A l’occasion d’une conférence de presse donnée le 16 avril dernier au siège de l’Union du Peuple Gabonais (UPG), le principal parti de l’opposition, au quartier Awendjé, à Libreville, le président du parti, Pierre Mamboundou, a déclaré être prêt à prendre part au prochain gouvernement d’ouverture.
Le président de l’Union du Peuple Gabonais (UPG), l’un des principaux partis politiques de l’opposition radicale vient de briser le signe indien en annonçant sa probable entrée au prochain gouvernement. Le leader de l’UPG s’est prononcé sur cette question au cours d’une conférence de presse le 16 avril sur l’évolution des positions du parti et la teneur du dialogue politique entretenu avec le régime en place.
Répondant aux interrogations des membres et sympathisants de l’UPG sur l’évolution des positions du parti par rapport au pouvoir en place, Pierre Mamboundou, a déclaré qu’il pourrait accepter d’entrer dans le prochain gouvernement.
Le leader de l’UPG a expliqué que lors de la composition de l’actuel cabinet du premier ministre Jean Eyeghe Ndong, en décembre 2007, le pouvoir en place l’avait invité à intégrer le gouvernement d’ouverture à l’opposition sans exclusive, invitation qu’il avait à l’époque décliné.
«J’ai décliné l’offre d’entrer au gouvernement parce que nous (UPG) ne pouvons pas collaborer avec le PDG (Parti Démocratique Gabonais, au pouvoir) sans conditions. Nous aussi avons un programme de société et des idées claires à faire valoir pour le pays» a déclaré le président du principal parti de l’opposition gabonaise.
«C’est un programme de société auquel ont adhéré un nombre important de gabonais (…) au cours des deux dernières élections présidentielles où l’UPG était classée deuxième dans les résultats officiels».
Tout en acceptant le principe d’entrer au gouvernement, Pierre Mamboundou a soutenu que ses convictions d’opposant engagé sur le terrain demeuraient inchangées. «On ne peut pas aller au gouvernement pieds et points liés, sinon ce serait aller à la soupe, comme beaucoup l’ont fait !», a ajouté le président de l’UPG.
L’UPG se dessine de bonnes dispositions à l’égard de la politique d’ouverture du régime en place et se tient prudemment disposée à approfondir les discussions en vue de s’accorder sur son éventuelle participation à un gouvernement sous le règne de l’actuel chef de l’Etat.
Pour rappel, Pierre Mamboundou avait recueilli 16,54% des suffrages lors des présidentielles de 1998 et 13,57% à celles de 2005, arrivant à chaque fois en deuxième position derrière le président Bongo Ondimba, réélu tour à tour avec plus de 66% en 1998 et 79,21% en 2005.
Le 19 avril 2006, après vingt ans de «radicalisme» avec un refus de dialoguer directement avec le pouvoir, le leader de l’UPG s’est résolu à aller rencontrer le président de la République gabonaise au palais présidentiel pour la première fois, afin de désamorcer la tension sociale et politique née de la contestation par lui et ses partisans des résultats officiels de l’élection présidentielle de novembre 2005.
chers frères combien de fois doit on vous dire que Mamboundou peut gesticuler comme il sait le faire, il n’est qu’un théoricien raté et un bouffeur comme tous les autres. cessons de penser á ces hommes car ils n’ont rien prévu pour nous sinon la pauvreté. le moment est venu de nous interesser á developper chacun une activité qui le rendrait independant des politiques. car s’ils continuent de nous avoir c’est parce que l’on accepte de dependre d’eux. le gabonais est un homme intelligent, il n’a pas besoin d’un Mamboundou ou Bongo ou Mayila pour le savoir.
à cahacun son talent et le Gabon se portera mieux
C’est le destin des pseudo leaders gabonais. Des étudiants aux syndicalistes,en passant par les ONG,les hommes d’église,les intellectuels et les opposants;il faut prendre sa part avant d’être trop tard! Vive le royaume bongoiste!
Le Gabon est béni par Dieu et maudit par le régime Bongo. Le peuple gabonais doit laver cette malédiction. Hasta la victoria siempre.
Guerriero
A MON AVIS JE PENSE QUE LE TEMPS N’EST PAS FAVORABLE A PIERRE MAMBOUNDOU D’ENTRER AU GOUVERNEMENT DE L’AUTRE.IL DOIT PATIENTER 2012,NOUS NE SOMMES PLUS LOIN.VOYONS ENSEMBLE TOUT LE BRUIT QUI SE FAIT AUTOUR DES 11 MILLIARDS DESTINES A LA CONSTRUCTION DE NDENDE ET S’IL SE PERMET D’ENTRER IMAGINONS QUE SON BILAN SOIT NEGATIF AU BOUT DES ANNEES QU’IL AURA A PASSE DANS LE GOUVERNEMENT DES ACTES OU DE MISSIONS(UN JEU DE MOTS FAIT LES PDGISTES POUR NOUS FAIRE REVER UN GABON MEILLEUR QUI N’EXISTE QUE DANS LA PENSEE)0U QU’IL SOIT VALCE APRES QUELQUES HEURES,JOURS,MOIS…MOI JE SAIS QUE CES PDGISTES SONT CAPABLES DE TOUT.DITES LUI DE S’ABSETENIR PARDON;CAR LA PATIENCE QUI EST UN FRUIT DE L’ESPRIT PAYE.J’AI CETTE ASSURANCE QU’EN 2012 IL SERA ELU PRESIDENT DE LA REPUBLIQUE CAR IL DEMEURE L’ESPOIR DE TOUT LE PEUPLE GABONAIS ET L’HOMME CAPABLE DE RELEVER, REDRESSER,CORRIGER TOUTES CES ERREURS…