Les rumeurs sur la fissure entre Omar Bongo du Gabon et Sassou Nguesso du Congo se font de plus en plus persistantes. Cette fissure aurait pour cause directe la mort d’Edith Lucie Bongo Ondimba suite à une maladie incurable le 14 mars dont les deux dictateurs ont fait le plus grand secret.
Depuis le 7 février dernier, date à laquelle le BDP-Gabon Nouveau avait appris le premier la rumeur faisant état de la mort ou de la chute dans un coma profond et irréversible d’Edith-Lucie Bongo Ondimba, des rumeurs existent dans les cercles bongoïstes et sassouïstes qui faisaient état d’une sorte de brouille latente entre les deux dictateurs qui avait pour centre la « maladie incurable » dont souffrait Edith-Lucie Bongo Ondimba.
La brouille se serait faite un peu plus persistante dans les semaines qui ont vu les deux kleptocrates séjourner des semaines durant au Maroc après s’y être rendus précipitamment dès l’annonce officielle le 5 février de la dégradation de l’état de santé d’Edith Lucie Bongo Ondimba, épouse de Bongo Ondimba du Gabon et fille de Sassou Nguesso du Congo Brazzaville.
Le BDP-Gabon Nouveau dispose désormais des détails de cette rumeur de brouille qui aurait tendu les rapports entre les deux dictateurs lors de leurs longs séjours au Maroc au chevet d’Edith Bongo, même si, pour le moment, nous mettons tout cela dans la catégorie « forte rumeur ».
Sassou Nguesso aurait ainsi, selon la rumeur, lancé à Omar Bongo un « Tu as tué ma fille, salaud! » quand les deux hommes se sont retrouvés au chevet d’Edith le samedi 7 février. Omar Bongo s’était rendu précipitamment au Maroc le jeudi 5 février, suivi par Sassou Nguesso le samedi 7 février.
Cette attaque directe de Sassou envers son beau-fils (beau-fils plus vieux que son beau-père d’ailleurs) aurait, dès le départ, brouillé les deux hommes qui, dès lors, se sont soigneusement évités pendant la quasi durée de leur séjour au Maroc, ne recommençant à parler qu’au moment de l’annonce officielle le 14 mars de la mort d’Edith, qui, selon des sources médicales, serait cliniquement morte le 7 février dernier puisque tombée dans un coma profond et irréversible, contrairement à l’annonce faite par le gouvernement gabonais selon laquelle son état de santé se serait amélioré.
L’on vit ainsi les deux hommes s’étreindre de douleur au Maroc pour pleurer dans le remord des crocodiles, l’un (Bongo) pour avoir « tué » la fille de l’autre, et l’autre (Sassou) pour avoir « vendu » sa fille à l’autre. Mais tout cela, évidemment, sur fond de brouille.
La source de la brouille vient du fait que dans l’entourage de Sassou Nguesso, tout le monde reprocherait à Omar Bongo d’avoir délibérément communiqué le VIH/SIDA à Edith Lucie Bongo Ondimba. Des rumeurs persistantes au Gabon ont en effet, depuis au moins 15 ans, fait état du fait qu’Omar Bongo serait séropositif mais que sa séropositivité n’aurait pas encore dégénéré en SIDA. L’on se souviendra en effet que, avec les bons soins, l’on peut retarder la transformation du VIH en SIDA, l’étape du SIDA étant plus ou moins la phase maladive et terminale de la maladie. Avec les cocktails anti-SIDA qui existent aujourd’hui, il est même possible de reculer la phase terminale et certaines personnes avec un métabolisme fort arrivent même à vivre longtemps avec le SIDA dans le corps, quoique péniblement. Magic Johnson, l’ancien prodige américain de basket-ball, vit avec le VIH depuis 15 ans et n’a jamais développé le SIDA.
Il semblerait qu’Edith Bongo Ondimba aurait été moins chanceuse que son mari selon la rumeur qui vient des milieux congolais.
Dans la mort d’Edith Lucie Bongo Ondimba, l’hypothèse du SIDA tient la route car en conformité avec une dégradation progressive de la santé chez la première dame du Gabon qui n’avait plus été vue au Gabon depuis pratiquement 2006. Des rumeurs persistantes faisaient état d’une maladie incurable (SIDA ou autre) qui la maintenait dans l’agonie la plus totale et dans le besoin permanent d’attention. D’autres rumeurs la disaient atteinte de maladie mentale. Le régime Bongo avait fait de la situation d’Edith Bongo un vrai secret d’état depuis que la première Dame était atteinte de son affliction. De France où elle se faisait soigner, elle avait été secrètement amenée au Maroc où elle est finalement décédée.
Le secret d’état fait autour des causes de la mort d’Edith par les familles Bongo et Sassou conforte également la rumeur d’une mort par SIDA car les familles, selon des sources proches, éviteraient de salir le nom d’Edith par l’annonce d’une mort aussi ignominieuse qui ferait immédiatement d’Omar Bongo un criminel puisqu’ayant communiqué le VIH à Edith alors qu’il s’en savait atteint. Bongo et Sassou se seraient donc arrangés pour garder secrète la cause de la mort de la jeune femme décédée dans la fleur de l’âge à seulement 45 ans. Le fait que la cause de la mort d’Edith n’ait jamais été évoquée officiellement, et que les sources officielles se soient limitées aux annonces de « longue maladie », conforterait ainsi la thèse d’une mort par SIDA, surtout quand on sait que aucune photo d’Edith Bongo dans sa phase terminale n’a été prise et que les médecins marocains ont été tenus au secret le plus total pendant toute la durée du séjour de la patiente au Maroc.
Sassou Nguesso, tandis qu’Edith agonisait au Maroc, serait resté inconsolable. Il se reprocherait la mort de sa fille car c’est à cause des pressions familiales venant de son père qu’Edith avait finalement accepté d’épouser Omar Bongo, un vieillard de 30 ans son aîné. Beaucoup ont vu en ce mariage arrangé un mariage de raison qui assurait aux familles Bongo et Sassou le soutien politique de part et d’autres de la frontière. L’on se souviendra que c’est grâce à l’argent gabonais que Sassou a pu reconquérir le pouvoir au Congo, dans une guerre civile sanglante de 10 ans (1993-2003) qui a fait des milliers de victimes (10.000 à 15.000 morts selon certaines sources).
Côté gabonais, la vie sexuelle débridée d’Omar Bongo n’est plus à démontrer. Entre les dizaines d’enfants bâtards faits par le dictateur gabonais dans de multiples relations extraconjugales et son amour pour les prostituées, Omar Bongo n’a jamais rechigné devant la vue des fesses d’une femme.
L’on se souviendra que, de sources diplomatiques sûres, Omar Bongo, qui transforme souvent son corps diplomatique en laquais pour chercher des femmes pour lui lors de ses voyages à l’étranger, aurait, alors qu’il assistait à l’Assemblée générale de l’ONU en 2002, chargé un diplomate de la mission gabonaise à l’ONU d’aller lui « chercher une femme, » alors même qu’Edith Lucie Bongo était dans une suite pas trop loin de la sienne dans le même hôtel ! Omar Bongo aurait ainsi donné, sur le coup, 200.000 dollars à cette fameuse femme suite à une simple fellation!!!
Omar Bongo aurait même en 2004 tenté de séquestrer une ancienne candidate à Miss Pérou dans son palais au Gabon pour en recevoir des faveurs sexuelles. L’affaire avait fait le tour des médias du monde et le BDP-Gabon Nouveau avait dû écrire une lettre d’excuses au gouvernement péruvien au nom du Gabon pour cette ignominie.
Et depuis que le Gabon est devenu le bastion de la prostitution chinoise en Afrique grâce aux bons soins d’Omar Bongo, tout un trafic de prostituées asiatiques a désormais comme base le Gabon, avec la bénédiction du dictateur lui-même.
Sans compter le simple fait qu’au Maroc même Omar Bongo dispose d’un certain nombre de maîtresses avec lesquelles il aurait eu des bâtards, maîtresses qu’il a continué à fréquenter alors même qu’il se trouvait au chevet d’Edith Lucie. Un scandale, donc.
Si, donc, la rumeur de la mort par SIDA d’Edith Lucie Bongo Ondimba venait en effet à se confirmer, il va sans dire que la conclusion la plus évidente serait que son époux Omar Bongo, en serait forcément atteint. Et cela voudrait dire, en effet, qu’Omar Bongo aurait délibérément « tué » Edith Lucie en lui donnant une maladie dont il se savait pourtant atteint. D’où la colère de Sassou qui n’arrive pas à pardonner ce méfait à son si vieux gendre.
Par ailleurs, le fait qu’Edith Lucie Bongo ait été mise en terre sans autopsie pour déterminer officiellement la cause de sa mort laisse des doutes sur un décès manié dans le secret total car il s’agissait de cacher aux peuples gabonais et congolais cette information qui n’allait pas manquer de faire des vagues de part et d’autre de la frontière Congo-Gabon.
Mais cet accord Bongo-Sassou n’a pas suffi pour atténuer la brouille entre les deux hommes car, officieusement, Sassou aurait vigoureusement refusé qu’Edith soit enterrée au Gabon et aurait même menacé Bongo d’invasion militaire du Gabon si Bongo ne lui rendait pas le corps de sa fille. Il aurait dit à Bongo qu’il ne laisserait jamais le corps d’Edith à un « criminel ». Bongo a été obligé de céder pour ne pas risquer une querelle qui confirmerait sa séropositivité et, donc, sa criminalité.
Officiellement, les deux hommes ont annoncé aux médias que la décision de rendre le corps à Sassou serait due au désir de respecter la tradition Mboshie, l’ethnie de Sassou (12% de la population congolaise), tradition qui, selon cette interprétation, exigerait le retour du corps des femmes Mboshies à leurs parents suite à leur mort. Tout le monde sait cependant que les traditions patriarcales africaines ont tendance à laisser au mari le corps de son épouse, ce qui veut dire que Edith aurait normalement dû, selon ces traditions, être enterrée au Gabon auprès de son époux et non au Congo. Le retour aux parents ne serait acceptable qu’en cas de divorce ou de répudiation de la femme par l’époux lors de son vivant. Y aurait-il eu un divorce secret entre Edith et Bongo dont personne n’aurait été au courant ?
Reste à savoir si le remord de Sassou pour avoir « vendu » sa fille à un « criminel » suffira pour sevrer à jamais les rapports mafieux entre lui et Omar Bongo maintenant qu’Edith n’est plus. Cette mort demeure cependant un coup dur pour Omar Bongo qui espérait bien faire du Congo sa base arrière au cas où les Gabonais décidaient un jour de le chasser du pouvoir.
Mais tout ceci n’est que rumeur, donc à prendre avec des pincettes (NDLR).
Source: BDP-Gabon Nouveau
Prière à tous les gabonais et conglais de laisser reposer la pauvre Edith en paix, je vous en suplie, la verité dans tout ça c’est qu’elle demeure une victime.
Nous meme aussi sommes responsables du sous devellopement.
Depuis les années 70, les paysans quittent les villages avec le secret espoir de trouver en ville un “ cool job ”, un travail moins aliénant que celui de la terre.Au Gabon, on compte un fonctionnaire pour 6000 habitants.
Au lieu d’engager des réformes agraires et des politiques dynamiques en faveur du rural profond, afin que les gens comme ibulu retourne à la terre,les hommes politiques se sont contentés de la phraséologie.
Au Gabon, le mot campagne est encore synonyme de centre d’internement administratif
la faim et la misère en Afrique est organisée et entretenue par l’Occident.
Mais les gabonais restent les plus paresseux de l’Afrique.
Sans rencune
En Afrique c’est un peu la meme galère partout. Je le dis en connaissance de cause.Je suis congolaise de Brazza et J’ai été au Gabon,à la Centrafrique , au Sénégal, au Cameroun, Au Zaire(Actuel congo-kin) , au Maroc et en Tunisie.
Les pays ou je me suis sentie vraiment comme si j’étais à Brazza meme d’un point de vue de l’alimentation sont le Gabon et le Cameroun. Ce sont un peu les memes peuples.C’est le blanc qui a divisé l’Afrique. Hormis les accents dans la façon de parler, franchement c’est pareil.
Socialement, en Afrique C’est un peu la meme chose partout. L’afrique dans son ensemble est sous-developpée. C’est malhonnete de nier ça. On ne peut pas considérer un pays riche en fonction d’une minorité très aisée et d’une majorité qui broie le noir. En Afrique c’est un peu ça.
Il ya certes des riches mais ce n’est pas la majorité des personnes qui sont riches, ne faisons pas semblant…Parlons de choses qui nous unissent plutot que de se déchirer dans des débats qui ne mènent nulle part en voulant prouver que tel pays ou tel chef d’état est mieux que l’autre. C’est ridicule et rigolo :-).Ceux qui ont voyagé un peu en Afrique savent bien que c’est partout pareil…!
Bien @ vous.
SySy.
Chers Tous,
SIDA ou pas SIDA, la verité se saura un jour. Tout le manque de communication qu’il y a eu au sujet de La defunte Première Dame laisse à croire qu’il n’y a que les familles Bongo et Sassou (avec les divers medécins bien sûr) qui savent de quoi elle est morte.
Mais comme le dit un proverbe fort connu chez nous: « Le mensonge prend l’ascenceur et la vérité prend les escaliers ». On le saura tôt ou tard. Quel gachis!!!!
La Patrie ou la Mort, Nous Vaincrons.
Johny
SIDA
Alors SIDA ou pas SIDA?
Salut a tous!!
Svp arretez de repondre a Arc!!!!
Lima c’est une poubelle de bas quartier d’accra. donc stp Accra c’est pas une reference. Et lapaz, Kotobabi down!!! es tu aveugle?
one love!!!!
ARC,
Il faut avoir du respect envers le gabon et son peuple, si tu as vécu au gabon, tu as surement fait des études primaire ou secondaire dans ce pays et je suis sùr que plusieurs gabonais ont été devant toi, par respect, tu dois parler avec un peu de politesse.
C’est vrai que tu ne connais pas cotonou quand tu racontes qu’il n’y a pas de bidonville, c’est faux. Visite bien ta ville, passe par Sourelélé et autres quartiers, à côté du marché Dantokpa, tu verras.
Si des gabonais sont à l’image de bongo, tu es à l’image de Kérékou qui a dirigé le bénin avec 200 Kg de fétiche.Si bongo est bête et fait honte à l’afrique, Kérékou n’est pas mieux, même s’il n’est plus président. Sa mauvaise gestion vous avait conduit à l’exil économique, exil que tu vis encore aujourd’hui car tu es au ghana pour cause d’étude car chez toi, ce sont des effectifs plétoriques dans des amphis.
Les bininois valent 1000 fois mieux que toi, j’ai eu des collègues béninois où on s’est retrouvé dans une école doctorale dans un pays voisin de chez toi. je peux t’affirmer que les 3 gabonais ont pris les 3 premières places en DEA. Sans parler du PIB, le taux d’analphabétisme est beaucoup plus élevé chez toi.
Tu représentes la race des étrangers ingrats qui vivent au gabon et rentrer chez eux, salissent le nom du gabon qui les a accueilli pendant des dizaines d’années. Il y a bien des gens de chez toi qui ont fait fortune chez nous, c’est parce que nous sommes ouverts jusqu’à laisser le pétrol gabonais au main de ton compatriote Dossou.
C’est parce que Kwamé Khruma a posé des bases de developpement que le Ghana de nos jours se trouve avec des aquis, tu le contactes bien en visitant l’université de Légon çà n’a rien avoir avec Abomey Calavi ou UOB.
Il faut faire attention car les choses changeront, il n’est pas util pour toi d’activer la haine car tes parents vivent au gabon sinon des vieux souvenirs risques de faire surface. Tu te souviens du match gabon-bénin, qui avait dégénéré entrainant l’expulsion de plusieurs innocents béninois du gabon. Les vieux démonts peuvent toujours revenir.
Dr Tsira Nfoulou
M ARC,
Les problèmes que tu évoques ici sont connuns des gabonais que nous sommes donc tu ne nous apprend rien!Les gabonais que nous sommes pillonons sur le régime de Bongo Omdimba en raison de son incompétence à gerer un pays d´à peine un million d´habitants avec autants de ressources, en revanche ce qui m´exaspère c´est des parallèles que tu souhaites faire entre le gabon et le Benin.
Je n´ai jamais été au benin mais les informations que j´ai sur ce pays me laisse penser que c´est tout sauf un pays én voie de developpement , chez toi au benin les voies de communication sont quasi inexistantes , les logememts descents ne sont que de non
( les motos sont considéres comme transport en commun avec tout que cela implique comme risques, des populations érrigent des taudis sur pilotis pour éviter de se noyer en raison d´un manque de terrain viabilisés, le commerce des enfants est légion à cause de la pauvreté croissante, le culte du fétichisme a encore des beaux jours devant lui dont le vaudou detient la palme d´or,). Le Benin se classe parmi les pays les plus pauvres de la planète au même titre que le niger, le mali ,le bengladesch ne dit on pas qu´il y a plus de médecins beninois en france qu´au benin? Comment expliques tu cela pour un pays aussi prospère selon tes dires? C´est bien de critiquer le gabon mais le benin ?
Cordialement
A mes frères gabonais,
Je porte le Gabon dans mon coeur,pour la simple raison que mes parents y vivent.Je me sents chez moi quand je y suis.Il faut dire la vérité telles quelles se presente.Je suis parti d’un constat:le Gabon est entrain de mourir.Le Gabon que j’ai connu n’est pas celui actuel.Tout les 10 metres on compte un bar ou la Regab ou la Pc coule à flot:c’est un veritable problème de santé publique.Si je fais des comparaisons avec les pays que je connais le mieux,c’est tout simplement pour voir à quel niveau se situe le pays que nous aimons tous.Le Gabao a perdu sa gradeur d’antan.Fort heureusement que certains de vos compatriotes l’admettent implicitement.Si je dois faire des comparaisons avec des villes comme dakar et rabat(où jai été également),franchement,le fossé est énorme.La preuve:où se trouvait votre première dame pour se faire soigner?Comment imaginer un seul instant qu’un hopital général puisse être fermé pendant un mois et demi et que le service minimum ne puisse ne pas etre assuré?Mes chers frères gabonais,ne defendez pas lindefendable!
ARC
Cotonou est mieux que Libreville;mais t’as pu passer toute ta vie au Gabon.Donc la ferme!!!
Arrêtez avec le commerce des enfants avant de critiquer le Gabon.
Merci!!
Messieurs,
« Most of us are not belangual » ( j’espere que c’est bien dit mesieurs les anglofones!) donc ecrivez en français svp!
Ignorez cet Arc car il est vraiment tendu et ne comprend pas que notre débat doit se situer au niveau des Directions et non au niveau de la base. Qu’il y ait des bidons villes sur 100 km à Libreville et des bervelly hills dans tout cotonou, c’est son affaire.
Cet espace, c’est BDP, Bongo Doit Partir, car nous sommes conscient que sa Direction est préjudiciable pour le Gabon.
Nous débattons de la mort de sa femme et ses deboirs avec son ex beau père.
Ce soit disant Beninois doit être un authentique PDGISTE qui veut nous distraire!!!
Mr Arc , if you don’t know what to do with your times, Arc just goes to play les billes and eating your bedums, goldo ,with Ndongo ndongo, or moyo soup. But don’t MESS WITH MY COUNTRY because we are always ready to scalp your hairs. Gabonese are so kind they are many foreigners in Gabon, however, be kind doesn’t mean to be stupid or naive.
Mr pillon you’re an ungrateful person, after that the Gabon you gave the university foundation, now you spit on him.
it’s like say this proverb , fais du bien,rend du mal.
I can’t understand your INCONGRUOUS MUDDINESS , but I stay patient to take care of you, because in Gabon we keep the GOATS behind our houses to the village.
With respects, I love Benin people.
Je trouve que le « so-called » Arc souffre d’une maladie incurrable que les cliniciens appellent « INFANTILISME ». You truly need a medical evaluation. Tu es la premiere personne a nous faire savoir que tu as vecu pendant 20 ans au Gabon, le pays que tu te permets aujourd’hui de denigrer avec autant d’acharnement… Il faut etre « Encephalopathe » pour avancer de telles enormites… Hier tu vivais au Gabon, aujourd’hui c’est le Ghana…et demain ou seras-tu? Penses-tu que c’est ton genre de personne qui devrait donner des lecons? an Unstable human being, a parasite… Les Gabonais que nous sommes,savons faire face aux difficultes de la vie en demeurant chez nous, tel n’est pas votre cas!!! Let me make something perfectly clear for you one time for all: Keep your comments, we don’t need them…If you have nothing to say ,please do me a favor, ferme ton four a AGUIDI, tu fais honte aux Beninois vivant au Gabon!!! YOU ARE CROSSING THE LINE…WE ARE PATRIOT, AND WE LOVE THIS COUNTRY.
Les intellos Gabonais reunis ici pour debattre des problemes de leur pays n’ont pas besoin de tes lecons, Arc, tu vis du parasitisme.
Pour conclure, je dirai ceci : Arc, you are an infectious disease, and i am the cure that you are seeking.
Stupid nigga.