Programme national de bonne gouvernance par le gouvernement et la mise en œuvre de son plan d’actions, dès 2008.