spot_imgspot_img

Œuvres de développement communautaire d’Olam Gabon dans le Woleu-Ntem

Le-Pont-construit-par-Olam-sur-la-rivière-Nyé-465x190La société Olam Gabon, filiale de la multinationale Singapourienne, Olam International, a doté récemment les populations de l’axe Azombé-Bolossoville-Bitam d’un pont en bois érigé sur la rivière Nyé à Oyem chef lieu du département du Woleu dans la Province du Woleu-Ntel au nord du Gabon, rapporte la société Olam dans un communiqué parvenu mercredi à notre rédaction.

Long de 120 mètres et d’une valeur de 160 millions de FCFA l’ouvrage en bois a été entièrement réalisé par une équipe d’Olam Gabon, forte de vingt (20) personnes permanentes et soixante (60) autres, de manière ponctuelle. Ce, de janvier à août 2013. Les engins mis à contribution étaient un bulldozer, un chargeur à fourche, un chargeur godet, une pelleteuse, un Camoin benne et des grumiers pour acheminer les billes bois vers le chantier

Par ailleurs, en juin 2013, Olam Gabon a ouvert une ancienne route de 44 kilomètres, en collaboration avec l’entreprise RFM. Les travaux devraient s’achever en mars2014. Mais le cout actuel est de 150 millions de FCFA. La voie relie Essong Milan vers Azombe sur 12 kilomètres et Azombe vers Bolossoville, sur 32 kilomètres.

Le lundi 12 août dernier, cette voie et le pont ont été inaugurés par le Gouverneur de la province du Woleu-Ntem, Jean Gustave Meviane M’obiang, en présence du Préfet de Bitam, Pambou Yembi, celui d’Oyem, Boniface Foungues, celui de Minvoul, Michel Bari Malekou et Pascal Mathieu, Directeur du site Olam Rubber.

Rappelons qu’Olam International est un acteur de premier plan dans la gestion intégrée de la chaîne d’approvisionnement et de la transformation de produits agricoles et alimentaires. La société développe au Gabon une activité forestière à Makokou et 4 projets au Gabon en joint-venture avec la République Gabonaise : Plantation, production et transformation de palmier à huile, à Kango et à Mouila ; Plantation, production et transformation d’hévéa, à Bitam ; Zone Economique Spéciale du Gabon, à Nkok ; Fabrication d’engrais à base d’urée, Gabon Fertiliser Company, à Mandji.

Olam a déjà investi 236 milliards de FCFA au Gabon et emploie à ce jour 3 500 gabonais. Ses projets représentent un partenariat public-privé unique qui s’inscrit dans le cadre de la stratégie de l’Emergence du Gabon prônée par le Président Ali Bongo Ondimba.

Olam Gabon plus citoyenne que Marc Ona Essangui

« Le pont d’Olam ! C’est ça le développement qu’on nous apporte ? En 2013, l’émergence nous sert encore ce type de ponts des années 40? » Rapporte Marc Ona Essangui

Comme à l’accoutumé Marc Ona, le président de Brainforest, a une fois encore, raté une occasion de se taire, puisque récemment il a décidé de critiquer ouvertement le pont en bois qui a été livré le 12 aout 2013 et construit il y a peu par Olam Gabon sur la rivière Nyé, non loin d’Oyem, dans la Province du Woleu-Ntem au nord du Gabon.

Cette attitude qui confine à l’acharnement systématique et viscéral commence lamentablement à lever le masque de cet acteur de la société civile gabonaise, qui n’est acteur civil gabonais que de façade puisque ses prises de position considèrent de mois en moins les intérêts de populations gabonaises.

En effet, en dépit de ce que le nouveau pont en bois construit par Olam Gabon non loin d’Oyem dans le Woleu-Ntem, va entrer dans le patrimoine de l’Etat gabonais et servira les populations de la contrée. Marc Ona ne trouve pas mieux à dire que de critiquer les matériaux utilisés pour édifier ce pont.

Mais question. Connait-il plusieurs entreprises privées dans le monde qui se lancent ainsi dans la construction d’édifices publics et communautaires, qui plus restent appartenir à l’Etat et non à l’entreprise privée ? Car là est l’acte citoyen et de générosité d’Olam Gabon.

D’où qu’il n’y a que ceux qui ne voient, ni ne servent les intérêts du Gabon pour critiquer l’œuvre d’Olam Gabon.

Ce qui démontre à ceux qui en doutaient encore que Marc Ona est à la solde d’intérêts étrangers autres évidemment que ceux de la firme Singapourienne représentée au Gabon. Et ça suffit à aveugler le prix Goldman qui n’arrive pas à voir ce qui est bien et profitable aux populations du Gabon.

En réalité, ce comportement antipatriotique de Marc Ona s’expliquerait par le fait que ce n’est pas le Gabon et les gabonais qui le nourrissent lui et sa famille, mais c’est plutôt des organismes internationaux, qui lui dictent les cibles de ses coup de gueule, telles les marionnettistes et leurs marionnettes.

Bref, Marc Ona reçoit directement ses consignes où ses retours d’information d’une ville lointaine qui le paye.

S’agissant du pont, il aurait peut-être voulu qu’Olam Gabon, une société privée, l’eut construit en béton comme le ferait l’Etat. Mais sait-il seulement l’implication du financement et de la construction d’un pont en béton par une entreprise privée, en termes de péage imposé aux populations ?

Car Marc Ona démontre bien là, qu’il critique sans probité intellectuelle ou morale, ni connaissances des contours et implications de ce qu’il veut critiquer. A ce propos, on ne se souvient pas qu’au Gabon, un kilomètre de route ou un mètre de pont a été financé et construit par Brainforest ou les gens pour qui travaille le prix Goldman.

Ils n’ont donc pas de leçons à donner à Olam Gabon, ni en termes de construction d’édifice public, et encore moins du point de vue d’actes de générosité ou d’actes citoyens. Pour le dire simplement Olam Gabon bat les gens de Marc Ona de plusieurs réalisations communautaires et publiques à zéro.

Au demeurant, Marc Ona semble clairement mener le combat de la rivalité entre pays développés que symbolise Londres capitale anglaise et les pays émergents dont Singapour d’où est originaire Olam international.

Ce qui veut dire que lorsque le prix Goldman critique les œuvres d’Olam Gabon, ce n’est point dans l’intérêt du Gabon mais plutôt pour jouer un rôle de rempart contre l’action au Gabon des pays émergents qui concurrencent de plus en plus fortement l’emprise des pays développés sur l’échiquier économique mondial et donc dans le commerce mondial. A l’instar du phénomène chinois dans l’économie mondiale.

L’attitude de Marc Ona vient conforter la thèse de ce jeune Gabonais : « le Gabon marquera un grand pas, lorsqu’on arrêtera de critiquer le travail d’autrui sans être capable de proposer ou faire mieux que lui. C’est l’une de plus grandes tares que traîne une bonne partie de la population gabonaise. Autrement dit, on reste attentiste jusqu’à ce qu’autrui se démarque pour qu’on s’arrange à détruire son œuvre. La méchanceté gratuite a investi le Gabon, je m’en inquiète ».

Exprimez-vous!

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

spot_imgspot_img

Articles apparentés

spot_imgspot_img

Suivez-nous!

1,877FansJ'aime
133SuiveursSuivre
558AbonnésS'abonner

RÉCENTS ARTICLES