Le Dr. Daniel Mengara s’est rendu vendredi 24 avril à Washington en vue d’y rencontrer Marc Ona Essangui, Prix Goldman 2009, et le féliciter personnellement pour l’honneur qu’il a fait à notre pays de le mettre, par son travail exemplaire, dans l’orbite mondiale et dans un domaine—la protection et la gouvernance de l’environnement—où les Gabonais ne se sont jamais distingués.
La visibilité internationale de Marc Ona Essangui est ainsi, aux dires du Dr. Daniel Mengara, « un honneur pour le Gabon et la preuve que l’action citoyenne, d’où qu’elle vienne, ne peut que constituer l’impératif le plus absolu de tous ceux qui, au Gabon comme ailleurs, se préoccupent de la destinée de leur nation ».
A l’occasion de cette rencontre avec le lauréat du Prix Goldman 2009, le Dr. Daniel Mengara en a profité pour lui faire don d’une copie dédicacée de son roman Le chant des chimpanzées. Le Dr. Daniel Mengara a également profité de cette occasion pour faire un don de son roman à l’Université Omar Bongo, chargeant ainsi Marc Ona de remettre 9 copies à l’université et 1 copie au Centre Culturel Français. Par cette donation, le Dr. Daniel Mengara offre aux étudiants et enseignants gabonais la possibilité d’avoir accès à son livre directement en bibliothèque, et ainsi de pouvoir l’y lire gratuitement. Ce don permet également aux chercheurs gabonais qui travaillent dans le domaine des littératures gabonaises d’ajouter à leur corpus une œuvre de plus qui vient ainsi grossir le corpus des productions littéraires nationales.
Le Dr. Daniel Mengara a, bien sûr, déploré la totale indifférence des autorités gabonaises devant un événement qui était pourtant de nature à rehausser l’image du Gabon dans le monde. Parce que le régime Bongo est un régime répressif qui ne comprend ni la valeur de l’activité intellectuelle ni celle de l’action associative pour le progrès de la cité, l’indifférence montrée à ce compatriote désormais hissé au rang de héros national devrait interpeller le peuple gabonais sur la nature néfaste du régime Bongo au Gabon.
Le pire dans tout ceci est que le gouvernement américain, depuis Nancy Pelosi jusqu’à Barack Obama lui-même, a dû intervenir avec fermeté pour que le régime Bongo laisse sortir Marc Ona Essangui du pays, avec un Mba Obame toujours égal à lui-même essayant de faire chanter Marc Ona en lui demandant de retirer la plainte déposée contre lui s’il voulait que le Ministre de l’intérieur le laisse sortir du Gabon. C’est in extremis que Marc Ona a pu finalement se rendre à San Francisco recevoir son prix en présence de personnalités comme Al Gore, Nancy Pelosi et bien d’autres, avant de se rendre à Washington pour un périple l’ayant mené à rencontrer des personnalités du Congrès américain, y compris Barack Obama lui-même.
Ce genre d’agissements honteux de la part du régime Bongo et de ses sbires les plus vils tel André Mba Obame et Ali Bongo montre à suffisance pourquoi le Gabon se meurt d’immobilisme intellectuel et mental depuis 42 ans. Là où la plupart des pays du monde se réjouissent quand leurs citoyens reçoivent des prix internationaux prestigieux comme le Goldman ou le Nobel, le régime Bongo, quant à lui, se fait taper sur la tête pour laisser un compatriote sortir du territoire national en vue de recevoir des honneurs qui, pourtant, sont appelés à aider le Gabon à se positionner positivement aux yeux du monde.
Quelle honte pour notre pays que Marc Ona Essangui se soit retrouvé en terre étrangère à recevoir, dans l’indifférence la plus totale de la part des autorités gabonaises, un prix que son propre pays semblait vouloir compromettre et rejeter, révélant ainsi aux yeux du monde la nature hautement mesquine d’une dictature bongoïste toujours prête à réprimer les droits, l’honneur, la dignité et les valeurs citoyennes qui, pourtant, élèvent les sociétés.
Pour le BDP-Gabon Nouveau, Marc Ona Essangui est un héros national. Le Gabon aurait dû organiser pour lui une réception nationale digne d’un héros national, le seul peut-être que notre pays n’ait jamais eu au vu des multiples limitations que Monsieur Marc Ona Essangui a dû surmonter pour affirmer, au nom des Gabonais, les valeurs qui consolident les nations dignes.
Le BDP-Gabon Nouveau se propose de soumettre, lors de la réunion de Bruxelles des 30 et 31 mai prochains, une proposition aux Coalisés de la Coalition Gabonaise du Refus et de Salut National visant à rebaptiser l’université Omar Bongo du nom de « Université Marc Ona Essangui ». On ne peut donner le nom d’une institution intellectuelle comme celle-là à un homme comme Omar Bongo qui, toute sa vie durant et pendant 42 ans de « règne intellectuelicide », a tué les aspirations de la jeunesse gabonaise.
Le BDP-Gabon Nouveau appelle dores et déjà le peuple gabonais à ne plus utiliser le nom « université Omar Bongo » pour désigner notre université nationale et à adopter, désormais, l’appellation « Université Marc Ona Essangui (UMOE) ».
Aux Gabonais, le Dr. Daniel Mengara transmet un message de solidarité envers Marc Ona Essangui dont le travail et l’abnégation ont été récompensés cette semaine à San Francisco par la remise du prix Goldman de 2009. Il leur demande d’encourager Marc Ona Essangui à continuer son œuvre et de le soutenir dans la promotion des valeurs qui, demain, élèveront la dignité de tous les Gabonais, sans exclusive.
A la lecture des interventions de notre ami STRATEGIE je cois savoir qu´il s´agit de cet compatriote qui magnifait le regime de bongo il y a quelques mois sur ce site lorsqu´on debatait sur la premiere rumeur de la mort de Mme Edith Lucie Bongo (avant son deces effectif). Je réitere ici les propos de la majorité silencieuse des gabonais que Bongo a fait plus de tord au gabon qu´il en a fait du bien :
1/ Logement:les 3/4 des quartiers de libreville sont sous integrés
pas d´aduction d´eau ni d´electriceté , les contructions sont faites de manières anarchiques et parfois avec du materiel de très
mauvaise qualité , pas de voies de communication …
2/ Education : les écoles ont été construites à partir des années 90 suite aux différentes grèves des enseignants ,le financement de ces écoles a été assuré par la BAD ( banque africaine de développement)à ce jour le gabon n´arrive toujours pas à endiguer le phénomène des effectifs plethoriques dans les salles de
classses
3/ santé: le tableau reste sombre car depuis des années 70 les quelques centres hospitaliers contruits dans les chefs lieu de province sont devenus vetustes , ils ressemblent plutôt á des mouroirs malgré la volonté du personnel soignant.
4/ Libreville disposent encore et toujours des ruelles laissées par le président Leon Mba Medeng alors que la population s´est multipliée par 4 voir par 6 par rapport aux années 60 et par conséquent le nombre de véhicules .
Le bilan n´est pas exhaustif .
Venir fair l´appologie de Bongo et son fils relève du mépris à l´egard de la majorité silencieuse des gabonais , que M Alain bongo ondimba fasse de l´armée gabonaise une armée morderne ce n´est que logique car il dispose d´une marge de manoeuvre dont certains de ses collègues ne disposent forcement pas .
Monsieur ESSONO NGUEMA,
Il y a des Gabonais avec qui on peut encore discuter. Ce que j’apprécie en vous, c’est que vous ne vous contentez pas d’affirmer que vous soutenez le ministre de la Défense. Vous mettez en avant l’oeuvre et les résultats de sa politique depuis sa nomination à ce département stratégique qu’est la Défense. Lorsque le président Nicolas Sarkozy était ministre de l’Intérieur il n’avait de cesse de répéter qu’il n’y a aucune différence entre la politique et les résultats. Je partage cette conception: la politique est une affaire de résultat. En ce sens, il faudrait encourager notre ministre de la Défense en avoir davantage.
Par ailleurs, vous reconnaissez que beaucoup reste à faire. Cela prouve que certes vous êtes pour le ministre de la Défense, mais surtout que vous restez libre, indépendant et lucide. C’est ce qui manque parfois à certains collaborateurs ou amis de nos ministres. Ils sont parfois incapables de reconnaître que leur ministre n’en fait pas assez.
Je vous communique mon courriel afin que nous puissions échanger nos analyses sur certains secteurs de la politique de note Gouvernement. Il s’agit de la politique de Défense,la politique étrangère, la politique de sécurité et d’immigration,la politique économique…
En somme, je souhaite partager avec vous mes positions sur les politiques stratégiques du Gabon.
Courriel: emalb5@hotmail.fr
Profonds respects.
Bonjour Docteur Essono Nguema
Avec votre permission, pourrions nous discuter par mail, cela n’a rien à voir avec la politique car il me semble que nous travaillons aux m^mems heures.J’ai dit(mikebrown@voila.fr)
Mon Cher compatriote Johny,
En quittant ce forum pour un long moment, je vous ai laissé ce petit texte (ou paquet de silures) à méditer.
Voyez vous, la terminaison haute de votre moelle épinière (juste après votre bulbe rachidien) est faite de votre cerveau. Essayez de temps en temps d’en faire usage afin que votre réflexion ne se réduise pas éternellement à de vulgaires réflexes animaliers.
C’est votre droit de penser que les petits diplômes de M. MENGARA MINKO Daniel (bac obtenu au collège Quaben de Libreville, licence UOB, et Doctorat obtenu à Nice en France…etc.) le qualifient pour diriger le Gabon. Personnellement, je suis d’un avis différent.
Voyez vous, lorsque vous réduisez votre discours à des injures vous donnez vraiment l’impression que le mouvement que dirige avec facilité et légèreté MENGARA MINKO Daniel et dont vous faites l’apologie n’est que la matérialisation de cette sagesse gabonaise qui dit, je cite : » diriger un groupe de moutons est plus facile que diriger des Hommes « .
Les pâles élucubrations de MENGARA MINKO Daniel, émises généralement pour se détendre, depuis des salles climatisées, après avoir mangé un hamburger (un peu comme dans cet entretien vidéo où il n’a pu se maîtiser face à M. JOCKTANE) ne sauraient être des contributions « utiles » au développement du Gabon.
Voyez vous, à une époque, l’entreprise IBM avait un slogan : »Sell what you use and use what you sell ».
J’ai démontré sur ce forum que MENGARA MINKO Daniel a toujours violé l’engagement décennal qu’il a signé avec l’Etat lorsqu’il a obtenu la bourse pour faire ses études de matrise, de DEA et de Doctorat à Sophia Antipolis (où j’ai personnellement été Chercheur) mais n’est jamais revenu au Gabon y travailler : il est donc un cas d’inefficacité de la dépense publique dans notre pays.
Autre exemple : notre frère MENGARA MINKO Daniel pour se distraire, a ensuite créé depuis les USA, quelque chose qu’il a appelé BDP. Il s’en est autoproclamé Président, et depuis 10 ans, il est toujours président de cette affaire : il est un eptit dictateur en puissance qui ne rêve que de plus de pouvoir pour arranguer le peuple comme il arrangue sa propre famille de Libreville et Mekaga (Minvoul), depuis les USA.
Voilà cher Johny, deux petits exemples qui montrent bien la vacuité que ce que vous appelez la contribution de votre leader, MENAGRA MINKO Daniel, au développement du Gabon.
C’est un peu comme lorsque MAMBOUNDOU Pierre déclare qu’il faut moins de ministres au Gabon, alors que son propre parti a un bureau exécutif composé d’une quarantaine de membres (Secrétaires Nationaux, adjoints,…etc.) et qu’il est incapable d’y instaurer un fonctionnement démocratique (élections internes,…etc.).
On pourrait également parler des subsides qu’il a reçus d’une personnalité du Gabon pour tromper les naïfs en avec son affaire dénommée BDP (celà a déjà été démontré par quelqu’un d’autre). Mais à ce niveau, je préfère laisser le temps faire son travail car mon seul souhait est que nous apportions tous (vous et moi) notre contribution à la consolidation de l’édifice Gabon, en oeuvrant pour le pays dans le respect des engagements pris. C’est la seule chose que nous demande notre Président Hadj Omar BONGO.
Ceci dit, je réitère que pour ma part, j’essaie de servir humblement mon pays en qualité de fonctionnaire de l’Administration Gabonaise, et en m’appuyant sur les enseignements issue de l’école de la vie.
Lorsque vous verrez MENGARA MINKO Daniel, vous voudrez bien lui dire que ce n’est vraiment pas bien de faire tout ce petit cinéma pour chercher à avoir un grand poste au Gabon (entrisme) ou avoir plus d’argent de la part du régime, ou encore pour fuir ses responsabiltés familiales à l’endroit de ses parents de Mekaga qui l’ont aidé depuis Minvoul jus’à Bitam (collège Jésus Marie). Il peut simplement, oui tout simplement, rentrer au Gabon et y travailler honnêtetement et conformément à l’engagement décennal qu’il a signé. Cela vaut également pour ELLA Bruno, qui est aussi de Minvoul (Nord Gabon) comme MENGARA MINKO.
En vous remerciant d’avance, cher Johny, pour vos prochaines injures Johny (car vous démontrerez alors toute la pertinence de mon analyse à votre sujet), je vous dis à la prochaine car je quitte ce forum pour un long moment.
Longue vie au Président et que Dieu bénisse le Gabon.
J’ai dit.