Les rumeurs sur la fissure entre Omar Bongo du Gabon et Sassou Nguesso du Congo se font de plus en plus persistantes. Cette fissure aurait pour cause directe la mort d’Edith Lucie Bongo Ondimba suite à une maladie incurable le 14 mars dont les deux dictateurs ont fait le plus grand secret.
Depuis le 7 février dernier, date à laquelle le BDP-Gabon Nouveau avait appris le premier la rumeur faisant état de la mort ou de la chute dans un coma profond et irréversible d’Edith-Lucie Bongo Ondimba, des rumeurs existent dans les cercles bongoïstes et sassouïstes qui faisaient état d’une sorte de brouille latente entre les deux dictateurs qui avait pour centre la « maladie incurable » dont souffrait Edith-Lucie Bongo Ondimba.
La brouille se serait faite un peu plus persistante dans les semaines qui ont vu les deux kleptocrates séjourner des semaines durant au Maroc après s’y être rendus précipitamment dès l’annonce officielle le 5 février de la dégradation de l’état de santé d’Edith Lucie Bongo Ondimba, épouse de Bongo Ondimba du Gabon et fille de Sassou Nguesso du Congo Brazzaville.
Le BDP-Gabon Nouveau dispose désormais des détails de cette rumeur de brouille qui aurait tendu les rapports entre les deux dictateurs lors de leurs longs séjours au Maroc au chevet d’Edith Bongo, même si, pour le moment, nous mettons tout cela dans la catégorie « forte rumeur ».
Sassou Nguesso aurait ainsi, selon la rumeur, lancé à Omar Bongo un « Tu as tué ma fille, salaud! » quand les deux hommes se sont retrouvés au chevet d’Edith le samedi 7 février. Omar Bongo s’était rendu précipitamment au Maroc le jeudi 5 février, suivi par Sassou Nguesso le samedi 7 février.
Cette attaque directe de Sassou envers son beau-fils (beau-fils plus vieux que son beau-père d’ailleurs) aurait, dès le départ, brouillé les deux hommes qui, dès lors, se sont soigneusement évités pendant la quasi durée de leur séjour au Maroc, ne recommençant à parler qu’au moment de l’annonce officielle le 14 mars de la mort d’Edith, qui, selon des sources médicales, serait cliniquement morte le 7 février dernier puisque tombée dans un coma profond et irréversible, contrairement à l’annonce faite par le gouvernement gabonais selon laquelle son état de santé se serait amélioré.
L’on vit ainsi les deux hommes s’étreindre de douleur au Maroc pour pleurer dans le remord des crocodiles, l’un (Bongo) pour avoir « tué » la fille de l’autre, et l’autre (Sassou) pour avoir « vendu » sa fille à l’autre. Mais tout cela, évidemment, sur fond de brouille.
La source de la brouille vient du fait que dans l’entourage de Sassou Nguesso, tout le monde reprocherait à Omar Bongo d’avoir délibérément communiqué le VIH/SIDA à Edith Lucie Bongo Ondimba. Des rumeurs persistantes au Gabon ont en effet, depuis au moins 15 ans, fait état du fait qu’Omar Bongo serait séropositif mais que sa séropositivité n’aurait pas encore dégénéré en SIDA. L’on se souviendra en effet que, avec les bons soins, l’on peut retarder la transformation du VIH en SIDA, l’étape du SIDA étant plus ou moins la phase maladive et terminale de la maladie. Avec les cocktails anti-SIDA qui existent aujourd’hui, il est même possible de reculer la phase terminale et certaines personnes avec un métabolisme fort arrivent même à vivre longtemps avec le SIDA dans le corps, quoique péniblement. Magic Johnson, l’ancien prodige américain de basket-ball, vit avec le VIH depuis 15 ans et n’a jamais développé le SIDA.
Il semblerait qu’Edith Bongo Ondimba aurait été moins chanceuse que son mari selon la rumeur qui vient des milieux congolais.
Dans la mort d’Edith Lucie Bongo Ondimba, l’hypothèse du SIDA tient la route car en conformité avec une dégradation progressive de la santé chez la première dame du Gabon qui n’avait plus été vue au Gabon depuis pratiquement 2006. Des rumeurs persistantes faisaient état d’une maladie incurable (SIDA ou autre) qui la maintenait dans l’agonie la plus totale et dans le besoin permanent d’attention. D’autres rumeurs la disaient atteinte de maladie mentale. Le régime Bongo avait fait de la situation d’Edith Bongo un vrai secret d’état depuis que la première Dame était atteinte de son affliction. De France où elle se faisait soigner, elle avait été secrètement amenée au Maroc où elle est finalement décédée.
Le secret d’état fait autour des causes de la mort d’Edith par les familles Bongo et Sassou conforte également la rumeur d’une mort par SIDA car les familles, selon des sources proches, éviteraient de salir le nom d’Edith par l’annonce d’une mort aussi ignominieuse qui ferait immédiatement d’Omar Bongo un criminel puisqu’ayant communiqué le VIH à Edith alors qu’il s’en savait atteint. Bongo et Sassou se seraient donc arrangés pour garder secrète la cause de la mort de la jeune femme décédée dans la fleur de l’âge à seulement 45 ans. Le fait que la cause de la mort d’Edith n’ait jamais été évoquée officiellement, et que les sources officielles se soient limitées aux annonces de « longue maladie », conforterait ainsi la thèse d’une mort par SIDA, surtout quand on sait que aucune photo d’Edith Bongo dans sa phase terminale n’a été prise et que les médecins marocains ont été tenus au secret le plus total pendant toute la durée du séjour de la patiente au Maroc.
Sassou Nguesso, tandis qu’Edith agonisait au Maroc, serait resté inconsolable. Il se reprocherait la mort de sa fille car c’est à cause des pressions familiales venant de son père qu’Edith avait finalement accepté d’épouser Omar Bongo, un vieillard de 30 ans son aîné. Beaucoup ont vu en ce mariage arrangé un mariage de raison qui assurait aux familles Bongo et Sassou le soutien politique de part et d’autres de la frontière. L’on se souviendra que c’est grâce à l’argent gabonais que Sassou a pu reconquérir le pouvoir au Congo, dans une guerre civile sanglante de 10 ans (1993-2003) qui a fait des milliers de victimes (10.000 à 15.000 morts selon certaines sources).
Côté gabonais, la vie sexuelle débridée d’Omar Bongo n’est plus à démontrer. Entre les dizaines d’enfants bâtards faits par le dictateur gabonais dans de multiples relations extraconjugales et son amour pour les prostituées, Omar Bongo n’a jamais rechigné devant la vue des fesses d’une femme.
L’on se souviendra que, de sources diplomatiques sûres, Omar Bongo, qui transforme souvent son corps diplomatique en laquais pour chercher des femmes pour lui lors de ses voyages à l’étranger, aurait, alors qu’il assistait à l’Assemblée générale de l’ONU en 2002, chargé un diplomate de la mission gabonaise à l’ONU d’aller lui « chercher une femme, » alors même qu’Edith Lucie Bongo était dans une suite pas trop loin de la sienne dans le même hôtel ! Omar Bongo aurait ainsi donné, sur le coup, 200.000 dollars à cette fameuse femme suite à une simple fellation!!!
Omar Bongo aurait même en 2004 tenté de séquestrer une ancienne candidate à Miss Pérou dans son palais au Gabon pour en recevoir des faveurs sexuelles. L’affaire avait fait le tour des médias du monde et le BDP-Gabon Nouveau avait dû écrire une lettre d’excuses au gouvernement péruvien au nom du Gabon pour cette ignominie.
Et depuis que le Gabon est devenu le bastion de la prostitution chinoise en Afrique grâce aux bons soins d’Omar Bongo, tout un trafic de prostituées asiatiques a désormais comme base le Gabon, avec la bénédiction du dictateur lui-même.
Sans compter le simple fait qu’au Maroc même Omar Bongo dispose d’un certain nombre de maîtresses avec lesquelles il aurait eu des bâtards, maîtresses qu’il a continué à fréquenter alors même qu’il se trouvait au chevet d’Edith Lucie. Un scandale, donc.
Si, donc, la rumeur de la mort par SIDA d’Edith Lucie Bongo Ondimba venait en effet à se confirmer, il va sans dire que la conclusion la plus évidente serait que son époux Omar Bongo, en serait forcément atteint. Et cela voudrait dire, en effet, qu’Omar Bongo aurait délibérément « tué » Edith Lucie en lui donnant une maladie dont il se savait pourtant atteint. D’où la colère de Sassou qui n’arrive pas à pardonner ce méfait à son si vieux gendre.
Par ailleurs, le fait qu’Edith Lucie Bongo ait été mise en terre sans autopsie pour déterminer officiellement la cause de sa mort laisse des doutes sur un décès manié dans le secret total car il s’agissait de cacher aux peuples gabonais et congolais cette information qui n’allait pas manquer de faire des vagues de part et d’autre de la frontière Congo-Gabon.
Mais cet accord Bongo-Sassou n’a pas suffi pour atténuer la brouille entre les deux hommes car, officieusement, Sassou aurait vigoureusement refusé qu’Edith soit enterrée au Gabon et aurait même menacé Bongo d’invasion militaire du Gabon si Bongo ne lui rendait pas le corps de sa fille. Il aurait dit à Bongo qu’il ne laisserait jamais le corps d’Edith à un « criminel ». Bongo a été obligé de céder pour ne pas risquer une querelle qui confirmerait sa séropositivité et, donc, sa criminalité.
Officiellement, les deux hommes ont annoncé aux médias que la décision de rendre le corps à Sassou serait due au désir de respecter la tradition Mboshie, l’ethnie de Sassou (12% de la population congolaise), tradition qui, selon cette interprétation, exigerait le retour du corps des femmes Mboshies à leurs parents suite à leur mort. Tout le monde sait cependant que les traditions patriarcales africaines ont tendance à laisser au mari le corps de son épouse, ce qui veut dire que Edith aurait normalement dû, selon ces traditions, être enterrée au Gabon auprès de son époux et non au Congo. Le retour aux parents ne serait acceptable qu’en cas de divorce ou de répudiation de la femme par l’époux lors de son vivant. Y aurait-il eu un divorce secret entre Edith et Bongo dont personne n’aurait été au courant ?
Reste à savoir si le remord de Sassou pour avoir « vendu » sa fille à un « criminel » suffira pour sevrer à jamais les rapports mafieux entre lui et Omar Bongo maintenant qu’Edith n’est plus. Cette mort demeure cependant un coup dur pour Omar Bongo qui espérait bien faire du Congo sa base arrière au cas où les Gabonais décidaient un jour de le chasser du pouvoir.
Mais tout ceci n’est que rumeur, donc à prendre avec des pincettes (NDLR).
Source: BDP-Gabon Nouveau
qui vous dit que ces enfants sont les enfants de Bongo? Edith pouvait avoir fait ces enfants avec quelqu’un d’autre et faire croire que ce sont les enfants de Bongo, non? Donc, si Edith avait fait ces enfants avant d’être contaminée par Bongo, c’est normal. Vu que cela ne fait que trois ans qu’elle a disparu, tout se tient.
Mais on ne peut que partir d’hypothèses simples:
– Edith a-t-elle fait ces enfants avec Bongo? Si oui donc les enfants n’ayant pas le SIDA, on peut exonérer Bongo. MAIS, si Edith a fait ces enfants avec quelqu’un d’autre, elle a pu avoir des enfants sains.
– On sait aussi qu’il est possible de faire des enfants sains quand on est sérpositif. Donc, on ne peut pas être 100% sûr.
– L’autre question serait alors: A quel moment Edith aurait-elle été contaminée? Tout dépend ici des habitudes sexuelles d’edith et de Bongo. Portaient-ils des préservatifs? Le faisaient-ils tout le temps? Etc.
Je pense personnellement que toutes les hypothèses se tiennent. Le cancer? Possible. Le SIDA? possible aussi.
Le tout est simplement d’imaginer avec assez de flexibilité que le cancer est possible, tout comme le SIDA est possible.
Je penche pour le SIDA parce que le temps de disparition d’Edith a été long. Le cancer du ceveau est assez fulgurant pour tuer en moins d’un an. Or, en tenant compte de la durée de la maladie d’Edith (au moins trois ans), l’hypothèse du cancer du cerveau qui durerait trois ans est trop incertaine.
Or le SIDA peut avoir des complications tout aussi dangereuses. Tout dépend du métabolisme.
Comme l’a dit Ayatollah, le cancer tue plus vite que le SIDA. Donc, si Edith était atteinte d’un cancer du cerveau aussi grave que vous le dites, elle serait morte depuis très longtemps car ce genre de cancer ne pardonne pas. Trois ans, c’est trop long pour ce type de cancer.
Et comme les autres ne nous ont pas montré les photos, on comprend que cancer ou pas, cette mort leur était honteuse. Mais connaissant les personnes avec qui on a à fairem je pense qu’il faut pencher pour le SIDA. Si Editha avit le cancer, ils n’auraient pas eu besoin de le cacher. Par contre, le SIDA, une maladie de la honte, ils ne pouvaient pas l’avouer, surtout avec Bongo qui serait tout de suite taxé de sidéen. Ils ont voulu cacher cela pour des sraisons aussi simples que la politique car le SIDA éclabousserait publiquement Bongo.
Vous les gabonais,vous étes trop bêtes.Votre président ne sait même pas s’exprimer.J’ai regardé la video sur youtube.C’est la catastrophe!Malheuresement à travers cette video,les blancs nous mélangent dans le même paquet.woouf…les africains,ils sont tellement idiots.
Vers la saisie des comptes au nom d’Edith Lucie Bongo Ondimba à Monaco ?
Écrit par Administrator
26-03-2009
Une ONG demande à Monaco de geler des comptes au nom d’Edith Lucie Bongo Ondimba. L’ONG française Sherpa a adressé au prince Albert II ainsi qu’au procureur de Monaco un courrier demandant le gel de comptes bancaires ouverts en principauté, selon l’association, au nom d’Edith Bongo, l’épouse décédée du chef d’Etat gabonais Omar Bongo, a-t-on appris jeudi auprès de Sherpa.
Une source judiciaire monégasque nous a confirmé l’existence de ce courrier, indiquant qu’aucune procédure de blocage de ces comptes présumés n’avait été engagée.
« Cela devrait être fait fait sur la base d’une commission rogatoire. Il n’y a eu aucune demande d’autorités officielles en ce sens et l’existence de ces comptes reste à vérifier », a indiqué cette source judiciaire.
Dans son courrier au prince Albert II en date du 23 mars, l’ONG Sherpa affirme qu’Edith Bongo Ondimba, décédée le 14 mars, « aurait servi de prête-nom auprès de plusieurs établissements bancaires de la principauté afin de dissimuler les capitaux tant de son époux que de son père », respectivement la chef d’Etat gabonais Omar Bongo Ondimba et le président du Congo Denis Sassou Nguesso.
Sherpa et l’association Transparency International France (TI) ont déposé en décembre une plainte avec constitution de partie civile contre X visant les présidents gabonais, congolais et équato-guinéen (Teodoro Obiang) qu’ils accusent de posséder en France des biens immobiliers financés par de l’argent public détourné.
« Nous avons de sérieuses raisons de penser que les avoirs logés sur les comptes ouverts au nom d’Edith Bongo Ondimba, dans des établissements de la principauté, font partie de ce que nous visons sous l’appellation de +biens mal acquis+ », écrit encore Sherpa.
Sherpa et TI avaient déjà tenté sans succès de faire ouvrir une enquête sur ce dossier en mars 2007 et en juillet 2008, le parquet de Paris ayant classé l’affaire en estimant que les investigations n’avaient « pas permis de mettre en évidence des infractions pénales ».
Source : AFP
C’est le début de la chute irreversible.Amen!
C’est finalement une bande de voyou,ces deux là(Sassou et Bongo).Ahhhhhhh!!Pitié de nous(gabonais et congolais)
Cher frère BABE,
Une petite correction!!! Edith Lucie a deux autres soeurs (même père et même mère comme on dit chez nous à Gabao): Julienne alias Joujou et Ninelle alias Mme Le Maire (Hughes Ngouelodele, Maire de Brazzaville). Leur mère c’est Mme Dirat qui a accompagne sa fille dans la maladie pendant ces trois ans et le père c’est le Cobra en Chef d’Oyo et d’Edou.
Quant à Claudia Sassou-Nguessou (qui était mariée à Lemboumba) et Denis Christel (Kiki, Mr Pétrole du Congo), leur mère est Zaïroise.
La Patrie ou La Mort, Nous Vaincrons.
Johny
VOICI LA VERITE SUR LA MORT D’EDITH
Que ceux qui ont les yeux lisent…
Et que ceux qui ont les oreilles entendent…
Tout commence avec le divorce entre SASSOU NGUESSO (pour cause d’infidélité notoire et rédhibitoire de la part de ce dernier) et sa première femme, avec laquelle le dictateur congolais avait déjà engendré une belle fratrie : Edith Lucy, Claudia, Denis Kristel (alias Kiki), etc.
Le divorce est d’autant plus accéléré que le « Cobra » d’Ohio a déjà, dans la liste sans fin de ses multiples maîtresses, jeté son « venin » (entendez son dévolu) sur la femme de l’un de ses généraux, une certaine Antoinette, avec laquelle il copulait depuis bien longtemps déjà, et ce parfois même, aux dires de certains, dans la maison conjugale de cette dernière, en faisant patienter le malheureux général, par ses gardes, devant la porte de sa propre maison.
C’est donc de cœur las que le général, terriblement éperdu de sa femme, demande la main de cette dernière, en espérant régler par l’alliance et donc l’adultère, une cocufication que son pauvre rang de subordonné ne lui octroi guère face à son chef d’Etat major. Le mariage est donc prévu pour le mois suivant.
Or entre temps, le long célibat du désormais plus populaire célibataire du pays commence à faire défaut dans le protocole – comme ce sera sans doute aussi le cas dans peu pour son ex-gendre BONGO ONDIMBA. Sassou, désemparé par la nouvelle du mariage de sa plus savoureuse maîtresse (la sagesse mboshi ne dit-elle pas que la femme du voisin est toujours sucrée), décide, pour contrecarrer le général, et quelque peu montrer sa bonne-mauvaise foi, d’organiser lui aussi son mariage, avec une deuxième maîtresse, le même jour que celui de son général de rival.
Ulcérée, Antoinette, qui voulait malgré son mariage garder une boutonnière de sa jupe ouverte pour l’homme le plus riche du pays, voit tout à coup, par cette annonce inattendue, relayée d’ailleurs par tous les médias d’Etat, ses habituelles faveurs de femme trompeuse s’évanouir et échouer dans les jambes d’une dangereuse rivale.
Très portée vers les fétiches, c’est alors que la future mariée du général se rend à Pointe-Noire, consulter son marabout préféré, qui lui prescrit alors une formule à prononcer en prononçant le nom de la future première dame. Le résultat ne se fait pas attendre : une semaine avant le mariage présidentiel, la préposée première dame est frappée d’une cécité subite, qui oblige la présidence, qui ne plus ajourner la date officielle de l’évènement, à l’envoyer rapidement en Afrique su Sud pour tenter de se soigner.
Mais malgré les soins intensifs dont elle bénéficie de la part des différents experts qui se relaient sur son cas, la malheureuse ne recouvre pas la vue. Vint alors le jour du mariage présidentiel, et aussi de celui du général et de sa femme. Tout l’entourage du chef de l’Etat congolais s’interroge sur l’identité de celle qui va remplacer, à la dernière minute, la future mariée dont on apprend le matin même être encore en soins intensifs dans une clinique sud-africaine. Or le dictateur-général, habitué des vieilles ruses, n’avait pas encore dit son dernier mot.
Alors que les préparatifs battent leur plein, pour les uns du côté du Palais de Mpila, et pour les autres au Plateau des 15 ans, un quartier huppé de la capitale, de nombreuses personnes sont surprises de voir les gardes de SASSOU NGUESSO se diriger dans un salon de coiffure de Brazzaville, où Antoinette, la future mariée du général, est allé finaliser son chignon de mariage. A peine 10 minutes, c’est donc une Antoinette toute vêtue d’une magnifique robe blanche en soie, que l’on voit embarquer dans une grosse limousine vitrée, et qui pris par la suite la destination de la destination de la présidence, où le protocole a déjà annoncé le lancement de la cérémonie officielle dans les minutes qui suivent.
Vingt minutes plus tard, c’est un SASSOU NGUESSO tout fringant dans sa redingote coupée sur mesure, que les 15 millions de téléspectateurs congolais, auxquels on a explicitement offert en direct la cérémonie, découvrent en train de dire « OUI » et d’embrasser la nouvelle mariée.
Et dans sa chambre d’une clinique sud-africaine, pour laquelle l’évènement est retransmis par câble, c’est par un cri que les médecins et l’entourage de la malheureuse proposée se surprennent de l’entendre pousser un strident … « ANTOINETTE »… Elle vient de recouvrer la vue !
La suite dans un autre épisode (si vous êtes bien sûr sages… et si vous manifestez également l’envie de découvrir ce qui a finalement tué la belle EDITH LUCY SASSOU BONGO.
Entre temps, je laisse les plus sceptiques vérifier l’authenticité de mes sources, et de nous les rapporter sur ce site.
A bientôt,
BABE « L’Homme Qui Savait Tout »
Chers Tous,
SIDA ou pas, CANCER ou pas, il faut dire que la maladie d’Edith a été mal gérée tout au long et surtout depuis le début, d’où les rumeurs. Et on sait que chez nous l’information la plus plausible vient de la rue. Il n’y a pas de fumée sans feu … Et le plus souvent nos sources d’information sont les gens qui travaillent dans ces milieux.
Alors pourquoi en 2006, quand les journaux Français annonçaient qu’Edith a fait un ACV (Accident cardio-vasculaire), le moribond de René NDemezo’o (c’est lui le prochain sur la liste), fait un tapage en disant: »La Première Dame est allée se reposer en France après une longue campagne présidentielle ». On se demande alors que dirait-il aujourd’hui?
Peut-être que trop de repos a conduit la Première Dame à la mort.
Oh Diantre!!! Arrêtez de vous foutre du peuple. Assez c’est Assez. D’ailleurs je ne pense pas que Bongo et sa Cour auront des funérailles aussi grandes que l’engouement qu’on eu les Gabonais envers Edith.
La Patrie ou la Mort, Nous Vaincrons.
Johny
Tu as raison Arc (en ciel)!!! Hier soir j’ai visionné une vidéo d’Houphouet Boigny qui magnifiait sa grandeur après 50 ans au pouvoir en Cote d’Ivoire. Nous savons tous ce que ce pays est devenu.
Lorsque nous voyons un tocard comme Omar Bongo se prévaloir de grand dirigeant et sage d’Afrique, je me dis que nous avons un grand problème en Afrique. Les exemples qui suivent la Cote D’ivoire sont nombreux, mon cher frère!!! Il n’ y a pas que le Gabon qui souffre de ce mal.
Ta colère, surtout sur le virtuel qu’est le net, n’engendrera rien!!! Emploi donc tous les grossiers mots que tu voudras, les gabonais seront insensibles
Mais merci quand même de penser à nous!
Vous les gabonais,vous étes trop bêtes.Votre président ne sait même pas s’exprimer.J’ai regardé la video sur youtube.C’est la catastrophe!Malheuresement à travers cette video,les blancs nous mélangent dans le même paquet.woouf…les africains,ils sont tellement idiots.
Je souffre d’être née Gabonais.J’ai honte d’être gabonais parce que mon président ne sait même pas lire(voir la video sur youtube,Bongo assemblée générale de l’ONU).J’ai honte parce que les gabonais affectionnent les fesses à l’image de Bongo qui affectionne les putes.J’ai honte parce que le gabonais affectionne la bière à l’image du gin dry qu’affectionne Bongo.J’ai honte du manque de patriotisme des gabonais à l’image de bongo qui tue son peuple sans etat d’ame.les Bongo ont transformé mon paradis à un veritable enfer.
Il est possible d’etre malade du SIDA et de faire des enfants sains et bien portants.Bongo est malade depuis fort luirette.ts les gabonais le savent.Le politique ne se soucie pas du gabon.Si tel etait le cas,Bongo allait demissionner depuis longtemps.C’est un président d’une autre époque qui s’exprime tjrs au passé.Il fait honte au gabonais.Allez y sur youtube(tapez:bongo assembée générale de l’onu) et vous verez les limites d’un president qui a fait 40ans au pouvoir.C’est la honte!Le Gabon est la rizé de tout le monde a cause de Bongo.Lorsque les choses vont mal,il faut le dire meme etant un pedegiste convaincu.Bongo nous fait honte!
Moi je crois que cette hypothèse tiens.tchoooouuuuuuoooo a Zame
Si ce n’est pas la honte ça ?????Pauvre femme ,la plus part des afros sont victimes de cette chose pour les mêmes raisons d’infidélité la pauvre n’a ps fait l’exception.Que Dieu ait son Ame.
La thèse du sida transmis par Omar est un tout petit peu tirée par les cheveux.Car,si Omar bongo est malade depuis une 15zaine d’années,cela voudrait dire qu’il aurait fait ses deux enfants avec edith tout en se sachant malade,il aurait donc transmis volontairement la maladie a ses propres enfants(yassine et omar denis)-Ce dont je doute serieusement.Ce ne sont que des rumeurs mais là encore il faut savoir écarter les non-sens
à quoi ça sert tous cela?le gabon a d’autre problemes plus importante que de vivre de rumeur si c’est ça pour vous de la résistance proposer des vrai idée au gabonais plutot que de nous intocxiquer avec des rumeur qui ne ré-hausse pas l’image du Gabon fait de le vrai opposition bassé sur des idées qui aiderons le gabon a retrouver son image de marque plustot qu’a l’enfoncer d’avantage.
Je souffre d’être née Gabonais.J’ai honte d’être gabonais parce que mon président ne sait même pas lire(voir la video sur youtube,Bongo assemblée générale de l’ONU).J’ai honte parce que les gabonais affectionnent les fesses à l’image de Bongo qui affectionne les putes.J’ai honte parce que le gabonais affectionne la bière à l’image du gin dry qu’affectionne Bongo.J’ai honte du manque de patriotisme des gabonais à l’image de bongo qui tue son peuple sans etat d’ame.les Bongo ont transformé mon paradis à un veritable enfer.