Selon, l’écrivaine Nadia Origo, ce premier roman s’inscrit dans la lignée d’une nouvelle génération d’homme et de femmes engagés dans le développement durable de l’Afrique.
« C’est donc une interpellation que je veuille faire à l’endroit des citoyens gabonais, mais aussi aux autorités politiques en vue de préserver le patrimoine écologique. C’est pourquoi dans ce roman je parle de l’exploitation harmonieuse de la forêt. Car on doit avoir à l’idée que la forêt doit servir aux générations actuelles, mais aussi à celles futures », a confié Nadia Origo.