Drôle de cinéma que celui qui se passe actuellement au Gabon. Les « Bongo Ondimba » seraient-ils tombés sur la tête? A moins que ce soit le ciel qui leur soit tombé sur la cabosse ? Fiston Bongo « l’Ali pas Mohamed » et l’ancienne « Mama Bongo » jadis répudiée avec des valises d’argent aux USA semblent s’être tellement acharnés à se sortir d’un trou déjà profond qu’ils se sont, sans s’en rendre compte, enfoncés dans un autre trou, celui-ci encore plus profond que le premier. En voulant tellement prouver aux Gabonais qu’Ali le fiston Bongo n’est pas, comme la rumeur le maintient depuis qu’Ali existe, un Biafrais adopté par les Bongo, « Mama Dabany » et « Bébé Ali pas Baby Doc » ont avoué devant Gabonais ébahis qu’ils sont, en fait, Congolais. Que l’on cesse d’appeler Ali « Biafrais » a martelé avec fureur « Mama ». Il est Congolais !!! a-t-elle finalement avoué.
On se serait cru dans un de ces films américains où l’avocat malin, à force de cuisiner le témoin, le pousse tellement à bout que le témoin, hors de lui, finit par avouer larmes aux yeux: « Oui, c’est moi qui l’ai tuée, ma femme !! » A la chaîne 1 de la radio-télévison gabonaise (RTG1), Mama Dabany, cuisinée par la rumeur devenue insoutenable, a finalement lâché le morceau : « Nous y en a pas Biafrais ! Nous y en a Congolais !! Cessez de nous appeler Biafrais ! Nous y en a descendants dé la famille royale dé Mani Kongo !! Nous pas Gabonais, mais Gabon ya bon car nous pleins dé CFAs cadeau oh !»
Tout a commencé samedi 25 avril dernier lorsque Monsieur le Ministre de la Défense Nationale Ali Ben Bongo (ABB comme Albert Bernard Bongo ou Alain Bernard Bongo-Mon Dieu comme cette famille change de noms !!) décide, une bonne fois pour toutes, de mettre fin aux rumeurs qui accablent sa vie et le rendent misérable depuis que sa misérable enfance gabonaise fut gâchée par la « biafrité » que les mauvaises langues ont cultivée tout autour de lui. Furieux, le petit Alain Bernard devenu Ali Ben déclare samedi : « Certaines prétendent que je serais nigérian? (…) Tout ce que je sais, c’est que je suis né à Brazzaville en 1959. Ceux qui disent ce genre de choses ne connaissent pas l’histoire. La guerre du Biafra a commencé en 1967 et moi je suis né en 1959. Quand je suis né, le Nigeria n’était même pas indépendant avant de l’être l’année suivante. Donc, quand la guerre du Biafra commence, j’avais déjà 8 ans ».
Jusque-là, pas grand-chose à redire, notre « péti » ABB « Ben béni » par les dieux connaît bien l’histoire, et il le prouve aux yeux de tout le monde ébahi par tant de connaissance. Donc, Ali dit vrai : comment peut-on être Nigérian quand le Nigeria n’existe même pas encore et qu’on est né hors ?
Sauf que, pauvre Ali (quel chagrin !!), nous voilà au courant d’un fait qui n’est pas non plus très reluisant pour notre bonhomme. Apparemment, notre « Minisse » de la Défense n’y comprend rien. On ne sait pas vraiment, en fait, s’il a compris pourquoi la rumeur biafraise a fait tant de bruit au Gabon. On a l’impression que ce qui fait le plus mal à Ali, c’est le mot «Biafrais », qui semble lui sonner dans la tête comme une insulte. Dans sa tête, il semble plus acceptable d’être considéré « Congolais » que « Biafrais ». Cependant, ce que notre bonhomme « Ben béni » ne comprend pas, c’est que ce n’est pas, en fait, le fait d’être « Biafrais » ou « Congolais » qui soit le problème des Gabonais. Ce qui fait tiquer les Gabonais, c’est le simple fait d’avoir un « étranger » imposteur à sa tête (l’Omar) et un autre « étranger » imposteur (le Ben) pour contrôler l’armée d’un pays où il n’est pas né, pays dont il n’a pas non plus la nationalité puisque né, de son propre aveu, Congolo-Français, mais pas Gabonais du tout…
Ce que les Gabonais ne veulent pas, c’est de ces mensonges qui durent depuis 49 ans !
Comme si un seul aveu ne suffisait pas, voilà que Maman Dabany vient, ce mardi soir, en rajouter pour clarifier, clouant finalement au pilori toute la famille Bongo qui, de par sa bouche, avoue finalement aux Gabonais son imposture de 49 ans. Ecoutons « Mama Patience » (encore un faux nom !!) : « Mon fils, moi et mon mari qui était sous le drapeau [congolo-français ?] depuis trois ans, libéré [de quel asile ?] et ayant refusé de demeurer à Brazzaville [il a refusé son pays ?], la capitale congolaise, suite à la guerre civile, arrivons à Libreville le 29 octobre 1960 (…). Je suis Batéké [du Congo ?], Bongo est Batéké [de Brazza ?], nous ne sommes pas Nigérians [vraiment ?]».
Ok, on a compris. La seule chose que les Bongo ne sont pas, c’est Gabonais. Ils ont tout été et ils ont tout fait dans leur vie, y compris changer mille fois de nom et de pays, mais ce qu’ils ne reconnaissent pas, c’est leur « gabonité ». Voilà qui est clair (Ah les pauvres bongoïstes qui défendent Bongo becs et ongles en croyant qu’il est Gabonais ! Ils vont se manger les ongles et se couper le bec comme des oisillons avec cette douche froide !).
Alors, donc, revenons à nos moutons : force est de constater que dans leur défense, ni Ali ni Mama Dabany n’ont à aucun moment revendiqué leur citoyenneté gabonaise. Ils ont tout affirmé, sauf leur « gabonité ». C’est bien étrange, non ?
Ce n’est quand-même pas gentil de leur part. On nous enlève un « Biafrais » pour nous donner quoi à la place ? Un « Congolais » ? Mince, c’est pas juste ! Nous voilà mieux servis. Les Nigérians eux au moins, ils savent bricoler quelques vieilles télévisions et réparer les frigos. A quoi va nous servir Ali, maintenant que nous savons que s’il devenait président, il ne pourra rien bricoler comme un vrai Nigérian sait si bien le faire ? On pourrait au moins faire du bon business « clando » et acheter des iPhones trafiqués et bon marché venant des filières « clando » du Biafra. Non, c’est pas juste du tout, zut ! Que va bien pouvoir nous apporter un Congolais vu que les Congolais sont aussi paresseux que les Gabonais, et qu’ils ne connaissent que la sape et les fesses des femmes et le « soukouss » ? Mais bon, laissons ça de côté sinon Aurlus Mabélé que nous aimons bien va se fâcher.
Les Bongo devenus « Ondimbas » sont donc tout-Français, Batéké (du Congo), Congolais-mais jamais « Gabonais » ni « Batékés du Gabon ». Ils s’en défendent devant tout le monde. C’est ce qui sort de leur propre bouche, pas de la bouche trop bavarde du Kongossa. Qu’est-ce que les gens vont encore dire ?
Mais une question demeure : quelle est la belle jambe que cela fait aux Gabonais qu’Ali soit « Biafrais » ou « Congolais » ? Les Gabonais ont-ils une préférence pour l’un ou pour l’autre ? Rien n’est moins sûr.
Depuis toujours, il a toujours couru deux rumeurs indicibles au Gabon. La première rumeur a toujours été que Bongo n’était pas Gabonais, mais Congolais. Cette rumeur, Bongo l’a toujours démentie avec la plus grosse énergie, au point de mettre en prison les quelques Gabonais qui avaient osé le dire. La deuxième a toujours été qu’Ali Bongo n’était pas Gabonais, mais Biafrais. Celle-là aussi pouvait jeter quelqu’un au caveau.
Or, voilà que, pour démentir la rumeur de la « biafrité » du fils, la Mama Dabany monte au créneau et lâche la plus grosse des bombes : elle confirme sans rougir (bon, ok, elle est noire, d’accord) la rumeur de la « congolité » de toute la famille Bongo, famille qui apparaît tout d’un coup comme une famille habituée à l’imposture non seulement des pouvoirs et des noms (trop de noms changés dans cette famille), mais aussi des nationalités (qui sont-ils vraiment, nos chimpanzés ?).
Parlons un peu de leurs impostures, juste pour avoir les idées un peu plus claires :
Imposture No. 1 : Contrairement à ce que Bongo a souvent raconté, « Mama Dabany pas Patience » vient enfin d’avouer que les Bongo ne sont venus au Gabon que le 29 octobre 1960, soit trois mois et demie APRES l’indépendance du Gabon (Ils ne se sont même pas battus pour l’indépendance du Gabon (Mais comment donc, les voyous !) On se posera donc toujours la question de savoir comment quelqu’un qui est né hors du Gabon (au Congo) en 1959 et qui arrive au Gabon APRES l’indépendance du Gabon peut être autre chose qu’un « étranger » ? Ali et sa famille ne semblent pas capables de comprendre que ce qui dérange les Gabonais n’est pas le fait que notre Ali défenseur national soit Nigérian, Biafrais, Turc ou Eskimo. Ce qui dérange les Gabonais, ce sont les mensonges, les impostures et les entourloupes qui ont toujours entouré les origines de la famille Bongo. Or, de l’aveu de la mère et du fils eux-mêmes, nous venons d’avoir la confirmation que Monsieur Ali Bongo Ondimba est tout sauf Gabonais. Il ne pourra plus nier ses propres paroles ni celles de sa « Mama ». Ah, « lé pauvre péti ».
Mais voilà où Ali a fait la plus grosse erreur de sa « biafrité », pardon, de sa « congolité » : Il n’y a pas de différence aux yeux des Gabonais qu’il soit « Biafrais » ou « Congolais ». Ce qui est important c’est que les Gabonais aient eu la confirmation, et sachent désormais sans l’ombre d’un doute, qu’Ali Bongo est un étranger et que la famille Bongo a toujours été une famille étrangère qui a toujours fait usage de faux et d’imposture pour s’immiscer dans la vie politique gabonaise et prendre le Gabon en otage. C’est donc là terrible imposture et elle est inacceptable pour les Gabonais, surtout si « Bébé Ben » décide de s’imposer aux Gabonais après son père. Nul n’acceptera une telle imposture de plus au Gabon.
Imposture No. 2 : La deuxième imposture des Bongo devenus « Omars » est le fait de se retrouver à la tête du Gabon après avoir été finir le pauvre vieux Léon Mba en France avec l’aide des Français. C’est parce que les Français savaient Bongo étranger qu’ils l’ont installé au pouvoir au Gabon. Ils savaient qu’un étranger comme Bongo ne pourrait jamais aimer son pays comme un vrai Gabonais. La preuve en est aujourd’hui faite : pendant 42 ans, Bongo a pillé le Gabon comme les Français ont pillé le Gabon. Le Gabon n’étant pas son pays, il ne pouvait que le considérer comme un « pilloir » et le détrousser sans merci comme un pirate pillageur le ferait. Bongo pratique au Gabon une politique de la terre brûlée. Il décime et brûle tout sur son passage et ne laissera que cendres et pleurs pour les pauvres Gabonais.
Gabonais par imposture, donc Président et leaders du Gabon par imposture, sans oublier les élections truquées par l’imposture politique, voilà, mesdames et messieurs, la vérité sur les Bongos: Le Gabon est dirigé non pas par des « Biafrais », mais par des Congolais.
Quand la Mama Bongo répudiée par Papa Bongo depuis des années vient mentionner les Batékés à la télé, elle veut nous jouer le même vieux jeu ethnique par lequel son ancien mari a toujours voulu diviser les Gabonais. Ils veulent faire croire aux Batékés du Gabon que les autres Gabonais leur en veulent. La vérité, aujourd’hui, est pourtant limpide. Ce sont les Bongo qui, étant nés Batékés congolais, se sont installés parmi les Batékés du Gabon par imposture. Dès lors, quand les Gabonais disaient à Bongo qu’il n’était pas Gabonais, mais Congolais, Bongo utilisait cela comme une arme ethnique pour faire croire aux Batékés du Gabon que les autres Gabonais les accusaient d’être Congolais. Or, cette stratégie de Bongo était indécente car le Gabon a d’autres ethnies comme les Fangs qui ont des attaches ethniques en Guinée Equatoriale et au Cameroun. Ce n’est pas pour autant qu’on va dire des Fangs du Gabon qu’ils sont Camerounais ou Equato-guinéens. On ne peut pas donc dire que les Batékés du Gabon soient Congolais car les frontières coloniales ont décidé que certains Batékés seraient du Gabon et d’autres du Congo, tout comme certains Fangs sont du Cameroun et d’autres du Gabon. Mais comme les Bongo sont machiavéliques, ils ont fait l’amalgame et ont confondu leur imposture avec le peuple Téké du Gabon et inventé des divisions ethniques là où il ne devrait pas y en avoir. Les Tékés du Gabon sont Gabonais et les Tékés du Congo sont Congolais. C’est aussi simple que cela.
Les Gabonais refusent donc de retomber dans ce piège ethnique que les Bongo aiment à nous tendre. La « congolité » des Bongo n’engage point et n’a jamais engagé les Batékés du Gabon. Elle concerne les Bongo et uniquement les Bongo. C’est aussi simple que cela.
Mais attention! Nous au Gabon, nous n’avons rien contre nos frères congolais qui souffrent actuellement sous l’imposture politique des Sassou au Congo comme les Gabonais souffrent sous la double imposture des Bongo au Gabon. Mais reconnaissons quand-même que cela nous en bouche un coin que ce soit maintenant un enfant congolais, arrivé au Gabon APRES l’indépendance du Gabon, qui soit maintenant pressenti pour remplacer son propre papa congolais sur le trône du Gabon !!
Nous ne le disons pas par hasard. Si l’on donne le bénéfice du doute à Ali et accepte son explication, force est de constater que cela ne change pas du tout son problème car tout ce que sa maman et lui-même ont réussi à faire, c’est échanger une nationalité étrangère pour une autre. Ce qui revient exactement au même : Ali est étranger, par conséquent, il ne peut briguer la présidence du Gabon. Regardez vous-même :
Le Congo Brazza est devenu indépendant le 15 août 1960, soit deux jours AVANT le Gabon. Donc, en arrivant au Gabon le 29 octobre 1960, soit trois mois et demi après l’indépendance du Congo, Ali Bongo était bel et bien un Congolais avéré car né au Congo AVANT l’INDEPENDANCE du Congo, donc automatiquement Congolais quand le Congo devient indépendant le 15 août 1960. Autrement dit, quand Ali Bongo arrive au Gabon avec sa mère et son père Albert Bernard Bongo trois mois plus tard APRES l’indépendance du Gabon, ils sont tous Congolais depuis trois mois et demi.
Or, il n’existe nulle part au Gabon un seul papier montrant quand Ali Bongo et Omar Bongo se sont naturalisés Gabonais. Ali Bongo n’étant pas né au Gabon, il ne peut, au vu de la Constitution actuelle, devenir Président du Gabon. Son père lui-même aussi, n’étant pas né au Gabon et n’étant arrivé au Gabon qu’après l’indépendance du Gabon, ne peut pas non plus prétendre au trône du Gabon. Aucun des deux ne disposant d’aucun papier de naturalisation, et aucun des deux n’étant Gabonais de première ni de deuxième génération, leur présidence est illégale. Seuls les enfants et petits enfants de Bongo nés au Gabon peuvent prétendre au trône gabonais, pas Ali Bongo, et encore moins Omar Bongo.
Et comme Bongo lui-même a toujours été « rumoré » comme Congolais, on ne peut que saluer l’honnêteté de Mama Dabany qui, en voulant défendre le fils, a finalement avoué la vérité aux Gabonais. Pire, en disant : « Mon fils, moi et mon mari qui était sous le drapeau depuis trois ans, libéré et ayant refusé de demeurer à Brazzaville, la capitale congolaise, suite à la guerre civile, arrivons à Libreville le 29 octobre 1960 (…).je suis Batéké, Bongo est Batéké, nous ne sommes pas Nigérians », Mama Dabany avoue très clairement un autre fait important : Les Bongo n’ont quitté le Congo que parce qu’ils voulaient fuir la guerre civile congolaise. Autrement dit, si le Congo n’avait pas connu la guerre civile, les Bongo seraient restés au Congo Brazza comme Congolais et personne n’aurait jamais entendu parler d’eux au Gabon. Et puis, ne disait-on pas à l’époque que Patience était stérile et qu’elle ne pouvait pas faire d’enfants? Un autre miracle?
Merci donc les Français pour avoir tué notre président bien gabonais Léon Mba pour nous imposer des imposteurs qui n’ont même pas voulu reconnaître le nom de leur papa et grand papa « Ondimba » pendant toute leur vie, et qui ont tous tellement changé de nom qu’on a fini par s’y perdre. Albert Bernard Bongo est devenu Omar Bongo, puis Omar Bongo Ondimba (Une bien tardive reconnaissance du nom de son père !). Alain Bernard Bongo est devenu Ali Ben Bongo puis Ali Ben Bongo Ondimba (trois fois changé de nom !). Mama Dabany est d’abord née Joséphine Nkama Dabany, puis est devenue Joséphine Bongo, avant d’être répudiée par le Bongo et de se fabriquer la nouvelle identité « Patience Dabany ». Elle encore, on peut la comprendre : étant femme, elle était obligée de prendre le nom de son imposteur de mari, et étant chanteuse, il fallait bien faire « cool ». Mais Ali et papa Bongo, pourquoi ces changements de noms comme on change de chaussettes ?
La vérité est donc enfin là : elle est douce comme bonnet blanc et blanc bonnet. Nous avons, au Gabon, des imposteurs qui se font passer pour des Gabonais depuis le 29 octobre 1960 (49 ans d’impostures !!).
Alors, Bongo et Edith-Lucie, c’était finalement quoi ? Une simple affaire de retour aux sources de papa Bongo ?
Mais pour les Gabonais, une seule question demeure. Ali… Biafro ou Kongolo?
Source: BDP-Gabon Nouveau
Il y en a ici qui se mélangent totalement les pédales. Le BDP n’invente rien. Patience Dabany a été claire:
1) Les Bongo sont arrivés au gabon avec le petit Ali APRES les indépendances du gabon et du Congo.
2) Donc, Ali est né au Congo est devenu Congolais APRES l’indépendance du Congo le 15 août 1960.
3) Ce n’est que le 29 octobre 1960 que la famille Bongo quitte le Congo INDEPENDANT, où ils SONT déjà CONGOLAIS, pour s’installer au Gabon.
4) Ils quittent le CONGO indépendant pour fuir la Guerre, pas pour autre chose, et s’installent au Gabon alors que le Gabon est déjà indépendant.
TOUS CES FATS ne sont pas de l’invention du BDP, mais sort de la bouche TELEVISEE de Patience Dabany.
Logiquement, DONC:
1) Les Bongo sont BEL et BIEN Congolais de nationalité QUAND ils arrivent au Gabon après l’indépendance des deux pays.
2) Pour devenir Gabonais, ils n’ont pu avoir la nationalité que PAR NATURALIZATION.
3) Or, la constitution du gabon n’admet pas que quelqu’un qui est citoyen d’un autre pays et qui devient citoyen gabonais par naturalisation soit Président du Gabon: Bongo est déjà donc illégalement président du Gabon puisqu’il n’est pas gabonais au moment de l’indépendance du Gabon. IL est Congolais au moment de l’indépendance du Congo.
4) Ali Bongo ne peut non plus prétendre au trône car la COnstitution ne permet pas à un étranger de devenir Président. Ali peut pêtre MInsitre, mais pas Président.
je ne vois pas en quoi cette analyse du BDP est fausse. Elle ets basée sur les faits avancés par Ali et Patience Dabany eux-mêmes. FAITS INDISPUTABLES.
Nous sommes illégalement dirigés par des CONGOLAIS qui ne sont même pas naturalisés.!!!!!
dans tout pays democratique digne de ce nom ne sont presidents de leur pays que ce qui y sont nés……
pourquoi ne pas appliquer la même chose au gabon……
demandez un referendum pour le test adn…..
le test d’ADN existe aujourd’hui, qu’il le fasse.
quand je regarde le phenotype des 2 parents et l’enfant Ali: aucune ressemblance…exusez moi: aucune.
Virgile Nguema, je suis allé sur le site de l’UPG et j’ai lu égalament un article sur Ali Ben. TOC
cette analyse est juste: bongo et sa femme sont arrivés au gabon aprés l’indépendance, avec un enfant né au Congo (au dire de patience Dabany, c’est pas le BDP qui le dit). ils ne sont pas gabonais. c’est aussi clair comme l’eau de roche. a moins qu’ils se soient naturalisés gabonais ce que Dabany ne dit pas.
autre chose: Ali, pour se justifier affirme ceci: « Tout ce que je sais, c’est que je suis né à Brazzaville en 1959. Ceux qui disent ce genre de choses ne connaissent pas l’histoire. La guerre du Biafra a commencé en 1967 et moi je suis né en 1959. Quand je suis né, le Nigeria n’était même pas indépendant avant de l’être l’année suivante. Donc, quand la guerre du Biafra commence, j’avais déjà 8 ans ».
Et alors, tous les enfants du biafra adoptés pendant et aprés la guerre sont nés forcement avant la guerre (avant 1967). ce n’est pas parce qu’on a 8 ans qu’on ne peut être adopté. cet argument est donc ridigule, vraiment ridule.
En ce qui me concerne ce n’est pas le fait que les BONGO soient Conglais ou Biafrais qui me dérange. C’est le fait qu’ils n’aiment pas les Gabonais; c’est incontestable. Tout ce qu’ils ont fait en Europe et dans d’autres pays Africains, s’ils l’avaient fait au Gabon avec cet argent détourné; les gabonais ne se seraient jamais posé la question de savoir si BONGO et son fils sont étrangers.Mais les Gabonais souffrent et c’est bien normal qu’ils cherchent aujourd’hui les origines de leurs souffrances. Régardez le milliardaire Américain Rokefeller aux Etats-unis. il est Francais d’origine, mais il a largement contribué à enrichir les Etats-unis, au point que personne n’a jamais soupçonné qu’il n’était pas d’origine Américaine.
Ils a vraiment montré qu’il aimait l’amérique . Toutefois losrque un Président a mis un pays à terre comme c’est la cas pour le Gabon, le peuple Gabonais est en droit de savoir si le président est un vrai fils du pays. Car en principe le Gabonais est de nature solidaire,et très soucieux de la vie de ses compatriotes. BONGO n’incarne malheureusement pas ces valeurs en lesquelles on reconnait un Gabonais. On n’a pas besoin de faire de grandes recherches pour savoir que BONGO n’aime pas les Gabonais. Savez vous le nombre de jeunes filles innocentes, douze ans à peine, auquelles BONGO a arraché la virginité au Gabon sans scrupules, contre leurs gré ? Bref peut-être que s’il était vraiment Gabonais il considererait tous les Gabonais comme sa propre famille et il se serait même marié à une Gabonaise. Mais les Gabonaises n’ont touours servi qu’à assouvir ses fantasmes. Je n’aime pas être dur dans mes propos,mais la souffrance au Gabon est entrain d’atteindre son paroxysme à cause du pouvoir indéracinable de BONGO. Les vérités doivent être dites.
Mon cher Pierre,
Ce que nous posons ici, c’est le culte du Mensonge qui crée un état d’esprit de manque de confiance, de déloyauté!!!!
Tous les peuples ont été à un moment donné immigrants et la fixation des frontières n’a pas été sélective du point de vue ethnique ou tribal. Il est vrai que des tribus, voir des familles ont été divisées lors de la détermination de ces frontières, mais le principe était l’acceptation de l’unicité de la nationalité. Ce principe est valable encore aujourd’hui: on nait quelque part mais on peut sous certaines conditions choisir sa nationalité.
Ce qui nous intrigue avec l’histoire d’Ali, c’est la falsification des ces origines par ces parents. Ali se sait Gabonais parce qu’il n’a connu que le Gabon. A un an, ces parents ont choisis d’être Gabonais et il a grandi avec cette connaissance d’être Gabonais d’Origine tout en sachant qu’il était né à Brazzaville. Beaucoup de Gabonais sont nés à l’étranger et il n’y a jamais de problèmes la dessus!!!
Mais lorsqu’on est congolaise et qu’on se dit d’Akiéni,là il y a un problème! L’opprobre des parents se transmet de facto sur les enfants et vous ne pouvez pas nous jeter la pierre nous qui cherchons à savoir la vérité!!!!
L’ivoirité est née de ce principe de mensonge que les politiciens ont récupéré pour barrer la route à ADO. Nous ne voulons pas que cela arrive à Ali que nous savons innocent. Lui même est conscient que c’est à ses parents que l’on s’adresse!!!
La vraie problématique est de savoir pourquoi Ali ne devrait –il pas être un potentiel dauphin d’Omar ? La loyauté est la base de la confiance et le mensonge de ses parents commence à lui être préjudiciable.
ah, peti gaboné pas compran bien politiqué eh !
peti gaboné pas compran qué tou cé cinéma cé pour embrouyé lui dè!
bébé bongo, mama bongo, papa bongo, cé tabac même pipe dè!
pourquoi bébé bongo lui attan seulema 50 ans pour palé histoire là dè!
pourquoi mama bongo lui attan seulema aujourdhui pour palé bébé pour lui dè! pourquoi attan seulema mort mama edith pour palé mari pour lui dè!
ah, peti gaboné, pas compran politiqué encore dè! bébé, mama et papa bongo beaucou malin pour vous dè! beaucou malin et beaucou resté encor lontan pouvoir dè!
comme papa pas bien pour parlé bébé, lui demandé mama parlé pour dire gabonais que bébé ali est bébé gabon dè! si bébé ali lui bébé gabonais, donc bébé ali lui devenu présida gabonais dè! papa bongo lui beaucou beaucou malin dè! lui trop beaucou malin pour gabonais. gabonais pas compran que papa bongo trop malin dè!
moi vieux malien beaucou resté gabon lontan lontan. moi compri beaucou beaucou chose. moi compri papa bongo beaucou trop rusé pour gabonai dè!
bâ sissoko
Pierre,
Il ne faut pas ajouter la confusion à la confusion. Le Gabon est composé de l’ensemble de ses groupes sociaux linguistiques. Le fang, le miéné, le téké, le punu… forment la culture gabonaise.
Je suis fang comme vous, mais je me considère avant tout comme Gabonais. L’appatenance socio-linguistique ne doit pas avoir autorité sur la citoyenneté.
J’attire l’attention de l’ensemble des internautes. Il faut combattre tous les discours qui privilégient les questions linguistiques au détriment de la nationalité. Ce qui se passe ailleurs doit retenir notre attention.
Profonds respects.
Franchement,
je suis d’accord avec Virgil, C’est vraiment pas très crédible tout ça…Bongo est peut être né au Congo, c’est même probable (il est forcément né avant les indépendances) mais à cette époque ni le Gabon, ni le Congo n’existait. A mon sens, il n’y avait donc ni téké congolais, ni Téké gabonais, ces pays n’existant pas.Il est juste Téké. On était qui Myéné, Fang, Kota, Punu mais pas encore gabonais ou congolais ni centrafricain d’ailleurs. Avant l’AEF (afrique equatoriale française), il n’y avait pas les frontières existantes aujourd’hui, c’est donc normal que les gens allaient et venaient de part et d’autre de ce qui sera plus tard le Gabon et le Congo. C’est certainement le cas également entre les Fangs du Gabon et ceux du Cameroun ou de Guinée équatoriale. Il y a forcément des liens de famille ou des liens tribaux de part et d’autre de ces frontières qui, je le rappelle, n’existaient pas… Ce sont les occidentaux qui ont créé le Gabon et le Congo tels que nous les connaissons aujourd’hui. Evitons de tenter régler des problèmes légués par les anciens colons, on a vu ce que cela a donné au Rwanda, réglons les problèmes que l’on a aujourd’hui. Bongo est Téké, peut être né au Congo, peut être pas bref, j’ai des amis Téké donc pour moi il pourrait faire partie de leur famille, donc il pourrait être gabonais. Même si ce n’était pas le cas, vu le temps passé sur notre territoire, il le serait devenu par « naturalisation ». Combien de gabonais ont la double nationalité franco-gabonaise? dans ma famille beaucoup, moi je ne l’ai pas. Beaucoup de gabonais la demandent en France chaque année, moi même j’ai été tenté de faire la démarche. Au risque de passer pour un membre d’une église « éveillée » je dirais: « ne faites pas aux autres, ce que vous ne voulez pas qu’on vous fasse » Ma soeur ne pourrait pas se présenter au Gabon parce qu’elle la détient cette double nationalité? Soyons responsables et humains. Beaucoup de gabonais viennent d’ailleurs, du moment où ils prouvent leur amour du Gabon, ils deviennent nos frères.
Et c’est plus là qu’est le problème ni Bongo, ni Ali Ben ne m’ont montré qu’ils aimaient le Gabon, ils ont détourné, manigancé, créé un système que le père ne contrôle plus vraiment. Bref, on sait tous ce qui se passe au Gabon. Je sais qu’ils ne partiront pas d’eux-mêmes. Le père en tout cas partira de sa belle mort… Mais le fils ne doit pas devenir président. Ce n’est pas une question de « Biafrité » ou de « gabonité » voire de « congolité », on peut décliner tout cela à l’extrême…C’est une question de principe: 42 ans du père c’est beaucoup trop et honteux d’une certaine manière, même 6 mois du fils ce serait trop. Le gabon a été créé par les colons, nous étions tous fang, Punu, Myéné, etc je suis plus fang que gabonais. Je m’explique: qu’est ce qui fait une culture? la culture gabonaise existe car il y a des cultures punu, téké, etc. Il n’y a pas de langue gabonaise, mais il y a le fang, le myéné, le punu, etc. Il n’y a pas de coutumes gabonaise mais chacun a la sienne dans son ethnie. De même, nos traditions orales du genre Mvet remontent beaucoup plus loin que notre histoire commune gabonaise. Notre territoire a été annexé, géré par les colonisateurs qui l’ont ensuite tracé et nous l’ont laissé, pour mieux les contrôler de l’extérieur. Nous avons peu de choses à avoir dans la création du gabon. Mais les Fang, Punu, Téké Obamba (pardon si ça ne s’écrit pas comme ça), eshira etc sont des traces de notre filiation beaucoup plus importantes. Bref, je ne suis pas tribaliste. Maintenant, mon identité c’est que je suis né gabonais et fang et je ferais tout ce que je peux pour aider mes frères et mes enfants à bien vivre dans notre pays. Or, ce pays ce n’est pas le pays de Bongo et de ces enfants. Comme je le disais plus haut 42 ans c’est beaucoup. Que les Bongo nous laissent notre pays tranquille. Le gabon ce n’est pas une monarchie, si c’est ainsi qu’ils imaginent notre avenir, il est de notre devoir, de notre responsabilité de leur montrer et de leur dire que nous ne voulons pas être leurs sujets. Pas besoin de haine, d’histoire bancales sur leurs origines. Si on leur explique, je pense qu’ils nous comprendront, s’ils ne comprennent pas, à nous de montrer au fils et à tout le mouvement des « réformateurs » qu’ils ne nous effraient pas autant que n’a pu le faire le père Bongo et ses acolytes. Ali Ben Bongo peut aisément faire de la politique s’il le souhaite et s’il n’a pas honte de l’héritage qu’il aura à porter mais être notre président non. On n’a jamais eu de vrai président, la prochaine fois ce sera le bon moment pour montrer au monde et SURTOUT à nous mêmes, et il faudra être déterminés pour cela, que l’on peut être fier d’être gabonais. Tout simplement, sans haine, peut être sans violence (mais j’en doute) envers quiconque juste en se rappelant la fierté que nous avons en nous.
Requin,
Je croyais que vous faites dans l’agitation. Bongo n’est pas un nom unique. j’ai croisé plusieurs Gabonais qui portaient ce nom.Ali Bongo est Gabonais comme vous et moi. Il est victime de manoeuvres politiciennes venant non pas de l’opposition ni du PDG, mais de certains membres de sa famille qui craignent pour leurs postes.
Derrière cette rumeur se cache autre chose. Il y a des gens qui ne veulent pas que le ministre de la Défense soit un jour candidat à la magistrature suprême. Du coup, ils s’inspirent de ce qui est arrivé à l’ancien premier ministre Alassame Dramane Ouattara. Mais qu’attendez tous ces gens quand Ali Bongo avait été nommé pour la premiere fois ministre?
Il faut arreter. Les Gabonais n’ont pas besoin d’un tel cinéma. Ces opérations de destabilisation discréditent la scène politique gabonaise vis-à-vis des populations gabonaises. Les professionnels de la rumeur sur la nationalité de notre ministre de la Défense ne donnent pas une bonne image de la politique. Bien au contraire, ils alimentent la crise de confiance qui règne.Les Gabonais ont besoin de se sentir protéger par leurs hommes politiques.Ils n’ont pas besoin de rumeurs sur la nationalité de notre ministre de la Défense, car leurs problemes demeurent malgré tout.
Je crois que monsieur Ali Bongo devrait se concentrer davantage sur la mission que lui a convié le président de la République et le chef du gouvernement: il doit suivre sa feuille de route. Qu’il communique sur les résultats de la politique de défense définit en conseil des ministres et appliquée par son ministere.Il doit se concentrer sur l’essentiel. Nous avons besoin de savoir ce qu’il a fait, ce qu’il fait et ce qu’il envisage de faire. Ce n’est pas le travail qui manque au ministere de la Défense.Par exemple, il faut qu’il s’assure que les militaires retraités reçoivent normalement leur pension. Qu’il rapproche l’armée de la nation en commençant par rendre publique et transparent les concours d’entrée dans nos différents coprs d’armée. Qu’ils mettent en place une politique de reconversion pour nos anciens militaires. La liste des propositions est très longue.
Pronfonds respects.
En écoutant Patience Kama Dabany hier lors de sa justification télévisée, j’ai compris qu’il y a vraiment anguille sous roche avec les BONGO car sans le vouloir et tenant à faire savoir qu’Ali n’était pas Biafrais, elle nous a révélé la vérité : les origines d’Omar sont au Congo.
C’est pourquoi les noms comme Dabany, Assélé, Bongo, ect… sont souvent uniques!!!!
Si en 1959, elle parlait mbochi et larry couramment c’est qu’elle est née au Congo et y a grandi!!! Ali a 50 ans. Etant son premier fils, elle doit l’avoir fait à 16 ou 17 ans!!!
Merci Patience car tu nous ouvres la vraie histoire de ceux qui veulent falsifier la vérité. Nous savons maintenant qu’Alain Bernard Bongo n’est pas Biafrais, mais Gabonais, né de mère et de père Congolais d’origine!!!!!
Les Gabonais ont appréciés Madame Albert Bernard !!!!
C’est riducule comme raisonnement, si c’est comme ca qu’on reflechoy au BDP c’est carrément décevant. Je veux bien qu’on critique mais ce pouvoir ignoble mais faites le de facon objectives en n’inventant rien et en ne déformant pas ce qui a été dit en l’interprétant à votre manière. Regardez comme les choses se font sur le site l’UPG, vous verrez que là bas au moins on reflechit
Voilà qui va faire s’arracher les cheveux à nos Congolais! Combien j’ai rigolé avec cet article! Vraiment drole, cet article.