L’ancienne caissière de le Banque gabonaise et française internationale (BGFI), Marlène Rapontchombo, a comparu le 13 février dernier en correctionnelle au Tribunal de première instance de Libreville, pour avoir divulgué les comptes du procureur de la République, Bosco Alaba Fall, entraînant une vive polémique au sein de la société civile gabonaise. Six mois de prison ferme et 300 000 francs CFA ont été requis contre madame Rapontchombo, qui devra attendre le 19 février prochain pour être fixée sur son sort. L’affaire «Alaba Fall» qui avait défrayé la chronique il y a quelques mois est sur le point de trouver son dénouement, avec le procès du13 février de l’ancienne caissière de la Banque gabonaise et française internationale (BGFI) accusée d’avoir divulgué les comptes du procureur de la République, Bosco Alaba Fall.
En détention préventive depuis six mois, Marlène Rapontchombo, a comparu en correctionnelle devant le Tribunal de première instance de Libreville pour répondre de la divulgation à travers des tracts et sur internet des comptes du procureur de la République, qui avait entraîné de vives réactions au sein de la société civile gabonaise et semé le trouble dans la classe judiciaire et politique.
Le plaignant, Bosco Alaba Fall, était représenté au Parquet de Libreville par maîtres Taty, Moumbembé et Nkéa, qui avaient face à eux maîtres Homa Moussavou et Fadi pour la défense de l’accusée et maître Agbarin qui représentait l’institution bancaire.
«Etes-vous entrée dans le compte de Monsieur Bosco Alaba Fall ?», a demandé le juge à l’accusée, qui a répondu «oui», et à la question «pourquoi ?», elle rétorquera «par simple curiosité».
A savoir si elle a imprimé le relevé de compte du procureur, elle nie en bloc, alors qu’un rapport interne des données informatiques de la banque prouve que l’accusée, à travers son identifiant et son mot de passe, a visité le compte de Monsieur Alaba Fall et édité les relevés bancaires.
Madame Rapontchombo a laissé penser qu’une personne mal intentionnée avait utilisé ses codes d’accès, mais la partie civile révèle que la jeune femme aurait transmis les relevés bancaires à son amant, Félix Bongo, recherché par la justice gabonaise. Celui-ci les aurait propagés dans la presse pour discréditer le redoutable procureur.
La partie civile avait d’abord exigé 500 millions de francs CFA (762 000 euros) de réparation, payables par BGFIBank, l’employeur de l’accusé, pour le préjudice subi, mais l’accusée ayant déjà quitté la banque, l’avocat de BGFI a rejeté cette demande.
Pour «violation du secret bancaire», Marlène Rapontchombo est tombée sous le coup de six mois de prison ferme et 300 000 francs CFA d’amende requis contre elle par le procureur. L’inculpée devra attendre le 19 février prochain pour être fixée sur la peine dont elle écopera.
je suis tres content des nouvelles du pays que vous nous donnez car notre presse est sous guillotine qu’elle se protege des bouros.dans l’histoire de monsieur alaba fall nous constatons que la justice ne siege que sur son interet et non sur celui des gabonais un fonctionaire a lui seul ne peu pas avoir au tant d’argent il doit comparetre pour edifier les gabonais sur son projet de devenir l’homme le plus riche du pays.on le sais que ce monsieur fais parti des hommes les plus riches du pays.voyons simplement sa contribution dans la sossiation tsoumou de ngouonie qui regroupe les cadres de la republique.mais il faut qu’ils sachent tous que dans peu de temps comme le dit la bibble que les gabonais vont s’occuper d’eux par cas car s’il fouillent leur parents assumeront les retombés.je suis deja pret et comme l »a dit l’autre j’assumerai les consequence meme s’il faille donner ma vie pour que les choses changent.je reve d’un gabon meilleur.
Tous ont faux. La question que le jury devait poser est celle-ci:
Monsieur Alaba Fall, comment votre compte bancaire est t’il credite d’autant d’argent vous qui n’etes que simple fonctionnaire?
Le gabon a l’envers…. Il me semble que c’etait le symbole du parti du defunt. Paix a son ame;;;;
Salut