Le 1er juillet dernier, les deux ténors du barreau de Libreville dépêchés par Omar Bongo en Gironde avaient multiplié lors de l’audience les propos à l’emporte-pièce. Ces mots haut en couleur n’ont pas pour autant tiré d’affaire le chef d’Etat gabonais.
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Bongo va payer cette somme, alors que les sommes détournées par ELF ne sont pas remboursables. Mais au Gabon nous avons Bongo et Bongo est un singe.