Conjointement organisés par le ministère de la Fonction publique et de la Modernisation de l’Etat et celui de la Communication, des Postes, des télécommunications et des Nouvelles technologies de l’Information, deux concours d’entrée aux écoles de formation et de perfectionnement aux métiers de la communication regroupent, dans les locaux de l’Ecole normale supérieure d’enseignement technique (ENSET) de Libreville, plus de 150 postulants.
Selon Rémy Mba Mbo, directeur de la formation et de la planification des ressources humaines du ministère de la Communication, malgré un léger retard dans le démarrage, les épreuves des deux concours (un pour les internes et l’autre pour les externes) se déroulent dans une bonne ambiance.
Sur plus de 150 dossiers de candidature qui ont été retenus, seules deux absences ont été signalées, a-t-il confié aux médias.
En dépit du nombre important de candidats, seuls 38 seront retenus, soit 6 journalistes, 10 techniciens artistiques (production) et 22 pour techniciens en maintenance des équipements et des émetteurs. Toutefois, selon certaines indiscrétions ce nombre pourrait être revu à la hausse compte tenu des certaines circonstances.
Selon les explications de M. Mba Mbo et de sa collègue Micheline Mbezele Assoumou, conseiller chargé de la Formation au ministère de la Communication, les candidats admis iront suivre leur formations respectives, selon les spécialités et le nombre de place mis à disposition par les établissements d’accueil dans le cadre des accords de coopération, au Maroc, au Burkina-Faso, au Cameroun et au Sénégal.
Sauf les candidats internes de catégories B et C qui concourent en vue d’un éventuel reclassement, seront envoyés au Centre de formation et perfectionnement Basile Ondimba basée à Oloumi, ont-ils tenu à préciser.
Pour ce qui est des épreuves, elles varient en fonction du niveau et de la spécialité, ont-ils ajouté.
Soulignons que le 23 juillet dernier, trente-quatre autres candidats planchaient sur les épreuves du concours d’entrée au Centre d’études des sciences et techniques de l’information (CESTI) de Dakar.