Drôle de cinéma que celui qui se passe actuellement au Gabon. Les « Bongo Ondimba » seraient-ils tombés sur la tête? A moins que ce soit le ciel qui leur soit tombé sur la cabosse ? Fiston Bongo « l’Ali pas Mohamed » et l’ancienne « Mama Bongo » jadis répudiée avec des valises d’argent aux USA semblent s’être tellement acharnés à se sortir d’un trou déjà profond qu’ils se sont, sans s’en rendre compte, enfoncés dans un autre trou, celui-ci encore plus profond que le premier. En voulant tellement prouver aux Gabonais qu’Ali le fiston Bongo n’est pas, comme la rumeur le maintient depuis qu’Ali existe, un Biafrais adopté par les Bongo, « Mama Dabany » et « Bébé Ali pas Baby Doc » ont avoué devant Gabonais ébahis qu’ils sont, en fait, Congolais. Que l’on cesse d’appeler Ali « Biafrais » a martelé avec fureur « Mama ». Il est Congolais !!! a-t-elle finalement avoué.
On se serait cru dans un de ces films américains où l’avocat malin, à force de cuisiner le témoin, le pousse tellement à bout que le témoin, hors de lui, finit par avouer larmes aux yeux: « Oui, c’est moi qui l’ai tuée, ma femme !! » A la chaîne 1 de la radio-télévison gabonaise (RTG1), Mama Dabany, cuisinée par la rumeur devenue insoutenable, a finalement lâché le morceau : « Nous y en a pas Biafrais ! Nous y en a Congolais !! Cessez de nous appeler Biafrais ! Nous y en a descendants dé la famille royale dé Mani Kongo !! Nous pas Gabonais, mais Gabon ya bon car nous pleins dé CFAs cadeau oh !»
Tout a commencé samedi 25 avril dernier lorsque Monsieur le Ministre de la Défense Nationale Ali Ben Bongo (ABB comme Albert Bernard Bongo ou Alain Bernard Bongo-Mon Dieu comme cette famille change de noms !!) décide, une bonne fois pour toutes, de mettre fin aux rumeurs qui accablent sa vie et le rendent misérable depuis que sa misérable enfance gabonaise fut gâchée par la « biafrité » que les mauvaises langues ont cultivée tout autour de lui. Furieux, le petit Alain Bernard devenu Ali Ben déclare samedi : « Certaines prétendent que je serais nigérian? (…) Tout ce que je sais, c’est que je suis né à Brazzaville en 1959. Ceux qui disent ce genre de choses ne connaissent pas l’histoire. La guerre du Biafra a commencé en 1967 et moi je suis né en 1959. Quand je suis né, le Nigeria n’était même pas indépendant avant de l’être l’année suivante. Donc, quand la guerre du Biafra commence, j’avais déjà 8 ans ».
Jusque-là, pas grand-chose à redire, notre « péti » ABB « Ben béni » par les dieux connaît bien l’histoire, et il le prouve aux yeux de tout le monde ébahi par tant de connaissance. Donc, Ali dit vrai : comment peut-on être Nigérian quand le Nigeria n’existe même pas encore et qu’on est né hors ?
Sauf que, pauvre Ali (quel chagrin !!), nous voilà au courant d’un fait qui n’est pas non plus très reluisant pour notre bonhomme. Apparemment, notre « Minisse » de la Défense n’y comprend rien. On ne sait pas vraiment, en fait, s’il a compris pourquoi la rumeur biafraise a fait tant de bruit au Gabon. On a l’impression que ce qui fait le plus mal à Ali, c’est le mot «Biafrais », qui semble lui sonner dans la tête comme une insulte. Dans sa tête, il semble plus acceptable d’être considéré « Congolais » que « Biafrais ». Cependant, ce que notre bonhomme « Ben béni » ne comprend pas, c’est que ce n’est pas, en fait, le fait d’être « Biafrais » ou « Congolais » qui soit le problème des Gabonais. Ce qui fait tiquer les Gabonais, c’est le simple fait d’avoir un « étranger » imposteur à sa tête (l’Omar) et un autre « étranger » imposteur (le Ben) pour contrôler l’armée d’un pays où il n’est pas né, pays dont il n’a pas non plus la nationalité puisque né, de son propre aveu, Congolo-Français, mais pas Gabonais du tout…
Ce que les Gabonais ne veulent pas, c’est de ces mensonges qui durent depuis 49 ans !
Comme si un seul aveu ne suffisait pas, voilà que Maman Dabany vient, ce mardi soir, en rajouter pour clarifier, clouant finalement au pilori toute la famille Bongo qui, de par sa bouche, avoue finalement aux Gabonais son imposture de 49 ans. Ecoutons « Mama Patience » (encore un faux nom !!) : « Mon fils, moi et mon mari qui était sous le drapeau [congolo-français ?] depuis trois ans, libéré [de quel asile ?] et ayant refusé de demeurer à Brazzaville [il a refusé son pays ?], la capitale congolaise, suite à la guerre civile, arrivons à Libreville le 29 octobre 1960 (…). Je suis Batéké [du Congo ?], Bongo est Batéké [de Brazza ?], nous ne sommes pas Nigérians [vraiment ?]».
Ok, on a compris. La seule chose que les Bongo ne sont pas, c’est Gabonais. Ils ont tout été et ils ont tout fait dans leur vie, y compris changer mille fois de nom et de pays, mais ce qu’ils ne reconnaissent pas, c’est leur « gabonité ». Voilà qui est clair (Ah les pauvres bongoïstes qui défendent Bongo becs et ongles en croyant qu’il est Gabonais ! Ils vont se manger les ongles et se couper le bec comme des oisillons avec cette douche froide !).
Alors, donc, revenons à nos moutons : force est de constater que dans leur défense, ni Ali ni Mama Dabany n’ont à aucun moment revendiqué leur citoyenneté gabonaise. Ils ont tout affirmé, sauf leur « gabonité ». C’est bien étrange, non ?
Ce n’est quand-même pas gentil de leur part. On nous enlève un « Biafrais » pour nous donner quoi à la place ? Un « Congolais » ? Mince, c’est pas juste ! Nous voilà mieux servis. Les Nigérians eux au moins, ils savent bricoler quelques vieilles télévisions et réparer les frigos. A quoi va nous servir Ali, maintenant que nous savons que s’il devenait président, il ne pourra rien bricoler comme un vrai Nigérian sait si bien le faire ? On pourrait au moins faire du bon business « clando » et acheter des iPhones trafiqués et bon marché venant des filières « clando » du Biafra. Non, c’est pas juste du tout, zut ! Que va bien pouvoir nous apporter un Congolais vu que les Congolais sont aussi paresseux que les Gabonais, et qu’ils ne connaissent que la sape et les fesses des femmes et le « soukouss » ? Mais bon, laissons ça de côté sinon Aurlus Mabélé que nous aimons bien va se fâcher.
Les Bongo devenus « Ondimbas » sont donc tout-Français, Batéké (du Congo), Congolais-mais jamais « Gabonais » ni « Batékés du Gabon ». Ils s’en défendent devant tout le monde. C’est ce qui sort de leur propre bouche, pas de la bouche trop bavarde du Kongossa. Qu’est-ce que les gens vont encore dire ?
Mais une question demeure : quelle est la belle jambe que cela fait aux Gabonais qu’Ali soit « Biafrais » ou « Congolais » ? Les Gabonais ont-ils une préférence pour l’un ou pour l’autre ? Rien n’est moins sûr.
Depuis toujours, il a toujours couru deux rumeurs indicibles au Gabon. La première rumeur a toujours été que Bongo n’était pas Gabonais, mais Congolais. Cette rumeur, Bongo l’a toujours démentie avec la plus grosse énergie, au point de mettre en prison les quelques Gabonais qui avaient osé le dire. La deuxième a toujours été qu’Ali Bongo n’était pas Gabonais, mais Biafrais. Celle-là aussi pouvait jeter quelqu’un au caveau.
Or, voilà que, pour démentir la rumeur de la « biafrité » du fils, la Mama Dabany monte au créneau et lâche la plus grosse des bombes : elle confirme sans rougir (bon, ok, elle est noire, d’accord) la rumeur de la « congolité » de toute la famille Bongo, famille qui apparaît tout d’un coup comme une famille habituée à l’imposture non seulement des pouvoirs et des noms (trop de noms changés dans cette famille), mais aussi des nationalités (qui sont-ils vraiment, nos chimpanzés ?).
Parlons un peu de leurs impostures, juste pour avoir les idées un peu plus claires :
Imposture No. 1 : Contrairement à ce que Bongo a souvent raconté, « Mama Dabany pas Patience » vient enfin d’avouer que les Bongo ne sont venus au Gabon que le 29 octobre 1960, soit trois mois et demie APRES l’indépendance du Gabon (Ils ne se sont même pas battus pour l’indépendance du Gabon (Mais comment donc, les voyous !) On se posera donc toujours la question de savoir comment quelqu’un qui est né hors du Gabon (au Congo) en 1959 et qui arrive au Gabon APRES l’indépendance du Gabon peut être autre chose qu’un « étranger » ? Ali et sa famille ne semblent pas capables de comprendre que ce qui dérange les Gabonais n’est pas le fait que notre Ali défenseur national soit Nigérian, Biafrais, Turc ou Eskimo. Ce qui dérange les Gabonais, ce sont les mensonges, les impostures et les entourloupes qui ont toujours entouré les origines de la famille Bongo. Or, de l’aveu de la mère et du fils eux-mêmes, nous venons d’avoir la confirmation que Monsieur Ali Bongo Ondimba est tout sauf Gabonais. Il ne pourra plus nier ses propres paroles ni celles de sa « Mama ». Ah, « lé pauvre péti ».
Mais voilà où Ali a fait la plus grosse erreur de sa « biafrité », pardon, de sa « congolité » : Il n’y a pas de différence aux yeux des Gabonais qu’il soit « Biafrais » ou « Congolais ». Ce qui est important c’est que les Gabonais aient eu la confirmation, et sachent désormais sans l’ombre d’un doute, qu’Ali Bongo est un étranger et que la famille Bongo a toujours été une famille étrangère qui a toujours fait usage de faux et d’imposture pour s’immiscer dans la vie politique gabonaise et prendre le Gabon en otage. C’est donc là terrible imposture et elle est inacceptable pour les Gabonais, surtout si « Bébé Ben » décide de s’imposer aux Gabonais après son père. Nul n’acceptera une telle imposture de plus au Gabon.
Imposture No. 2 : La deuxième imposture des Bongo devenus « Omars » est le fait de se retrouver à la tête du Gabon après avoir été finir le pauvre vieux Léon Mba en France avec l’aide des Français. C’est parce que les Français savaient Bongo étranger qu’ils l’ont installé au pouvoir au Gabon. Ils savaient qu’un étranger comme Bongo ne pourrait jamais aimer son pays comme un vrai Gabonais. La preuve en est aujourd’hui faite : pendant 42 ans, Bongo a pillé le Gabon comme les Français ont pillé le Gabon. Le Gabon n’étant pas son pays, il ne pouvait que le considérer comme un « pilloir » et le détrousser sans merci comme un pirate pillageur le ferait. Bongo pratique au Gabon une politique de la terre brûlée. Il décime et brûle tout sur son passage et ne laissera que cendres et pleurs pour les pauvres Gabonais.
Gabonais par imposture, donc Président et leaders du Gabon par imposture, sans oublier les élections truquées par l’imposture politique, voilà, mesdames et messieurs, la vérité sur les Bongos: Le Gabon est dirigé non pas par des « Biafrais », mais par des Congolais.
Quand la Mama Bongo répudiée par Papa Bongo depuis des années vient mentionner les Batékés à la télé, elle veut nous jouer le même vieux jeu ethnique par lequel son ancien mari a toujours voulu diviser les Gabonais. Ils veulent faire croire aux Batékés du Gabon que les autres Gabonais leur en veulent. La vérité, aujourd’hui, est pourtant limpide. Ce sont les Bongo qui, étant nés Batékés congolais, se sont installés parmi les Batékés du Gabon par imposture. Dès lors, quand les Gabonais disaient à Bongo qu’il n’était pas Gabonais, mais Congolais, Bongo utilisait cela comme une arme ethnique pour faire croire aux Batékés du Gabon que les autres Gabonais les accusaient d’être Congolais. Or, cette stratégie de Bongo était indécente car le Gabon a d’autres ethnies comme les Fangs qui ont des attaches ethniques en Guinée Equatoriale et au Cameroun. Ce n’est pas pour autant qu’on va dire des Fangs du Gabon qu’ils sont Camerounais ou Equato-guinéens. On ne peut pas donc dire que les Batékés du Gabon soient Congolais car les frontières coloniales ont décidé que certains Batékés seraient du Gabon et d’autres du Congo, tout comme certains Fangs sont du Cameroun et d’autres du Gabon. Mais comme les Bongo sont machiavéliques, ils ont fait l’amalgame et ont confondu leur imposture avec le peuple Téké du Gabon et inventé des divisions ethniques là où il ne devrait pas y en avoir. Les Tékés du Gabon sont Gabonais et les Tékés du Congo sont Congolais. C’est aussi simple que cela.
Les Gabonais refusent donc de retomber dans ce piège ethnique que les Bongo aiment à nous tendre. La « congolité » des Bongo n’engage point et n’a jamais engagé les Batékés du Gabon. Elle concerne les Bongo et uniquement les Bongo. C’est aussi simple que cela.
Mais attention! Nous au Gabon, nous n’avons rien contre nos frères congolais qui souffrent actuellement sous l’imposture politique des Sassou au Congo comme les Gabonais souffrent sous la double imposture des Bongo au Gabon. Mais reconnaissons quand-même que cela nous en bouche un coin que ce soit maintenant un enfant congolais, arrivé au Gabon APRES l’indépendance du Gabon, qui soit maintenant pressenti pour remplacer son propre papa congolais sur le trône du Gabon !!
Nous ne le disons pas par hasard. Si l’on donne le bénéfice du doute à Ali et accepte son explication, force est de constater que cela ne change pas du tout son problème car tout ce que sa maman et lui-même ont réussi à faire, c’est échanger une nationalité étrangère pour une autre. Ce qui revient exactement au même : Ali est étranger, par conséquent, il ne peut briguer la présidence du Gabon. Regardez vous-même :
Le Congo Brazza est devenu indépendant le 15 août 1960, soit deux jours AVANT le Gabon. Donc, en arrivant au Gabon le 29 octobre 1960, soit trois mois et demi après l’indépendance du Congo, Ali Bongo était bel et bien un Congolais avéré car né au Congo AVANT l’INDEPENDANCE du Congo, donc automatiquement Congolais quand le Congo devient indépendant le 15 août 1960. Autrement dit, quand Ali Bongo arrive au Gabon avec sa mère et son père Albert Bernard Bongo trois mois plus tard APRES l’indépendance du Gabon, ils sont tous Congolais depuis trois mois et demi.
Or, il n’existe nulle part au Gabon un seul papier montrant quand Ali Bongo et Omar Bongo se sont naturalisés Gabonais. Ali Bongo n’étant pas né au Gabon, il ne peut, au vu de la Constitution actuelle, devenir Président du Gabon. Son père lui-même aussi, n’étant pas né au Gabon et n’étant arrivé au Gabon qu’après l’indépendance du Gabon, ne peut pas non plus prétendre au trône du Gabon. Aucun des deux ne disposant d’aucun papier de naturalisation, et aucun des deux n’étant Gabonais de première ni de deuxième génération, leur présidence est illégale. Seuls les enfants et petits enfants de Bongo nés au Gabon peuvent prétendre au trône gabonais, pas Ali Bongo, et encore moins Omar Bongo.
Et comme Bongo lui-même a toujours été « rumoré » comme Congolais, on ne peut que saluer l’honnêteté de Mama Dabany qui, en voulant défendre le fils, a finalement avoué la vérité aux Gabonais. Pire, en disant : « Mon fils, moi et mon mari qui était sous le drapeau depuis trois ans, libéré et ayant refusé de demeurer à Brazzaville, la capitale congolaise, suite à la guerre civile, arrivons à Libreville le 29 octobre 1960 (…).je suis Batéké, Bongo est Batéké, nous ne sommes pas Nigérians », Mama Dabany avoue très clairement un autre fait important : Les Bongo n’ont quitté le Congo que parce qu’ils voulaient fuir la guerre civile congolaise. Autrement dit, si le Congo n’avait pas connu la guerre civile, les Bongo seraient restés au Congo Brazza comme Congolais et personne n’aurait jamais entendu parler d’eux au Gabon. Et puis, ne disait-on pas à l’époque que Patience était stérile et qu’elle ne pouvait pas faire d’enfants? Un autre miracle?
Merci donc les Français pour avoir tué notre président bien gabonais Léon Mba pour nous imposer des imposteurs qui n’ont même pas voulu reconnaître le nom de leur papa et grand papa « Ondimba » pendant toute leur vie, et qui ont tous tellement changé de nom qu’on a fini par s’y perdre. Albert Bernard Bongo est devenu Omar Bongo, puis Omar Bongo Ondimba (Une bien tardive reconnaissance du nom de son père !). Alain Bernard Bongo est devenu Ali Ben Bongo puis Ali Ben Bongo Ondimba (trois fois changé de nom !). Mama Dabany est d’abord née Joséphine Nkama Dabany, puis est devenue Joséphine Bongo, avant d’être répudiée par le Bongo et de se fabriquer la nouvelle identité « Patience Dabany ». Elle encore, on peut la comprendre : étant femme, elle était obligée de prendre le nom de son imposteur de mari, et étant chanteuse, il fallait bien faire « cool ». Mais Ali et papa Bongo, pourquoi ces changements de noms comme on change de chaussettes ?
La vérité est donc enfin là : elle est douce comme bonnet blanc et blanc bonnet. Nous avons, au Gabon, des imposteurs qui se font passer pour des Gabonais depuis le 29 octobre 1960 (49 ans d’impostures !!).
Alors, Bongo et Edith-Lucie, c’était finalement quoi ? Une simple affaire de retour aux sources de papa Bongo ?
Mais pour les Gabonais, une seule question demeure. Ali… Biafro ou Kongolo?
Source: BDP-Gabon Nouveau
Sysy
Dommage que tu ne viennes plus sur ce site comme tu le dis. Mais si tu y jettes encore un oeil par hasard, saches que la plupart des gabonais ont des parents au Congo!!!
je disais plus bas que le limitation des frontières n’a pas été sélective du point de vue tribal. je suis Gabonais 100% parce que lors des indépendances mon père et ma mère étaient sur le territoire Gabonais. Mais les origines de mon père sont lointaines et transitent par le Congo: je n’ai pas honte de cela.
Ma grand mère maternelle était congolaise 100% et j’ai des cousins au Congo.
Le fang du nord qui vous dirons qu’ils n’ont pas des parents en guinée équatorial ou au Cameroun vous mentiront.
Alors cesses d’être xénophobe car c’est vraiment toi le xénophobe car tu veux transposer le problème en terme de gabonais contre congolais. Nous ne sommes pas dans cette direction.
Nous dénonçons simplement la falsification de l’histoire. Le manque de confiance crée des frustrations qui peuvent être préjudiciables. Nous avons une loi fondamentale et nous ne pouvons pas accepter que la première institution du pays soit celle la qui la viole en premier.
Ce n’est pas de la démagogie lorsque nous disons que les pays frontaliers on l’obligation d’assumer leur histoire mais cette obligation doit se faire dans le respect des règles établies et qu’ils ont délibérément choisies.
Rechercher les origines d’Ali est l’une de ces obligations. Bongo a plusieurs enfants (naturels et adoptifs). Nous nous acharnons sur Ali parce que nous savons qu’il veut prendre le pouvoir et il ne s’en cache plus. Nous savons par exemple que Jeff Bongo est Ethopien d’origine, mais de nationalité Gabonaise de par son adoption…
Alors de grace, évite de nous distraire….
Gabonais ! Levons-nous et combattons pour qu’un autre etranger ne devienne president de notre Gabon . Nous mettons en garde les francaise de se tenir loin de ce combat . Car nous les Gabonais allons prenons notre destin en main et mettre fin a la dictature bongoiste . Le sang coulera pour l’avenir de notre pays . Je suis de la garde preidentielle Gabonais et je peux vous assurer que nous y sommes nombreux a intervenir au cas ou Ali serait president . Beaucoup doute de la moralite et du patriotisme des militaires ,mais je vous assure que nous sommes plus de 600 militaires de la garde preisentielle qui aderons aux ideaux du BDP ,et nous sommes prets a nous battre quand la provocation d’ali ben se fera sentir. Merci
Apres avoir lu toutes ces reactions, je comprends que beaucoup de gabonais sont effectivement arrives au point de chute prevu par Bongo et sa famille : polemiquer sur l’origine congolaise d’Ali afin de faire avaler la pilule d’une probable succession du fils a la tete du Gabon.
Ca saute a l’oeil que Ali n’aurait pas reagit a ce sujet sans l’aval de son « pere », et nous savons tous la rumeur qui coure a ce sujet, pour justifier le crime d’un distingue opposant au pouvoir a l’oree des annees 90.
Pourquoi avoir attendu tout ce temps pour dire qu’Ali est congolais et non Biafrais?
A mon humble avis,etre congolais est le meilleur verre d’eau qui pourrait faire avaler la pilule amere du « pere » aux gabonais. En effet, du fait de ces problemes de frontieres, et d’independance des annees 60, nous savons que le gabonais est pret a accepter un congolais a la tete de l’Etat, et qui de surcroit viendrait d’une frontiere commune avec le Gabon, tout comme on pourrait accepter a la tete du Gabon, un Nzebi ou un punu du Congo, ou un Fang du cameroun. Mais comment accepter un Biafrai du Nigeria avec qui le Gabon n’a de frontiere commune???
Je pense que c’est a ce jeu de gymnastique que le clan Bongo joue. Partir du Nigeria au Congo, pour mieux se faire accepter vu que les frontieres « n’excistaient pas » lors de leurs naissances.Et crier haut et fort qu’on est gabonais ou congolais, n’est pas une preuve suffisante pour se dedouaner de son numero de matricule du colsi en provenance du la province du Biafra1 Il faut encore le prouver.
Et beaucoup de gabonais sont tombe dans ce trou, en dedouanant inconsciemment Ali de ses origines « Biafrai » ou « ibo ». C’est simplement de la diversion!!
Le fait est que congolais ou Biafrai, la nationalite d’Ali Ben importe peu tant qu’il reste ministre de son papa sans vouloir viser plus haut.
Le parcours record de son « papa », ne va pas laisser les gabonais avaler cette pilule qui a pour viser de « placer son fils a la tete du Gabon pour 42 ans de plus ».
Qu’il soit fils adoptif ou pas de Bongo, ca m’est egal, mais a condition qu’il ne dicte pas a l’exemple de son « papa », le destin des gabonais!!!
Et que la Loi gabonaise a ce sujet soit respectee, un point un trait!
Le but derriere tout ce tapage retardataire de plusieurs decennies, est juste la succession. Mais le Gabon n’est pas un royaume, il n’en est pas question, et Ali sait qu’il y a des militaires gabonais pret a prendre des armes rien qu’a l’idee d’etre diriges par un Nigerian.
Ne tombons pas dans la diversion du Clan Bongo!!!!
Sysy ne sait pas de quoi il parle. A la place des gabonais, accepteriez-vous que quelqu’un dont la nationalité est douteuse devienne président du Congo?
Si vous aviez un gars né au Gabon qui viendrait avec des mensonges se faire président chez vous, seriez-vous content? Laissez les choses tranquille si vous ne pouvez pas supporter cela.
Je ne vois pas pourquoi le Gabon doit accepter que des gens deviennent président sans vérifier. Même Obama au x USA a subi la même chose et il a du prouver sa nationalité après des enquêtes car il fallait s’assurer qu’il est bien né en territoire américain. Pourquoi voulez-vous que le Gabon ferme les yeux sur ce genre de flou et accepte Ali sans broncher? Il faut des preuves. Sinon, basta.
SySy est ce que tu as bien lu? voici ce que le BDP dit: « Mais attention! Nous au Gabon, nous n’avons rien contre nos frères congolais qui souffrent actuellement sous l’imposture politique des Sassou au Congo comme les Gabonais souffrent sous la double imposture des Bongo au Gabon. »
et voici ce que tu dis: »Il faut que vous sachiez que tous les Gabonais ne rendent pas responsables le Congo de nos échecs. »
vous dites exactement la même chose. le BDP n’a aucune haine contre les bongo, ils demandent juste qu’on respecte la constitution gabonaise. c’est aussi simple.
SySy,
Il faut que vous sachiez que tous les Gabonais ne rendent pas responsables le Congo de nos échecs. Ceux qui défendent une telle position se trompent énormément. Les militants du BDP ont la haine sinon l’aversion envers Bongo et son entourage. C’est l’une des raisons pour lesquelles, ils souhaitent que monsieur Bongo ne soit pas candidat aux prochaines présidentielles. De même cela explique le fait qu’ils accordent autant d’importance à la nationalité de notre ministre de la Défense. Ils s’inspirent de ce que les Ivoiriens ont fait à l’ancien premier ministre Alassane Dramane Ouattara. C’est bien dommage!
Le Congo reste un pays ami pour le Gabon et inversement. Nous avons d’excellents rapports diplomatiques et politiques. Je crois que le couple Gabon-Congo peut jouer un rôle important dans l’intégration de la sous région.
Les Gabonais doivent comprendre qu’ils partagent tous l’état dans lequel se trouve leur pays. Bongo n’est pas le seul responsable. C’est pourquoi, je crois que c’est ensemble que nous devons reconstruire sinon construire notre le Gabon.
Profonds respects.
D’ici peu, on lira sur ce site que les gabonais qui ont réélu BONGO étaient en réalité des congolais DEGUISES en gabonais…on n’est pas loin de conneries pareilles…prenez vos responsabilités au lieu de salir les gens fratuitement…aucune dignité…c’est vraiment n’importe quoi…!!! Je ne reviendrais plus jamais sur ce site, il ya trop de conneries…c’est nul!!!!
Jean-félix N. ,
SASSOU ne représente pas tous les congolais…vous devriez le savoir…je quitte ce site et je n’y reviendras plus jamais .J’invite TOUS les étrangers (non-gabonais) qui interviennent sur ce site à suivre mon exemple et aller échanger ailleurs sur d’autres sites, avec des personnes qui réfléchissent un peu afin d’avoir des échanges enrichissants…ici il ya énormément de xénophobie vis à vis des africains non gabonais et des congolais en particulier, des débats qui ne mènent nulle part car les gens ne réfléchissent pas, voir ça sur un site africain en 2009 c’est…vraiment abbérant!!!bye-bye …
Mon cher frère Johnny du haut ogoouée, je suis très content de savoir que mes frères altogovéens commencent à ouvrir les yeux.Les Congolais ont sali l’image du haut-ogoouée et du Gabon. Ils sont habitués à prendre les choses par la force et par la ruse, et cela ne date pas d’hier. Regardez bien l’histoire politique de SASSOU NGUESSO; c’est bien lui qui est à l’origine de la mort de Marien NGOUABI.Il a fait ensuite partir YOMBI dans l’ombre,et enfin LISSOUBA par la force, soutenu par BONGO et la France.
LISSOUBA était pourtant élu démocratiquement par le peuple congolais,mais SASSOU a profité de sa naïveté pour lui arracher le pouvoir. Il pensait qu’il pouvait parler de democratie au Congo sans parler de maintenir en l’état les intérêts de la france. BONGO de même a été introduit au Gabon par la France pour assurer leurs intérêts. C’est la triste vérité; Les Francais savaient que BONGO servirait leurs intérêts sans états d’âmes jusqu’à la fin de ses jours. Ils ont précipité la mort de Léon MBA pour mettre à sa place un Congolais vorace BONGO. Sachez bien que BONGO n’a pas atteri au Gabon par hasard. Les Francais avaient bien plannifié tout ça depuis le Congo pour avoir le destin de notre pays entre leurs mains. Ils connaissent très bien les véritables origines de BONGO.Ils savaientque BONGO d’ethnie TEKE du Congo passeraient très facilement pour un Gabonais. A une certaine époque que nous connaissons tous, le destin du Gabon et le Congo étaient geré depuis Paris. Les blancs n’ont jamais rien laissé au hasard. Je travaille avec eux deouis une dizaine d’année plus est à l’aérospatiale. J’ai des amis Francais très engagés dans la politique. Ils aimeraient bien aider les Gabonais ,mais pas sans que nous-même ne faisions le premier pas.Et c’est là tout le problème. BONGO a réussi à endormir les gabonais en 42 années de pouvoir. Personne n’ose lever le petit doigt.
Ce maléfique BONGO qui a appauvri notre beau petit pays et sali l’image des altogovéens auprès de nos autres frères et compatriotes Gabonais. Aujourd’hui j’apelle tous mes frères du Haut-ogoouée à commencer à refléchir sur l’après BONGO. Que ceux qui veulent soutenir le DR MENGARA n’hésitent pas à e faire. Il y a des Gabonais capables de changer les choses dans notre pays,simplement parceque ils ont une autre mentalité, une autre époque et une vision du monde plus moderne que la vision archaïque de BONGO. Intellectuellement parlant ils sont capables de mieux défendre nos intérêts sur l’échiquier international.
Aujourd’hui les enjeux politiques internationaux ne peuvent être menés sans prendre en compte les populations.Mais BONGO ne sait pas ce que ça veut dire. Il faut des intellectuels comme Daniel MENGARA qui ont préféré s’éxilé aux Etats-unis que de venir marcher sur leurs propres frères Gabonais auprès du congolais BONGO.
Je pensais pourtant que l’arrivée du jeune OBAMA à la tête de la première puissance mondiale allait inspiré les Gabonais à commencer à reflechir sur l’avenir de notre pays. Mais à ma grande surprise,ils se contentent tous d’admirer OBAMA sans se demander un seul instant si Dieu n’ a pas déja suscité des OBAMA parmi nous; des OBAMA malheureusement étouffés par le pouvoir BONGO.
Que Ceux qui ont toujours soutenus BONGO commencent à refléchir sérieusement. BONGO fuira au CONGO chez lui quand ça ira mal, mais eux où iront-ils ?
Il n’est pas trop tard pour quitter le régime de BONGO chers compatriotes; choisissez l’indignation face à ce que BONGO qui a fait le malheur de notre pays. Personne ne pourra plus dire qu’il n’a pas été prévenu. Je suis convaincu que des gens bien préparés marcheront sur Libreville un jour pour faire partir BONGO. Ce sera dur, mais ce sera le prix à payer pour libérer les Gabonais de cette dictature interminable qui risuqe de passer de père à fils. Que Dieu sauve le Gabon.
SASSOU n’est pas apprécié au Congo mais c’est NOTRE problème! Les congolais ne recherchent pas des éventuelles origines étrangères de SASSOU hors du Congo pour justifiere son manque d’amour pour le Congo et sa mauvaise politique! Qu’il soit d’origine X ou Y, on s’en fout,on lutte en interne pour qu’il parte, c’est tout!! On s’en fout des origines de SASSOU!! D’ou qu’il vienne, notre problème est de le voir partir, c’est TOUT!!!On ne s’en prend pas aux autres, on gère NOTRE problème en interne, au Congo!!!
BONGO a été réélu au Gabon, que je sache ce ne sont pas Congolais qui sont venus aux urnes pour voter à votre place!!! Ce n’est pas le Congo et les congolais qui ont mis BONGO la tete du GABON!!
ARRETEZ de chercher des boucs émissaires ailleurs et prenez vos responsablités!!! Après EDITH, c’est tout le Congo qu’on veut rendre responsable des problèmes du Gabon!!!!décidémment….on aura tout vu…comment peut-on raisonner comme ça???!! c’est incroyable!!! EDITH est morte, elle est entérrée au Congo…maintenant, avancez avec VOTRE pays et VOTRE dictateur en laissant le Congo hors de vos problèmes!!! Ce que vous faites n’est pas digne!!!
Comment peut-on diffuser des choses pareilles? ça saute à l’oeil qu’il ya du mensonge. Combien de personnes à moungali parlent bien lari et mbochi??…ça se voit que vous ne connaissez pas le Congo et moungali encore moins…il ne faut pas raconter n’importe quoi sur ce qu’on ne maitrise pas, c’est ridicule!
Décidémment, la mort d’EDITH SASSOU ne suffit pas. Il faut trouver autre chose, continuer a accuser les congo d’etre responsable des problèmes du Gabon. A 16 nas, habiter moungali, parler lari et mbochi et tout le tralala ridicule..;allez raconter ça a d’autres. Je suis congolaise et je ne crois pas un mot de ce scénario. C’est vraiment n’importe quoi!!! Il faut trouver autre chose pour amuser la galerie au Gabon mais laissez le congo tranquille et n’inventez pas des choses invraisemblables!!! C’est trop Ridicule!!!
Merci et respect à Johny que je ne connais pas mais c’est l’attitude, la justesse et la clarté dans les propos que nous devons tous essayer d’adopter et de faire transparaitre dans nos propos.
Pour moi ça, c’est du commentaire.
Re bonjour,
je voulais juste préciser certaines choses. Tout d’abord cher Stratégie, tu as le droit de te considérer comme gabonais avant d’être fang, c’est tout à ton honneur. Moi, j’ai choisi l’inverse mais comme je le disais, je suis né fang et citoyen gabonais et je ferais tout mon possible pour rendre mon pays meilleur pour moi, ma famille et TOUS mes frères gabonais. Mais si le Gabon n’avait pas été créé après l’éclatement de l’AEF, que serions nous rester au lieu de devenir tous d’un coup gabonais? D’abord Français car on était juridiquement considérés comme tels mais surtout Fang, Punu, Téké, etc. C’est pour dire que si Bongo est Téké, il aurait pu naître gabonais comme moi-même Fang, j’aurais pu naître équato-guinéen, si mon grand-père avait immigré à même pas 50km de notre village!!! Ne faisons pas de l’histoire de la nationalité un problème, c’est l’attachement à nos patries qui importe, ce que Bongo n’a pas démontré bien qu’il en ait eu largement le temps.
Cher Requin, je comprends et dénonce également ce mensonge et je suis d’accord avec toi. Par contre, je le suis moins concernant le tracé des frontières. Il a été établi, je pense mais je chercherais des références pour approfondir, par rapport aux ressources minières que les anciennes puissances coloniales souhaitaient se partager et aussi pour éviter d’avoir une ethnie trop puissante dans chaque pays et prévenir ainsi toute forme de soulèvement populaire. Regarde les fang éparpillés sur trois pays les Téké sur trois pays, dans les régions limitrophes de RDC c’est pareil, j’ai un ami ivoirien dont la plupart de ces homonymes sont burkinabè ou togolais, la palme revenant au couple Burundi/ Rwanda avec les tutsi et les hutus.
Quant à ta problématique: pourquoi Ali ne devrait-il pas être un potentiel dauphin de son père? Outre le fait qu’effectivement cela peut être inconstitutionnel s’il n’est pas gabonais depuis 4 générations comme l’impose la constitution (au passage bon courage à chacun pour prouver sa gabonité moi même je crois que j’aurais du mal), pour moi la réponse est encore plus simple: parce que les gabonais n’en veulent pas! Nos votes électoraux sont souvent ethniques, il faut l’avouer, pas les gens qui réfléchissent cinq minutes, comme je pense que tu l’es, mais la masse, le peuple et même les Téké n’en veulent pas (après un sondage personnel et non statistique, je l’avoue).
A ceux qui réclament un test ADN, cela me fait sourire. S’il accepte, ils le truqueront comme les élections.
A LMD qui doit être étudiant vu son pseudo, ne t’énerve pas. C’est pas un exercice imposé! On répond à une news en particulier, pas besoin de faire une profession de foi ou une déclaration de politique générale, par contre si tu veux nous expliquer ce que toi tu as comme projet, je suis preneur…
Enfin, j’aimerais bien comme DEPUIS KALAKALA, avoir des précisions sur les questions qu’ils soulèvent. L’histoire de Lewai, et de l’adoption de Bongo par un certain Odimba, on me l’a également raconté.
Ha j’oubliais BA SISOKO, tu m’étonnes que tu es resté au Gabon longtemps c’était mieux pour les affaires que le Mali hein? T’inquiètes pas pour les gabonais, on s’assumera. Si tu veux nous aider, aies des commentaires constructifs parce que si on compare avec ton pays, on est encore mieux loti. En simple la comparaison: 10 fois plus d’habitants (12 millions ctre 1,5), moins de richesses minières, donc moins d’influence étrangère, moins de soutien de la France au président en place. Résultat immigration massive en France et même au Gabon qui est un passage avant l’occident. Cette même immigration renvoie des sommes d’argent, plus importante que l’aide au développement. Ai-je tort? On m’a même dit que certaines mères préféraient que leurs filles épousent un gabonais plutôt qu’un français de souche…Bref, sur cette mauvaise foi assumée,
Paix aux frères gabonais de bonne volonté.
Chers tous,
Je lis avec beaucoup d’intérêts les réactions et les débats sur ce forum. Et je dois avouer qu’après avoir lu les récentes interventions de Mr. ESSONO NGUEMA, je ne puis rester insensible : ma conscience, mon patriotisme et mon devoir envers le Gabon ne me le pardonneront point…
Ma réaction va donc s’articuler sur deux points: Sa contribution à bâtir l’édifice nation et la nationalité d’Ali Bongo.
1. Mr. ESSONO NGUEMA, vous faites bien de nous décliner sur ce forum votre Doctorat, mais vous avez peut-être oublié de nous dire dans quel domaine avez-vous obtenu ce couronnement universitaire. Ou et quand ?
Malgré votre attachement au PDG et au Bongoisme (doctrine désormais révolue dans ce millénaire) vous a rendu si aveugle que vous ne voyez même plus les évidences et ce manque de qualités analytiques m’amène à douter de vos capacités intellectuelles que vous clamer ici haut et fort. Vous êtes si nombreux à vous prostituer pour quelques Bongo-CFA et quelques t-shirts. Mais c’est à croire que le mal du Gabon c’est vous les courtisans du pygmée de Lewai.
Nous aurions voulu tant que vous nous parliez un peu de ce que vous avez fait dans ce système, de votre apport et votre contribution au développement du Gabon. Mais vous nous parler des réussites de Mr. Bongo. C’est triste !!! Arrêtez donc, nous avons mieux à faire que d’écouter des âneries dignes des enfants du CP.
Le Dr. Mengara, lui, au moins on sait que c’est un homme de convictions et que c’est un enseignant échelonné, qui s’est installe aux USA par le mérite. Vous, votre entoura et autre, vous méritez votre Bongo, mais pas nous.
Moi, je suis du Haut-Ogooué. Et comme certains de mes frères altogovéens ici avant moi, nous disons à toute la nation que notre malchance c’est d’avoir eu Bongo comme président car on a cultive l’argent facile, la médiocrité et les pures immoralités à la place du développement durable et enviable, de l’ascension intellectuelle et de la performance. 42 ans au pouvoir, ne trouvez vous pas que c’est trop ? Moi, je le trouve… Et c’est un triste record. Car si en 42 ans, le Gabon au lieu d’avancer de 42 ans, il a reculé de 42 ans, ayez honte cher Monsieur, et faites nous plaisir : Allez vous cacher.
Arrêtez donc vos faux discours vous qui êtes Chantres et Griots de Votre Mollah… Sachez que votre espèce n’est pas nombreuse au Gabon et votre temps est compte. Vous êtes plus proche de la fin que des débuts.
2. Au sujet des origines douteuses d’Ali Bongo que vous avouez être le meilleur Ministre que le Gabon ait connu, je vais vous dire que pourquoi son père et sa soi-disant mère ont attendu 50 ans avant de venir démentir à la télé.
C’est quand-même curieux et Il y a du flou. Ni lui, ni ses parents (adoptifs ou biologiques) ne jouissent d’une probité morale. Ils font un vagabondage de nationalités et d’origines. C’est curieux que 1959 soit une année spéciale chez les Bongo et que Brazzaville soit le lieu ou tout se soit passé. Kama Joséphine et Albert Bernard Bongo se sont mariés en 1959 et à Brazzaville.
Admettons un instant qu’il soit ne à Brazzaville en 1959. Nous savons qu’ils ont quitté le Congo après le 15 Aout 1960 (date de l’indépendance du Congo-BZV) et qu’ils seraient arrivés au Gabon après le 17 Aout 1960 (date de l’indépendance du Gabon), Mr. Ali, sa mère et son père, ne sont donc point Gabonais. Premier argument !
S’il est Gabonais, alors il est altogovéen. Et chez la plus part des altogovéens, on est matrilinéaire : l’enfant est identifie par son appartenance a sa maman ou sa famille maternelle. Nous savons que Mme Kama Joséphine n’a pas eu de garçon, alors qui est sa mère ? Nos mamans du Haut-Ogooué et d’Akieni n’ont pas vu Kama en grossesse… Curieux, n’est-ce pas. Deuxième argument !
Le déclenchement de la guerre du Biafra fut en 1967 avec la cessation proclamée de Chief Odjokwu (de la tribu Ibo du Sud du Nigeria), Elf et Bongo ont soutenu cette guerre contre le gouvernement fédéral. Et nous savons que Mr. Bongo a adopté des enfants, et beaucoup de gens assurent avoir vu Ali débarquer. Certains de nos jours connaissent toujours son numéro de matricule quand il est arrivé. Si ce n’est pas Ali qui est Nigérian, alors qu’on nous montre le fils d’adoption de Mr. Bongo qui serait Nigérian. Troisième argument !
Pour finir, admettons qu’Ali soit Gabonais, de père et de mère Téké de Lewai et d’Akieni respectivement. Pourquoi ne va-t-il pas souvent à Akieni chez sa mère. Pourquoi ne sait-il pas parlé Téké ? On sait qu’il avait été copieusement insulté en Téké à Bongoville, alors qu’il briguait un mandat a la députation. Confondant le mouvement de la foule et sa popularité, il ramena la cassette à son père, qui après avoir regardé les premières minutes, se fâchât du traitement reçu par son fils. Quatrième argument !
Alors ses origines sont douteuses. Et s’il est Biafrais, très chers frères Gabonais faisons attention. Ces gens (Les Ibos) sont dangereux. Je le dis pour avoir travaille 4 ans dans la région du Biafra, dans le sud du Nigeria, le Delta du Niger. Ils sont prêts à tout pour obtenir ce qu’ils veulent ou ce qu’ils convoitent et surtout quand c’est le Pouvoir ou l’Argent.
Sans rancune.
La Patrie ou la Mort, Nous Vaincrons.
Johny