Les rumeurs sur la fissure entre Omar Bongo du Gabon et Sassou Nguesso du Congo se font de plus en plus persistantes. Cette fissure aurait pour cause directe la mort d’Edith Lucie Bongo Ondimba suite à une maladie incurable le 14 mars dont les deux dictateurs ont fait le plus grand secret.
Depuis le 7 février dernier, date à laquelle le BDP-Gabon Nouveau avait appris le premier la rumeur faisant état de la mort ou de la chute dans un coma profond et irréversible d’Edith-Lucie Bongo Ondimba, des rumeurs existent dans les cercles bongoïstes et sassouïstes qui faisaient état d’une sorte de brouille latente entre les deux dictateurs qui avait pour centre la « maladie incurable » dont souffrait Edith-Lucie Bongo Ondimba.
La brouille se serait faite un peu plus persistante dans les semaines qui ont vu les deux kleptocrates séjourner des semaines durant au Maroc après s’y être rendus précipitamment dès l’annonce officielle le 5 février de la dégradation de l’état de santé d’Edith Lucie Bongo Ondimba, épouse de Bongo Ondimba du Gabon et fille de Sassou Nguesso du Congo Brazzaville.
Le BDP-Gabon Nouveau dispose désormais des détails de cette rumeur de brouille qui aurait tendu les rapports entre les deux dictateurs lors de leurs longs séjours au Maroc au chevet d’Edith Bongo, même si, pour le moment, nous mettons tout cela dans la catégorie « forte rumeur ».
Sassou Nguesso aurait ainsi, selon la rumeur, lancé à Omar Bongo un « Tu as tué ma fille, salaud! » quand les deux hommes se sont retrouvés au chevet d’Edith le samedi 7 février. Omar Bongo s’était rendu précipitamment au Maroc le jeudi 5 février, suivi par Sassou Nguesso le samedi 7 février.
Cette attaque directe de Sassou envers son beau-fils (beau-fils plus vieux que son beau-père d’ailleurs) aurait, dès le départ, brouillé les deux hommes qui, dès lors, se sont soigneusement évités pendant la quasi durée de leur séjour au Maroc, ne recommençant à parler qu’au moment de l’annonce officielle le 14 mars de la mort d’Edith, qui, selon des sources médicales, serait cliniquement morte le 7 février dernier puisque tombée dans un coma profond et irréversible, contrairement à l’annonce faite par le gouvernement gabonais selon laquelle son état de santé se serait amélioré.
L’on vit ainsi les deux hommes s’étreindre de douleur au Maroc pour pleurer dans le remord des crocodiles, l’un (Bongo) pour avoir « tué » la fille de l’autre, et l’autre (Sassou) pour avoir « vendu » sa fille à l’autre. Mais tout cela, évidemment, sur fond de brouille.
La source de la brouille vient du fait que dans l’entourage de Sassou Nguesso, tout le monde reprocherait à Omar Bongo d’avoir délibérément communiqué le VIH/SIDA à Edith Lucie Bongo Ondimba. Des rumeurs persistantes au Gabon ont en effet, depuis au moins 15 ans, fait état du fait qu’Omar Bongo serait séropositif mais que sa séropositivité n’aurait pas encore dégénéré en SIDA. L’on se souviendra en effet que, avec les bons soins, l’on peut retarder la transformation du VIH en SIDA, l’étape du SIDA étant plus ou moins la phase maladive et terminale de la maladie. Avec les cocktails anti-SIDA qui existent aujourd’hui, il est même possible de reculer la phase terminale et certaines personnes avec un métabolisme fort arrivent même à vivre longtemps avec le SIDA dans le corps, quoique péniblement. Magic Johnson, l’ancien prodige américain de basket-ball, vit avec le VIH depuis 15 ans et n’a jamais développé le SIDA.
Il semblerait qu’Edith Bongo Ondimba aurait été moins chanceuse que son mari selon la rumeur qui vient des milieux congolais.
Dans la mort d’Edith Lucie Bongo Ondimba, l’hypothèse du SIDA tient la route car en conformité avec une dégradation progressive de la santé chez la première dame du Gabon qui n’avait plus été vue au Gabon depuis pratiquement 2006. Des rumeurs persistantes faisaient état d’une maladie incurable (SIDA ou autre) qui la maintenait dans l’agonie la plus totale et dans le besoin permanent d’attention. D’autres rumeurs la disaient atteinte de maladie mentale. Le régime Bongo avait fait de la situation d’Edith Bongo un vrai secret d’état depuis que la première Dame était atteinte de son affliction. De France où elle se faisait soigner, elle avait été secrètement amenée au Maroc où elle est finalement décédée.
Le secret d’état fait autour des causes de la mort d’Edith par les familles Bongo et Sassou conforte également la rumeur d’une mort par SIDA car les familles, selon des sources proches, éviteraient de salir le nom d’Edith par l’annonce d’une mort aussi ignominieuse qui ferait immédiatement d’Omar Bongo un criminel puisqu’ayant communiqué le VIH à Edith alors qu’il s’en savait atteint. Bongo et Sassou se seraient donc arrangés pour garder secrète la cause de la mort de la jeune femme décédée dans la fleur de l’âge à seulement 45 ans. Le fait que la cause de la mort d’Edith n’ait jamais été évoquée officiellement, et que les sources officielles se soient limitées aux annonces de « longue maladie », conforterait ainsi la thèse d’une mort par SIDA, surtout quand on sait que aucune photo d’Edith Bongo dans sa phase terminale n’a été prise et que les médecins marocains ont été tenus au secret le plus total pendant toute la durée du séjour de la patiente au Maroc.
Sassou Nguesso, tandis qu’Edith agonisait au Maroc, serait resté inconsolable. Il se reprocherait la mort de sa fille car c’est à cause des pressions familiales venant de son père qu’Edith avait finalement accepté d’épouser Omar Bongo, un vieillard de 30 ans son aîné. Beaucoup ont vu en ce mariage arrangé un mariage de raison qui assurait aux familles Bongo et Sassou le soutien politique de part et d’autres de la frontière. L’on se souviendra que c’est grâce à l’argent gabonais que Sassou a pu reconquérir le pouvoir au Congo, dans une guerre civile sanglante de 10 ans (1993-2003) qui a fait des milliers de victimes (10.000 à 15.000 morts selon certaines sources).
Côté gabonais, la vie sexuelle débridée d’Omar Bongo n’est plus à démontrer. Entre les dizaines d’enfants bâtards faits par le dictateur gabonais dans de multiples relations extraconjugales et son amour pour les prostituées, Omar Bongo n’a jamais rechigné devant la vue des fesses d’une femme.
L’on se souviendra que, de sources diplomatiques sûres, Omar Bongo, qui transforme souvent son corps diplomatique en laquais pour chercher des femmes pour lui lors de ses voyages à l’étranger, aurait, alors qu’il assistait à l’Assemblée générale de l’ONU en 2002, chargé un diplomate de la mission gabonaise à l’ONU d’aller lui « chercher une femme, » alors même qu’Edith Lucie Bongo était dans une suite pas trop loin de la sienne dans le même hôtel ! Omar Bongo aurait ainsi donné, sur le coup, 200.000 dollars à cette fameuse femme suite à une simple fellation!!!
Omar Bongo aurait même en 2004 tenté de séquestrer une ancienne candidate à Miss Pérou dans son palais au Gabon pour en recevoir des faveurs sexuelles. L’affaire avait fait le tour des médias du monde et le BDP-Gabon Nouveau avait dû écrire une lettre d’excuses au gouvernement péruvien au nom du Gabon pour cette ignominie.
Et depuis que le Gabon est devenu le bastion de la prostitution chinoise en Afrique grâce aux bons soins d’Omar Bongo, tout un trafic de prostituées asiatiques a désormais comme base le Gabon, avec la bénédiction du dictateur lui-même.
Sans compter le simple fait qu’au Maroc même Omar Bongo dispose d’un certain nombre de maîtresses avec lesquelles il aurait eu des bâtards, maîtresses qu’il a continué à fréquenter alors même qu’il se trouvait au chevet d’Edith Lucie. Un scandale, donc.
Si, donc, la rumeur de la mort par SIDA d’Edith Lucie Bongo Ondimba venait en effet à se confirmer, il va sans dire que la conclusion la plus évidente serait que son époux Omar Bongo, en serait forcément atteint. Et cela voudrait dire, en effet, qu’Omar Bongo aurait délibérément « tué » Edith Lucie en lui donnant une maladie dont il se savait pourtant atteint. D’où la colère de Sassou qui n’arrive pas à pardonner ce méfait à son si vieux gendre.
Par ailleurs, le fait qu’Edith Lucie Bongo ait été mise en terre sans autopsie pour déterminer officiellement la cause de sa mort laisse des doutes sur un décès manié dans le secret total car il s’agissait de cacher aux peuples gabonais et congolais cette information qui n’allait pas manquer de faire des vagues de part et d’autre de la frontière Congo-Gabon.
Mais cet accord Bongo-Sassou n’a pas suffi pour atténuer la brouille entre les deux hommes car, officieusement, Sassou aurait vigoureusement refusé qu’Edith soit enterrée au Gabon et aurait même menacé Bongo d’invasion militaire du Gabon si Bongo ne lui rendait pas le corps de sa fille. Il aurait dit à Bongo qu’il ne laisserait jamais le corps d’Edith à un « criminel ». Bongo a été obligé de céder pour ne pas risquer une querelle qui confirmerait sa séropositivité et, donc, sa criminalité.
Officiellement, les deux hommes ont annoncé aux médias que la décision de rendre le corps à Sassou serait due au désir de respecter la tradition Mboshie, l’ethnie de Sassou (12% de la population congolaise), tradition qui, selon cette interprétation, exigerait le retour du corps des femmes Mboshies à leurs parents suite à leur mort. Tout le monde sait cependant que les traditions patriarcales africaines ont tendance à laisser au mari le corps de son épouse, ce qui veut dire que Edith aurait normalement dû, selon ces traditions, être enterrée au Gabon auprès de son époux et non au Congo. Le retour aux parents ne serait acceptable qu’en cas de divorce ou de répudiation de la femme par l’époux lors de son vivant. Y aurait-il eu un divorce secret entre Edith et Bongo dont personne n’aurait été au courant ?
Reste à savoir si le remord de Sassou pour avoir « vendu » sa fille à un « criminel » suffira pour sevrer à jamais les rapports mafieux entre lui et Omar Bongo maintenant qu’Edith n’est plus. Cette mort demeure cependant un coup dur pour Omar Bongo qui espérait bien faire du Congo sa base arrière au cas où les Gabonais décidaient un jour de le chasser du pouvoir.
Mais tout ceci n’est que rumeur, donc à prendre avec des pincettes (NDLR).
Source: BDP-Gabon Nouveau
Craindre DIEU, c’est obéir à Ses Commandements, Préceptes, et Recommandations.
Ainsi, la Crainte de L’ÉTERNEL, c’est la haine du mal, déclare Proverbes 8:13.
L’obéissance à DIEU apporte le bonheur dans la vie de celui qui met en pratique SA PAROLE.
C’est de cela que dépend l’exaucement des prières, car la prière fervente du Juste a une grande efficacité, révèle Jacques 5:16.
La Bible déclare dans Proverbes 9:10 :
Le commencement de la sagesse, c’est La Crainte de L’ÉTERNEL.
Quiconque veut prospérer à tous égards doit accepter de suivre les ordonnances du SEIGNEUR qui font vivre celui qui les met en pratique, atteste Néhémie 9:29.
Celui qui marche dans la Crainte du DIEU TRÈS-HAUT est préservé des malheurs qu’engendre le péché.
Nos présidents ne ne craignent pas le très Haut.Alors ils vivent dans la débauche totale.Bongo et son entourage humilient le Gabon.Lorsque l’on assume des postes de responsabilité,il y a une conduite à tenir.Je comprends mieux,le Gabon est à l’image de celui qui le dirige.c’est la honte!
Mon cher JR,
On veut simplement laisser à la postérité l’image d’une femme belle et séduisante qui n’a laissé que des beaux souvenirs au vénard d’Omar Bongo Ondimba. Alors que le pauvre n’a fait que souffir avec cette cupide et assoiffée de pouvoir.
Comme a dit son père, elle était une source inépuisable d’idées pour pour le Congo parce qu’elle avait trouvé en bongo une banque qu’il fallait épuiser en réalisant les projets de son dictateur de père.
Que la terre lui soit Très lourde!!!!
Edith Lucie Bongo souffrait exactement de la maladie du Cancer qui provoquait une tumeur au cerveau, un cancer très dangereux, voilà ce que disent les médecins concernant ses symptômes: « Les cellules cancéreuses augmentent la pression dans la boîte crânienne et repoussent les cellules du cerveau, ce qui peut provoquer la destruction des structures cérébrales vitales. Selon l’emplacement de la tumeur, divers troubles peuvent apparaître, tels que, par exemple, des lésions de la vision ou des troubles de la motricité. L’augmentation de la pression dans la boite crânienne peut provoquer des maux de tête ou des crises d’épilepsie. »
« Tout le monde a pu le constater, surtout ceux qui ont été sur place à Rabat, Libreville, Brazzaville et Edou, les villes où est passée la dépouille d’Edith Bongo, que son cercueil n’a pas été ouvert, personne n’a vu son visage, ni de quoi elle avait réellement maintenant l’air après que cette maladie lui ait tant fait souffrir, mais pourquoi cacher son visage? Y a-t-il un reproche à se faire à ce sujet ? La tête d’Edith Bongo avait doublé de volume ! »
Ce message s’adresse à Mitsumba:
Monsieur, puisque vous avez l’air de vous y connaître, laissez-moi vous poser quelques questions, de médecin à médecin? Sans disputer vos arguments qui sont valables, pouvez-vous nous éclairer sur les aspects suivants?
1) Pouvez-vous nous dire si la Trithérapie marche à 100% pour tous les sidéens? Y a-t-il des cas où la trithérapie ne marche pas du tout? savez-vous le pourcentage de succès de la trithérapie par rapport au pourcentage de réussite?
2) la méthode de transfusion de sang entraîne-t-elle aussi un succès à 100%? Si oui, ne pourriez-vous pas sauver la vie de tous les Africains par cette méthode si efficace à vos yeux? A vous entendre, il suffirait de faire des transfusions sanguines à tous les Africains atteints de SIDA pour tous les sauver sans même recourir à la trithérapie?
3) Si plusieurs personnes vivent maintenant avec le SIDA, cela veut-il dire que personne n’en meurt plus? Donc Edith, avec tous ses moyens, aurait forceement survécu si elle n’avait eu que le SIDA?
4) Les riches ne meurent donc plus de SIDA? Vu votre argument, il suffirait d’avoir de l’argent pour ne plus mourir de SIDA?
5) Pour qu’Edith se soit faite diagnostiquer plus tôt, cela aurait demandé qu’elle soit de quelle culture? Vu que vous les Africains avez tendance à éviter les tests de VIH à cause de vos superstitions, pourquoi supposez-vous qu’Edith aurait forcément voulou ce tset avant qu’il ne soit trop tard? Je sais que les Africains ont tendance à se cacher de cette découverte et ne font des tests de VIH que si forcés. Edith n’aurait-elle pas pu tomber dans cette catégorie de gens qui ne veulent pas savoir, au point de laisser perdurer la chose? Et si son mari avait tout fait pour empêcher ce test de VIH à cause des répercussions possibles sur son propre état de santé? Avez-vous aussi des réponses à cela?
6) Toutes les personnes ont-elles le même type de métabolisme? Voulez-vous nous dire que 3 ans est trop long (depuis la disparition d’Edith du Gabon) pour mourir de SIDA? A vous lire, c’est comme si la dégénerescence d’Edith était si rapide que cela n’aurait pas pu s’agir du SIDA? Pourtant, il me semble que 3 ans c’est beaucoup de temps et que la dégéneresence d’edith a pris 3 ans au moins, ce qui me semblerait compatible avec le temps que cela prendrait pour mourir de SIDA quand on a quelques moyens pour empêcher une mort trop rapide.
6) A quoi limitez-vous les complications pouvant résulter du SIDA dans sa phase finale? Vous citez certains symptômes comme « cancer foudroyant, ou d’un accident cérébro vasculaire, avec dégénération des fonctions cérébrales » car dans votre théorie, vous pensez que tout cela a été trop rapide, mais le problème avec cet argument est que nous savons Edith malade depuis au moins 2006, soit trois ans entiers, largement suffisant pour que des complications dues au SIDA aient pu la rendre incapable de se montrer en public.
D’où ma question: à quoi limitez-vous les complications pouvant subvenir du SIDA? Vu que la définition du SIDA est celle de la perte d’immunité, pouvez-vous imaginer un cas où:
– La santé d’Edith se serait rapidement détériorée pour cause de SIDA foudroyant
– les complications l’auraient alitée très tôt, au point de la rendre incaoacitée
– les soins fournis par l’argent l’aureint maintenue en vie sans toutefois améliorer considérablement sa situation
– et son agonie durer les trois ans de sa disparition?
Ce que nous savons est que le 7 février, elle est tombée dans le coma, mais êtes-vous au courant de comment sa maladie a évolué pendant trois ans?
Votre théorie me semble un peu boîteuse car vous semblez limiter vitre analyse à la récente période du 7 février, alors que la maldie d’Edith dure depuis trois ans au moins. Votre hypothèse de cancer foudroyant n’aurait été plausible que si la maldie d’edith avait commencé le 7 février 2009.
Autrement dit, médicalement, l’hypothèse du SIDA (sur une période de trois ans) me semble plus plausible que celle d’un cancer foudroyant. Votre hypothèse n’aurait marché que si on ne savait pas qu’edith était malade depuis très longtemps.
J’ajouterais aussi que vous mélangez un oeu les choses. la raison pour laquelle Edith aurait choisi de ne plus apparaître en public aurait pu se baser sur des choses aussi simples que son choix de ne plus revenir auprès de son mari une fois le SIDA déclaré, surtout si elle était faché et si elle voulait éviter la honte au gabon. Pensez-vous vraiment qu’edith et Bongo voulaient afficher la maladie d’Edith au Gabon si cette maladie est le SIDA? Il faut voir des raisons politiques dans la décision d’Edith de rester au Maroc loin des yeux inquisiteurs des Gabonais.
Votre analyse est bonne, Mitsumba, mais elle souffre du fait que vous ne prenez pas en compte la culture africaine et les raisons politiques qui ont fait que Sassou et Bongo gardent Edith hors du Gabon pendant trois ans pour cacher ce dont elle souffrait, c’est-à-dire une maladie encore perçue en Afrique comme honteuse (le SIDA).
Juste pour compléter votre analyse avec un argument contraire pour vous montrer que l’hypothèse du SIDA est encore plus plausible que vous ne pensez.
Dear Anna
In popular culture, the grande dame is usually portrayed as a slightly flamboyant woman, prone to extravagant and eccentric fashion, such as feather boas, large hats, and excessive costume jewelry. She may be overly pre-occupied with the concept of « acting ladylike » and expect all those around her to conform to her own high standards of etiquette.source Wikipedia
La définition ne dit pas tout cher Anna.
Bekky
c’est quoi une grande dame pour toi?
coucher avec un homme qui a l’age de son grand pere pour ce qu’il represente et non pour ce qu’il est, c’est ca une grande dame??
tu m’étonne!
la grandeur ce n’est pas ca
pourquoi les africains se laissent bluffer par tout ce qui brillent
je vais te montrer c’est quoi des vrais grandes dames qui se sont construites avec de petits moyens à force d’acharnement et de travail
decidemment, l’afrique perd ses valeurs
grande dame!!!!!! mon cul oui
S’il vous plait laissez cette grande dame reposer en paix!!!!et vos rumeurs sur le sida c’est vraiment n’importe quoi!!!!
ERRATUM
J’ai écrit Dégénération à la place de dégénérescence.
Cordialement
Mitsumba
L’hypothèse du SIDA me parait assez discutable d’autant plus que les moyens pour y faire face existent déjà (Trithérapie par exemple) , et pour le cas des personnes ayant suffisamment des moyens financiers comme la famille BONGO et NGUESSO, cela n’allait poser aucun problème.
Il existe aussi une technique qui consiste à faire une transfusion du sang non contaminé, après avoir préalablement vidé celui déjà contaminé. Cette technique permet donc aux personnes souffrant des infections graves de se refaire une seconde santé.
Il aurait été donc dérisoire pour Feue Mme BONGO de n’avoir pas pratiqué cette méthode, ce qui laisse un peu songeur concernant l’hypothèse du SIDA.
En plus , Mme BONGO aurait pu être soignée sur place au GAbon si ce fut cette hypothèse là ; or l’hospitalisation de cette dame a été subite et précoce, ce qui laisse supposer qu’il s’agissait d’une maladie qui serait certainement liée à autre chose qu’au VIH Sida.
L’hospitalisation suite à un SIDA déclaré se fait de manière tardive et non précoce comme ce fut le cas de Mme BONGO, autrement dit, son invalidité fut précoce, or nous voyons partout des personnes atteintes et malades du SIDA , se promener encore dans les rues , tant que la situation n’a pas encore empirée.
Bref sans défendre cette pauvre dame, un certain recul nous pousserait aussi à se poser des questions plus pointues. Je ne remets aucunement en cause cette hypothèse SIDA, mais elle interroge quand même sur sa validité.
Plusieurs personnes vivent maintenant avec le SIDA, il suffit d’être diagnostiqué tôt, d’être traité assez tôt et d’avoir une alimentation équilibrée. Or tous ces facteurs, ne pouvaient pas faire défaut à Mme BONGO, d’autant plus qu’elle était du domaine médical , avait des moyens considérables pour se faire diagnostiquer et traiter par trithérapie et de se faire transfuser régulièrement si besoin était.
Bien que les raisons de son décès soient restées pour nous un mystère, l’hypothèse retenue , pour l’instant me gène un peu, par contre celle d’un cancer foudroyant, ou d’un accident cérébro vasculaire, avec dégénération des fonctions cérébrales me paraissent viables.
Mais peut être que je me trompe, alors laissons la se reposer maintenant en paix , là n’est pas notre problème, notre véritable combat c’est le régime BONGO, qui lui est encore en vie.
Mitsumba
Tsuhooooooooooooo!!!!!!
Mais pourquoi faire un tas d’histoire sur la mort d’edith bongo comme si les gabonais n’ont pas de veritables problemes.
Chers tous,
Pur mensonge ou vérité? On ne saura jamais les vraies causes de cette tragique disparition ! Cependant, beaucoup de questions taraudent l’esprit de n’importe quel citoyen éclairé:
1. Pourquoi La Première Dame du Gabon est mise en terre dans un pays étranger (Congo)?
On nous parle des traditions Mbochis, mais on s’en fout. Est-ce que les traditions Mbochis priment sur la République Gabonaise? Non, alors arrêtons ce chaos. En plus ils ne sont même pas aussi nombreux que les peuples du Sud du Congo (Laris du Pool, Tékés des Plateaux, Kouyous d’Owando, Vilis, Bapunus, Nzebi du NOBOLAND, etc …)
2. Durant tout ce deuil, on n’a pas vu le corps sans vie d’Edith. On ne nous a pas montre sa figure dans le cercueil. Est-ce normal? Est-ce réellement elle qui était dans cette bière? Ce corps était-il si amoché par la maladie?
3. Pourquoi cette hypocrisie de la part de Sassou et de Bongo? Eux seuls savent la cause de cette mort prématurée.
Alors, d’une chose l’une, la thèse du SIDA semble tenir son chemin et c’est ainsi que Sassou aurait menacé Bongo. S’il ne lui remettait pas le corps de sa fille, tout le linge sale allait être lavé en public (cette fois).
Et aussi qu’on n’est pas vu le corps de la défunte car assommée, meurtrie, amaigrie par une longue et foudroyante maladie: Le SIDA ou le CANCER. Jeunesse perdue !!!!
On retiendra une chose, leur colossale richesse n’a pas pu sauver Edith. Est-ce la fin de ces deux dictateurs?
En tout c’est la déchéance pour Sassou avec les élections de Juillet 2009: Après l’assassinat lâche de Marien, Massamba-Debat, D’Anga, des disparus du Beach et bien d’autres, le malheur a frappé dans sa propre maison… Son oraison funèbre exige des interrogations aussi.
C’est ainsi qu’avait commencé le début de la chute de Mubutu : il perdra coup sur coup ses enfants.
La Patrie ou La Mort, nous vaincrons.
Johny
Ni Bongo Ni Sassou auqu’un des deux ne peut cacher la veritee plus longtemps, mais se que je trouve a dire, au Gabon la rumeure a coutume d etre la veritee.Donc Bongo et Sassou peuvent aussi pleurer.je suis tres comptant se matain par les images de Bongo et Sassou entrein de versser les larmes de crocodile.Mreci a vous pour ces images.
Je l´ai dis ici que le decès d´Edith Bongo omdimba est resté au travers de la gorge de Sassou nguesso car utiliser la coutume mbochi pour justifier l´inhumation de la premiere dame du gabon dans son pays d´origine(congo) était très peu convainquant.Comme le dit un proverbe « le mensonge prend l´ascenceur mais la vérité prend les escaliers ».
Ca commence à sortir!!!
Et on comprendras pourquoi une femme mariée à des milliards et de surcroit première Dame d’un pays n’a pas pu être inhumée là.
La vengeance du temps est terrible