Un jeune français, Volontaire international en entreprise (VIE) en poste à Libreville, Olivier Turpin, a été porté disparu en mer le 11 avril dernier alors qu’il pratiquait la chasse sous-marine au large de la Nyonié, derrière la Pointe Denis face à Libreville. Malgré d’importants dispositifs de recherches déployés par les forces militaires française et gabonaise, le corps du ressortissant français n’avait toujours pas été retrouvé dans la matinée du 14 avril.
Un jeune ressortissant français a disparu en mer le 11 avril dernier alors qu’il pratiquait la chasse sous-marine au large de la Nyonié, derrière la Pointe Denis qui fait face à Libreville.
En excursion en mer à bord de son bateau et accompagné de cinq de ses amis, le jeune ressortissant français, Olivier Turpin, a disparu en mer sans que ses amis puissent lui porter secours.
La disparition du jeune plongeur est survenue à une heure au large de Nyonié, au lieu-dit des «torchères», site de plongée sous-marine où l’on trouve des plates-formes pétrolières abandonnées.
Le consulat général de France a été averti de cette disparition aux alentours de 12h50, et a immédiatement organisé les secours en collaboration avec l’armée gabonaise ainsi que les Forces françaises au Gabon (FFG).
Les militaires français ont effectué plusieurs rotations par hélicoptère sur les lieux de la disparition, dans l’après-midi du 11 avril et jusqu’au soir du 13 avril, mais leurs recherches sont restées vaines.
De son côté, l’armée gabonaise a mis dès le 12 avril à la disposition des recherches deux plongeurs, transportés sur place par le bateau d’un ressortissant français, mais malgré de bonnes conditions météorologiques, les recherches n’ont pu aboutir.
Deux nouvelles rotations par hélicoptère ont été effectuées par l’armée gabonaise jusque dans la matinée du 14 avril, toujours sans résultats.
Les recherches ont été abandonnées et l’alerte a été donnée sur toute la côte au cas où le corps serait repéré.
Le consulat général de France a pris contact dès le 11 avril avec la mère de la victime en France pour lui faire part du tragique incident.
Passionné de chasse sous-marine, sportif et très attaché à l’Afrique où il était né, Olivier Turpin était un jeune volontaire international en entreprise (VIE). Agé de 28 ans, il travaillait à l’Union gabonaise de Banques (UGB) au Gabon. Il était propriétaire du bateau avec lequel il avait l’habitude d’exercer son sport favori.
mon fils thiroux william a disparu le 18 décembre 2009 au gabon il travaillait la-bas comme chef de chantier il est partie a la pèche avec un monsieur qui soit disant etait un pro de la pèche en fait ce monsieur a toujours menti mon idée et que mon fils est tombé dans un traquenard il est retenu quelque part car au fond de mon coeur je sens qu’il est toujours vivant j’ai porté plainte plainte mais pour le moment je ne sais pas ce qui se passe la-bas mais j’ai toujours espoir marie-claire jaworowski
Milang Mi Si (nice name), I am in still in shock with the way people react toward the death!!! of a fellow human. Does it mean that because someone does not have the same origins as them, they deserve to die? I personally deplore the attitude of lazy affricans who sit on their behinds doing nothing to improve themselves but become jealoused when well deserving individuals of other nationalities or races take jobs in their home countries. By the way didn’t they read somewhere that although Olivier was white, he is an African by birth? Regardless, what an ignorant way to express democracy? By inhumainly rejoicing about the death of another? It is a shame!
You wrote somewhere and I quote, « … eau profonde ou tous les demons et predateurs ” Matingo”, “Essinga” entretenus par nos hommes politiques, font la chasse aux esprits ».
Ok, he was with friends whom I believe these demons recognised and spared their lives? Why didn’t the African (Gabonese) friends he went with warn him of the danger of that location? Again I say shame!!
Vraiment!!! Mba et Emile la ne sont pas du tout serieux…Sortez de vos cachettes, Alice a laisse un message en anglais pour vous, pauvres illettres du 3e millenaire.
Depuis que Ces Gabonais la cotoient la mort, elle ne leur dit plus rien…Que des Demons!!!
En fait, ils sont aussi libres de donner leurs points de vue, c’est aussi ca la democratie…La mort de MILANG MI SI ne choquera pas tout le monde, n’est ce pas Alice?
Anyway, Olivier is gone…RIP. Life goes on…
MILANG MI SI.