Tel est le souhait exprimé par les partis politiques réunis au sein de l’Union des forces pour l’alternance (UFA).
L’UNION des forces pour l’alternance (UFA), par la voix de son président en exercice, Benoît Joseph Mouity Nzamba, qui est en même temps président du Parti gabonais du progrès (PGP, oppositon), a animé, hier, une conférence de presse au siège du Congrès pour la démocratie et la justice (CDJ), sis à Petit-Paris.
D’entrée de jeu, le leader du PGP a demandé l’observation d’une minute de silence en la mémoire de la victime des événements du 20 décembre 2014 à Rio et de celles de Charlie Hebdo, le 7 janvier dernier à Paris. Puis, il a rappelé que l’année écoulée a été marquée par des actions de son groupement politique appelant à un dialogue inclusif : » Le pays va très mal dans tous les domaines. Il est donc urgent que les Gabonaises et les Gabonais se parlent. Qu’ils engagent un dialogue inclusif et sans tabou pour discuter de tout ce qui peut faire avancer la démocratie, garantir la paix et la stabilité afin de permettre un développement harmonieux et équilibré de notre pays. »