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Le Gabon dirigé par des Congolais ? Maman Dabany et bébé Ali avouent : « Nous les Bongo Ondimba, nous ne sommes pas Biafrais, nous sommes Congolais »

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Ces Kongolais qui dirigent... et pillent... le Gabon?

Drôle de cinéma que celui qui se passe actuellement au Gabon. Les « Bongo Ondimba » seraient-ils tombés sur la tête? A moins que ce soit le ciel qui leur soit tombé sur la cabosse ? Fiston Bongo « l’Ali pas Mohamed » et l’ancienne « Mama Bongo » jadis répudiée avec des valises d’argent aux USA semblent s’être tellement acharnés à se sortir d’un trou déjà profond qu’ils se sont, sans s’en rendre compte, enfoncés dans un autre trou, celui-ci encore plus profond que le premier. En voulant tellement prouver aux Gabonais qu’Ali le fiston Bongo n’est pas, comme la rumeur le maintient depuis qu’Ali existe, un Biafrais adopté par les Bongo, « Mama Dabany » et « Bébé Ali pas Baby Doc » ont avoué devant Gabonais ébahis qu’ils sont, en fait, Congolais. Que l’on cesse d’appeler Ali « Biafrais » a martelé avec fureur « Mama ». Il est Congolais !!! a-t-elle finalement avoué.

On se serait cru dans un de ces films américains où l’avocat malin, à force de cuisiner le témoin, le pousse tellement à bout que le témoin, hors de lui, finit par avouer larmes aux yeux: « Oui, c’est moi qui l’ai tuée, ma femme !! » A la chaîne 1 de la radio-télévison gabonaise (RTG1), Mama Dabany, cuisinée par la rumeur devenue insoutenable, a finalement lâché le morceau : « Nous y en a pas Biafrais ! Nous y en a Congolais !! Cessez de nous appeler Biafrais ! Nous y en a descendants dé la famille royale dé Mani Kongo !! Nous pas Gabonais, mais Gabon ya bon car nous pleins dé CFAs cadeau oh !»

Tout a commencé samedi 25 avril dernier lorsque Monsieur le Ministre de la Défense Nationale Ali Ben Bongo (ABB comme Albert Bernard Bongo ou Alain Bernard Bongo-Mon Dieu comme cette famille change de noms !!) décide, une bonne fois pour toutes, de mettre fin aux rumeurs qui accablent sa vie et le rendent misérable depuis que sa misérable enfance gabonaise fut gâchée par la « biafrité » que les mauvaises langues ont cultivée tout autour de lui. Furieux, le petit Alain Bernard devenu Ali Ben déclare samedi : « Certaines prétendent que je serais nigérian? (…) Tout ce que je sais, c’est que je suis né à Brazzaville en 1959. Ceux qui disent ce genre de choses ne connaissent pas l’histoire. La guerre du Biafra a commencé en 1967 et moi je suis né en 1959. Quand je suis né, le Nigeria n’était même pas indépendant avant de l’être l’année suivante. Donc, quand la guerre du Biafra commence, j’avais déjà 8 ans ».

Jusque-là, pas grand-chose à redire, notre « péti » ABB « Ben béni » par les dieux connaît bien l’histoire, et il le prouve aux yeux de tout le monde ébahi par tant de connaissance. Donc, Ali dit vrai : comment peut-on être Nigérian quand le Nigeria n’existe même pas encore et qu’on est né hors ?

Sauf que, pauvre Ali (quel chagrin !!), nous voilà au courant d’un fait qui n’est pas non plus très reluisant pour notre bonhomme. Apparemment, notre « Minisse » de la Défense n’y comprend rien. On ne sait pas vraiment, en fait, s’il a compris pourquoi la rumeur biafraise a fait tant de bruit au Gabon. On a l’impression que ce qui fait le plus mal à Ali, c’est le mot «Biafrais », qui semble lui sonner dans la tête comme une insulte. Dans sa tête, il semble plus acceptable d’être considéré « Congolais » que « Biafrais ». Cependant, ce que notre bonhomme « Ben béni » ne comprend pas, c’est que ce n’est pas, en fait, le fait d’être « Biafrais » ou « Congolais » qui soit le problème des Gabonais. Ce qui fait tiquer les Gabonais, c’est le simple fait d’avoir un « étranger » imposteur à sa tête (l’Omar) et un autre « étranger » imposteur (le Ben) pour contrôler l’armée d’un pays où il n’est pas né, pays dont il n’a pas non plus la nationalité puisque né, de son propre aveu, Congolo-Français, mais pas Gabonais du tout…

Ce que les Gabonais ne veulent pas, c’est de ces mensonges qui durent depuis 49 ans !

Comme si un seul aveu ne suffisait pas, voilà que Maman Dabany vient, ce mardi soir, en rajouter pour clarifier, clouant finalement au pilori toute la famille Bongo qui, de par sa bouche, avoue finalement aux Gabonais son imposture de 49 ans. Ecoutons « Mama Patience » (encore un faux nom !!) : « Mon fils, moi et mon mari qui était sous le drapeau [congolo-français ?] depuis trois ans, libéré [de quel asile ?] et ayant refusé de demeurer à Brazzaville [il a refusé son pays ?], la capitale congolaise, suite à la guerre civile, arrivons à Libreville le 29 octobre 1960 (…). Je suis Batéké [du Congo ?], Bongo est Batéké [de Brazza ?], nous ne sommes pas Nigérians [vraiment ?]».

Ok, on a compris. La seule chose que les Bongo ne sont pas, c’est Gabonais. Ils ont tout été et ils ont tout fait dans leur vie, y compris changer mille fois de nom et de pays, mais ce qu’ils ne reconnaissent pas, c’est leur « gabonité ». Voilà qui est clair (Ah les pauvres bongoïstes qui défendent Bongo becs et ongles en croyant qu’il est Gabonais ! Ils vont se manger les ongles et se couper le bec comme des oisillons avec cette douche froide !).

Alors, donc, revenons à nos moutons : force est de constater que dans leur défense, ni Ali ni Mama Dabany n’ont à aucun moment revendiqué leur citoyenneté gabonaise. Ils ont tout affirmé, sauf leur « gabonité ». C’est bien étrange, non ?

Ce n’est quand-même pas gentil de leur part. On nous enlève un « Biafrais » pour nous donner quoi à la place ? Un « Congolais » ? Mince, c’est pas juste ! Nous voilà mieux servis. Les Nigérians eux au moins, ils savent bricoler quelques vieilles télévisions et réparer les frigos. A quoi va nous servir Ali, maintenant que nous savons que s’il devenait président, il ne pourra rien bricoler comme un vrai Nigérian sait si bien le faire ? On pourrait au moins faire du bon business « clando » et acheter des iPhones trafiqués et bon marché venant des filières « clando » du Biafra. Non, c’est pas juste du tout, zut ! Que va bien pouvoir nous apporter un Congolais vu que les Congolais sont aussi paresseux que les Gabonais, et qu’ils ne connaissent que la sape et les fesses des femmes et le « soukouss » ? Mais bon, laissons ça de côté sinon Aurlus Mabélé que nous aimons bien va se fâcher.

Les Bongo devenus « Ondimbas » sont donc tout-Français, Batéké (du Congo), Congolais-mais jamais « Gabonais » ni « Batékés du Gabon ». Ils s’en défendent devant tout le monde. C’est ce qui sort de leur propre bouche, pas de la bouche trop bavarde du Kongossa. Qu’est-ce que les gens vont encore dire ?

Mais une question demeure : quelle est la belle jambe que cela fait aux Gabonais qu’Ali soit « Biafrais » ou « Congolais » ? Les Gabonais ont-ils une préférence pour l’un ou pour l’autre ? Rien n’est moins sûr.

Depuis toujours, il a toujours couru deux rumeurs indicibles au Gabon. La première rumeur a toujours été que Bongo n’était pas Gabonais, mais Congolais. Cette rumeur, Bongo l’a toujours démentie avec la plus grosse énergie, au point de mettre en prison les quelques Gabonais qui avaient osé le dire. La deuxième a toujours été qu’Ali Bongo n’était pas Gabonais, mais Biafrais. Celle-là aussi pouvait jeter quelqu’un au caveau.

Or, voilà que, pour démentir la rumeur de la « biafrité » du fils, la Mama Dabany monte au créneau et lâche la plus grosse des bombes : elle confirme sans rougir (bon, ok, elle est noire, d’accord) la rumeur de la « congolité » de toute la famille Bongo, famille qui apparaît tout d’un coup comme une famille habituée à l’imposture non seulement des pouvoirs et des noms (trop de noms changés dans cette famille), mais aussi des nationalités (qui sont-ils vraiment, nos chimpanzés ?).

Parlons un peu de leurs impostures, juste pour avoir les idées un peu plus claires :

Imposture No. 1 : Contrairement à ce que Bongo a souvent raconté, « Mama Dabany pas Patience » vient enfin d’avouer que les Bongo ne sont venus au Gabon que le 29 octobre 1960, soit trois mois et demie APRES l’indépendance du Gabon (Ils ne se sont même pas battus pour l’indépendance du Gabon (Mais comment donc, les voyous !)  On se posera donc toujours la question de savoir comment quelqu’un qui est né hors du Gabon (au Congo) en 1959 et qui arrive au Gabon APRES l’indépendance du Gabon peut être autre chose qu’un « étranger » ? Ali et sa famille ne semblent pas capables de comprendre que ce qui dérange les Gabonais n’est pas le fait que notre Ali défenseur national soit Nigérian, Biafrais, Turc ou Eskimo. Ce qui dérange les Gabonais, ce sont les mensonges, les impostures et les entourloupes qui ont toujours entouré les origines de la famille Bongo. Or, de l’aveu de la mère et du fils eux-mêmes, nous venons d’avoir la confirmation que Monsieur Ali Bongo Ondimba est tout sauf Gabonais. Il ne pourra plus nier ses propres paroles ni celles de sa « Mama ». Ah, « lé pauvre péti ».

Mais voilà où Ali a fait la plus grosse erreur de sa « biafrité », pardon, de sa « congolité » : Il n’y a pas de différence aux yeux des Gabonais qu’il soit « Biafrais » ou « Congolais ». Ce qui est important c’est que les Gabonais aient eu la confirmation, et sachent désormais sans l’ombre d’un doute, qu’Ali Bongo est un étranger et que la famille Bongo a toujours été une famille étrangère qui a toujours fait usage de faux et d’imposture pour s’immiscer dans la vie politique gabonaise et prendre le Gabon en otage. C’est donc là terrible imposture et elle est inacceptable pour les Gabonais, surtout si « Bébé Ben » décide de s’imposer aux Gabonais après son père. Nul n’acceptera une telle imposture de plus au Gabon.

Imposture No. 2 : La deuxième imposture des Bongo devenus « Omars » est le fait de se retrouver à la tête du Gabon après avoir été finir le pauvre vieux Léon Mba en France avec l’aide des Français. C’est parce que les Français savaient Bongo étranger qu’ils l’ont installé au pouvoir au Gabon. Ils savaient qu’un étranger comme Bongo ne pourrait jamais aimer son pays comme un vrai Gabonais. La preuve en est aujourd’hui faite : pendant 42 ans, Bongo a pillé le Gabon comme les Français ont pillé le Gabon. Le Gabon n’étant pas son pays, il ne pouvait que le considérer comme un « pilloir » et le détrousser sans merci comme un pirate pillageur le ferait. Bongo pratique au Gabon une politique de la terre brûlée. Il décime et brûle tout sur son passage et ne laissera que cendres et pleurs pour les pauvres Gabonais.

Gabonais par imposture, donc Président et leaders du Gabon par imposture, sans oublier les élections truquées par l’imposture politique, voilà, mesdames et messieurs, la vérité sur les Bongos: Le Gabon est dirigé non pas par des « Biafrais », mais par des Congolais.

Quand la Mama Bongo répudiée par Papa Bongo depuis des années vient mentionner les Batékés à la télé, elle veut nous jouer le même vieux jeu ethnique par lequel son ancien mari a toujours voulu diviser les Gabonais. Ils veulent faire croire aux Batékés du Gabon que les autres Gabonais leur en veulent. La vérité, aujourd’hui, est pourtant limpide. Ce sont les Bongo qui, étant nés Batékés congolais, se sont installés parmi les Batékés du Gabon par imposture. Dès lors, quand les Gabonais disaient à Bongo qu’il n’était pas Gabonais, mais Congolais, Bongo utilisait cela comme une arme ethnique pour faire croire aux Batékés du Gabon que les autres Gabonais les accusaient d’être Congolais. Or, cette stratégie de Bongo était indécente car le Gabon a d’autres ethnies comme les Fangs qui ont des attaches ethniques en Guinée Equatoriale et au Cameroun. Ce n’est pas pour autant qu’on va dire des Fangs du Gabon qu’ils sont Camerounais ou Equato-guinéens. On ne peut pas donc dire que les Batékés du Gabon soient Congolais car les frontières coloniales ont décidé que certains Batékés seraient du Gabon et d’autres du Congo, tout comme certains Fangs sont du Cameroun et d’autres du Gabon. Mais comme les Bongo sont machiavéliques, ils ont fait l’amalgame et ont confondu leur imposture avec le peuple Téké du Gabon et inventé des divisions ethniques là où il ne devrait pas y en avoir. Les Tékés du Gabon sont Gabonais et les Tékés du Congo sont Congolais. C’est aussi simple que cela.

Les Gabonais refusent donc de retomber dans ce piège ethnique que les Bongo aiment à nous tendre.  La « congolité » des Bongo n’engage point et n’a jamais engagé les Batékés du Gabon. Elle concerne les Bongo et uniquement les Bongo. C’est aussi simple que cela.

Mais attention! Nous au Gabon, nous n’avons rien contre nos frères congolais qui souffrent actuellement sous l’imposture politique des Sassou au Congo comme les Gabonais souffrent sous la double imposture des Bongo au Gabon. Mais reconnaissons quand-même que cela nous en bouche un coin que ce soit maintenant un enfant congolais, arrivé au Gabon APRES l’indépendance du Gabon, qui soit maintenant pressenti pour remplacer son propre papa congolais sur le trône du Gabon !!

Nous ne le disons pas par hasard. Si l’on donne le bénéfice du doute à Ali et accepte son explication, force est de constater que cela ne change pas du tout son problème car tout ce que sa maman et lui-même ont réussi à faire, c’est échanger une nationalité étrangère pour une autre. Ce qui revient exactement au même : Ali est étranger, par conséquent, il ne peut briguer la présidence du Gabon. Regardez vous-même :

Le Congo Brazza est devenu indépendant le 15 août 1960, soit deux jours AVANT le Gabon. Donc, en arrivant au Gabon le 29 octobre 1960, soit trois mois et demi après l’indépendance du Congo, Ali Bongo était bel et bien un Congolais avéré car né au Congo AVANT l’INDEPENDANCE du Congo, donc automatiquement Congolais quand le Congo devient indépendant le 15 août 1960. Autrement dit, quand Ali Bongo arrive au Gabon avec sa mère et son père Albert Bernard Bongo trois mois plus tard APRES l’indépendance du Gabon, ils sont tous Congolais depuis trois mois et demi.

Or, il n’existe nulle part au Gabon un seul papier montrant quand Ali Bongo et Omar Bongo se sont naturalisés Gabonais. Ali Bongo n’étant pas né au Gabon, il ne peut, au vu de la Constitution actuelle, devenir Président du Gabon. Son père lui-même aussi, n’étant pas né au Gabon et n’étant arrivé au Gabon qu’après l’indépendance du Gabon, ne peut pas non plus prétendre au trône du Gabon. Aucun des deux ne disposant d’aucun papier de naturalisation, et aucun des deux n’étant Gabonais de première ni de deuxième génération, leur présidence est illégale. Seuls les enfants et petits enfants de Bongo nés au Gabon peuvent prétendre au trône gabonais, pas Ali Bongo, et encore moins Omar Bongo.

Et comme Bongo lui-même a toujours été « rumoré » comme Congolais, on ne peut que saluer l’honnêteté de Mama Dabany qui, en voulant défendre le fils, a finalement avoué la vérité aux Gabonais. Pire, en disant : « Mon fils, moi et mon mari qui était sous le drapeau depuis trois ans, libéré et ayant refusé de demeurer à Brazzaville, la capitale congolaise, suite à la guerre civile, arrivons à Libreville le 29 octobre 1960 (…).je suis Batéké, Bongo est Batéké, nous ne sommes pas Nigérians », Mama Dabany avoue très clairement un autre fait important : Les Bongo n’ont quitté le Congo que parce qu’ils voulaient fuir la guerre civile congolaise. Autrement dit, si le Congo n’avait pas connu la guerre civile, les Bongo seraient restés au Congo Brazza comme Congolais et personne n’aurait jamais entendu parler d’eux au Gabon. Et puis, ne disait-on pas à l’époque que Patience était stérile et qu’elle ne pouvait pas faire d’enfants? Un autre miracle?

Merci donc les Français pour avoir tué notre président bien gabonais Léon Mba pour nous imposer des imposteurs qui n’ont même pas voulu reconnaître le nom de leur papa et grand papa « Ondimba » pendant toute leur vie, et qui ont tous tellement changé de nom qu’on a fini par s’y perdre. Albert Bernard Bongo est devenu Omar Bongo, puis Omar Bongo Ondimba (Une bien tardive reconnaissance du nom de son père !). Alain Bernard Bongo est devenu Ali Ben Bongo puis Ali Ben Bongo Ondimba (trois fois changé de nom !). Mama Dabany est d’abord née Joséphine Nkama Dabany, puis est devenue Joséphine Bongo, avant d’être répudiée par le Bongo et de se fabriquer la nouvelle identité « Patience Dabany ». Elle encore, on peut la comprendre : étant femme, elle était obligée de prendre le nom de son imposteur de mari, et étant chanteuse, il fallait bien faire « cool ». Mais Ali et papa Bongo, pourquoi ces changements de noms comme on change de chaussettes ?

La vérité est donc enfin là : elle est douce comme bonnet blanc et blanc bonnet. Nous avons, au Gabon, des imposteurs qui se font passer pour des Gabonais depuis le 29 octobre 1960 (49 ans d’impostures !!).

Alors, Bongo et Edith-Lucie, c’était finalement quoi ? Une simple affaire de retour aux sources de papa Bongo ?

Mais pour les Gabonais, une seule question demeure. Ali… Biafro ou Kongolo?

Source: BDP-Gabon Nouveau

Exprimez-vous!

  1. De la réaction des rénos, nous avons trois grandes vérités:

    1. notre futur président est un potentiel maréchal : Etudes géostratégiques (sans diplômes), Ecole de Guerre (sans participation à un moindre conflit)….

    2. beaucoup d’hommes politiques et publics sont en fait des étrangers. Mais qui donc? Pierre Mamboundou, Ondo Méthogo, Mboumbou Myakou? Zacharie Myboto ou Anglique Ngoma?

    3. un climat de méfiance règne autour du premier cercle du pouvoir bongo et qu’à la moindre étincelle, l’épuration sera déclenchée

    La bombe infernale est en marche !!!!!

  2. Vraiment j’ai mal à la tete quand donc viendra la delivrance de notre pays.
    Ce bongo et sa pouri de famille ont mis notre cher et tendre Gabon au sol…le plus enervant est qu’ils n’ont meme pas ete reconnaissant envers cette terre qui leur a tout donné ce pygmée de Centrafrique.
    Ali ne nous trompera pas plus ,nous savons tous qu’il est nigérian il le sait et au moment venu le numero matricule qu’il portais sur son coup son arrivée au Gabon sera divulgué au grand public.
    Cette Patience n’a rien à dire quel exemple une voleuse sans dignité, analphabete, vide de toute raison,cuisse légere… , mieux qu’a t’elle donne aux femmees gabonaises si ce n’ai de les exiber devant le mal meme en personne de mon pays ….
    J’ai foi qu’ils finirons tous mal aisni que leur complices car l’on ne peut echaper à la justice de Dieu.
    Le sort qu’ils meritent est la mort vif , découper à petit morceaux comme sous l’encienne répression de napoléon ,puis bruler tout ceci en directe dans toutes nos chaines de tv ,sans oublier de bruler toutes ces photos……
    Aucune pitité ne leur seront accordé comme ils l’on fait au Gabon et au peuple gabonais

  3. REPONSE A M. JOHNY SUR LA CONTRIBUTION DE M. MENGARA MINKO AU DEVELOPPEMENT DU GABON
    Mon Cher compatriote Johny,
    En quittant ce forum pour un long moment, je vous ai laissé ce petit texte (ou paquet de silures) à grignoter et à méditer.
    Voyez vous, la terminaison haute de votre moelle épinière (juste après votre bulbe rachidien) est faite de votre cerveau. Essayez de temps en temps d’en faire usage afin que votre réflexion ne se réduise pas éternellement à de vulgaires réflexes animaliers.
    C’est votre droit de penser que les petits diplômes de M. MENGARA MINKO Daniel (bac obtenu au collège Quaben de Libreville, licence UOB, et Doctorat obtenu à Nice en France…etc.) le qualifient pour diriger le Gabon. Personnellement, je suis d’un avis différent.
    Voyez vous, lorsque vous réduisez votre discours à des injures vous donnez vraiment l’impression que le mouvement que dirige avec facilité et légèreté MENGARA MINKO Daniel et dont vous faites l’apologie n’est que la matérialisation de cette sagesse gabonaise qui dit, je cite : ” diriger un groupe de moutons est plus facile que diriger des Hommes “.
    Les pâles élucubrations de MENGARA MINKO Daniel, émises généralement pour se détendre, depuis des salles climatisées, après avoir mangé un hamburger (un peu comme dans cet entretien vidéo où il n’a pu se maîtiser face à M. JOCKTANE) ne sauraient être des contributions “utiles” au développement du Gabon.
    Voyez vous, à une époque, l’entreprise IBM avait un slogan :”Sell what you use and use what you sell”.
    J’ai démontré sur ce forum que MENGARA MINKO Daniel a toujours violé l’engagement décennal qu’il a signé avec l’Etat lorsqu’il a obtenu la bourse pour faire ses études de matrise, de DEA et de Doctorat à Sophia Antipolis (où j’ai personnellement été Chercheur) mais n’est jamais revenu au Gabon y travailler : il est donc un cas d’inefficacité de la dépense publique dans notre pays.

    Autre exemple : notre frère MENGARA MINKO Daniel pour se distraire, a ensuite créé depuis les USA, quelque chose qu’il a appelé BDP. Il s’en est autoproclamé Président, et depuis 10 ans, il est toujours président de cette affaire : il est un petit dictateur en puissance qui ne rêve que de plus de pouvoir pour arranguer le peuple comme il arrangue sa propre famille de Libreville et Mekaga (Minvoul), depuis les USA.
    Voilà cher Johny, deux petits exemples qui montrent bien la vacuité que ce que vous appelez la contribution de votre leader, MENAGRA MINKO Daniel, au développement du Gabon.

    C’est un peu comme lorsque MAMBOUNDOU Pierre déclare qu’il faut moins de ministres au Gabon, alors que son propre parti a un bureau exécutif composé d’une quarantaine de membres (Secrétaires Nationaux, adjoints,…etc.) et qu’il est incapable d’y instaurer un fonctionnement démocratique (élections internes,…etc.).

    Voilà les gens qi prétendent vouloir faire mieux que Hadj Omar BONGO ONDIMBA…Ils font pire que le sopi de Wade.

    On pourrait également parler des subsides qu’il (MENGARA MINKO) a reçus d’une personnalité du Gabon pour tromper les naïfs en avec son affaire dénommée BDP (celà a déjà été démontré par quelqu’un d’autre).

    Mais à ce niveau, je préfère laisser le temps faire son travail car mon seul souhait est que nous apportions tous (vous et moi) notre contribution à la consolidation de l’édifice Gabon, en oeuvrant pour le pays dans le respect des engagements pris. C’est la seule chose que nous demande notre Président Hadj Omar BONGO.
    Ceci dit, je réitère que pour ma part, j’essaie de servir humblement mon pays en qualité de fonctionnaire de l’Administration Gabonaise, et en m’appuyant sur les enseignements issus de l’école de la vie.

    Lorsque vous verrez MENGARA MINKO Daniel, vous voudrez bien lui dire, mon cher Johny que ce n’est vraiment pas bien de faire tout ce petit cinéma pour chercher à avoir un grand poste au Gabon (entrisme) ou avoir plus d’argent de la part du régime, ou encore pour fuir ses responsabiltés familiales à l’endroit de ses parents de Mekaga qui l’ont aidé depuis Minvoul jusqu’à Bitam (collège Jésus Marie). Il peut simplement, oui tout simplement, rentrer au Gabon et y travailler honnêtement et conformément à l’engagement décennal qu’il a signé. Cela vaut également pour ELLA Bruno, qui est aussi de Minvoul (Nord Gabon) comme MENGARA MINKO. Dites leur également, s’il vous plaît, que leurs enfants qui sont nés ou naîtront durant leur exil patapysicien en France ou aux USA, sont bien des gabonais.

    En vous remerciant d’avance, cher Johny, pour vos prochaines injures (car vous démontrerez encore toute la pertinence de mon analyse à votre sujet),

    je vous dis à la prochaine car je quitte ce forum pour un long moment.

    On mesure une force à son impact.

    Longue vie au Président et que Dieu bénisse le Gabon.
    J’ai dit.

  4. Ca commence à venir!!!!
    les rénos ont décidés de se dévoiler. Lisez bien entre leurs lignes et vous comprendez la mascadarades organieé depuis fort longtemps pour la prise de pouvoir d’Ali!!!

  5. C commence à venir!!!!
    les rénos ont décidés de se dévoiler. Lisez bien entre leurs lignes et vous comprendez la mascadarades organieé depuis fort longtemps pour la prise de pouvoir d’Ali!!!

  6. Bonjour,
    La non-gabonité de cette troupe d’irresponsables ne me surprend pas et ces aveux viennent juste confirmer des choses qu’un bon nombre de gabonais savaient déjà….du fait qu’aucun collègue de ses années primaires ou de collèges d’Albert Bernard n’existe au gabon, de plus une visite de sa ville « franceville » laisse vraiment à penser qu’il n’a aucun intérêt à investir durablement au gabon alors qu’à contrario, ses réalisations sont saluées à OYO (congo), au Dakar, en Europe, etc…pendant que les nids de poule décorent éternellement la route principale qui traverse sa région…
    Au delà de tout ça, je voulais juste faire comprendre à tous nos dirigeants africains que, quelque soit leurs origines exogènes ou non au pays qu’ils dirigent; tant qu’ils privilégient leurs intérêts familiaux alors que leurs populations souffrent en attendant une aide de l’occident…une de plus, je considère qu’ils font l’apologie de l’occident et contribuent à l’anéantissement des leurs. Afrique=misère=guerre vu des autres continents.Les Bongo ne servent ni le gabon, ni le congo (qui est tjs aussi pauvre malgré les flux d’argent), ni l’afrique qu’ils haïssent tous. Les luttes futures concerneront l’accès aux ressources en eaux potables, à l’eau, dites-moi cmt l’afrique ferait-elle pour protéger ces ressources si la chine ou la france voulaient s’en accaparer demain? les arabes se défendent et le feront encore, les asiatiques sont prêts aussi, et les africains?
    Pendant qu’ils s’attèlent hardemment à soumettre leurs propres peuples à l’ESCLAVAGE au profit des autres peuples qui attendent le moment propice. C’est quand mm dingue de penser que l’afrique n’existe encore que grace à sa situation géographique qui la protège naturellement des invasions et que le maghreb aurait encore pu s’étendre sans résistance aucune ( exemple des mercenaires soudanais-arabes qui entrent au tchad et tuent des populations tchadiennes sans qu’aucune coalition africaines ne s’interpose…c dingue)et encore une fois, c des blancs ki viennent arrêter ce Nième génocide des noirs dont eux-mm démeurent insensibles. (Un autre exemple: des tribus marocaines tuent des maliens et sénégalais ou les abandonnent dans le désert après leur tentative d’entrer en europe et personne ne réagit..ni le président Wade (reélu), ni aucun autre président africain: c dingue non??)….SARKOZY a peut-être eu raison, non?
    A BON ENTENDEUR….FRERES NOIRS D’AFRIQUE.

  7. Madame Magnogni,

    Avant d’aller me coucher, je tenais à vous dire que je suis pour qu’on limite le mandat présidentiel à deux septennats. Pour le mandat de parlementaire (sénateur et député)qu’il reste inchanger. Tout comme pour le mandat de maire et de président du conseil dpartemental. Ce qu’il y a lieu de faire c’est de renforcer les pouvoirs parlementaires surtout au niveau du contrôle du gouvernement et de l’administration générale. Donner plus d’espace de pouvoir à l’opposition en partageant la présidence, la vice présidence et le poste de rapporteur général des commissions (permanentes et temporaires), par exemple. Sans oublier qu’il faudrait associer en amont les parlementaires dans la définition des projets de lois (la co-législation). Je ne sais pas si tu as lu le dernier ouvrage du député et président du groupe UMP à l’Assemblée nationale, Jean François Copé (un député, ça compte énormément), les ouvrages du ministre des relations avec le parlement, Roger Karoutchi (A quoi sert le parlement?) et du président de la Cour constitutionnelle, Jean Louis Debré (l’Assemblée nationale). Ces ouvrages apportent des réponses intéressantes sur la modernisation du parlement.

    Dommage que je n’ai pas ton email, je t’aurai fait parvenir de manière détaillée mes propositions sur la modernisation du parlement et sur le ministere des relations avec le parlement qui devrait être rattaché au premier ministre chef du gouvernement. Car ce n’est pas un ministere en tant que tel. De tous les ministeres c’est le plus léger en terme de fonctionnaires, par exemple. C’est beaucoup plus un secrétariat qu’un ministere au sens classique.

    Tout comme vous, je suis les questions d’actualité au gouvernement. Ne vous limitez pas aux seuls mercredis, il y aussi les questions d’actualité au gouvernement à l’Assemblée nationale les mardis et au Sénat un jeudi sur deux. Pour le reste vous pouvez suivre face à face, la séance continue, permanence, détour d’Europe,…

    Savez vous si au Gabon il y a toujours les questions d’actualité au Gouvrenement? Je sais que pendant un moment il y en avait.

    Bonne soirée.

  8. merci de votre analyse kalakala….
    Que ces lêches culs sans âme pour notre pays….se le disent bien le gabon est au gabonais et non à un clan…..ou alors prouvez nous ce que vous avez pu faire pour le pays au niveau macro economique…..et arretez de parler pour ne rien dire que du bla bla nous on cherche que du concret et non l’origine de ali et ses prouesses de militaire….

  9. Cher Monsieur Mombo Ngoma,

    Vous semblez etre une personne assez bien instruite, mais j’ai la premonotion que les annees d’instuction que vous avez recues, soit qu’elles n’ont servi a rien, soit qu’elles egarent votre capacite a voir les realites du Gabon. Tres honnetement, vous me decevez beaucoup!!!!

    Entre nous, et vous etes sur ce site a faire eloges de la famille Bongo. Dites-moi combien vous payent-ils(Ali et son pere)?
    Bon sang! en 42 ans de pouvoir inconteste, pouvez-vous dressez un bilan positif du regime Bongo? Si vous vivez en France, voyez-vous comment les choses sont faites en France et essayez de comparer meme si je le sais, le Gabon n’est pas a comparer a la France! Bon sang! En 42 ans de pouvoir inconteste le Gabon avec des budgets qui se chiffrent a des milliers de milliards de FCFA chaque annee ne dispose meme pas d’une route, d’hopitaux, d’un service de transport, d’une universite… acceptables! Avez-vous vu les bidonvilles de notre pseudo-capitale? Bon sang Mr. Mombo, ou vivez-vous?

    Regardez serieusement au fond de votre ame, faites une serieuse analyse de ce qu’a fait Bongo en 42 ans de pouvoir sans partage a la tete du Gabon. N’entendez-vous pas les cris de tous les Gabonais qui ont peri sous ce tyran de Bongo et sa famille? Les Joseph Redjembet, Mandja…qui ont paye par amour pour le Gabon? Nous, on se moque de ce que Bongo Alain est ou d’ou il vient; si Bongo avait constuit le pays comme il se doit, il serait bien aime des Gabonais. Bon sang, le Gabon a a peine un million d’ames et Bongo n’arrive pas a bien gouverner un si petit pays avec d’enormes potentialites en termes de richesses. Mr. Mombo, arretez de nous casser les yeux et les orielles avec votre esprit de leche-Bongo!

    Ne voyez-vous pas tous ces brillants Gabonais forces de quitter leur pays pour s’exiler en Occident? Le Gabon est un pays dote d’une importante matiere grise; Bongo n’en a pas surtout qaund il pretend avoir eu 0 faute au Bac!!!!!Nous voulons mettre notre savoir-faire acquis dans les pays occidentaux au service du Gabon, mais comment peut-on le faire si l’on sait qu’en rentrant au Pays, on est confronte aux problemes comme le manque de logement adequat, le manque de services publics consequents, et surtout au taux de chomage, qui d’apres la Banque Mondiale avoisinerait les 30-40%?

    Sieur Mombo, ouvrez grand vos yeux et vos oreilles, les Gabonais en ont marre de Bongo!!!!!

    Merci!

  10. MOMBO NGOMA,
    Si vous êtes venu sur ce site pour nous faire la campagne de Monsieur Ali bongo, il vaudrait mieux créer un site spécial pour vanter ses performances. A ce que je sache,les élections présidentelles ne sont pas encore ouvertes.
    Le gabon n’est pas une dynastie et ce n’est pas le patrimoine de Bongo pour que son fils en devienne héritier, et ce n’est pas à vous d’en décider, vous et toutes le personnes dont vous faites allusion dans votre texte.
    Ce ne sont pas seulement les fils du haut ogooué, dont vous faites allusion qui ne veulent pas d’un Ali Ben comme successeur de Bongo au Gabon, c’est la totalité des gabonais, exceptés vous et vos soit disant acolytes.Ce n’est pas à cause de sa personne, c’est beaucoup plus à cause de ses liens avvec le président. Il n’est pas dit dans la constitution gabonaise que ce sont les enfants qui doivent succèder au père et ali ben n’est pas le seul fils à bongo,pendant qu’on y est!

    Ali ben parle toutes les langues, sauf celles que les gabonais comprennent et parlent. Il a fait des études et va devenir meilleur gestionnaire du pays de par ses compétences intellectuelles, mais son père dont vous vantez également les perormances politiques n’en a fait aucune.
    Parce cette réaction,vous ne faites qu’attiser la haine entre les citoyens et certainement avec votre protégé, et vous ne vous rendez même pas compte que vous allez créer des conflits entre les enfants du haut ogooué, c’est cela diviser pour mieux régner.
    Nous attendons que maganga moussavou et les autres nous disent de vive voix ce qu’ils pensent de la candidature d’ali ben, ils sont suffisamment grands et ils sont libres de dire eux mêmes, ce qu’ils pensent et non vous. Vous n’êtes qu’un torcheur!

  11. MONBO NGOMA,

    J’apprécie ton intervention, mais un peu de recul ne vous fera que du bien. On peut etre allié ou partenaire à un quelqu’un tout en restant libre et indépendant. Avez vous suivi le discours du premier ministre français, monsieur François Fillon, à l’Assemblée nationale au sujet du retour de la France dans le commandement militaire intégré de l’Otan?

    Vous faites un peu trop l’apologie de notre ministre de la Défense, mais que lui apportez vous? Croyez vous qu’il a besoin des gens qui lui disent qu’il vient de Saint Cyr, de l’école de guerre, …? En somme pensez vous qu’il a besoin des gens qui pensent et affirment que sa politique au ministere de la Défense est parfaite?

    Je crois que vous vous trompez. Monsieur Ali Bongo n’a jamais été un militaire. Pour intégrer les écoles sus-mentionnées, il faut être militaire et ensuite il faut que votre gouvernement vous recommande. Aussi parlez vous de quelle école géostratégique? Vous n’avez pas à faire à des profanes. Par conséquent, il faut tenir un discours ou un langage de vérité. Je vais vous avouer que j’ai fait l’Institut des Hautes Etudes de Défense Nationale (IHEDN) qui se trouve à l’école militaire de Paris. J’ai pu me renseigner sur les conditions d’entrée dans les écoles militaires. La premiere des conditions est d’être militaire ( ce qui n’est pas le cas de notre ministre), la deuxieme condition est que votre Etat ait des accords de coopération militaire avec la France ( ce qui est le cas du Gabon et bien d’autres pays de l’Afrique francophone), la troisieme condition………….

    N’en rajoutez pas! Il y a déjà une rumeur au gabon sur la nationlité de monsieur Ali Ben Bongo. Ce qui est regretable. Ce n’est donc pas le moment de l’inviter un CV qu’il n’a pas ou qui ne lui apporte que des ennuis en plus. En ce moment, il a surtout besoin de propositions concretes pour se construire une autre image auprès des Gabonais.

    Par ailleurs, je suis d’accord avec vous lorsque vous affirmez qu’il a une longue expérience. Ce n’est un secret pour personne. Collaborateur du président, ministre des Affaires étrangères à 27 ans et actuellement ministre de la Défense. Insipirez vous de monsieur ESSONO NGEMA, c’est à dire mettez en avant son action ou les résultats de ses réformes relatives au monde de la Défense.

    Profonds respects.

  12. Bonjour Soldat et merci pour cette mise au point.

    Les gabonais ne sont pas des maquizards, mais un peuple qui s’est tu depuis longtemps peut surprendre et que ceux-là qui pensent qu’ils peuvent prendre le pouvoir par la force, s’attendent à une résistance de la part du peuple. Cependant, je pense qu’il est encore possible de dialoguer au gabon. Ceux-là qui savent que le jour est proche et qu’ils auront forcément un rôle à jouer, je veux parler des responsables de nos armées, qu’ils entament des négociations pour éviter que l’irréparable se produise,au lieu de jouer au chat et à la souris.
    Il ne suffit pas de dire qu’ils ne lui sont pas favorables et que nous pouvons compter sur eux. Le plus important pour nous c’est d’éviter l’irréparable. Les gabonais ne sont pas nombreux et nous aurons beaucoup de mal à nous dresser les uns contres les autres, d’autant plus que quelque part, nous nous retrouvons dans les mêmes familles, ce sont alors les étrangers, plus de 1/3, résidents au gabon, dont certains habitués à la guerre, qui vont se dresser contre nous.
    Il est évident que tout ce qui est entrain de se dire actuellement a forcément une signification. Ce n’est un secret pour personne. Mais que disent les textes constitutionnels à ce sujet? le gabon est tout de même un pays souverain!
    Comment cette succession va nous être imposée? Si ceux qui sont chargés de la sécurité et de la protection du pays et des individus ne sont pas d’accord avec lui? On a vu par des exemples des pays fréres que c’est avec la force Armée que l’on a composé pour imposer leur homme au peuple. Dans le cas contraire, c’est la france qui avec ses éléments a fait le travail, se basant notamment sur ses intérêts et ses accords dans le pays. Mais la France de Sarkozy semble un peu fébrile dans ses relations avec certains de nos pays et avance avec les USA vers une autre forme de politique.
    Dans tous les cas, il faut reste prudent et vigilant, on sait toujours comment commence une révolte, mais on ne sait pas comment elle se termine, un mauvais arrangement vaut parfois mieux qu’un bon procès, à mon avis, des pourparlers devraient avoir lieu clairement et secrétement si besoin, il ya sur ce sujet et le peuple devra en être informé.afin que tous les gabonais puissent donner leur avis.
    Ce n’est pas la personnalité d’Ali qui intrigne, forcément, c’est cette idée de vouloir prolonger le pouvoir par nos dirigeants en metttant leur fils? Le gabon n’est pas le patrimoine de Bongo, c’est une nation indépendante et souveraine, l’on ne comprendrait pas que son fils en devienne l’héritier.
    Vous savez peut-être tous, ce qui est arrivé en Côte d’ivoire, au moment où la france a voulu faire jouer ses intérêts en tentant de réduire Bagbo et les siens au silence. La france en a tiré les conséquences, mais le peuple gabonais ne doit pas être duppe et notre force armée devrait s’en inspirer. Nous voulons bien compter sur eux, mais c’est aussi bien de savoir qu’is font tout pour nous éviter la guerre, merci.

  13. OPINION DES RENOS DU PDG Chers Compatriotes Gabonais,
    Au Gabon tout ce qui est bien est mal perçu.
    Ali Bongo est valide, brillant et physiquement au point.
    Ali Bongo Ondimba, juriste de formation, parle Français, Anglais, Allemand, Portugais, Hébreu, Russe et Arabe.
    Ali Bongo Ondimba a une forte expérience qui manque à de nombreux compatriote; Leader d’un grand courant de pénsées politique et d’action; Les Rénovateurs PDG,ancien de l’école militaire de Paris, Etudes géostratégiques et St. Cyr, Ecole de guerre?
    Représentant Personnel du Chef de l’Etat, Ministre des Affaires Etrangéres, Ministre de la Défense…etc…
    Tout ce que nous savons mauvais est admirable. Les Gabonais ont choisi la magnificience du vice contre la Vertu.
    Les hommes publics ou politiques d’origines étrangéres; ils sont bien nombreux et très connus au Gabon, du Nord, au Sud , à l’Est et l’Ouest du pays, tant au PDG que dans l’opposition.
    Les rumeurs haineuses et inacceptables sur Ali Bongo Ondimba sont les ragots colportés et très souvent amplifiés par celles et ceux qui sont assis autour de la table de son Pére.
    De nombreux proches collaborateurs du Président Omar Bongo Ondimba ont toujours été maladivement hostiles à l’idée de voir un fils Bongo se mêler de politique encore moins des affaires du Gabon. D’autant plus que certains yoyos, parmi ces parfaits jouisseurs taxent Bongo Ondimba d’être lui-même étranger au Gabon. C’est bien les parents, amis et courtisans à Bongo qui en veulent aux enfants Bongo Ondimba.
    Que dire d’un parent à Bongo qui prend pour avocat Maître William Bourdon de l’ong Française Sherpa qui ternit l’image de marque de Bongo Ondimba et famille en France et à la vue du monde entier?
    Ali Bongo Ondimba est victime de la générosité de son pére.La lisibilité de l’éclat de son action au sein du Gouvernement de la République donne aussi des tournis à ses ennemis d’en haut.
    Ce sont les cercles de la haute galaxie du pouvoir Gabonais qui spolient l’athmosphére de quiètude du bas peuple trainé en poubelle d’insanités et de fausses nouvelles.
    Ali Bongo est un Grand Homme d’Etat Gabonais en devenir comme son PERE.
    Chers compatriotes, le destin de notre frére Ali Bongo Ondimba est à confondre à celui d’Hommes Importants de ce monde dont le charisme déborde d’admiration et d’estime.
    En politique, les rumeurs sur Notre digne Fréres Ali Bongo Ondimba participent à une anticipation propagandiste gratuite qui comptera, à terme contre ses ennemis.
    La cassure sociopolitique du Gabon est bien orchestrée par cette caste boulimique de voyous politiques entristes.
    Le tribalisme est l’arme de résistance aux postes de certains, nonobstant leur incompétence et le vol endémique de l’argent du contribuable quotidien.
    Comme on dit chez nous, on ne lance les pierres que sur un arbre qui porte de fruits mûrs…
    Mr. BONGO ONDIMBA Ali est un Gabonais qui est avisé et formé pour pouvoir diriger le Gabon après le Pére Omar Bongo Ondimba dans l’intérêt du seul peuple Gabonais qui observe et reconnait son amour et son dévouement pour la Nation.
    Monsieur Ali Bongo Ondimba est l’ennemi des courtisans jouissifs du Président Bongo Ondimba à cause de son goût démesuré du dialogue et l’ouverture politique tout azimut.
    Ali Bongo Ondimba est détesté depuis le jour où il a oeuvré, avec son inconditionnel Frére André Mba Obame, aux négociations du retour de Mba Abessole au Gabon contre les réactionnaires du Parti Unique.
    Ali Bongo,le fervent Démocrate,est mal perçu par les clientélistes bongoliens depuis qu’il a adhéré à l’idée de l’instauration immédiate et inconditionnelle du multipartisme au Gabon, aux côtés d’autres patriotes lors de la Conférence Nationale de 1990.
    Les amis politiques et Fréres de l’époque comme les Maganga Moussavou à Mouilà, « l’Indépendant Historique Emmanuel Ondo Méthogo » et bien d’autres avaient abandonné le PDG pour louyauté aux idéaux du jeune Turc Ali Ben Bongo pour se démarquer du méandres de l’allergie des caciques à accepter le combat d’idées autour du Président Omar Bongo. De nombeux Gabonaises et Gabonais ont payé pour leur sympathie politique à Ali Bongo dans le PDG. L’animosité politique de certains contre Mba Obame, Ngoyo Moussavou, Pendy Bouyiki, Djeno Isidore, l’ambassadrice Giséle Memiaghé, Fidéle Touck Adigaw, Adrien Nkoghé Essingone, Engonga Owono etc… sont indexés (sous le jargon de la presse international de Rénovateurs) de conspirateurs au sein du PDG.
    Tous les refractaires au dialogue politique au sein du PDG et adeptes du nombrilisme, de la léthargie, de l’entrisme politique permanent et de la fourberie sont les auteurs de la cabale anti Ali Bongo Ondimba.
    Pourquoi les gens sortis de l’anonymat sociopolitique gabonais par Bongo Ondimba deviennent très facilement ennemis du Fils Ali?
    Est-il possible que tous les répentis aux côtés du Pére Omar Bongo Ondimba soient extraordinnairement pour l’essor politique d’un enfant Bongo?
    Ce cynisme va plus loin quand les individus réussissent à liguer les enfants Bongo entre eux comme le cas de la crise au sein de la communauté musulmane du Gabon.
    C’est bien certains hauts fonctionnaires des administrations financières et du Parlement Gabonais, originaires du Haut Ogooué, qui ont bel et bien combattu la loi de programmation du Ministre Ali Bongo Ondimba pour l’idée géniale d’une Armée Gabonaise en Or.
    C’est bien certains haltogovéens, qui pour se donner de la contenance en public,affirment, affublent, et, très intempestivement d’ailleurs des origines extra Gabonaises à un Fils de leur bienfaiteur Omar Bongo Ondimba. Et, qu’ils accusent d’ignorer certaines langues vernaculaires du cru.
    C’est le lieu ici d’avouer que les promoteurs même de cette cabale contre ce Patriote sont au Palais du bord de mer.
    Au regard de tout cela, les Gabonais observent ce pugilat de légitimation de l’héritage politique Bongo Ondimba et suivent très attentivement les initiatives positives de changement multiforme qu’Ali Bongo Ondimba peut apporter au Gabon.
    Les nouvelles générations savent qu’Ali Bongo Ondimba incarne la Perestroika, la Glasnost à la Gabonaise mais hésite comme Gorbatchev et titube comme Eltsine par Devoir, par respect, par Fidèlité et par Loyauté au Papa Généreux.
    Vivement que ce Fils à Omar Bongo Ondimba accède dignement et valablement à la Magistrature Suprême Gabonaise, à son temps. Et, que Ali Bongo Ondimba comme Poutine en Russie, viennent à dégager les Gabonais de la mafia politique, du vol, de la division, du sectarisme et surtout de la paresse généralisée dans laquelle s’enfonce chaque jour un peu plus la population Gabonaise, devenue dépendante de l’extérieur.

    Ali Bongo Ondimba, vous êtes un Patriote Gabonais reconnu.
    Vous appartennez à la Génération du Concret. Surpassez vous. Elévez-vous de la petitesse d’esprit d’autres patriotes qui ne vous acceptent.
    Votre Pére Bongo Ondimba en avait payé au prix fort son ascension politique devant les Hilaires Obame, jean Marc Eko, et bien d’autres prétendants.
    Jouez fort Champion.
    Vos performances offensives doivent neutraliser les Mamboundou, Myboto, Ekoga Siméon,Ben Moubamba, daniel Mengara, Félicité Vincent, Sylvain Ndong etc…
    Vos capacités défensives doivent davantage apprivoiser les Lemboumba Jean Pierre, Mba Abessolo, Maganga Moussavou, Pierre Kombila, Basile Mvé Engone, les Chefs des Eglises Pentecôtistes et de Revéil et toute la belle Jeunesse Gabonaise…
    Dévoilez nous vos idées pour le Gabon d’Avenir.
    Vous avez les moyens de recenser et faciliter, dès maintenant le grand retour des exilés politiques Gabonais pour entrevoir les chemins du progrès de demain
    Tendez la main, sans état d’âme, à vos compatriotes des oppositions internes et externes du Gabon qui est notre vivier à Tous.
    Composez avec les Pdègistes réalistes et patriotes sérieux.
    Ali Bongo Ondimba, vous êtes notre Espoit du Concret pour Demain.
    Ali Bongo Ondimba est encore tout beau et tout kief pour les défis générationnels du Gabon de demain.
    Ensemble, derrière Vous, le Gabon avancera en Grand.
    A bon entendeurs…
    A Tous, merci pour l’écoute

  14. OPINION DES RENOS DU PDG : Chers Compatriotes Gabonais,
    Au Gabon tout ce qui est bien est mal perçu.
    Ali Bongo est valide, brillant et physiquement au point.
    Ali Bongo Ondimba, juriste de formation, parle Français, Anglais, Allemand, Portugais, Hébreu, Russe et Arabe.
    Ali Bongo Ondimba a une forte expérience qui manque à de nombreux compatriote; Leader d’un grand courant de pénsées politique et d’action; Les Rénovateurs PDG,ancien de l’école militaire de Paris, Etudes géostratégiques et St. Cyr, Ecole de guerre?
    Représentant Personnel du Chef de l’Etat, Ministre des Affaires Etrangéres, Ministre de la Défense…etc…
    Tout ce que nous savons mauvais est admirable. Les Gabonais ont choisi la magnificience du vice contre la Vertu.
    Les hommes publics ou politiques d’origines étrangéres; ils sont bien nombreux et très connus au Gabon, du Nord, au Sud , à l’Est et l’Ouest du pays, tant au PDG que dans l’opposition.
    Les rumeurs haineuses et inacceptables sur Ali Bongo Ondimba sont les ragots colportés et très souvent amplifiés par celles et ceux qui sont assis autour de la table de son Pére.
    De nombreux proches collaborateurs du Président Omar Bongo Ondimba ont toujours été maladivement hostiles à l’idée de voir un fils Bongo se mêler de politique encore moins des affaires du Gabon. D’autant plus que certains yoyos, parmi ces parfaits jouisseurs taxent Bongo Ondimba d’être lui-même étranger au Gabon. C’est bien les parents, amis et courtisans à Bongo qui en veulent aux enfants Bongo Ondimba.
    Que dire d’un parent à Bongo qui prend pour avocat Maître William Bourdon de l’ong Française Sherpa qui ternit l’image de marque de Bongo Ondimba et famille en France et à la vue du monde entier?
    Ali Bongo Ondimba est victime de la générosité de son pére.La lisibilité de l’éclat de son action au sein du Gouvernement de la République donne aussi des tournis à ses ennemis d’en haut.
    Ce sont les cercles de la haute galaxie du pouvoir Gabonais qui spolient l’athmosphére de quiètude du bas peuple trainé en poubelle d’insanités et de fausses nouvelles.
    Ali Bongo est un Grand Homme d’Etat Gabonais en devenir comme son PERE.
    Chers compatriotes, le destin de notre frére Ali Bongo Ondimba est à confondre à celui d’Hommes Importants de ce monde dont le charisme déborde d’admiration et d’estime.
    En politique, les rumeurs sur Notre digne Fréres Ali Bongo Ondimba participent à une anticipation propagandiste gratuite qui comptera, à terme contre ses ennemis.
    La cassure sociopolitique du Gabon est bien orchestrée par cette caste boulimique de voyous politiques entristes.
    Le tribalisme est l’arme de résistance aux postes de certains, nonobstant leur incompétence et le vol endémique de l’argent du contribuable quotidien.
    Comme on dit chez nous, on ne lance les pierres que sur un arbre qui porte de fruits mûrs…
    Mr. BONGO ONDIMBA Ali est un Gabonais qui est avisé et formé pour pouvoir diriger le Gabon après le Pére Omar Bongo Ondimba dans l’intérêt du seul peuple Gabonais qui observe et reconnait son amour et son dévouement pour la Nation.
    Monsieur Ali Bongo Ondimba est l’ennemi des courtisans jouissifs du Président Bongo Ondimba à cause de son goût démesuré du dialogue et l’ouverture politique tout azimut.
    Ali Bongo Ondimba est détesté depuis le jour où il a oeuvré, avec son inconditionnel Frére André Mba Obame, aux négociations du retour de Mba Abessole au Gabon contre les réactionnaires du Parti Unique.
    Ali Bongo,le fervent Démocrate,est mal perçu par les clientélistes bongoliens depuis qu’il a adhéré à l’idée de l’instauration immédiate et inconditionnelle du multipartisme au Gabon, aux côtés d’autres patriotes lors de la Conférence Nationale de 1990.
    Les amis politiques et Fréres de l’époque comme les Maganga Moussavou à Mouilà, « l’Indépendant Historique Emmanuel Ondo Méthogo » et bien d’autres avaient abandonné le PDG pour louyauté aux idéaux du jeune Turc Ali Ben Bongo pour se démarquer du méandres de l’allergie des caciques à accepter le combat d’idées autour du Président Omar Bongo. De nombeux Gabonaises et Gabonais ont payé pour leur sympathie politique à Ali Bongo dans le PDG. L’animosité politique de certains contre Mba Obame, Ngoyo Moussavou, Pendy Bouyiki, Djeno Isidore, l’ambassadrice Giséle Memiaghé, Fidéle Touck Adigaw, Adrien Nkoghé Essingone, Engonga Owono etc… sont indexés (sous le jargon de la presse international de Rénovateurs) de conspirateurs au sein du PDG.
    Tous les refractaires au dialogue politique au sein du PDG et adeptes du nombrilisme, de la léthargie, de l’entrisme politique permanent et de la fourberie sont les auteurs de la cabale anti Ali Bongo Ondimba.
    Pourquoi les gens sortis de l’anonymat sociopolitique gabonais par Bongo Ondimba deviennent très facilement ennemis du Fils Ali?
    Est-il possible que tous les répentis aux côtés du Pére Omar Bongo Ondimba soient extraordinnairement pour l’essor politique d’un enfant Bongo?
    Ce cynisme va plus loin quand les individus réussissent à liguer les enfants Bongo entre eux comme le cas de la crise au sein de la communauté musulmane du Gabon.
    C’est bien certains hauts fonctionnaires des administrations financières et du Parlement Gabonais, originaires du Haut Ogooué, qui ont bel et bien combattu la loi de programmation du Ministre Ali Bongo Ondimba pour l’idée géniale d’une Armée Gabonaise en Or.
    C’est bien certains haltogovéens, qui pour se donner de la contenance en public,affirment, affublent, et, très intempestivement d’ailleurs des origines extra Gabonaises à un Fils de leur bienfaiteur Omar Bongo Ondimba. Et, qu’ils accusent d’ignorer certaines langues vernaculaires du cru.
    C’est le lieu ici d’avouer que les promoteurs même de cette cabale contre ce Patriote sont au Palais du bord de mer.
    Au regard de tout cela, les Gabonais observent ce pugilat de légitimation de l’héritage politique Bongo Ondimba et suivent très attentivement les initiatives positives de changement multiforme qu’Ali Bongo Ondimba peut apporter au Gabon.
    Les nouvelles générations savent qu’Ali Bongo Ondimba incarne la Perestroika, la Glasnost à la Gabonaise mais hésite comme Gorbatchev et titube comme Eltsine par Devoir, par respect, par Fidèlité et par Loyauté au Papa Généreux.
    Vivement que ce Fils à Omar Bongo Ondimba accède dignement et valablement à la Magistrature Suprême Gabonaise, à son temps. Et, que Ali Bongo Ondimba comme Poutine en Russie, viennent à dégager les Gabonais de la mafia politique, du vol, de la division, du sectarisme et surtout de la paresse généralisée dans laquelle s’enfonce chaque jour un peu plus la population Gabonaise, devenue dépendante de l’extérieur.

    Ali Bongo Ondimba, vous êtes un Patriote Gabonais reconnu.
    Vous appartennez à la Génération du Concret. Surpassez vous. Elévez-vous de la petitesse d’esprit d’autres patriotes qui ne vous acceptent.
    Votre Pére Bongo Ondimba en avait payé au prix fort son ascension politique devant les Hilaires Obame, jean Marc Eko, et bien d’autres prétendants.
    Jouez fort Champion.
    Vos performances offensives doivent neutraliser les Mamboundou, Myboto, Ekoga Siméon,Ben Moubamba, daniel Mengara, Félicité Vincent, Sylvain Ndong etc…
    Vos capacités défensives doivent davantage apprivoiser les Lemboumba Jean Pierre, Mba Abessolo, Maganga Moussavou, Pierre Kombila, Basile Mvé Engone, les Chefs des Eglises Pentecôtistes et de Revéil et toute la belle Jeunesse Gabonaise…
    Dévoilez nous vos idées pour le Gabon d’Avenir.
    Vous avez les moyens de recenser et faciliter, dès maintenant le grand retour des exilés politiques Gabonais pour entrevoir les chemins du progrès de demain
    Tendez la main, sans état d’âme, à vos compatriotes des oppositions internes et externes du Gabon qui est notre vivier à Tous.
    Composez avec les Pdègistes réalistes et patriotes sérieux.
    Ali Bongo Ondimba, vous êtes notre Espoit du Concret pour Demain.
    Ali Bongo Ondimba est encore tout beau et tout kief pour les défis générationnels du Gabon de demain.
    Ensemble, derrière Vous, le Gabon avancera en Grand.
    A bon entendeurs…
    A Tous, merci pour l’écoute

  15. J’aimeris que ce cite devienne vraiment très utile pour les Gabonais. Parlons plutôt des choses stratégiques ou constructives pour le départ de BONGO, et pour un véritable changement au Gabon. Nos famille meurt et nous restons passifs,ce n’est pas normal. Que chacun apporte plutot des idées concrètes pour faire partir les BONGO. Ne passons pas de temps sur ce cite pour rien. »Time is money » comme le disent les Américains. Taisons notre égo à chaque intervention et regardons à l’intérêt général des Gabonais.

    Si le temps me le permets je tenterai dans deux mois de me rapprocher de MENGARA aux Etats-Unis afin qu’il me dise si l’on doit ou non bouger le pays dans les mois qui suivent. Moi je veux du concret. Que le seigneur ne me tienne pas rigueur du haut des cieux, car il y a beaucoup trop d’injustice au Gabon; il faut que la misère s’arrête. Le Gabon a une population d’un département Francais et n’arrive pas satisfaire tout le monde avec toutes ses richesses. C’est vraiment révoltant.

    Je suis chrétien, mais en ce moment je passe beaucoup plus de temps à échanger sur ce cite qu’à lire la bible. Cette bible qui m’a déjà pourtant convaincu que mon royaume est céleste et non terreste. Les choses terrestres étant éphémères ne devraient pas me préoccuper autant. Mais la situation de notre pays est tragique

    Le combat contre BONGO et les siens ne sera pas facile,mais c’est une question de survie. Je suis content que l’armée se prépare à contre-attaquer l’arrivée d’Ali BEN, car c’est bien lui qui prendra le pouvoir. Pour eux les BONGO c’est le seul moyen d’échapper à la justice. Ils vont donc se battre pour se maintenir au pouvoir.
    Ne croyez pas un seul instant qu’il y aura de vraies élections au Gabon. C’est mal connaître les BONGO. Deployons tous nos plans dès maintenat pour faire bouger le pays. Il faut malheureusement se préparer militairement pour que notre pays soit liberé. Nous n’avons qu’un seul enemi, BONGO,qui a mis notre pays à terre.

    Je suis pour une sérieuse révolte au Gabon avant les élections en 2012, mais uniquement dirgée contre le pouvoir de BONGO et tous ceux qui ont aveuglément soutenu le pouvoir au détriment de la vie de leurs compatriotes.

    Il faudra agir sans état d’âme. Ne devrait-t-on pas déjà commencer à établir une liste de tous ceux qui soutiennent le pouoir corps et âmes et les désintégrer un à un. Les autres seront obliger de réaliser le danger qu’ils courrent à soutenir le dictateur,et assassin BONGO.

    Chers compatriotes,il est tempsde refuser cette maltraitance de la part du pouvoir. Montrons à BONGO ce dont les Gabonais sont capables.
    Lui qui disait à EYADEMA qu’il sensait l’humeur des Gabonais en réniflant l’air du bord de mer . Asphixions cet air du bord de mer pour lui empêcher de respirer, et le pousser à quitter le pouvoir.
    Les Ivoiriens sont respecter en France à cause de la révolte qu’ils ont menés. On les écoute quad ils parlent partout où ils passent parceque on sait de quoi is sont capables et nous les Gabonais sommes nous des sous hommes ? je ne crois pas.
    Chauqe chose à son temps et le temps est venu pour les Gabonais de se reveiller. j’interviens sur ce cite regulièrement depuis seulement 1 mois et déjà j’ai été contacter par plusieurs compatriotes Gabonais qui désirent se rappocher du véritable Anti-Bongo que nous connaissons tous, afinde préparer ensemble des actions fortes pour le changement dans notre pays.

    Que tous ceux qui veulent se joindre à notre action m’adressent leur mail. Notamment les gens de la province du haut-ogoouée d’où je suis originaire car dans cette province nous avons nos familles et nous devons commencer un travail de sensibilisation pour dire aux gens de ne pas se tromper d’enemis. Il n’y a ni Fang,ni Punu,ni Teke, ni miéné, mais nous sommes tous un seul et nous devons chasser les imposteurs qui ont mis notre pays à sac.
    Encore une fois toute ma solidarité au DR MENGARA.

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