La ministre de la Communication, des postes, des télécommunications et des nouvelles technologies de l’information, Laure Olga Gondjout, s’est rendue le 21 janvier au siège de la Radio télévision gabonaise chaîne 2 (RTG2) pour évaluer le fonctionnement et les besoins de ce média. L’état des lieux des locaux de la chaîne a révélé de nombreuses difficultés techniques et infrastructurelles mais également des lacunes législatives, concernant notamment la protection des émissions diffusées.
La ministre Laure Olga Gondjout, était le 21 janvier à la RTG2 où elle a procédé un état des lieux de cette chaîne située dans l’enceinte du Palais présidentiel à Libreville.
Le directeur général de la RTG2, Florence Mbani, a guidé la visite du ministre à travers les locaux de la chaîne, et exposé au chef de la tutelle les difficultés techniques auxquels les agents sont confrontés.
«Le matériel roulant est inexistant. Les journalistes, les techniciens et autres personnels empruntent les taxis de ville pour la réalisation des reportages et les autres activités», a déclaré le directeur général de la chaîne.
«Le bâtiment qui abrite les services de la RTG2 est dans un état de vétusté avancé, les régies radio et le plateau de télévision sont souvent inondés, les équipements audiovisuels n’obéissent plus aux normes d’utilisation», a poursuivi madame Mbani.
«Sur le plan des ressources humaines, la RTG2 souffre également du laxisme d’une catégorie du personnel se croyant au dessus des règles administratives, eu égard aux relations que ces derniers entretiendraient avec les autorités de la place», a dénoncé la responsable de ce média.
Au regard de ces difficultés auxquelles font face les agents de la RTG2, le ministre de la Communication a préféré ne pas vouloir «faire de promesses. Je ne voudrais pas prendre d’engagements ici, mais je puis vous dire que nous avons déjà commencé à réfléchir à vos problèmes. Le haut commissaire ici présent avec le secrétaire général, vont travailler à un projet qui pourra nous aider à donner une autre physionomie à cette chaine de radio et télévision».
«Quand on voit les conditions dans lesquelles vous exercez, il faut avoir une dose de courage élevée. Vous travaillez dans la chaleur, dans des bâtiments qui ne sont pas sécurisés avec des inondations qui présentent des risques d’électrocution», a reconnu la ministre.
Le ministre de la Communication a enfin exhorté «ceux qui sont propriétaires d’émissions (…) à protéger le label de vos émissions. Vous allez à l’OMPI enregistrer le nom de vos émissions pour que vous en soyez les vrais propriétaires. Que vous puissiez professionnaliser la production de vos émissions».
Alors que la RTG1 a été dotée l’année dernière d’un édifice flambant neuf équipé du matériel audiovisuel répondant aux normes internationales, le ministre de la Communication entend étudier avec les membres de son cabinet, les moyens de réhabiliter les locaux de la RTG2 afin de permettre aux agents de cette chaîne d’opérer le saut qualitatif tant attendu dans les médias publics gabonais.
Madame la cour constitutionnelle.
Tu sais tu es une mère de famille il faux savoir faire la part de chose il ne faux pas faire que tu privilégie un enfant et puni les autres lorsqu’ils sont raisons. bref.
Allons dans le vif du sujet.
Tu sais que Ali Ben bongo n’a pas gagné alors évitez énerver les gabonais car nous savons tous qu’Ali Ben bongo n’a pas gagné mais tu veux privilégié ali ben parce qu’il est le fils du feu président bongo ou parce que tu veux tes intérêts personnel pour que les gabonais continue a souffrir, tu sais madame la présidente de la cour tu as fais des enfants avec le feu président BONGO c’est lui qui te soutenais et qui te protégeais aujourd’hui personne ne peux te soutenir car les gabonais nous sommes décide la personne qui fais l’erreur ou qui a mal chance ont lui fait la peau alors madame la président rendre la victoire ont opposants car nous la populations nous avons vote les opposant et non le PDG.
Comment pouvons t-on imaginer que une telle personne commence a siffler sur les grande personne du pays voir les pères des familles et vous voulez nous imposer un telle président jusqu’à gifler sur sois disant sa propre mère. Les gents comme Asséle sont des rigolo il n’a pas honte c’est même le petit qui l’a sorti du gouvernement.
Car ont sais que la famille Bongo est venu vous voire chez vous en vous disant de dire la vérité mais si vous Tricher Madame la président sans pourtant vous mentir ont vous fera la peau et nous les gabonais ont tuera sans faute et sans crainte alors rendez la victoire au peuple gabonais. ne suivez les autres pays nous; Jeunes, Femmes, Hommes et enfants ont vous feras la peau et ont vous tuera vous et votre famille y compris Ali ben bongo.
Je suis un Agent de Force de l’Ordre et j’appartient a un corps.
Je ne suis politicien mais j’observe ne nous suivez car ont ne veux pas de lui même si ils nous donne de l’argent ou voir les galons nous allons l’éliminer.
Merci c’est tout
Vive le gabon vive la mort Ali ben bongo
Commencer déjà a prépare sont cercueil. Car ont attend le jours – J
Fait à Libreville, le 11/10/2009