Les rumeurs sur la fissure entre Omar Bongo du Gabon et Sassou Nguesso du Congo se font de plus en plus persistantes. Cette fissure aurait pour cause directe la mort d’Edith Lucie Bongo Ondimba suite à une maladie incurable le 14 mars dont les deux dictateurs ont fait le plus grand secret.
Depuis le 7 février dernier, date à laquelle le BDP-Gabon Nouveau avait appris le premier la rumeur faisant état de la mort ou de la chute dans un coma profond et irréversible d’Edith-Lucie Bongo Ondimba, des rumeurs existent dans les cercles bongoïstes et sassouïstes qui faisaient état d’une sorte de brouille latente entre les deux dictateurs qui avait pour centre la « maladie incurable » dont souffrait Edith-Lucie Bongo Ondimba.
La brouille se serait faite un peu plus persistante dans les semaines qui ont vu les deux kleptocrates séjourner des semaines durant au Maroc après s’y être rendus précipitamment dès l’annonce officielle le 5 février de la dégradation de l’état de santé d’Edith Lucie Bongo Ondimba, épouse de Bongo Ondimba du Gabon et fille de Sassou Nguesso du Congo Brazzaville.
Le BDP-Gabon Nouveau dispose désormais des détails de cette rumeur de brouille qui aurait tendu les rapports entre les deux dictateurs lors de leurs longs séjours au Maroc au chevet d’Edith Bongo, même si, pour le moment, nous mettons tout cela dans la catégorie « forte rumeur ».
Sassou Nguesso aurait ainsi, selon la rumeur, lancé à Omar Bongo un « Tu as tué ma fille, salaud! » quand les deux hommes se sont retrouvés au chevet d’Edith le samedi 7 février. Omar Bongo s’était rendu précipitamment au Maroc le jeudi 5 février, suivi par Sassou Nguesso le samedi 7 février.
Cette attaque directe de Sassou envers son beau-fils (beau-fils plus vieux que son beau-père d’ailleurs) aurait, dès le départ, brouillé les deux hommes qui, dès lors, se sont soigneusement évités pendant la quasi durée de leur séjour au Maroc, ne recommençant à parler qu’au moment de l’annonce officielle le 14 mars de la mort d’Edith, qui, selon des sources médicales, serait cliniquement morte le 7 février dernier puisque tombée dans un coma profond et irréversible, contrairement à l’annonce faite par le gouvernement gabonais selon laquelle son état de santé se serait amélioré.
L’on vit ainsi les deux hommes s’étreindre de douleur au Maroc pour pleurer dans le remord des crocodiles, l’un (Bongo) pour avoir « tué » la fille de l’autre, et l’autre (Sassou) pour avoir « vendu » sa fille à l’autre. Mais tout cela, évidemment, sur fond de brouille.
La source de la brouille vient du fait que dans l’entourage de Sassou Nguesso, tout le monde reprocherait à Omar Bongo d’avoir délibérément communiqué le VIH/SIDA à Edith Lucie Bongo Ondimba. Des rumeurs persistantes au Gabon ont en effet, depuis au moins 15 ans, fait état du fait qu’Omar Bongo serait séropositif mais que sa séropositivité n’aurait pas encore dégénéré en SIDA. L’on se souviendra en effet que, avec les bons soins, l’on peut retarder la transformation du VIH en SIDA, l’étape du SIDA étant plus ou moins la phase maladive et terminale de la maladie. Avec les cocktails anti-SIDA qui existent aujourd’hui, il est même possible de reculer la phase terminale et certaines personnes avec un métabolisme fort arrivent même à vivre longtemps avec le SIDA dans le corps, quoique péniblement. Magic Johnson, l’ancien prodige américain de basket-ball, vit avec le VIH depuis 15 ans et n’a jamais développé le SIDA.
Il semblerait qu’Edith Bongo Ondimba aurait été moins chanceuse que son mari selon la rumeur qui vient des milieux congolais.
Dans la mort d’Edith Lucie Bongo Ondimba, l’hypothèse du SIDA tient la route car en conformité avec une dégradation progressive de la santé chez la première dame du Gabon qui n’avait plus été vue au Gabon depuis pratiquement 2006. Des rumeurs persistantes faisaient état d’une maladie incurable (SIDA ou autre) qui la maintenait dans l’agonie la plus totale et dans le besoin permanent d’attention. D’autres rumeurs la disaient atteinte de maladie mentale. Le régime Bongo avait fait de la situation d’Edith Bongo un vrai secret d’état depuis que la première Dame était atteinte de son affliction. De France où elle se faisait soigner, elle avait été secrètement amenée au Maroc où elle est finalement décédée.
Le secret d’état fait autour des causes de la mort d’Edith par les familles Bongo et Sassou conforte également la rumeur d’une mort par SIDA car les familles, selon des sources proches, éviteraient de salir le nom d’Edith par l’annonce d’une mort aussi ignominieuse qui ferait immédiatement d’Omar Bongo un criminel puisqu’ayant communiqué le VIH à Edith alors qu’il s’en savait atteint. Bongo et Sassou se seraient donc arrangés pour garder secrète la cause de la mort de la jeune femme décédée dans la fleur de l’âge à seulement 45 ans. Le fait que la cause de la mort d’Edith n’ait jamais été évoquée officiellement, et que les sources officielles se soient limitées aux annonces de « longue maladie », conforterait ainsi la thèse d’une mort par SIDA, surtout quand on sait que aucune photo d’Edith Bongo dans sa phase terminale n’a été prise et que les médecins marocains ont été tenus au secret le plus total pendant toute la durée du séjour de la patiente au Maroc.
Sassou Nguesso, tandis qu’Edith agonisait au Maroc, serait resté inconsolable. Il se reprocherait la mort de sa fille car c’est à cause des pressions familiales venant de son père qu’Edith avait finalement accepté d’épouser Omar Bongo, un vieillard de 30 ans son aîné. Beaucoup ont vu en ce mariage arrangé un mariage de raison qui assurait aux familles Bongo et Sassou le soutien politique de part et d’autres de la frontière. L’on se souviendra que c’est grâce à l’argent gabonais que Sassou a pu reconquérir le pouvoir au Congo, dans une guerre civile sanglante de 10 ans (1993-2003) qui a fait des milliers de victimes (10.000 à 15.000 morts selon certaines sources).
Côté gabonais, la vie sexuelle débridée d’Omar Bongo n’est plus à démontrer. Entre les dizaines d’enfants bâtards faits par le dictateur gabonais dans de multiples relations extraconjugales et son amour pour les prostituées, Omar Bongo n’a jamais rechigné devant la vue des fesses d’une femme.
L’on se souviendra que, de sources diplomatiques sûres, Omar Bongo, qui transforme souvent son corps diplomatique en laquais pour chercher des femmes pour lui lors de ses voyages à l’étranger, aurait, alors qu’il assistait à l’Assemblée générale de l’ONU en 2002, chargé un diplomate de la mission gabonaise à l’ONU d’aller lui « chercher une femme, » alors même qu’Edith Lucie Bongo était dans une suite pas trop loin de la sienne dans le même hôtel ! Omar Bongo aurait ainsi donné, sur le coup, 200.000 dollars à cette fameuse femme suite à une simple fellation!!!
Omar Bongo aurait même en 2004 tenté de séquestrer une ancienne candidate à Miss Pérou dans son palais au Gabon pour en recevoir des faveurs sexuelles. L’affaire avait fait le tour des médias du monde et le BDP-Gabon Nouveau avait dû écrire une lettre d’excuses au gouvernement péruvien au nom du Gabon pour cette ignominie.
Et depuis que le Gabon est devenu le bastion de la prostitution chinoise en Afrique grâce aux bons soins d’Omar Bongo, tout un trafic de prostituées asiatiques a désormais comme base le Gabon, avec la bénédiction du dictateur lui-même.
Sans compter le simple fait qu’au Maroc même Omar Bongo dispose d’un certain nombre de maîtresses avec lesquelles il aurait eu des bâtards, maîtresses qu’il a continué à fréquenter alors même qu’il se trouvait au chevet d’Edith Lucie. Un scandale, donc.
Si, donc, la rumeur de la mort par SIDA d’Edith Lucie Bongo Ondimba venait en effet à se confirmer, il va sans dire que la conclusion la plus évidente serait que son époux Omar Bongo, en serait forcément atteint. Et cela voudrait dire, en effet, qu’Omar Bongo aurait délibérément « tué » Edith Lucie en lui donnant une maladie dont il se savait pourtant atteint. D’où la colère de Sassou qui n’arrive pas à pardonner ce méfait à son si vieux gendre.
Par ailleurs, le fait qu’Edith Lucie Bongo ait été mise en terre sans autopsie pour déterminer officiellement la cause de sa mort laisse des doutes sur un décès manié dans le secret total car il s’agissait de cacher aux peuples gabonais et congolais cette information qui n’allait pas manquer de faire des vagues de part et d’autre de la frontière Congo-Gabon.
Mais cet accord Bongo-Sassou n’a pas suffi pour atténuer la brouille entre les deux hommes car, officieusement, Sassou aurait vigoureusement refusé qu’Edith soit enterrée au Gabon et aurait même menacé Bongo d’invasion militaire du Gabon si Bongo ne lui rendait pas le corps de sa fille. Il aurait dit à Bongo qu’il ne laisserait jamais le corps d’Edith à un « criminel ». Bongo a été obligé de céder pour ne pas risquer une querelle qui confirmerait sa séropositivité et, donc, sa criminalité.
Officiellement, les deux hommes ont annoncé aux médias que la décision de rendre le corps à Sassou serait due au désir de respecter la tradition Mboshie, l’ethnie de Sassou (12% de la population congolaise), tradition qui, selon cette interprétation, exigerait le retour du corps des femmes Mboshies à leurs parents suite à leur mort. Tout le monde sait cependant que les traditions patriarcales africaines ont tendance à laisser au mari le corps de son épouse, ce qui veut dire que Edith aurait normalement dû, selon ces traditions, être enterrée au Gabon auprès de son époux et non au Congo. Le retour aux parents ne serait acceptable qu’en cas de divorce ou de répudiation de la femme par l’époux lors de son vivant. Y aurait-il eu un divorce secret entre Edith et Bongo dont personne n’aurait été au courant ?
Reste à savoir si le remord de Sassou pour avoir « vendu » sa fille à un « criminel » suffira pour sevrer à jamais les rapports mafieux entre lui et Omar Bongo maintenant qu’Edith n’est plus. Cette mort demeure cependant un coup dur pour Omar Bongo qui espérait bien faire du Congo sa base arrière au cas où les Gabonais décidaient un jour de le chasser du pouvoir.
Mais tout ceci n’est que rumeur, donc à prendre avec des pincettes (NDLR).
Source: BDP-Gabon Nouveau
Les gabonais sont tellement idiots qu’ils font hontes à tte l’Afrique à l’assemblée générale de l’onu.
Avez-vous perdu la t´ête? Qu’est-ce que cette pauvra femme vous a fait? Laissez Edith tranquille, elle qui a travaillé bien avec Al Rafa au Gabon et l’aide aux jeunes qui ont le sida. Vous n’avez pas de coeur. Que dieu de bénisse mamam edith, je t’aimerai toujours.
BABE,
je suis d’accord avec toi que la mort d’Edith a pour origine les intrigues de comportement de son dictateur de père!!!
Il y a beaucoup d’Edith en Afrique surtout dans les milieux de la haute politique ou les excès de pouvoir font vivre des choses inimaginables.
Edith avait ce complexe de première Dame qui voulait montrer qu’elle était née pour la grandeur alors que tout cela cachait des blessures héritées de sa vie familiales!!!
Ce qui est sur, elle savait que le chemin qu’elle avait choisi était mortel!!!
Mitsumba, votre argument concernant les grossesses et le dépistage obligatoire est faible: Quand vous dites…
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CITATION: A supposer que les 3 années soient des années de phase finale, on pourrait alors situer la pseudo contamination de cette dame autour des années 1999, et laisseraient supposer que Madame BONGO qui a eu des enfants avec un mari lui même sidéen, ne se serait pas rendu compte qu’elle en était contaminée, d’autant plus que les tests de sida sont systématiquement faits en cas de grossesse. FIN DE CITATION.
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… je ne vois pas le rapport. Est-ce que le fait de se faire dépister obligatoirement veut dire FIN de l’infection ou que le médecin va recommander l’avortement? Il me semble que si un médecin avait découvert qu’Edith était séropositive à la naissance de son premier enfant, cela n’aurait ni supprimé l’infection ni résulté dans un avortement. Le job du médecin n’aurait pas été de dire, AVORTEZ madame, puisque vous avez le VIH. Le Job du médecin aurait été de tout simplement faire des recommandations pour s’assurer que la maman de contamine le bébé dans le ventre où à la naissance ou pendant l’allaitement au sein.
Je crois que vous voulez tellement rejeter l’hypothèse du SIDA que vous vous égarez dans des raisonnements un peu faibles. Vous confondez peut-être le dépistage chez les gens qui veulent se marier en France et qui peuvent se retrouver forcés de ne pas se marier si la maladie est découverte et les grossesses, qui sont un autre problème.
Edith comme le dit Ayattollah aurait parfaitement eu 95% de chances d’avoir des enfants sains. En fait, sachant que le premier enfant est né sain, rien n’aurait empêché Edit d’avoir un deuxième enfant ayant elle-même la preuve sous les yeux que son premier enfant n’a pas été contaminé par sa maladie.
Il me semble que vos arguments militant pour l’hypothèse cancer vous font oublier que le VIH/Sida peut favoriser l’émergence de cancer là où la personne aurait pu ne jamais en avoir. Soyons cohérent pour reconnaître tout simplement comme le dit Ayatollah:
1) Edith a PU mourir de SIDA, c’est plausible.
2) Edith a pu mourir de Cancer, c’est plausible.
3) Edith a pu mourir de cancer favorisé par son SIDA (donc de cancer et de SIDA), c’est plausible.
Pourquoi? Parce que le SIDA comme le cancer peuvent mener à la détérioration du système nerveux, donc à ces symptômes que vous voulez limiter au cancer seul.
Vous avez raison sur un seul point: spéculer sur les périodes d’incubation et de contamination ici n’a vraiment aucun sens. La différence de métabolisme fait que chez certains, certaines maladie comme le Cancer et le SIDA peuvent aller très vite à la phase finale alors que chez d’autres cela peut prendre des années. Que cela soit la cancer ou le SIDA, on ne saura jamais quand Edith a commencé sa maladie. Tout ce qu’on peut dire c’est que, cancer ou SIDA, on peut mesurer sa période d’agonie (de détérioration) à partir de sa disparition de la scène publique depuis près de trois ou quatre ans. Son agonie, probablement grâce aux soins avancés qu’elle a pu recevoir, fut long. Mais la maladie a fini par triompher.
Comme on dit, tu peux tromper le peuple très souvent, mais tu ne peux jamais tromper la malaldie (ma citation).
Ayatollah et Mitsumba faites un effort d’etre court dans vos interventions. Vous savez que vous traitez d’un sujet ultra sensible, et que nous autres LES MILANG MI SI pour vous lire nous devons nous rendre dans les Cybers. Imaginez un seul instant qu’un Agent du pouvoir me trouve entrain de lire ces choses la…VRAIMENT!!!! JE SERAI LE PROCHAIN CADAVRE, CETTE FOIS IL N’Y AURA PLUS DE DEUIL NATIONAL..MON PAUVRE CADAVRE SERA JETE A MINDOUBE NIGHT CLUB.Soyez donc moins long pour nous permettre de vite parcourir vos messages. Mr Ndui ASSAM, je pense que ce n’est pa le nom que ton pere et ta mere t’ont donne quand meme… Fais attention mon frere, Il est encore au pouvoir…
Nous savons que l’utilisation des thérapies antirétrovirales de type HAART a permis de diminuer considérablement le taux de mortalité chez les patients infectés par le VIH. Cependant, en dépit d’un meilleur contrôle de la réplication virale et de l’immunité, l’émergence de pathologies malignes (CANCERS) chez les patients infectés par le VIH est devenue une sérieuse cause de morbidité et de mortalité.
Le petit KALBA la tourne deja un peu trop autour de moi… Qui sait, peut etre qu’il travaille pour l’autre …
MILANG MI SI.
Cher Mitsumba,
Vous avez bien résumé l’affaire. Il faut juste que ceux qui nous lisent comprennent que dans les deux cas, cancer ou SIDA, c’est possible.
L’immunodéficience qui vient du VIH/SIDA veut dire l’affaiblissement de la capacité du corps à se protéger des infections. Ce que cela veut dire est que le corps devient la victime d’infections pouvant devenir rapidement fatales si on ne se soigne pas. On a même noté que le SIDA pouvait occasionner certaines formes de cancer et la déterioration du système nerveux. L’hypothèse du cancer, dans ce sens, n’est pas totalement contradictoire avec celle du SIDA, vu que le SIDA peut faciliter la progression du cancer. La malchance d’edith peut être d’avoir eu les deux en même temps.
En ce qui concerne les enfants, la science a montré depuis longtemps que si on donne à la mère des antiviraux pendant la grossesse, les cahnces d’infecter l’enfant dans le ventre et à la naissance sont considérablement réduites. Il est donc possible de concevoir qu’Edith ait pu avoir des enfants sains, même si elle-même était infectée. L’infectiomn n’est pas automatique. Tout dépend du suivi devant la grossesse et surtout, à la naissance car le sang au moment de l’accouchement peut contaminer un bébé sain.
Les chiffres actuels montrent ceci pour les enfanst:
1) Dans le passé, avant l’arrivée des antiviraux, 25% des enfants nés de mère séropositives devebaient contaminés et mourraient dans les 24 mois.
2) Maintenant, avec de bons soins prénataux et la prise d’antiviraux lors de la grossesse, il y a moins de 5% de chances que les mères séropositives donnent le VIH à leurs enfants. Ce n’est donc pas étonnant si les enfanst d’Edith ont pu naître sains car 95% des enfanst naissent sains quand le suivi médical est bien fait.
TOUT est donc possible. SIDA, pourquoi pas? Cancer, pourquoi pas? Les DEUX en même temps, pourquoi pas? Et comme personne n’a vu le corps d’Edith, on ne peut pas savoir si elle est morte maigre ou grosse ou obèse.
Ce que je ne comprends pas c’est la logique de dire que parce que’Edith avait la capacité de se faire tester pendant la grossesse, elle n’avait pas le SIDA. Comme je viens de le montrer, le fait de se faire tester ne veut pas dire que les médecins vont faire avorter la femme parce qu’elle est séropositive. Le but du dépistage c’est justement de permettre à la femme d’organiser une prise en charge qui peut lui permettre de protéger son bébé de la contamination. Je ne vois pas comment un docteur qui se respecte va recommander l’avortement quand il y a 95% de chance que le bébé naisse sain. Le dépistage permet le suivi et la protection du bébé, mais cela n’empêche pas qu’edith ait pu avoir le SIDA et donner naissance à des enfants parfaitement sains!!! 95% de chance d’avoir un enfant sain c’est pas rien quand même!!!
Il va sans dire ici que le Cancer est une hypothèse possible car certains cancers varient dans leur virulence. Certaines personnes bien suivies peuvent vivre 5 ans ou plus car les pourcentages de survie sur 5 ans varient entre 5% de taux de survie à 99% (tout dépend du type de cancer). Dans tous les cas, je reste persuadé que le SIDA reste une possibilité plus probable que le cancer dans cette affaire. Comme je viens de le montrer, le fait d’avoir des enfants sains ne veut pas dire qu’on n’a pas le SIDA. 95% des enfants naissent sains si les parents ont eu un bon suivi, ce qui est probablement le cas d’Edith.
Il n’y donc rien qui montre que cela ne puisse pas être le SIDA car tout se tient non seulement en termes de durée de maladie mais aussi d’hypothèse d’incubation, sans pour autant exclure la possibilité du cancer.
La vraie question c’est la suivante: pour quelle raison les familles Bongo et Sassou auraient-ils besoin de cacher que leur fille souffrait d’un cancer? Le cancer n’est pas une maladie à anathème. Il peut arriver à tout le monde donc il ne porte pas avec lui l’effet de honte que le SIDA cause.
Pour avoir caché la maladie d’Edith avec autant de secret, cela ne peut être qu’une maladie honteuse, et la seule maldie honteuse avec des implications politiques terribles pour Bongo, c’est le SIDA.
S’il vous plais reguardont la verriter en face on juge un pays a l’image des personnes qui le dirrige,nous sommes juger a l’image de Bongo pour quoi? par notre propre imcapassiter d’etre des personnes libre et digne.le beninois a raison de nous inssulter car nous sommes representer par l’image de Bongo.Et toute l’Afrique au grand complet puisqu’il se fait appeler le sage de l’Afrique.il est temps cher freres et soeurs de prendre notre destain en main,le bon Dieu ne nous envera plus un liberrateur nous sommes nous meme notre propre liberrateur.Dieu nous a donner la capaciter de juger le bon et le bien,et nous savon que Bongo est le mal du Gabon.Si vous avez mal a la dent,que faite vous?vous l’enlever,si le cancer ronge un des menbres de votre corp que faite vous?vous l’emputer.si vous arrivez a faire sa avec votre propre corp a plus for raison avec une personne qui a tuer au moin un menbre de votre famille,nous somme a painne un million quatre abitant.donc en conclusion bongo a tuer au moin un menbre de chaque familles Gabonaise,personnellement ou par la mauvaise polique qu’il a mit en place au Gabon les hopitaux sans aprovisionner en medicament ou par la pauvrete qui mine les Gabonais les imtellectueles comme les nom imtellectueles.tous subis cette mauvaise polique.
A L’Ayatollah
Je suis très heureux de discuter en toute sérénité avec vous , pour essayer d’analyser sans animosité aucune des causes supposées du décès de celle qui fut la première dame du Gabon.
Je partirais tout d’abord de trois postulats :
Premier postulat sur lequel je pense nous serons tous d’accord, c’est que ni vous, ni moi n’avons vu l’acte de décès encore moins le bulletin de santé de Mme BONGO. (Seuls les médecins ayant été au chevet de cette malheureuse, Mr Bongo et famille ainsi que Mr Sassou et famille ,pourraient avoir l’information fiable).
Second postulat : Nous sommes dans le domaine des hypothèses, donc des suggestions, qui ne sont pas nécessairement vérifiables et donc pas forcément certifiées.
Et Enfin, troisième postulat, nous débattons sur le seul registre des rumeurs lancées par le site. Or la rumeur a ceci de particulier, elle s’enfle vite et prend l’apparence d’une vérité, là où la vérité prend l’apparence d’un mensonge.
Certains diront la rumeur emprunte l’ascenseur et la vérité les marches. Mais toute rumeur est elle nécessairement fondée ? n’y a t’il pas dans le faux une part de vérité ? la complexité de la rumeur réside dans cette ambiguïté de pouvoir mêler à la fois le vrai et le faux .
Une fois ces postulats posés, on peut donc dire que ni vos analyses aussi solides soient elles ni les miennes , ne peuvent être considérées comme paroles d’évangiles et qu’à ce titre, une certaine prudence exige que nous soyons mesurés dans nos pseudo certitudes, quant à une éventuelle mort de cette dame par le SIDA.
Pour ma part je m’y tiendrai car la réalité sociale dans un contexte Africain est quelque fois plus complexe à démêler.
Pour revenir aux interrogations fort judicieuses que vous avez soulevées et que je vais tenter d’y répondre, avant de clore peut être le débat, j’aimerais que ce site redevienne un site des débats constructifs comme celui que nous initions , plutôt qu’un site où l’on s’étripe à longueur de journée.
En ce qui concerne la première question sur l’efficacité des trithérapies, je tiens à dire ceci : Malgré une capacité réelle à améliorer l’état de santé des malades qui peuvent souvent reprendre une vie normale, à rétablir une fonction immunitaire satisfaisante avec des taux de CD4 subnormaux et à contrôler la réplication virale avec des charges virales qui peuvent souvent devenir indétectables par les techniques actuelles, les trithérapies ne guérissent pas de l’infection par le VIH.
Conclusion NON les trithérapies ne sont pas efficaces à 100%. Il existe des cas d’échec thérapeutiques appelés échec virologique. (30% par exemple sont en échec virologique en France et 7% en échec sévère ( Source Sida Info service).
Concernant la méthode de transfusion, là non plus elle n’est efficace que si elle est associée à une prise des médicaments et faite régulièrement, mais son efficacité n’est pas non plus assurée à 100%.
Malheureusement on meurt encore du Sida malgré les progrès de la médecine.
Pour revenir au cas de Feue Mme Bongo, je pense que vous m’avez mal lu car en faisant référence aux moyens dont elle disposait, c’était pour la distinguer du Gabonais moyen qui ne peut pas se permettre d’assumer financièrement à lui seul un traitement à base de trithérapie et de transfusion régulière qui n’est pas non plus donnée, s’il n’est pas pris en charge par l’Etat ou un organisme, car il reste très coûteux, pour les pauvres .
Ainsi donc , la hiérarchisation sociale fait que les riches auront tendance à avoir plus d’opportunités à s’offrir les meilleurs médecins, les meilleurs médicaments et les meilleures structures que les autres. Il me serait malvenu de faire ce type de raccourci que vous faites en affirmant qu’il suffit d’avoir de l’argent pour ne plus mourir, alors que le cas présent nous démontre le contraire.
Aussi , en faisant référence à la culture ( sujet très épineux), est ce parce que Edith était d’origine Africaine qu’elle doit forcément se comporter comme tous les Africains ? Vous généralisez assez facilement . Il y a des Africains qui vont faire leur test de Sida régulièrement, sans que cela puisse poser problème. Fort heureusement vous vous reprenez en affirmant qu’elle aurait pu tomber dans la catégorie de ceux qui ne veulent pas faire le test du VIH. Là encore on est dans la supposition et donc hypothèse peu solide.
Vous parlez d’une période de 3 ans que vous estimez longue et donc susceptible d’avoir favorisé le Sida chez Edith Bongo, permettez moi de vous dire qu’on distingue trois phases successives de cette infection.
Phase 1, appelée phase d’incubation, elle dure de 3 semaines à 6 mois, elle est caractérisée par des signes mineurs.
Phase 2 ou phase d’imprégnation silencieuse, qui peut durer jusqu’à 10 ans ou un peu plus selon les organismes ; (durant cette phase 60%des sujets infectés développeront le sida, 20% ne présenteront aucun signe sida au bout de 10 ans et 20% connaîtront des syndromes mineurs).
Pour ne pas mêler le cas de Edith à ces catégories, je veux juste dire que les 3 années que vous énoncez et qui vous paraissent normales pour développer un sida, paraissent un peu réductrices au regard des études menées sur les différentes phases du sida., qui en général tablent sur une moyenne de 8 à 10 ans d’incubation.
A supposer que les 3 années soient des années de phase finale, on pourrait alors situer la pseudo contamination de cette dame autour des années 1999, et laisseraient supposer que Madame BONGO qui a eu des enfants avec un mari lui même sidéen, ne se serait pas rendu compte qu’elle en était contaminée, d’autant plus que les tests de sida sont systématiquement faits en cas de grossesse.
Pire encore les enfants de cette malheureuse sont nés en France, ce qui laisse encore des doutes sur l’hypothèse que vous soulevez sur une découverte tardive ou un refus de se faire dépister à temps, car si au Gabon on peut émettre des doutes sur un dépistage systématique des femmes enceinte, en France ce n’est ni obligatoire, mais systématique.
Donc votre hypothèse de 3 ans souffre de cette carence qui semble ignorer la phase d’incubation ainsi que les nombreuse maternités qu’aurait eues cette dame et qui d’ores et déjà se seraient mises sous médicament une fois le Vih détecté lors d’un accouchement en France. On l’aurait systématiquement mise sous médicament. Je m’imagine fort mal de voir une dame dont on vient de découvrir la séropositivité repartir sans être informée de sa pathologie et repartir sans une prescription médicamenteuse.
Dans cet ordre d’idée on pourrait aussi penser que ses deux enfants seraient certainement atteints ? ce qui l’est encore moins sûr.
Et enfin, vous évoquez les raisons qui auraient poussées Edith à ne plus revenir auprès de son mari, là encore , ce ne sont que des suppositions. Savez vous à partir de quand Mr Bongo avait il mis un Blackout , autour de son épouse ? et quelles en furent les raisons ?
Vous savez qu’entre 2006 2007, une première rumeur avait déjà fait état de la mort de Mme Bongo et qu’une partie des compatriotes avaient sablé du champagne et bu de la bière dans les rues de Libreville à l’annonce du pseudo décès.
Ces scènes qui ne furent pas du goût de Mr Bongo et qui le poussèrent à prendre la décision d’interdire désormais toute visite et toute information concernant son épouse aussi bien en France qu’au Maroc. Seules les proches étaient dorénavant autorisées à lui rendre visite.
Ensuite , vous affirmez que Mr Bongo aurait pu empêcher son épouse d’effectuer un test de sida, non Cher Ayatollah cette hypothèse prête à sourire. Il est de notoriété publique que Mme Bongo n’était pas prisonnière de son mari.
Elle effectuait régulièrement des visites à l’étranger et au Congo sans son mari, qu’est ce qui l’aurait empêché d’aller dans un laboratoire de santé , pour simplifier dans un centre anonyme et gratuit sans rendez vous ?
Si cette dame aux dires de certains a pu avoir quelques liaisons extra conjugales , sans que Bongo ait pu faire quoi que ce soit pensez vous qu’il l’aurait empêché d’aller effectuer un test hors du Gabon ? Non j’y crois .Pensez vous que Mr Bongo se serait opposé à un test sur sa femme lors d’un accouchement en France ? accouchement auquel sieur Bongo n’assistait presque pas. Cela paraît invraisemblable.
Certains affirment qu’on n’a pas pu voir le visage de cette dame, car certainement affecté par la maladie, rien non plus ne nous permet d’affirmer que le cercueil qu’on a vu à Libreville portait le corps de cette dame. Il aurait pu se trouver déjà au Congo et que ce ne fut qu’un simulacre de funérailles sans corps qui aurait eu lieu à Libreville, d’où l’impossibilité de voir son visage , surtout que l’on semble apprendre que d’âpres pourparlers entre Bongo et Sassou ont éclaté sur la destination définitive du corps.
Bref ceci pour dire que les raisons de sa mort resteront pour vous et moi un mystère et rien ne dit non plus qu’il pourrait s’agir d’autres choses. Si vous voulez qu’on fasse aussi une analyse purement Africaine, alors on pourrait aussi considérer cette mort sous un autre angle purement mystique , c’est une autre hypothèse parmi tant d’autres.
Pour ma part je n’exclue ni ne privilégie aucune hypothèse ( Cancer AVC, Sida, Sortilège, mysticisme, Drogue etc ;;) car on peut vous et moi se tromper royalement dans nos analyses qui ne sont que des convulsions cérébrales, mais que seuls Bongo et Sassou doivent mieux connaitre.
Heureux d’avoir débattu un peu avec vous.
Cordialement et fraternellement
Mitsumba
toi la béninoise occupe toi des problème du Benin et laisse le Gabon tranquille, on s’en fou que tu es vécu au Gabon. au Benin je ne crois pas que l’intelligence déborde donc de grâce un peu de respect pour les gens .
Je suis de nationalité beninoise.Jai grandi au gabon à owendo.Je vis présentement à accra.Je suis desolé si le message vs a vexé,mais c’est la pure verité.vs les gabonais,vs êtes trop bêtes.Lorsqu’un président va à l’assemblée générale de l’onu pour ne pas correctement articuler les mots écrits sur un papier,quelles conclusions peut on alors en tirer?Pis,il improvise un discours villageois en pleine assemblée de l’onu.
La thèse selon laquelle edith aurait fait ces enfants avec un autre homme est tout a fait incongrue et digne de l’intrigue d’un roman policier!je sais que nous avons la haine contre bongo et sa femme mais là,la haine devient obsession et allucination!Je doute de la thèse du sida transmis par bongo parce que si il etait vraiment malade depuis une 15zaine d’année,il aurait pris des précaution pour ne pas contaminer ses propres enfants et pour le faire,un suivi medicale très etroie des grossesses de édith aurait été nécessaire,ce qui voudrait dire qu’edith était au courant de la maladie de son epoux,elle aurait donc tout fait pour eviter d’etre contaminer par son mari autant que leur deux enfants.Reflechissons mes frères et ne flechissons pas devant les rumeurs et cancans!
Je suis de nationalité beninoise.Jai grandi au gabon à owendo.Je vis présentement à accra.Je suis desolé si le message vs a vexé,mais c’est la pure verité.vs les gabonais,vs êtes trop bêtes.Lorsqu’un président va à l’assemblée générale de l’onu pour ne pas correctement articuler les mots écrits sur un papier,quelles conclusions peut on alors en tirer?Pis,il improvise un discours villageois en pleine assemblée de l’onu.
Bertrand de LANOE
Bien sûr qu’on peut vivre aussi lontemps avec le Cancer,tout comme le SIDA.
Il n’ ya que Sassou et son gendre qui en savent la cause réelle du décès d’Edith Bongo Ondimba.Moi personnelement,j’exclu l’idée du Sida pour plusieurs raisons,
1/ Avant son décès,la première Dame du Gabon était devenue pratiquement OBESE au point où elle avait du mal à se lever, alors que le Sida fait maigrir,
2/Elle était dejà victime des troubles de mémoire en ce sens qu’elle ne se rappelait plus des noms de ses proches,
3/On sait que c’est à cause de troubles de folie qu’Edith s’était exilée en France de peur que les gabonais sachent les causes de sa maladie,
4/ Elle n’avait pas besoin,surtout avant tout cet argent qu’avait-elle de se déplcer du Sida alors que les anti viros,elle pouvait en commander…
Non Bertrand DelaNoé ton argumentaire se tient , sauf pour le cancer du cerveau tout le monde sur ce site connais Siméon Ekoga il est malade du Cerveau et apparement cancéreux du « CIBOULOT » hé bien malgré la tumeur il est toujours debout malgré les médicaments a base « d’alcool » qu’Il ingurgite tous les jours , a moins que ce ne soit le « Syndrome Irresponsable Des Andouille » appellé SIDA qui l’oblige a une tritherapie a base de ballons de rouge.
Donc revois ta copie cher frère c’est pas le CANCER qui a emporté la première Dame……je pense pour une autre solution…..
l’Abus de Comptes Banquaires qui est nocif pour la santé
ARC
Je voudrais savoir de quelle nationalité es-tu,avant d’engager un debat sur le discours de Bongo(homme de l’ancienne époque) à l’ONU.