La quatrième édition du Festival international de danse contemporain « Akini à Loubou », a débuté ce lundi au Centre culturel français (CCF) de Libreville. L’événement est organisé par l’Association « Juste bouger artistique du Gabon (JBAG ») en partenariat avec le CCF et l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF).
Jusqu’au 9 mai prochain, le programme prévoit des ateliers de formation, des projections cinématographiques et des spectacles de danse contemporaine avec les compagnies venues du Bénin, Cameroun, Congo-Brazaville, Mali, RDC, et Haïti.
Pour cette édition, « un accent particulier sera mis sur le hip hop, car la pratique de cette danse requiert beaucoup d’énergie et de connaissances », a dit le président de l’Association JBAG, Sandrin Lekongui
Selon lui, « les danseurs de hip hop sont nombreux au Gabon et nous souhaitons les conscientiser afin qu’ils se lancent dans l’écriture chorégraphique ». « C’est un domaine qui amène le danseur- interprète ou le chorégraphe à pouvoir mettre sur scène une histoire qu’il partage avec le public », a-t-il soutenu.
Tout au long de ce Festival, une chance sera donnée aux jeunes talents à travers des ateliers de formation et la mise en place d’une structure permanente d’encadrement chorégraphique à Libreville.