Le BDP-Gabon Nouveau vient d’apprendre la rumeur qu’Edith Bongo Ondimba, fille du président Denis Sassou Nguesso du Congo (Brazzaville) et épouse du chef d’état gabonais Omar Bongo Ondimba, serait décédée ou tombée dans un coma profond ce 7 février 2009 au Maroc.
Edith Bongo n’avait plus été vue au Gabon depuis un certain nombre d’années et des rumeurs persistantes faisaient état d’une maladie incurable (SIDA ou autre) qui la maintenait dans l’agonie la plus totale et dans le besoin d’attention. D’autres rumeurs la disaient atteinte de maladie mentale. Le régime Bongo a fait de la situation d’Edith Bongo un vrai secret d’état depuis que la première Dame a été atteinte de son affliction. De France où elle se faisait soigner, elle avait été secrètement amenée au Maroc où elle serait finalement décédée ou tombée dans un coma profond ce jour. La famille Bongo tout entière s’était récemment rendue au Maroc pour, probablement, être au chevêt d’Edith Bongo dans ce qui serait ses derniers moments si la rumeur se confirme.
Sassou Nguesso, son père, se serait lui aussi rendu récemment au Maroc, probablement pour la même raison.
Nous soulignons que cette nouvelle reste du domaine de la rumeur (ou presque). Nous reviendrons avec plus d’information dès que nous en avons.
A madame Magnogni,
Vous faites une très belle lecture de la situation de notre pays. C’est pourquoi je n’ai pas grand chose à dire. Cependant, il faut continuer à espérer qu’un jour notre pays sera cité comme Etat émergent au même titre que l’Afrique du sud, par exemple. L’espoir doit etre éternel dans nos esprits et nos coeurs.
Pour ce qui est des partis politiques et des associations ou syndicats. Il faut savoir que ce sont les partis politiques qui changent un Etat et non les associations. Les partis politiques aspirent à présider et à gouverner donc à prendre le pouvoir; or les associations font dans du lobbying, c’est-à-dire influence le pouvoir. Les Gabonais doivent militer dans les partis politiques, s’intéresser à la vie politique et se lever massivement pour voter le jour venu. Il faut qu’ils soient des observateurs actifs de la vie politique de leur Etat. Vous êtes d’accord avec moi lorsque je pense que nous ne sommes pas nombreux à aller aux urnes. Certains disent que c’est parce que nous avons trop de problemes élémentaires. Je ne partage pas cette thèse. Nous devons nous efforcer à exercer notre droit civique peu importe que nous soyons modestes ou pauvres socialement.
J’ai encore une question à vous poser: vous parlez de créer un parti politique. Pensez vous que le besoin se faire sentir? Quel message allez vous proposer aux Gabonais? Quel sera votre positionnement? Je crois qu’il faut adhérer dans les partis qui sont bien établis sur le territoire national. Le changement peut venir de partout. Aussi bien de la majorité que de l’opposition. Personne n’a le monopole du changement, mais il y a des gens qui sont mal placés pour en parler. Le changement se fait resentir dans le comportement et dans les actes qu’on pose. Lorsque le président Sarkozy était ministre de l’Intérieur, il occupait et l’espace médiatique et le terrain. On savait tous qu’il avait assez de la tradition et des anciennes habitudes. Il en est de meme du président Obama lorsque étant sénateur il s’était opposé en 2002 à la guerre en Irak.
Je tiens à vous remercier pour cet échange vivant et enrichissant.
Cordialement.
A stratégie,
j’ai bien compris tout ce que vous me dites au sujet de la responsabilité de ceux qui ont les commandes du pays sur la situation du gabon. mais je continue à vous dire que cela fait des années que ces autorités ne font rien et comparativement au gabon d’avant, j’ai l’impression que l’on s’enfonce de plus en plus. Les gens sont malheureux alors et on en a plus qu’assez de la situation actuelle! Devrions nous toujours compter sur eux, sur leur prise de conscience et je ne sais pas de quelle maniére elle viendrait. Ces gens-là ont démontré de leur incapacité à pouvoir résoudre les difficultés des gabonais afin de répondre à leurs attentes, dévrions-nous toujours attendre quelque chose d’eux? Le changement ne viendra que de la base, de ceux qui souffrent et non de la haut. Ceux-là ont tout intérêt à maintenir cette situation. Ce pourquoi j’invite tous les gabonais à prendre conscience et d’apporter chacun une contribution afin de nourrir ce changement. et cela, nous le pouvons, il suffit de le vouloir. Je reviens toujours sur le contexte electoral, c’est tout de même nous qui votons pour ces gens et qui maintenons ce système. Depuis 1990, nous aurions pu changer les choses, mais l’on a vu ceux qui étaient de « l’opposition » retourner leur veste et réjoindre le gouvernement, cependant nous avons compté sur eux, parce que l’on se disait que c’était plus facile de changer les choses une fois à l’intérieur qu’en restant à l’extérieur! Que sont ils devenus aujourd’hui, je ne veux pas citer les noms et je suis sûre que vous et moi les connaissons tous. D’autres ont suivi et l’on en finit pas. Je suis comme vous, je ne veux pas de la guerre, j’ai vu tout ce qu’elle a occasionné chez les pays voisins. Ce pourquoi,je reviens toujours sur les élections,la seule issue possible pour changer les choses. Mais curieusement, nous savons tout ce qui se passe dans ces moments-là. Même dans les villages! Cependant, il y a eu quelque exception, cela veut dire que nous pouvons, mais les gens préfèrent voter pour ceux qui leur ramènent des cuisses de dindons et disparaissent une fois les élections gagnées.
Vous parlez de la France, j’y vis malheureusement, et quelque part je participe, c’est par les urnes que SarKozy a été élu, aux USA, c’est le peuple qui s’est exprimé. Nous vivons en attente d’un changement, alors que c’est nous qui devrions travailler pour le permettre, tous ensemble, comme vous le dites, mais sommes-nous ensemble et voulons nous tous ce changement? Oui, c’est vrai que nous restons tous en l’attente de quelque chose, j’entends dire ici et là, comme ceux qui attendent des postes depuis kalakala, et nous parlons des mêmes choses parce que nous avons toujours les mêmes attentes, d’accord avec vous. Mais qui attendons-nous? Que attendons-nous? Les mêmes qui braillent et qui un bon matin se contentent de pécadilles, en réalité, ils ne braillent que pour leur ventre, une fois remplie, l’on entend plus rien. les mêmes qui crient mais qui au moment opportun reste sans voix, on ne peut pas baillonner tout un peuple pendant longtemps et pendant tout le temps? C’est vrai que nous avons tous peur, peur de la prison, peur de la mort, peur de perdre nos priviléges et peur de quoi sais-je encore. De l’autre côté on veut le changement, mais le changement ne peut pas venir seul, on ne fait pas d’ommellettes sans casser les oeufs. il n ya pas d’exemple de révolution réussie sans sacrifice, si la France, les Etats unis et d’autres en sont là aujourd’hui, ils ont râmés et ce n’est pas venu tout seul. Bien sûr qu’ensemble, nous y arriverons, mais avec ensemble, on peut mettre paris en bouteille.
Oui, je suis une militante, et je milite pour le changement, je ne fais pas parti d’un parti politique ou d’une opposition quelconque, où sont-ils les opposants? Faudrait-il que j’en crée un parti, un jour, pour montrer que j’ai des convictions, mais Wanny Ambourouet s’est embourbée avec le sien et j’ignore où est ce qu’elle en est à présent! C’est par les associations que je participe et si vous avez des propostions à me faire je suis partante.
Tu parles de CDD, (allez on va dire « tu » pour que ce soit plus facile), et je sais ce que cela veut dire, en dehors des CDD, il ya ceux qui sont dans pires situations, ceux qui n’ont pas de boulot et ont des compétences. La plupart de postes sont confisqués et d’autres gélés en attendant qu’un des leurs termine ses études. D’autres sont occupés par des gens intelligents qui ne font pas leur travail, et puis il y a les cancres etc. Alors d’où viendras ce changement si ce n’est de toi ou de moi, façon de parler car je ne sais même pas qui tu es de l’autre côté de cet ordinateur, toi non plus d’ailleurs.
Les personnes à mobilité réduite, nous en avons certainement tous dans nos familles, mais c’est déjà difficile pour ceux qui ont des jambes et des bras, qui peuvent courrir et pire pour pour ceux qui ne le peuvent et qui devraient normalement avoir des priorités comme je vois dans les pays des autres, bref. Tout cela, nous le savons, mais de qui attendons-nous quelque chose? c’est ma question.
Voilà pourquoi, je te dis que je suis usée et j’en ai quelque peu marre, mais restons ensemble pour nous tenir chaud les uns des autres et nous sommes tous complémentaires, car chacun apporte ce qu’il a et c’est dans la diversité des rôles que nous apportons notre contre contribution à cette nouvelle république que nous rêvons tous, yes we can!
Pierre,
Que faites vous des Gabonais qui ont des racines fang, punu, miéné…? Que faites vous de tous les métisses(je parle de l’union entre deux groupes sociaux lingistiques différents) et non mulatres (un noir et un blanc par exemple) Gabonais? Il y a des Gabonais dont les parents voire grands parents sont métisses. Que diront ces derniers s’il faut penser comme vous: »je suis plus fang que Gabonais? »
Je tiens à vous dire que nous allons assister de plus en plus àn des unions mixtes au Gabon. Il y aura plus de mélange de genre que par le passé. C’est pourquoi, il faut penser Gabon et non fang ou punu. Cela ne veut pas dire que nous allons renier nos groupes sociaux linguistiques, mais seulement que nous devons mettre en avant notre nationalité et non notre ethnie.
J’ai suivi une série ivoirienne où tournait un humoriste Gabonais. J’étais heureux de voir un compatriote dans une série étrangère, mais il m’a très vite outré. Dans la série, il portait un tee short sur lequel il était écrit « Bitam ». On peut par là penser qu’il se considère d’abord comme fang du nord avant de se considérer Gabonais. Il aurait écrit sur son tee short « Gabon », jusqu’à présent j’aurai été heureux de savoir qu’il y a un compatriote qui évolue dans le milieu du cinéma ivoirien.
Soyons fiers d’affimer la nationalité gabonaise comme les Américains sont fiers d’être Américains.
Profonds respects
Madame Magnogni,
Je suis heureux de savoir que nous ne sommes pas très différents quant au devenir de notre pays et surtout d’espérer que cet échange ne soit pas éphémere. C’est pourquoi j’ai lu et même relu avec attention vos interventions. Cependant, je vais vous relever mes points de désaccords. Si depuis des années, les Gabonais abordent toujours les mêmes thêmes c’est parce que les anciens problemes qui caractérisent leur quotidien n’ont pas encore trouvé de solutions et mêmes sont plus nombreux que les difficultés modernes. Les autorités publiques n’ont pas réussi à régler les problemes de base comme la construction des routes, de véritables hôpitaux, d’université digne de ce nom, …
Les Gabonais attendent toujours une politique sanitaire et sociale ambitieuse. Nous voulons une sécurité sociale dans les faits et non en théorie qui prendra en compte tous les Gabonais peu importe les origines sociales ou l’appartenance ethnique ou encore politque. Il en est de même pour la politique de l’emploi. Madame Magnogni trouvez vous normal que nos compatriotes passent un an voire plus en CDD dans les entreprises en rêvant à un CDI qui peut etre ne viendra pas? Que fait les autorités publiques pour les personnes à mobilité reduite (et non handicapés)? Que fait les autorités pour les personnes du troisième âge? Pour les enfants abandonnés ou orphelins? A cela de nombreux problemes modernes ce sont adjoints. A quand une véritable politique de transport? Seuls les élèves (lycéens et collégiens) de Libreville bénéficient des services de la Sogatra, mais que faisons nous pour les éléves de nos 9 provinces?… Les nouvelles technologies de l’information et de la communication ne sont pas accessibles à l’ensemble de l’administration gabonaise. L’armée utilise toujours les machines à écrire datant de la coloniale. Pourquoi l’enseignement de l’informatique et même des langues ( qu’une langue au moins soit obligatoire. L’anglais, espagnole, allemand, même du mandarin car la Chine qui est l’atelier du monde deviendra bientôt la premiere puissance économique) ne sont pas obligatoires depuis l’école primaire?
Je vous promets que lorsque les autorités gabonaises repondront favorablement aux problèmes traditionnels de nos populations, les thèmes et les débats des Gabonais vont profondément changer. Comme je l’ai toujours pensé la politique est l’espace de tous les possibles. Il faut lire l’ouvrage de campagne du président Sarkozy (titre:ensemble tout devient possible)ou le dernier ouvrage du président Obame (titre: Le changement, nous pouvons y croire. Ce sont des ouvrages intéressants qui montrent que le scepticisme, la fatalité, la haine n’ont pas de place en politique. C’est ensemble que nous parviendrons à changer le Gabon et pourquoi pas l’Afrique.
Maintenant, je vais être un peu dur avec vous.Avant je vous prie de me considérer comme l’un de vos amis, mais au sens sarkoziste du terme. Autrement dit, je veux être votre ami mais en restant libre et indépendant. Je veux pouvoir vous dire ce que je pense de vous sans que cela n’entrave notre amitié ou nos échanges. C’est à vous de juger. La France conserve bien son indépendance par rapport à l’Otan, mais elle a réintégré le commandement militaire de l’Otan qu’elle avait quitté en 1966 sur décision du général De Gaulle. Le président Obama lors de son dernier voyage à Ankara a prononcé un discours en faveur de l’entrée de la Turquie au sein de l’Union européenne, mais il reste un allié de Paris quoique le président Sarkozy soit contre l’entrée de la Turquie à l’Union européenne. Cela dit, madame Magnogni vous dites que vous militez pour le changement, mais où militez vous? Il y a deux façons de militer dont une traditionnelle et une moderne. La maniere traditionnelle (la plus efficace) consiste à adhérer à un parti politique. La deuxième façon dite moderne consiste à rejoindre les syndicats, les associations, les organisations non gouvernementales,… Où êtes vous?
Juste un petit éclaircissemEnt: je ne suis pas un spécialiste des questions sociales ou sanitaires. Je suis passionné par les questions de sécurité internationales, de défense et par le marketing politique ou électoral.
Amicalement.
Bonsoir lex,
Merci pour votre message, mais je crois malgré tout que j’ai répondu à votre question ou tout au moins, vous avez appris des choses et je vous ai parlé comme une mère qui instruit son enfant sur l’avenir. Je suis fiére de vous et de vos précisions. a très bientôt
Stratégie,
Je crois que quelque part, nous sommes tous les deux d’accord, parce que moi aussi j’ai fait un rêve qui me fait espérer sur la situation de mon pays le gabon, que j’aime beaucoup. Et j’ai bien dit dans mon intervention que je n’étais pas pour la guerre. C’est vrai qu’on est parfois un peu fatiguée de souper et de voir des choses simples vous échapper. Bien sûr qu’au gabon, nous pouvons. « Mais en attendant le gabon », j’ai vécu et peut-être je vis encore. Comme tu vois, j’habite à l’étranger et cela fait bien longtemps. Jusqu’à un passé très récent, je ne voulais pas prendre de nationalité étrangére, parce que je comptais repartir dans mon gabon natal. Lorsque je m’achetais une robe, je me voyais la porter au gabon et je n’avais de projets que pour mon gabon natal, bref. J’ai repris des études de droit pour rester dans la vie et avoir des compétences sur quelque chose de précis. Mais cela fait longtemps que j’ai quitté l’école et je retrouve les mêmes sujets, les mêmes débats qui me rappelent ma chambre de campus.
C’est harassant! Et je me dis que nous avons eu à plusieurs reprises l’occasion de changer et nous avons râté cette occasion à cause de nous mêmes! Je parle des élections et je me dis que c’est par les urnes que nous pouvons gagner, mais malheureusement à cause des intérêts personnels, personne ne veut faire le premier pas. Chacun veut protéger son bout de pain. Il ne s’agit pas de se battre, mais d’essayer de changer les choses même de l’intérieur, c-à-dire en étant avec ceux-là que nous critiquons. j’ai l’impression que nous nous contentons le plus souvent de la médiocrité et qu’on compte sur des gens de l’extérieur pour pouvoir changer. Mais ce changement sera t-il celui que nous voulons si nous ne comptons que sur les autres. Moi aussi, je ne suis pas contre Bongo en tant qu’homme, je parle de lui en tant que gérant du patrimoine gabonais. Et je sais qu’il peut faire beaucoup de choses et c’est bien de le critiquer pour l’ammener peut-être à changer un jour. Je dis bien que j’en porte la responsabilité moi aussi, ne serait que par le fait de rester ici, dans ce fouttu pays! pourtant j’ai fait des choses pour le gabon, je n’en parlerai pas ici parce que le but pour moi c’est de venir discuter avec les autres pour garder le fil et c’est vrai que je me suis sentie très limitée dans mes manoeurvres bref. Alors gardons espoir et restons dans la vie en disant tout simplement, we can!
J’ai dit que j’ai été déçue par votre réaction, du fait que j’ai voulu partager quelque chose avec les autres qui viennent sur ce site, j’avais besoin de renseignements et je voulais aussi me savoir soutenue, ce n’est donc pas pour vos discours concernant la politique ou l’économie que je trouve très bien. Vous savez, je suis une femme et entre les femmes et les hommes, il ya une différence dans la maniére d’aborder les problèmes, cela peut nous créer des embrouilles.
mais toutefois, je tiens à vous dire que je ne suis pas une personne du centre,je ne me sens bien que lorsque je suis moi-même. Moi, je suis une militante, je milite pour le bien-être des gabonais, je milite pour le changement et je suis prête à suivre celui qui peut permettre ce changement.
Nous voulons tous ce changement, certes, mais en même temps, nous voulons que cela se passe sans violence. Et je crois que c’est plûtot la peur qui nous anime et la peur est un sentiment qui raidit et qui paralyse au moment de l’épreuve.
la violence,nous la vivons tous les jours dans notre cher gabon. Il suffit de reprendre l’union et de repertorier le nombre de victimes que nous avons eu cette année en crime rituels ou encore du fait des bandits. Il n ya pas d’exemple de changement réussi sans quelques sacrifices et le sacrifice n’est pas forcément la vie de quelqu’un,bref.
C’est vrai qu’il y a des gens qui travaillent dans mon gabon natal pour permettre ce changment, ne serait ce que celui a crée ce site qui nous permet d’échanger, c’est déjà de l’avancement, alors ne venons pas ici pour nous insulter, congitons pour arriver à un meilleur résultat. Allez bien de choses à vous, Monsieur Stratégie et à bientôt.
magnogni,
je crois qu’on ne se soient pas compris.il y a eu peut etre des imcomprehensions dans mes ecrits. je ne suis pas pour l’inceste,encore moins un fervent pratiquant,bien au contraire je pense qu’il est à proscrire à toutes les sociètés. je dis juste avoire été victimes de tentations!
en effet,tout comme chez vous,chez moi la fille à ma tante est ma soeur, et je me vois mal entrain d’etre autre chose que son frere!je ne cederai jamais a cette tentation.mais le fait que je sois homme,fait de chaire,me douter de mes capacité à pouvoir resister.l’erreur est humaine… mais rassurez-vous, jamais je n’arriverai à ce point zero!!
Magnogni,
Vous etes deçu par mon intervention. Cela ne me surprend guere. Cependant puis je savoir exactement ce qui vous deçois? Je confirme et signe: monsieur Bongo tout comme les autres Gabonais qui remplisent les conditions constitutionnelles pour etre éligible à la magistrature supreme peuvent etre candidat au Palais du bord de mer. Dans votre billet vous dites qu’il faut passer aux actes.Quels sont les actes dont vous faites allusion? S’il s’agit de la force alors vous etes loin d’etre démocrate et républicain. Le Gabon ne sombrera pas dans le chaos. Nous devons ouvrir les yeux et voir ce qui se passe dans les autres Etats. Autrement dit, nous devons privilégier les moyens politiques ou civils.
Vous vous opposez au président Bongo et au bongoisme. C’est votre droit le plus absolu et je vous encourage. Par contre, moi je ne suis ni opposant ni partisant. C’est là toute notre différence. Je suis pour le développemnt économique, politique et social du Gabon. Je m’intéresse au Gabon et non aux hommes et je reste résolument afro-optimiste. Notre pays finira par etre cité comme un Etat émergeant au meme titre que l’Afrique du Sud, le Brésil… Vous pouvez ne pas y croire. Mais la politique est pour reprendre le président Obama est le lieu de tous les possibles.Tout peut se réaliser en politique. Même le président Bongo peut encore changer. A son deuxieme mandat, le président Bush s’est séparé de certains idéologues républicains parce qu’il voulait etre en phase avec les nouveaux défis.
Monsieur Magnogni vous devez tenir un discours certes de vérité, mais également d’espoir. Il faut dire aux Gabonais qu’ils peuvent réaliser leurs reves(avoir un pouvoir d’achat élevé, un bon systeme de sécurité sociale, se soigner, avoir du travail, suivre des formations…)Ne faites pas comme ceux qui disent Bongo doit partir et on verra après.C’est une position qui se fonde sur la haine et la jalousie. Nous devons changer notre façon de faire la politique (ouvrir les yeux et voir) pour etre plus à l’écoute des POPULATIONS et rencontrer leur adhésion. C’est ainsi que nous allons combattre la crise de confiance qui règne dans notre petit pays.
Pour ce qui est de l’inceste, je n’ai rien à dire. Ce sont des pratiques qui me sont étrangères et en plus il ne faut pas en faire une affaire d’Etat. L’inceste est pratiquée par une minorité.Il revient aux pouvoirs publics de faire leur travail, mais encore une fois il ne faut pas trop en faire.
En attendant de vous decevoir de nouveau, daignez agreer, monsieur, l’expression de mon profond respect.
Bonjour lex,
C’est très désolant que tu sois tenté à ce point de vivre ou continuer une telle expérience avec ta cousine germaine et même par la suite avec sa mère, si je comprends bien.
Déjà ce n’est pas serieux que tu veuilles entretenir des relations sexuelles à la fois avec fille et mère! Je ne sais pas quel âge tu as et quels sont tes motivations. Mais cependant, c’est ce que nous vivons dans le pays de Bongo. Je ne dis pas que ces choses là n’existaient pas avant, mais j’en avais jamais entendu parler et je crois que cela pouvait arriver de façon accidentelle et les gens se gardaient bien d’en parler.
De nos jours, c’est déclaré, nous sommes dans un pays de voyous où les gens ont perdu toute valeur, ils font n’importe quoi et personne ne leur demande des comptes. On ne peut même plus parler de victimes, dans ces cas précis, puisque les soit disantes victimes acceptent finalement de vivre cette situation et très souvent pour une poignée de cfa ou une voiture etc. Elles sont donc complices. Si tu fais parti de cette république, tu peux certainement en être tenté et c’est très dangereux puisque ta progéniture pourra un jour t’imiter.
Moi je crois qu’il faut savoir faire la différence entre les besoins et les désirs car les désirs sont souvent source de pulsions de tout ordre donc de tentations
naturellement l’être humain a besoin de se retrouver sexuellement avec l’autre, j’entends par là entre homme et femme. Mais quant à vouloir se retrouver à la fois avec les filles,les mères ou les soeurs, c’est un autre problème! D’aucuns pensent qu’il s’agit des personnes malades mentales etc. Mais j’ai déjà vécu avec une personne de ce genre et jai bien eu l’occasion de me rendre compte, qu’il n ‘en était rien de tout cela. Il voulait gaspiller c’est tout. puisqu’il était bien conscient que ce n’était pas bien, mais il le faisait parce que aussi les circonstances s y prêtaient, bref. D’autres sont tentés de le faire, parce qu’ils en ont entendu parler ou parce qu’ils voyent d’autres faire. Moi je pense que tu peux arriver à domininer cette fragilité qui est en toi, et tu dois le faire, ce serait une bonne chose pour toi, parce que ce n’est pas bien. Si tu prends des mauvaises habitudes dés le départ, tu arriveras facilement à te faire ton propre enfant un jour et tu ouvriras une porte à l’inceste dans ta famille. Dans la plupart des cas recensés, il y a déjà eu un problème d’inceste dans la famille, s’ils n’ont pas été victimes eux-mêmes.
Chez moi, l’enfant de la soeur à ma mère est mon frére ou ma soeur, si c’est une fille et non mon cousin ou ma cousine, parce que la soeur de ma mère est ma maman. Donc pour moi, lorsque tu parles de tante, je pense à la soeur de ton père, cependant le dégré de parenté est le même. Moi je crois qu’à partir de là tu devrais comprendre qu’à ce dégré de parenté, il ne devrait pas avoir de relations sexuelles entre vous. Tu ne devrais même pas en être tenté. même tes sens ne devraient pas te suivre. Il m’est arrivée dans ma vie de voir mon père tout nu, sans que cela ne me fasse quoi que ce soit! Tu dis avoir fait la connaissance de cette fille, avant de décourvir qu’il y avait un lien de parenté aussi proche entre vous, tu ne dis pas avoir eu de relations sexuelles avec elle, mais cependant maintenant que tu as découvert que vous étiez parents et si proche, que tu l’aies connue sexuellement ou pas tu devrais oublier cette aventure et si elle de son côté persite, tu devrais l’amener fermément vers la fin de cette histoire, qui n’a pas de vie possible, d’autant plus qu’au gabon à ce que je sache, le mariage n’est pas autorisé à ce dégré de parenté, donc tu ne pourras jamais l’épouser.
Tu avais déjà assez à faire avec cette histoire que d’ouvrir une autre porte: celle de sa mère, qui est ta tante. Qu’est ce qui te prouve que ta tante ne veut pas te considérer comme son neveu, qu’est ce qui te dit que ce n’ést pas dans ta tête que cela se passe et que ce sont tes désirs qui te jouent des tours? Si t’es convaincu que ta tante te fait signe, tu peux prendre l’initiative d’en parler avec elle, au lieu de te laisser tenter, si t’en arrives là cela veut dire que quelque part dans ta tête, tu n’es pas bien et que t’as envie d’en arriver là. Mais il y a des milliers des femmes partout dans le monde et tu peux certainement retrouver une qui ressemble à ta cousine ou qui est plus attrayante que ta tante, l’inceste, ce n’est pas un simple fait de société, c’est une déviation qui malheureusement ramène à la société des enfants qui n’ont rien fait pour, mais qui vont avoir à écoper, parce qu’ils n’ont pas de place dans notre société, ils vivront malheureux toute leur vie et j’en ai découvert qui le sont bien, car certains connaissent leur père, mais ils n’osent pas le dire et ils ne sont pas reconnus comme tels étant donné que leur père est celui de leur mère etc. A te lire, je n’ai pas reconnu en toi un incestueux, mais quelqu’un qui veut s’amuser. Tu es tenté et tu te poses des questions. Alors, moi,je vais te dire non, tu n’as pas le droit.
Alors, l’inceste dont je parle, c’est « le viol », même si parfois, il est sans violence! C’est celui des bébés, des enfants, garçons comme filles, sans défense. Ce n’est pas marrant, tu sais de la vivre dans la chair! J’ai efffectivement eu une personne qui a connu l’inceste de l’âge de trois ans,jusqu’à 24 ans, sans pouvoir s’en sortir jusqu’aujourdhui, un vrai gâchis! J’ai forcé un peu les portes,lorsque j’ai commencé mon livre et ce n’est pas possible que dans un petit pays comme le nôtre qu’il y ait tant de victimes. Le plus jeune que j’ai croisé, c’est un petit enfant de 4 ans, qui ne s’expliquait pas le fait que lui qui était un futur papa soit condamné tous les soirs à faire des fêlations à ses deux fréres de 14 ans et 18 ans ou encore cette petite fille qui n’avait pour jouets que des gadjets représentant des sexes d’hommes et son partenaire de jeux ce n’était autre que son père qui le soir la retrouvait avec son sac rempli de jouets, c’est d’une telle tristesse! La politique, c’est bien mais ça aussi c’est bien de le savoir. Et souviens-toi, les enfants ont tendance à reconstruire ce qu’ils voyent autour d’eux et ce qu’ils vivent. Garde toi de continuer ce genre de chose, pour éviter que d’autres te suivent, merci et à bientôt
A Stratégie
Je suis très déçue par votre réaction. En fait, j’avais cessé de consulter ce site à cause des gens comme vous. J’en avais marre d’avoir à consommer du Edith, du Sassou et Du Bongo.Parce que cela fait plus de 40 ans qu’on parle de Bongo et de ses acolytes, et que l’on concocte les mêmes choses sans changement apparent. Pourquoi, parce qu’ils ne sont pas les seuls responsables de la situation des gabonais et si tu te mets devant une glace, tu verras qu’il y en a tant d’autres: toi, moi et certainement les autres. C’est bien d’en parler, mais que faisons nous concrétement? Nous continuons à servir de marche pieds. lorsqu’on nous propose un poste politique, personne ne le refuse et il n’en profite même pas pour essayer de changer les choses de l’intérieur, il ne pense qu’à en profiter. Très vite, il oublie les autres, il oublie les débats sur internet. en plus de 40 ans de pouvoir, rarement, j’ai entendu parler de démission dans le pays de Bongo et de ses acolytes, tiens j’ai appris la nomination d’une femme au poste d’adjointe au médiateur de la République. Cette dame n’est autre que l’ancien médiateur de la république, devenue la simple secrétaire au poste qu’elle occupait autrefois. J’ai eu froid dans le dos, j’ai attendu longtemps qu’elle démissionne et je suis déçue de savoir qu’elle n’a pu le faire. C’est vous dire que nous sommes tous derriére ces gens à la queue leu leu, et on attend, on nous ballade comme des jouets et personne ne dit rien. les soit disant opposants sont achetés à coup de millions, les electeurs sont achetés, encore ils peuvent prendre l’argent, puisqu’ils en ont besoin, mais au moins marquer leur mécontentement par les urnes, le vote est secret. Ce serait peut-être le plus simple, mais le Gabonais aime trop la vie, sa sienne de vie et cela m’étonnerait qu’il donne sa vie pour une cause valable, comme j’ai vu faire dans d’autres pays. Le pouvoir, il se prend, il ne se donne pas. il ne se prend pas forcément par la guerre, mais ne serait ce que par les urnes. Ceux qui truquent les élections, ce sont les gabonais, ceux qui votent ce sont les gabonais, ce n’est pas bongo? Ceux qui profitent du pouvoir ne sont que quelques individus! Bongo et sa bande se fichent pas mal de nos petites discussions de laboratoire. L’on a pensé qu’avec la mort d’édith, il allait s’affaiblir, mais nous l’avons tous vu reprendre du poil de la bête. Attendons tout simplement que la nature régle le problème et cela fait certainement du bien d’échanger.Mais l’on ne va pas construire toute une société qu’avec de la politique et de l’économie, Bikoum vous l’a dit, merci. Nous avons besoin de refléchir sur tous les maux qui minent notre société et je crois que l’inceste en fait partie. Je n’ai pas voulu parler d’un problème de coeur, loin de moi et ce n’est pas ici que je viendrai en parler, il y en a certainement d’autres, de sites, plus appropriés. Et l’inceste dont je dénonce, ce n’est pas un problème de coeur, ce n’est pas une histoire d’amour, entre deux adultes qui sont parents et qui s’aiment!
Même si l’on retrouve de plus en plus de jeunes filles et des garçons qui n’hésitent pas face à l’argent de se donner à leur père ou à d’autres membres de leur famille etc. Je veux parler de l’inceste qui fait « mal », du viol, de l’inceste qui laisse des sequelles et détruit des vies toutes entiéres.
Lorsque j’ai entrepris d’écrire ce livre, j’ai eu des gens sur mon dos, même des peronnes de ma propre famille, qui me l’ont déconseillée, parce que ce n’était pas bien de parler des histoires de sexe dans un livre et que cela allait salir mon image ou nuire à l’honneur de la famille, mais lorsque j’ai commencé à frapper aux portes , j’ai découvert des choses. L’inceste aujourd’hui, c’est des bébés, c’est des filles et même des garçons qui sont violés par leurs propres parents, ceux qui ont le devoir de les protéger. Ce n’est pas un problème de classe sociale, ce n’est plus un problème d’objectifs politiques, même chez le dernier des gabonais, tu vas rencontrer un parent adulte qui viole son enfant parce qu’il a entendu parler ou encore parce qu’il veut prendre son pied etc. je ne lis pas beaucoup l’union, mais depuis que je me suis interessée à cette histoire d’inceste, j’ai récensé pas mal de cas et de cette histoire d’inceste, on peut poser le problème de la recrudescence du viol des jeunes enfants pour « du pain au beurre ou du pain au chocolat » etc. J’aurais bien aimé vous dire deux ou trois petites choses sur le calvaire de ces enfants, mais c’est dommage, nous sommes sur un site politique, puisque c’est cela qui vous intéresse,mais je sais qu’un jour, vous lirez cette histoire, alors bonne continuation.
merci pour cette belle intervention stratégie!!!
Un proverbe africain dit qu’une pirogue n’est jamais trop grande pour chavirer.
on a récemment vu la crise et ces effets dans des pays qui se croyaient intouchables,
on ne sait pas de quoi demain sera fait « Même l’éléphant peut mourir d’un coup de sagaie. »
Ne te réjouis pas du malheur des autres, aides si tu peux mais ne te réjouis pas des mauvaises conditions de vie des autres car même dans l’abondance la vie nous réserve toujours des surprises!!!A méditer.
sans commentaires,
Ce qu’il faut dire au fouetteur des Gabonais
c’est que nous ne sommes pas des nègres mais des noirs. Il faut qu’il fasse une différence entre le noir et le nègre. Le terme nègre
a été employé à une période peu glorieuse de l’histoire du monde: l’exclavage. Les occidentaux n’en sont pas fiers.
Basé sur des préjugés racistes, le nègre désignait l’absence d’humanité, d’histoire,de raison,d’âme, etc. S’il veut une véritable définition du nègre qu »il lise les ouvrages du philosophe allemand Hégel ou du linguiste levy Brhul. Il observera que ces deux hommes de science s’étaient trompés et qu’ils ne savaient rien du noir et de l’Afrique.
En notre siècle, on ne peut pas tenir des propos racistes avec tout ce que l’on a d’informations sur les peuples et les communautés. Si on était au XVIIIe ou XIX siècle j’allais comprendre sa position sans pour autant l’accepter. Que
le fouetteur des Gabonais sache que l’emploi du terme nègre est dépassé et dénué de tout fondement.
Nous sommes des noirs et non des nègres!Ce qui nous définit ce n’est pas notre couleur de peau, mais notre capacité à nous adapter peu importe le milieu où nous évoluons.
J’ai beaucoup d’estime et de respect pour ton pays la France surtout depuis l’élection du président Sarkozy. La France reste le pays des droits de l’Homme,mais qui est la vitrine des droits de l’Homme en France? Une française d’origine sénagalaise qui est même plus noire que moi, que sans commentaires, que SySy… Il y a eu plusieurs noirs dans les gouvernements de ton pays.
Pour aller plus loin l’homme le plus puissant au monde, le locataire de la Maison-Blanche a une origine africaine. Son père qui était très noir presque bleu était du Kenya. Pour parler comme les Américains (puisqu’ils ne font pas la différence entre un mulatre et un noir)Barack Hussein Obama est bien noir.
Le racisme est un retard mental et psychologique.
Profonds respects.
Merci pour vos remarques chers compatriotes,
en fait la meilleure réponse qu’on puisse apporter à ce genre d’individu est tout simplement de l’ignorer et d’ignorer ces propos…
Nègres nous sommes et nègres nous mourrons. Cela ne nous ôtera pas cette fièrté d’exister, de manger, de boire, de travailler mais aussi d’aller à la selle comme tout le monde.
sur ce à bientôt!!!
Sysy,
Vous avez très bien réagi, mais ne faites pas attention à ce genre de réflexion. Il y a mieux à faire.
Profonds respects.
Mon message précédent s’adressait à LA personne qui a pour pseudo LE FOUETTEUR DES GABONAIS; J’ai fait une erreur de frappe en écrivant son pseudo.