Toi, feudataire du roi incompétent
Maintenant écoute moi !
Toi,
Toi feudataire du roi,
Toi dirigeant politique épris de médiocrité et nanti du pouvoir que tu as floué au peuple,
Sache une chose ;
Tu te crois tout puissant,
Or seule la nature est omnipotente.
Tu te crois éternel
Quand tu signes d’un discours fallacieux la tragédie de tout un peuple,
Or seule l’énergie de la nature est intemporelle.
Tu passeras
Mais le peuple restera.
Et si tu n’avais jamais fait de cauchemars après avoir menti et trompé le peuple avec tes laïus électoraux,
Tes nuits seront désormais hantées
Par la force qui t’a créé et dont tu n’arrêtes pas de braver les principes fondamentaux au fil des générations,
Cette force se retourne contre ton fatum.
Tu as déclenché son irascibilité.
C’est fini, elle t’ignore.
Elle aura raison de ta fatuité.
Le pouvoir que tu t’es octroyé,
Décliné du latin « minister » est un sacerdoce envers le peuple.
C’est-à-dire être assigné à servir
Et non à confisquer et à se servir.
Là où il y a démocratie, la vraie,
Le pouvoir est légitime
Et donc le vrai souverain c’est le peuple.
Aux yeux de celui qui nous a créé,
Ceux-là qui ont tout confisqué et tout compromis au détriment du peuple,
Ils ont plus de sang dans leurs mains
Que les désespérés qui prennent des armes
Pour essayer de se libérer.
Ta capacité de nuire à la cohésion d’une nation te donne l’illusion d’être le créateur de ce qui aurait pu être une grande famille : La nation.
Or il suffit que la santé souffle ta susceptibilité à la maladie
Pour réaliser la précarité de ton règne.
Ne joue pas au créateur
Alors que tu trembles de psychose quand la vie te rappelle ta petite mort prochaine.
La gorge du peuple se dénouera demain
En lisant sur une épitaphe:
« Ci-gît la politique de la médiocrité et de la haine »
Amen !
Tsir’Ella