Ayant appris le décès tragique le 14 mars 2009 de Mme Edith Lucie Bongo Ondimba, le BDP-Gabon Nouveau, par son président le Dr. Daniel Mengara, et au nom des diverses instances du mouvement, se joint aux familles qui, de près ou de loin, se trouvent éprouvées par cette douloureuse épreuve et leur adresse ses tristes condoléances.
Le Dr. Daniel Mengara, devant cette épreuve difficile, aimerait également rappeler que devant toute vie qui s’arrête aussi prématurément, fût-elle d’un camp politique dont nous ne partageons pas les valeurs, nos clivages idéologiques et politiques doivent nous convier au recueillement national non seulement face à cette fin si tragique de l’une de nos compatriotes devant la maladie, mais également face à la disparition de tant d’autres Gabonais et Gabonaises souvent morts avant l’âge pour cause de sous-développement hospitalier et économique dans notre pays.
Pour sa part, le BDP-Gabon Nouveau, dans le recueillement national que cette disparition impose, lance un appel à tous les Gabonais de tous bords politiques de s’atteler, sans plus tarder, à la mise en place au Gabon d’une vraie politique de développement qui permettra de doter notre pays d’infrastructures médicales et hospitalières adéquates, afin justement d’éviter à la nation des drames supplémentaires que la science médicale est pourtant en mesure, aujourd’hui, d’éviter au peuple gabonais dans son ensemble. Et ceci pour que plus jamais aucun Gabonais ne meure précocément de maladie pourtant soignable ni ne soit obligé d’aller mourir en terre étrangère.
Nous savons, par le travail caritatif qu’elle accomplissait auprès de tous ceux qui, au Gabon, ont été frappés par le VIH/SIDA et la maladie, que Madame Edith Lucie Bongo Ondimba aurait vivement souhaité que notre pays se dote d’infrastructures hospitalières dignes de ce nom capables de répondre aux besoins de santé des riches comme des pauvres, et des puissants comme des faibles, afin de juguler le problème de mortalité précoce des enfants et des adultes qui ralentit depuis trop longtemps la progression démographique de la population gabonaise. Nous savons également qu’elle aurait souhaité terminer sa vie au Gabon parmi les siens.
S’il y a donc une priorité essentielle pour notre pays qui puisse se faire en sa mémoire, cette priorité passe par une politique hospitalière que Madame Edith Bongo Ondimba, nous le savons, aurait souhaité de toutes ses forces et, à ce titre, nous saluons le remarquable travail qu’elle avait commencé à faire et qu’elle aurait souhaité continuer à faire pour apporter la santé aux Gabonais. Nous savons qu’elle partageait l’idéal du BDP-Gabon Nouveau de voir entièrement réduite la pauvreté chronique des Gabonais par le développement économique optimal et la suppression de la corruption, choses qui ne seront possibles au Gabon que par l’établissement d’une démocratie absolue et sans fards, et un état de droit garant de l’école pour tous, de la santé pour tous et de la dignité économique pour tous.
Notre souhait est de voir la nation gabonaise se ressaisir suite à cette disparition si tragique et de commencer, dès maintenant, et au-delà des idéologies partisanes qui retardent le Gabon, le dialogue pour le Gabon nouveau qu’aurait désiré Madame Edith Lucie Bongo Ondimba, un Gabon nouveau qui serait vraiment le Gabon de tous les Gabonais, c’est-à-dire le Gabon démocratique et digne que tous les Gabonais appellent de toutes leurs forces depuis 41 ans.
Que les familles qui, au Congo Brazzaville comme au Gabon, ont, en la personne d’Edith Lucie Bongo Ondima, perdu qui une fille, qui une tante, qui une nièce, qui une mère, qui une amie, sachent que le BDP-Gabon Nouveau et tous ses membres sont de tout cœur avec elles devant cette douloureuse épreuve.
Fait à Montclair, New Jersey (USA), le 16 mars 2009.
Pour le BDP-Gabon Nouveau
Dr. Daniel Mengara
Président
BDP-Gabon Nouveau
Ovambo
L’Afrique était mal partie.On doit commencer par démocratiser nos états et le reste va suivre.
@ Peaceandlove.
Qu’attendent les Africains pour défaire se que les blancs ont fait si c’est si mauvais pour nous ?
Pourquoi l’OUA a proclamé l’intangibilité des frontières héritées de la colonisation ?
Pourquoi les Africains n’ont-ils pas suivis Kwame NKrumah dans son combat pour constituer les États Unis d’Afrique noire ?
Il ne suffit pas de pleurnicher sur : les blancs nous ont séparé, et nier le fait que nous nous haïssons entre Africains.
Combien d’état qu’il y aurait aujourd’hui si les blancs n’avaient pas créer les frontières actuelles ?
Si les Africains n’osent pas remettre en question le tracer des frontières, c’est qu’ils savent que le remède risque d’être pire que le mal, alors arrêtons de gémir, nous sommes ridicule.
Picon tes analyse sont toujours assez piteuses, confié l’éducation au expatrié n’est qu’une option qui ne sous entends en aucun cas que les gabonais sont bête. Si tu as été à l’ustm comme tu le dit donne moi ta promotion je sui loinde parier que tu as pris Xapi les major sont toujours gabonais.
Et le fait d’aller travailler aux Usa est appelé la trahison la défection et l’irresponsabilité.
Nous gabonais malgré tous les bévus d’Omar on travail chez nous et on assume nootre quotidien.
Pour ce qui est des armes ayant transité par franceville pour le congo il n’existe que dans ta tete. Et les fang ne sont pas anthropophage ca n’existe que dans ton imaginaire
Vive Ali ben Bongo Ondimba,vive le Gabon!
Picon
Le peuple congolais vous attend vous les mbochis.Bientôt,vous vous ferez mangés crus.Au Gabon,vous n’avez plus d’assises,au Congo c’est encore pire car en 2009 quand sassou serait chassé du pouvoir,c’est ton cadavre qui sera mangé cru.J’espère que mes amis lary,téké,punu,vili et autres nous inviteraient(fangs) pour vous dévorer(mbochis)
Vous faites tous chiers( avec vos débats relents et sans contenus. L’Afrique est un tout.Quel est l’africain qui etait là, losque les blancs nous ont separé en trançant les frontières?