Le surcharge, les portières ouvertes, les vieux pneus, et même l’état calamiteux des routes de la capitales gabonaise et celles de ses environs, ainsi que les nombreux accidents de circulation qui ont eu lieu ces derniers temps, additionnés au non respect du code de la route et à la vétusté des véhicules servant de transport en commun, inquiètent désormais les usagers de ces transports urbains qui craignent pour leur vie, au regard du dangers constant qu’ils bravent à longueur de journée, a constaté GABONEWS.
S’il y a des phénomènes qui sont à décrier, l’un d’eux est précisément celui du rallongement du nombre de places dans le véhicule. En effet, en terme de surcharge, les berlines de 5 places portent souvent 7 personnes, tandis que les bus de 12 places ont souvent une rangée de plus ajoutée par le bon vouloir du propriétaire qui, à tout le moins, voudrait gagner énormément au détriment de la sécurité et du confort des passagers.
Pour la Société gabonaise de transport (SOGATRA), seule société de transport urbain que compte la capitale gabonaise (SOGATRA), la surcharge dans ces bus de 30 places est à couper le souffle. On y retrouve le plus souvent entre 80 et 90 passagers au lieu des 30 susmentionnés.