Le Directeur général de la Bourse des valeurs mobilières d’Afrique centrale (BVMAC), Yvon Psimhis, a été limogé le 14 juillet dernier par le Conseil d’administration en raison du bilan négatif tiré de son exercice à la tête de la bourse régionale. Depuis le lancement des activités de la bourse en 2007 avec l’emprunt obligataire de l’Etat gabonais de 100 milliards de FCFA, la BVMAC n’a pas réussi à drainer suffisamment d’opérateurs économiques sur le marché primaire.
Réunis en Conseil d’administration le 14 juillet dernier, les responsables de la jeune Bourse des valeurs mobilières d’Afrique centrale (BVMAC) ont limogé le directeur général, le centrafricain Yvon Psimhis, haut cadre recruté courant avril 2007 sur la place de Paris pour lancer les activités de la bourse sous-régionale.
Très discret, monsieur Psimhis a été destitué de ses fonctions pour l’insuffisance des résultats au terme du bilan tiré par les administrateurs de l’organe boursier sous-régional. En attendant le recrutement d’un nouveau directeur, Willy Ontsia, un haut cadre de la BVMAC a été désigné pour assurer l’intérim.
Les campagnes de sensibilisation et de promotion de la culture boursière initiées dans la sous-région n’auront pas suffit à drainer dans les délais escomptés les opérateurs économiques de la sous-région sur le marché secondaire et celui de la négociation des valeurs mobilières émises sur le marché primaire.
Les promesses de participation des entreprises de la sous-région au capital de la BVMAC se situeraient déjà entre 60 et 70%.
Monsieur Psimhis était le deuxième Directeur général porté à la tête de la BVMAC pour relever le défi boursier de la sous-région, et limogé pour l’insuffisance de ses résultats. Sa compatriote Marlyn Mouliom-Roosalem, première directrice de cette bourse, avait été licenciée pour les mêmes motifs, son intérim avait alors été assuré par Christian Bongo Ondimba, patron de la Banque gabonaise de développement (BGD).
Créée en 2003, la BVMAC n’a véritablement démarré ses opérations qu’en 2007, grâce à un emprunt obligataire de l’Etat gabonais d’un montant de 100 milliards de FCFA.
Pour sensibiliser les opérateurs économiques et les partenaires potentiels de la sous-région à la culture boursière, les responsables de la BVMAC avaient initié des campagnes d’informations et de formations auprès des institutions, des médias et des partenaires sociaux.
La BVMAC, dont le siège est à Libreville, regroupe la Centrafrique, le Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale et le Tchad. Le Cameroun, autre membre de la CEMAC, ne s’est pas encore véritablement impliqué dans cette bourse, il dispose de son propre organe boursier à Douala, la capitale économique.
Je suis contre la bourse de douala,en afrique centrale nous avons un diable qui nous fait reculé en arriére, c’est des querelles sans sens ,on arrive pas à faire comme les autres c’est à dire main dans la main pour aller de l’avant ,combient de temps nos dirigeant avais évoquer l’histoire des passport cemac ,c’est maintenant que l’on s’élève pour ça.aujourd’hui que nous voulons cessez de se tourner vers les bailleurs de fond étranger,le cameroun qui semblait mieux faire dans l’espace cemac est le prémier à déconner.
maintenant c’est decevant pour mes chers fréres de l’afrique centrale.nous devions faire attention a nos compatriotes centrafricain ,ils présentent l’aspect calme mais beaucoup dangereux ,prenez l’exemple de notre frére si je ne me trompte pas ,directeur général de la bdeac de l’epoque (bref),je suis encore doctorante à l’université cepromad de kinshasha avec un dess en compta audit et contrôle de gestion merci et à bientôt.
Je suis contre la bourse de douala,en afrique centrale nous avons un diable qui nous fait reculé en arriére, c’est des querelles sans sens ,on arrive pas à faire comme les autres c’est à dire main dans la main pour aller de l’avant ,combient de temps nos dirigeant avais évoquer l’histoire des passport cemac ,c’est maintenant que l’on s’élève pour ça.aujourd’hui que nous voulons cessez de se tourner vers les bailleurs de fond étranger,le cameroun qui semblait mieux faire dans l’espace cemac est le prémier à déconner.
maintenant c’est decevant pour mes cher frére de l’afrique centrale.nous devions faire attention a nos compatriote centrafricain ,il présente l’aspect calme mais beaucoup dangereux ,prenez l’exemple de notre frére si je ne me trompte pas directeur général de la bdeac de l’epoque (bref),je suis encore doctorante à l’université cepromad de kinshasha avec un dess en compta audit et contrôle de gestion merci et à bientôt.