Après la province du Woleu-Ntem, la Direction Générale de la Documentation et de l’Immigration (DGDI) a initié le 12 avril dernier à Libreville, en collaboration avec la Police de l’air et des frontières (PAF), une opération de contrôle des entreprises qui a permis d’appréhender 81 employés clandestins dont 56 ont été rapatriés le même jour.
81 travailleurs étrangers en situations irrégulières ont été épinglés le 12 avril dernier à Libreville par la Direction Générale de la Documentation et de l’Immigration. Avec le soutien de la police de l’air et des frontières (PAF), les agents de la DGDI ont procédé au contrôle de plusieurs types d’entreprises réputées pour employer des travailleurs clandestins, notamment les stations service, les établissements des ressortissants Libanais, les garages ou encore les diverses commerces des ressortissants Ouest africains.
L’opération initiée par le directeur de la DGDI, Michel Andjambé, a permis d’épingler 81 étrangers travaillants clandestinement dans la capitale gabonaise, dont 56 ont été rapatriés le même jour à bord d’un navire battant pavillon ghanéen. 13 autres sont encore en garde à vue dans l’attente de leur rapatriement par voie terrestre tandis que les 12 derniers, qui possédaient pour la plupart des cartes de séjour périmées, ont été mis en demeure de régulariser leur situation.
Par ces opérations, la DGDI entend responsabiliser les entreprises sur les lois en vigueur en matière d’immigration pour les inciter à régulariser la situation de leurs employés. Il s’agit également de décourager les employeurs sur le recrutement des travailleurs clandestins qui entraîne des violations des droits des travailleurs et va à l’encontre de la politique nationale de lutte contre le chômage et la précarité.
La DGDI a mis en garde les entreprises sujettes à ce genre de pratique en rappelant qu’elles s’exposent à des amendes et au rapatriement direct des employés irréguliers. Initiée une première fois dans la province du Woleu-Ntem, en novembre 2007, ce genre d’opération avait permis l’arrestation à Oyem d’une dizaine de clandestins qui s’apprêtaient à rallier Libreville.
c’est un bon début si cette initiative se perpétue.Le gabon n’est pas vendu seulement par la vente des ressources du pays mais aussi par le fait u’il n’y apas un controle mais surtout une répréssion quand aux étrangers en situation irrégulire.Le gabon est envahit certains quartiers ne nous appartiennent plus je n’en dirais pas plus parce que je ne suis pas sûr de la confidentialité du site aujourd’hui ceux là qui hier étaient dans l’opposition ont retournés leur veste nous n’avons pas encore de véritables leaders ceux là qui pensent aux pays ne pensent pas à leur famille,à leurs enfants, à leur bien etre mais d’abord à ceux des autres.Quelqu’un pourra t il véritablement GABON D’ABORD?