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Le Gabon dirigé par des Congolais ? Maman Dabany et bébé Ali avouent : « Nous les Bongo Ondimba, nous ne sommes pas Biafrais, nous sommes Congolais »

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Ces Kongolais qui dirigent... et pillent... le Gabon?

Drôle de cinéma que celui qui se passe actuellement au Gabon. Les « Bongo Ondimba » seraient-ils tombés sur la tête? A moins que ce soit le ciel qui leur soit tombé sur la cabosse ? Fiston Bongo « l’Ali pas Mohamed » et l’ancienne « Mama Bongo » jadis répudiée avec des valises d’argent aux USA semblent s’être tellement acharnés à se sortir d’un trou déjà profond qu’ils se sont, sans s’en rendre compte, enfoncés dans un autre trou, celui-ci encore plus profond que le premier. En voulant tellement prouver aux Gabonais qu’Ali le fiston Bongo n’est pas, comme la rumeur le maintient depuis qu’Ali existe, un Biafrais adopté par les Bongo, « Mama Dabany » et « Bébé Ali pas Baby Doc » ont avoué devant Gabonais ébahis qu’ils sont, en fait, Congolais. Que l’on cesse d’appeler Ali « Biafrais » a martelé avec fureur « Mama ». Il est Congolais !!! a-t-elle finalement avoué.

On se serait cru dans un de ces films américains où l’avocat malin, à force de cuisiner le témoin, le pousse tellement à bout que le témoin, hors de lui, finit par avouer larmes aux yeux: « Oui, c’est moi qui l’ai tuée, ma femme !! » A la chaîne 1 de la radio-télévison gabonaise (RTG1), Mama Dabany, cuisinée par la rumeur devenue insoutenable, a finalement lâché le morceau : « Nous y en a pas Biafrais ! Nous y en a Congolais !! Cessez de nous appeler Biafrais ! Nous y en a descendants dé la famille royale dé Mani Kongo !! Nous pas Gabonais, mais Gabon ya bon car nous pleins dé CFAs cadeau oh !»

Tout a commencé samedi 25 avril dernier lorsque Monsieur le Ministre de la Défense Nationale Ali Ben Bongo (ABB comme Albert Bernard Bongo ou Alain Bernard Bongo-Mon Dieu comme cette famille change de noms !!) décide, une bonne fois pour toutes, de mettre fin aux rumeurs qui accablent sa vie et le rendent misérable depuis que sa misérable enfance gabonaise fut gâchée par la « biafrité » que les mauvaises langues ont cultivée tout autour de lui. Furieux, le petit Alain Bernard devenu Ali Ben déclare samedi : « Certaines prétendent que je serais nigérian? (…) Tout ce que je sais, c’est que je suis né à Brazzaville en 1959. Ceux qui disent ce genre de choses ne connaissent pas l’histoire. La guerre du Biafra a commencé en 1967 et moi je suis né en 1959. Quand je suis né, le Nigeria n’était même pas indépendant avant de l’être l’année suivante. Donc, quand la guerre du Biafra commence, j’avais déjà 8 ans ».

Jusque-là, pas grand-chose à redire, notre « péti » ABB « Ben béni » par les dieux connaît bien l’histoire, et il le prouve aux yeux de tout le monde ébahi par tant de connaissance. Donc, Ali dit vrai : comment peut-on être Nigérian quand le Nigeria n’existe même pas encore et qu’on est né hors ?

Sauf que, pauvre Ali (quel chagrin !!), nous voilà au courant d’un fait qui n’est pas non plus très reluisant pour notre bonhomme. Apparemment, notre « Minisse » de la Défense n’y comprend rien. On ne sait pas vraiment, en fait, s’il a compris pourquoi la rumeur biafraise a fait tant de bruit au Gabon. On a l’impression que ce qui fait le plus mal à Ali, c’est le mot «Biafrais », qui semble lui sonner dans la tête comme une insulte. Dans sa tête, il semble plus acceptable d’être considéré « Congolais » que « Biafrais ». Cependant, ce que notre bonhomme « Ben béni » ne comprend pas, c’est que ce n’est pas, en fait, le fait d’être « Biafrais » ou « Congolais » qui soit le problème des Gabonais. Ce qui fait tiquer les Gabonais, c’est le simple fait d’avoir un « étranger » imposteur à sa tête (l’Omar) et un autre « étranger » imposteur (le Ben) pour contrôler l’armée d’un pays où il n’est pas né, pays dont il n’a pas non plus la nationalité puisque né, de son propre aveu, Congolo-Français, mais pas Gabonais du tout…

Ce que les Gabonais ne veulent pas, c’est de ces mensonges qui durent depuis 49 ans !

Comme si un seul aveu ne suffisait pas, voilà que Maman Dabany vient, ce mardi soir, en rajouter pour clarifier, clouant finalement au pilori toute la famille Bongo qui, de par sa bouche, avoue finalement aux Gabonais son imposture de 49 ans. Ecoutons « Mama Patience » (encore un faux nom !!) : « Mon fils, moi et mon mari qui était sous le drapeau [congolo-français ?] depuis trois ans, libéré [de quel asile ?] et ayant refusé de demeurer à Brazzaville [il a refusé son pays ?], la capitale congolaise, suite à la guerre civile, arrivons à Libreville le 29 octobre 1960 (…). Je suis Batéké [du Congo ?], Bongo est Batéké [de Brazza ?], nous ne sommes pas Nigérians [vraiment ?]».

Ok, on a compris. La seule chose que les Bongo ne sont pas, c’est Gabonais. Ils ont tout été et ils ont tout fait dans leur vie, y compris changer mille fois de nom et de pays, mais ce qu’ils ne reconnaissent pas, c’est leur « gabonité ». Voilà qui est clair (Ah les pauvres bongoïstes qui défendent Bongo becs et ongles en croyant qu’il est Gabonais ! Ils vont se manger les ongles et se couper le bec comme des oisillons avec cette douche froide !).

Alors, donc, revenons à nos moutons : force est de constater que dans leur défense, ni Ali ni Mama Dabany n’ont à aucun moment revendiqué leur citoyenneté gabonaise. Ils ont tout affirmé, sauf leur « gabonité ». C’est bien étrange, non ?

Ce n’est quand-même pas gentil de leur part. On nous enlève un « Biafrais » pour nous donner quoi à la place ? Un « Congolais » ? Mince, c’est pas juste ! Nous voilà mieux servis. Les Nigérians eux au moins, ils savent bricoler quelques vieilles télévisions et réparer les frigos. A quoi va nous servir Ali, maintenant que nous savons que s’il devenait président, il ne pourra rien bricoler comme un vrai Nigérian sait si bien le faire ? On pourrait au moins faire du bon business « clando » et acheter des iPhones trafiqués et bon marché venant des filières « clando » du Biafra. Non, c’est pas juste du tout, zut ! Que va bien pouvoir nous apporter un Congolais vu que les Congolais sont aussi paresseux que les Gabonais, et qu’ils ne connaissent que la sape et les fesses des femmes et le « soukouss » ? Mais bon, laissons ça de côté sinon Aurlus Mabélé que nous aimons bien va se fâcher.

Les Bongo devenus « Ondimbas » sont donc tout-Français, Batéké (du Congo), Congolais-mais jamais « Gabonais » ni « Batékés du Gabon ». Ils s’en défendent devant tout le monde. C’est ce qui sort de leur propre bouche, pas de la bouche trop bavarde du Kongossa. Qu’est-ce que les gens vont encore dire ?

Mais une question demeure : quelle est la belle jambe que cela fait aux Gabonais qu’Ali soit « Biafrais » ou « Congolais » ? Les Gabonais ont-ils une préférence pour l’un ou pour l’autre ? Rien n’est moins sûr.

Depuis toujours, il a toujours couru deux rumeurs indicibles au Gabon. La première rumeur a toujours été que Bongo n’était pas Gabonais, mais Congolais. Cette rumeur, Bongo l’a toujours démentie avec la plus grosse énergie, au point de mettre en prison les quelques Gabonais qui avaient osé le dire. La deuxième a toujours été qu’Ali Bongo n’était pas Gabonais, mais Biafrais. Celle-là aussi pouvait jeter quelqu’un au caveau.

Or, voilà que, pour démentir la rumeur de la « biafrité » du fils, la Mama Dabany monte au créneau et lâche la plus grosse des bombes : elle confirme sans rougir (bon, ok, elle est noire, d’accord) la rumeur de la « congolité » de toute la famille Bongo, famille qui apparaît tout d’un coup comme une famille habituée à l’imposture non seulement des pouvoirs et des noms (trop de noms changés dans cette famille), mais aussi des nationalités (qui sont-ils vraiment, nos chimpanzés ?).

Parlons un peu de leurs impostures, juste pour avoir les idées un peu plus claires :

Imposture No. 1 : Contrairement à ce que Bongo a souvent raconté, « Mama Dabany pas Patience » vient enfin d’avouer que les Bongo ne sont venus au Gabon que le 29 octobre 1960, soit trois mois et demie APRES l’indépendance du Gabon (Ils ne se sont même pas battus pour l’indépendance du Gabon (Mais comment donc, les voyous !)  On se posera donc toujours la question de savoir comment quelqu’un qui est né hors du Gabon (au Congo) en 1959 et qui arrive au Gabon APRES l’indépendance du Gabon peut être autre chose qu’un « étranger » ? Ali et sa famille ne semblent pas capables de comprendre que ce qui dérange les Gabonais n’est pas le fait que notre Ali défenseur national soit Nigérian, Biafrais, Turc ou Eskimo. Ce qui dérange les Gabonais, ce sont les mensonges, les impostures et les entourloupes qui ont toujours entouré les origines de la famille Bongo. Or, de l’aveu de la mère et du fils eux-mêmes, nous venons d’avoir la confirmation que Monsieur Ali Bongo Ondimba est tout sauf Gabonais. Il ne pourra plus nier ses propres paroles ni celles de sa « Mama ». Ah, « lé pauvre péti ».

Mais voilà où Ali a fait la plus grosse erreur de sa « biafrité », pardon, de sa « congolité » : Il n’y a pas de différence aux yeux des Gabonais qu’il soit « Biafrais » ou « Congolais ». Ce qui est important c’est que les Gabonais aient eu la confirmation, et sachent désormais sans l’ombre d’un doute, qu’Ali Bongo est un étranger et que la famille Bongo a toujours été une famille étrangère qui a toujours fait usage de faux et d’imposture pour s’immiscer dans la vie politique gabonaise et prendre le Gabon en otage. C’est donc là terrible imposture et elle est inacceptable pour les Gabonais, surtout si « Bébé Ben » décide de s’imposer aux Gabonais après son père. Nul n’acceptera une telle imposture de plus au Gabon.

Imposture No. 2 : La deuxième imposture des Bongo devenus « Omars » est le fait de se retrouver à la tête du Gabon après avoir été finir le pauvre vieux Léon Mba en France avec l’aide des Français. C’est parce que les Français savaient Bongo étranger qu’ils l’ont installé au pouvoir au Gabon. Ils savaient qu’un étranger comme Bongo ne pourrait jamais aimer son pays comme un vrai Gabonais. La preuve en est aujourd’hui faite : pendant 42 ans, Bongo a pillé le Gabon comme les Français ont pillé le Gabon. Le Gabon n’étant pas son pays, il ne pouvait que le considérer comme un « pilloir » et le détrousser sans merci comme un pirate pillageur le ferait. Bongo pratique au Gabon une politique de la terre brûlée. Il décime et brûle tout sur son passage et ne laissera que cendres et pleurs pour les pauvres Gabonais.

Gabonais par imposture, donc Président et leaders du Gabon par imposture, sans oublier les élections truquées par l’imposture politique, voilà, mesdames et messieurs, la vérité sur les Bongos: Le Gabon est dirigé non pas par des « Biafrais », mais par des Congolais.

Quand la Mama Bongo répudiée par Papa Bongo depuis des années vient mentionner les Batékés à la télé, elle veut nous jouer le même vieux jeu ethnique par lequel son ancien mari a toujours voulu diviser les Gabonais. Ils veulent faire croire aux Batékés du Gabon que les autres Gabonais leur en veulent. La vérité, aujourd’hui, est pourtant limpide. Ce sont les Bongo qui, étant nés Batékés congolais, se sont installés parmi les Batékés du Gabon par imposture. Dès lors, quand les Gabonais disaient à Bongo qu’il n’était pas Gabonais, mais Congolais, Bongo utilisait cela comme une arme ethnique pour faire croire aux Batékés du Gabon que les autres Gabonais les accusaient d’être Congolais. Or, cette stratégie de Bongo était indécente car le Gabon a d’autres ethnies comme les Fangs qui ont des attaches ethniques en Guinée Equatoriale et au Cameroun. Ce n’est pas pour autant qu’on va dire des Fangs du Gabon qu’ils sont Camerounais ou Equato-guinéens. On ne peut pas donc dire que les Batékés du Gabon soient Congolais car les frontières coloniales ont décidé que certains Batékés seraient du Gabon et d’autres du Congo, tout comme certains Fangs sont du Cameroun et d’autres du Gabon. Mais comme les Bongo sont machiavéliques, ils ont fait l’amalgame et ont confondu leur imposture avec le peuple Téké du Gabon et inventé des divisions ethniques là où il ne devrait pas y en avoir. Les Tékés du Gabon sont Gabonais et les Tékés du Congo sont Congolais. C’est aussi simple que cela.

Les Gabonais refusent donc de retomber dans ce piège ethnique que les Bongo aiment à nous tendre.  La « congolité » des Bongo n’engage point et n’a jamais engagé les Batékés du Gabon. Elle concerne les Bongo et uniquement les Bongo. C’est aussi simple que cela.

Mais attention! Nous au Gabon, nous n’avons rien contre nos frères congolais qui souffrent actuellement sous l’imposture politique des Sassou au Congo comme les Gabonais souffrent sous la double imposture des Bongo au Gabon. Mais reconnaissons quand-même que cela nous en bouche un coin que ce soit maintenant un enfant congolais, arrivé au Gabon APRES l’indépendance du Gabon, qui soit maintenant pressenti pour remplacer son propre papa congolais sur le trône du Gabon !!

Nous ne le disons pas par hasard. Si l’on donne le bénéfice du doute à Ali et accepte son explication, force est de constater que cela ne change pas du tout son problème car tout ce que sa maman et lui-même ont réussi à faire, c’est échanger une nationalité étrangère pour une autre. Ce qui revient exactement au même : Ali est étranger, par conséquent, il ne peut briguer la présidence du Gabon. Regardez vous-même :

Le Congo Brazza est devenu indépendant le 15 août 1960, soit deux jours AVANT le Gabon. Donc, en arrivant au Gabon le 29 octobre 1960, soit trois mois et demi après l’indépendance du Congo, Ali Bongo était bel et bien un Congolais avéré car né au Congo AVANT l’INDEPENDANCE du Congo, donc automatiquement Congolais quand le Congo devient indépendant le 15 août 1960. Autrement dit, quand Ali Bongo arrive au Gabon avec sa mère et son père Albert Bernard Bongo trois mois plus tard APRES l’indépendance du Gabon, ils sont tous Congolais depuis trois mois et demi.

Or, il n’existe nulle part au Gabon un seul papier montrant quand Ali Bongo et Omar Bongo se sont naturalisés Gabonais. Ali Bongo n’étant pas né au Gabon, il ne peut, au vu de la Constitution actuelle, devenir Président du Gabon. Son père lui-même aussi, n’étant pas né au Gabon et n’étant arrivé au Gabon qu’après l’indépendance du Gabon, ne peut pas non plus prétendre au trône du Gabon. Aucun des deux ne disposant d’aucun papier de naturalisation, et aucun des deux n’étant Gabonais de première ni de deuxième génération, leur présidence est illégale. Seuls les enfants et petits enfants de Bongo nés au Gabon peuvent prétendre au trône gabonais, pas Ali Bongo, et encore moins Omar Bongo.

Et comme Bongo lui-même a toujours été « rumoré » comme Congolais, on ne peut que saluer l’honnêteté de Mama Dabany qui, en voulant défendre le fils, a finalement avoué la vérité aux Gabonais. Pire, en disant : « Mon fils, moi et mon mari qui était sous le drapeau depuis trois ans, libéré et ayant refusé de demeurer à Brazzaville, la capitale congolaise, suite à la guerre civile, arrivons à Libreville le 29 octobre 1960 (…).je suis Batéké, Bongo est Batéké, nous ne sommes pas Nigérians », Mama Dabany avoue très clairement un autre fait important : Les Bongo n’ont quitté le Congo que parce qu’ils voulaient fuir la guerre civile congolaise. Autrement dit, si le Congo n’avait pas connu la guerre civile, les Bongo seraient restés au Congo Brazza comme Congolais et personne n’aurait jamais entendu parler d’eux au Gabon. Et puis, ne disait-on pas à l’époque que Patience était stérile et qu’elle ne pouvait pas faire d’enfants? Un autre miracle?

Merci donc les Français pour avoir tué notre président bien gabonais Léon Mba pour nous imposer des imposteurs qui n’ont même pas voulu reconnaître le nom de leur papa et grand papa « Ondimba » pendant toute leur vie, et qui ont tous tellement changé de nom qu’on a fini par s’y perdre. Albert Bernard Bongo est devenu Omar Bongo, puis Omar Bongo Ondimba (Une bien tardive reconnaissance du nom de son père !). Alain Bernard Bongo est devenu Ali Ben Bongo puis Ali Ben Bongo Ondimba (trois fois changé de nom !). Mama Dabany est d’abord née Joséphine Nkama Dabany, puis est devenue Joséphine Bongo, avant d’être répudiée par le Bongo et de se fabriquer la nouvelle identité « Patience Dabany ». Elle encore, on peut la comprendre : étant femme, elle était obligée de prendre le nom de son imposteur de mari, et étant chanteuse, il fallait bien faire « cool ». Mais Ali et papa Bongo, pourquoi ces changements de noms comme on change de chaussettes ?

La vérité est donc enfin là : elle est douce comme bonnet blanc et blanc bonnet. Nous avons, au Gabon, des imposteurs qui se font passer pour des Gabonais depuis le 29 octobre 1960 (49 ans d’impostures !!).

Alors, Bongo et Edith-Lucie, c’était finalement quoi ? Une simple affaire de retour aux sources de papa Bongo ?

Mais pour les Gabonais, une seule question demeure. Ali… Biafro ou Kongolo?

Source: BDP-Gabon Nouveau

Exprimez-vous!

  1. Magnogni,
    Vous êtes bien dans le plat car le vrai débat et que les rénos ne veulent pas aborder concrètement est la capacité d’Ali Ben de redonner espoir aux Gabonais après le passage catastrophique de SON Père (Qu’il soit naturel ou adoptif !!!) ?????

    Le Ministère de la défense, à mon sens, est le plus facile des départements à gérer lorsqu’on est un fils à papa comme Ali. L’ordre et la discipline qui y règnent favorisent son fonctionnement et il suffit simplement de construire quelques casernes, acheter quelques Mercédès et tenues camouflées pour éviter des mutineries.

    Au Sénégal, Karim, qui veut le pouvoir comme Ali, va être jugé à la tête du super Ministère qu’on vient de lui confier : l’aménagement du Territoire, les transports, la coopération internationale et les infrastructures. La il faut être un bon gestionnaire et un vrai meneur d’hommes pour réussir!!!!!

    Etudes Géostratégiques, Ecoles de Guerre, Polyglotte, …. Vous croyez que cela suffit pour faire de vous un homme d’Etat ????

    Le Gabon de 1967 n’est pas celui de 2009 !!!!

  2. Monsieur ESSONO NGUEMA,

    Je souhaite que l’on poursuive nos échanges à travers nos courriels. Par ailleurs, il serait intéressant d’ouvrir nos échanges à d’autres départements stratégiques comme le ministere des Affaires étrangères, de l’Intérieur, de l’Economie, de la Justice,…

    Je ne sais pas si vous suivez les interventions de madame Magnogni. Elle a un réel projet pour le Gabon et en plus elle a des idées pertinentes quoique je ne partage pas certaines de ses positions sur la préférence de l’apprentissage en politique. Elle privilégie les collectivités territoriales comme étant un véritable espace de formation pour tous ceux qui aspirent à faire de la politique. Or je privilégie les stages dans les commissions parlementaires et auprès des parlementaires comme assistants. De même que les stages dans les ministeres.

    Pour les professionnels de l’insulte: Les échanges sont possibles dans le respect des uns et des autres. La différence ne doit pas etre un moyen pour s’insulter. Chacun est libre de choisir sa famile politique. Nous devons encourager la liberté de penser et la différence idéologique. C’est la seule façon pour nous de faire avancer le débat dans notre pays. Imaginez vous un pays où tout le monde s’insulte parce que l’on a des avis différents? La différence politique est et restera une richesse. On ne veut pas des GABONAIS qui se ressemblent tous OU QUI pensent tous la meme chose.

    Pour le débat sur les diplomes et la nationalité. Je crois que là encore cela n’a aucun intéret. Il y a des gens qui font de la politique sans diplome supérieur. Tel est le cas du député maire de la ville de Nice. Je veux parler de monsieur Christian Estrosy. D’autres personnalités politiques n’ont pas réussi malgré leurs diplomes. Le philosophe et humaniste Ferry(le message ne passait pas). De meme on peut réssir en politique sans doctorat. Le cas du président Sarkozy est frappant à cet égard. Monsieur Sarkozy a un master 1 en droit privé et un master 2 en science politique. Le Gabon notre pays regorge aussi de nombreux exemples. L’essentiel n’est pas d’avoir DES diplomes, mais de savoir ce que l’on fait de ses diplomes. En revanche pour la nationalité, je n’ai pas grand chose si ce n’est que vous suivez mécaniquement l’ivoirité. On sait où cela à conduit la Cote d’Ivoire qui est une grande nation et un véritable acteur en afrique de l’ouest.

    Voici mon courriel: emalb5@hotmail.fr

    Cordialement.

  3. Mombo Ngoma,
    Je suis vraiment désolée de votre raisonnement, a chaque fois, L’on s’aperçoit clairement que vous aussi, vous n’aimez pas vraiment votre pays. Ne faites pas l’avocat du diable. Et surtout, ne venez pas dire des choses insensées qui peuvent avoir des repercussions sur la situation de certains de nos compatriotes au gabon.
    Vous savez pertinament que ce ne sont pas uniquement les enfants du haut ogooué qui en veulent à la candidature de ce Monsieur Ali, la preuve est que tous ceux qui réagissent sur ce site par rapport à ce sujet ne sont pas que des altogovéens. C’est peut-être vrai pour certains, qu’ils n’ont pas de choix que de rechercher des points qui peuvent lui être défavorables, afin de lui barrer le chemin avec le soutien du peuple, l’homme de la rue serait très sensible à ce sujet, à savoir qu’un étranger va venir gouverner dans un pays qui n’est pas le sien.

    Mais toi et moi devrions rechercher d’autres choses pour mieux servir l’homme de la rue, que de ramener en plus d’autres énormités. Il faut leur dire la vérité, leur montrer que ces gens-là portent la responsabilité de la déchéance de notre pays, et il ne serait pas bien pour nous, qu’ils reviennent au pouvoir, au lieu de ramener la responsabilité sur la france.
    Et que s’il ya élection, il faut inviter le peuple a leur barrer la route par les urnes, c’est primordial, nous ne devrions pas râté cette occasion.
    S’il y a une ombre de coup de force, il faut que les gabonais commencent à s’exprimer maintenant et ne pas attendre qu’il y ait la guerre.

    Je suis désolée, mais je vais te dire que je suis de la même génération qu’ali ben, je ne le connais pas personnellement, mais je sais qu’il a joué au foot avec d’autres garçons de mon entourage, dont les familles arrivaient du congo dans ces années -là et je crois que son étiquette de biafrais est venue de sa coiffure, bref. Mais j’ai jamais voulu en faire état ici, le reste, nous le savons tous, parce que je trouve que le débat pour nous ne réside pas dans la nationalité d’ali, nous savons que personne ne pourra empêcher à ali ben de poser sa candidature. pour ma part, le débat réside sur le fait qu’ali ben fait parti du pouvoir, pas seulement parce qu’il est le fils du président, mais parce qu’il a aussi géré ce pays et qu’il faut prouver au peuple que parmi les gens qui ont géré, voilà ce qu’il a fait de mieux, alors qu’il a eu tous les pouvoirs, celui d’agir de l’intérieur, et celui d’ammener son père à changer les règles du jeu afin d’éviter la situation que nous connaissons tous aujourd’hui, et pourtant,c’en est pas le cas.

    Je vous ai vu citer le nom de mba obame, mais cependant ce monsieur mba obame parmi tant d’autres bien sûr, fait bien parti de ceux qui caressent le pouvoir, même s’il apparait visiblement comme celui qui lui est proche. c’est peut-être une stratégie. Certains dans votre liste, sont devenus un peu ringards, aux yeux de la société, qui ne leur accorderait aucune caution.

    qu’en savez-vous du rôle jouer par mba obame, concernant le retour de mba abessolo au gabon? Si oui, vous savez la vérité, dites-le, car il y a forcément sur ce site, des gens qui en savent long, ce n’est pas le débat ici.
    Ne dites donc pas des choses que vous ne connaissez pas, car vous n’avez pas affaire à des ignards ici.

    Si vous pensez être l’avocat de la famille bongo, dites-vous bien que vous les déservez en disant des choses que vous ne pouvez pas prouver.Et vous ne servez pas le peuple, non plus en leur racontant le mensonge afin de les détourner de la vérité et du vrai débat, la vérité ne réside pas dans la nationalité d’ali, on s’en tape, la vérité réside dans la maniére dont ils ont géré le pays.

    La france à ses intérêt au gabon, elle a agit et agira toujours dans ce contexte-là.Ils n’ont pas hésité de livrer bongo, les français, lorsqu’ils ont trouvé, qu’il ne préservait plus leurs intérêts.

    Bongo et tous ceux qui l’ont accompagné dans cette dérive en portent doublement la responsabilité.

    Le français n’est pas gabonais, le gabon est sa vache laitiére,comme c’est le cas de beaucoup de pays d’afrique. La france porte au pouvoir des gens susceptibles de préserver leurs intérêts. Elle vient au gabon tirer son lait et se fiche de ce que le pays se développe ou pas, d’ailleurs, elle a tout intérêt à ce qu’il reste en l’état. Et lorsque la vache n’a plus de lait, elle change de vache. Elle ne se préoccuppe que de son lait. Bongo n’est pas dans le même cas de figure; Il est gabonais, de surcroit le président de ce pays, il a le devoir de le protéger, il a pris des engagements auprès des gabonais et de par la constitution, son rôle est bien défini.

    Même lorsque qu’un enfant va voler de l’extérieur et que poursuivit, il court se cacher auprès de sa mère, la réaction prémière de la mère c’est de protéger celui-ci, pour éviter qu’il lui soit fait du mal, même la justice n’en voudra pas à cette mère, qui en premier, a assurer son devoir de parent. Bongo pouvait en assurant les intérêts de la france faire de ceux du gabon sa priorité, la france ne lui en aurait pas voulu, d’autant plus qu’i a trouvé le moyen de s’enrichir tout seul au détriment du peuple. Et cela même la france le lui reproche.

    Dans le cas du gabon, c’est celui qui en a la paternité, qui l’a livré et qui le livre aux uns et aux autres.

    Bongo et ceux qui ont géré avec lui, vu toutes les richesses du gabon, avaient les moyens, même en laissant profiter la france, et en profitant eux aussi, de garantir un niveau de vie adéquat aux citoyens et de développer le pays.

    Lorsque l’on regarde toutes les richesses qu’ils ont de l’extérieur, dont la france continue à tirer profit, en impôts et autres, alors que les gabonais vivent la vie que nous connaissons tous, c’est inimaginable de penser que ces gens là aiment vraiment leur pays, ils l’utilisent comme leur vache laitiére, qui donne du lait en son temps et le jour où elle ne donnera plus, poubelle!
    Comment voulez-vous que l’on continue à leur faire confiance et accepter qu’arrive au pouvoir, l’un de ceux-là? On parle d’ali ben, parce qu’on pense qu’il serait le mieux placé, à cause de son père, mais il y ‘en a d’autres qui sont avec lui et qui convoitent aussi le pouvoir, nous le saurons, au moment venu.
    Moi je crois qu’il serait bien que vous demandiez à Ali, puisque vous êtes son avocat, s’il veut discuter avec les gabonais, la condition première serait de ramener au gabon, toutes les richeses, leur appartenant, dont la france fait état sur son continent, afin de nous prouver de sa bonne foi. La seconde chose serait de ne pas agir par la force et de laisser le moment venu,le peuple s’exprimer par les urnes en respectant l’avis du peuple, rien que le peuple, cela, je crois qu’il ne l’acceptera pas.

    De toutes les fois que l’on a vu ses gens-là se défendre, ça toujours été pour leurs intérêts, la preuve et qu’ils sont venus s’expliquer sur le problème de leur nationalité.

    Pourquoi les gabonais n’auraient pas eux aussi le droit de se préoccuper de leur situation, de leur demander des comptes et de choisir eux-mêmes,l’homme de la situation?
    Ramènez-nous d’autres informations, nous voulons tout savoir et ne venez pas nous parler de la responsabilité de la france, faites-nous état de la situation du gabon après les 40 ans d’Omar, en faisant ressortir ne serait ce que les points positifs de ces 4o ans de pouvoir, merci

  4. Ouh lala, mon Cher Robert !!!

    Comme c’est très grossier tout ça.
    Laisses cette affaire de diplômes et de nationalité : ça fait pas avancer le pays.

    Si tu veux vraiment soutenir le Dr MENGARA MINKO Daniel note au moins que lui, c’est quelqu’un d’intelligent et de très courtois. Tout comme du reste le Dr ELLA Bruno. (je le reconnais même si je n’adhère pas du tout à leurs opinions)

    Et si tu veux vraiment être utile au Gabon sur ce forum inspire des interventions telles que celles de nos compatriotes « LMD », « Stratégie », « JP »,…etc., Ils parlent Economie, Politique, Education, Santé, Culture,…DE DEFENSE NATIONALE …etc.

    Bon, il faut vraiment que je parte.

    Longue vie au Président et que Dieu bénisse le Gabon.
    J’ai dit.

  5. ahahaha! vous savez la question la plus importante que nous gabonais nous devons poser a Bongo et son gouvernement est la suivante: Putain les mecs comment faites vous? parske pour avoir un pays si riiche avec si peu d habitants et faillir a la tache comme ca est incroyable hahah! Bongo est l homme le plus bete et le plus perfide que j ai jamais rencontre! Oh pardon le president le plus bete! et aussi arettons seulement de l accuser lui mais aussi les mecs qui se laissent corrompre! eux aussi font partie du reseau! parske Ces femmes la qui se levent le matin tres tot les enfants ne vont meme pas manger pour aller tourner leurs fesses devant un nabo ki s en fou royalemen d elles ca me degoute! Un seul Moyen pour sauver le gabon… chasser la france laisser les americains prendre le dessus! certes ils sont perfides mais kan meme ils vont vouloir preserver leur bonne image et ns aider a developper le pays serieusement! mais si ali ben bongo aka Jimmy hendrix Ou encor le seul ministre o cheveu defrises la passe? c Long pour nous hahah! kil soi congolais ou pas… ca ne va rien changer les gabonais ne vont jamais se lever… en tt K ^^

    Gabon Oyeeee!

  6. cher gabonais laissez bongo pillier le gabon ,continuez a boire la regab.pauvres reveurs bongo a compris qu un soulard ne peut pas faire de revolution ,vous comprenez pq depuis 40 ans au gabon les boissons gazeuses coutent plus cher que la REGAB !!
    si vous voulez chassez bongo voici ce qu il faut faire
    1) arretez de boire
    2) arretez de boire
    3) arretez de boire

  7. Mr Robert,

    Pourquoi perdre votre precieux temps a repondre a un imbecile comme ESSONO NGUEMA, le fameux Docteur made by Bongo?
    Quand un Docteur ne sait plus faire la difference entre le bien et mal, l’acceptable et l’inacceptable, malgres toutes les evidences qui sautent a ses yeux… On n’est plus Docteur mais leche-cul.
    Bonne journee mon frere Robert.

  8. spécialement pourle soit disant Dr Sylvain Abraham ESSONO NGUEMA!

    docteur manioc Bon debaras! tu etait unitile sur ce forum..
    vas te faire pédé avec tes diplomes. tu es diplomé et tu vis accroché aux autres..incapable de t’assumer comme un homme, un vrai homme! incapable de dire la verité sur des choses pourtant tres visibles mais qui sont tellement invisibles a tes yeux..incable de raisonner comme un humain il vient avec un discour intellectuel a la con comme si c’est ce que les vllageois de makouké vont mangé.incapable de dire ce qu’il voit pour defendre une clik d’incapables, se rendant lui meme coupable des crimes, viols, assassinats, détournments des caisses de l’etat..ect!
    bande d’incapable! tu n’est pas un homme. tu es une femme qui se cache derriere ses deux diplomes obtenus en récitant betement ceux qui est ecrit dans son cahier..redire ce que sartre a dit ne fat pas de toi un sartre…donc tes diplomes tu as beau les avoir obtenus tu ne les mérites pas en réalité parceque ton esprit critique s’est évaporé et tu voue un culte demesuré au clan bongo sans savoir pourquoi comme d’autres tu suis comme un mouton …j’ai pitié pour ceux qui t’on mis au monde!
    bande de sal imposteur..!

    bouge de la! et ne ramene plus ta sale silhouette ici!

  9. Mr magnogni merci pour cette réaction assez pertinante!
    Je ne voudrait pas trop m’attarder sur des détails et aller a l’éssentiel. Je suis tout a fait d’accord avec vous quand vous signifiez que « Il ne suffit pas de dire que l’armée ne l’aime pas mais il faut que celle ci garantisse la stabilité de l’etat.et previenne des éventuels bain de sang. » vous savez si le pouvoir de l’armée n’a pa été jusque la valorisée au gabon comme il se doit c’est parceque ceux qui ont dirigé ce pays jusqu’ici estimaient que l’armée etait innoffensive. c’est a dire que toutes les magouilles pouvaient se faire au vu et au su de tout le monde sans que l’armée ne dise mot. Mais le constat aujourdhui est different..Les exemples dans d’autres pays africains nous montre que l’armée peut faire basculer les choses d’un coté comme d’un autre..Tenant compte de cette réalité, ceux qui dirigent le gabon savent alors qu’ils n’ont pas droit à l’erreur! nous ne sommes pas aussi doux qu’on le croit! je ne crois meme pas qu’on soit un peuple doux! c’est vrai les gabonais sont tres passifs et cette capacité a ignoré, à pardonner, à rennoncer facilement est à l’origine du mal etre que le gabon connait aujourdhui.. Mais attention! situons les choses dans leur conetexe.. nous avons eu a faire jusque la a un pouvoir tres stratege! tres futé, maquiavelique! ce qui n’a fait qu’en dormir les gabonais dans leur élan. bef! si les gabonais avaient des raison de bruler le gabon hier,aujourdhui il est plus que jamais résonnable de le faire si certain veulent confisquer le pouvoir pour leur interets personnels et non ceux des gabonais..je crois que l’éveil a commencé..alors vous les hommes de pouvoir,faites attention a ce que vous faites..nous sommes sur la route..

  10. je debarque sur ce cite pour la premiere foi.Doté d’un bon sens ,la chose dont nous sommes tous sensé partagé,j’estime que BONGO a mis à terre le GABON.Je me permets de sortir deux info parmi tant d’autres: on meurt encore de morsure de serpent à libreville la capital.Le gabon dispose de 10000klm de route et seul 900 klm sont goudroné.des info pareil sont plus qu’insuportable et ceux qui se permettent encore de defendr le régime bongo on liquidé leur bon sens,je veux meme pas perdre mon temps pour eux.Qu’il fasse tranquilement leur politique du ventre.Je voudrais surtout me depenser pour les personne qui refléchissent encore.à elles j’aimerais poser une question.Ne pensez vous pas que vous acharné sur bongo et sa ptite bande uniquement est une erreur? Bongo est un instrument d’un systeme dont la france est l’initiatrice.Bongo lui meme ne le sait pas.Je vais m’expliquer:le gabon souffre de sé richesse.Depuis Degaulle les chose sont tel que la france pille le gabon ,et pour ce faire ,elle place les homme capable de defendre cé intérét au détriment de la population qui ne voi que du feu,cé le role que jou bongo ,en l’échange il a le pouvoir à vi.demandé vou ce que fou l’armé française au gabon.Elle protége les intéret de la france .Dans cet ambiance il ne pourra jamais rien arrivé aux bongo.Cé la franceafrik.Les chose peuvent se déroulé comme au togo,la france voudra forcement placé un homme dont il soi sur kil defendra ses intéréts.Il ne se passera pas autrement .Pour moi le fond du mal gabonais cé pas Bongo ,je ne saurais l’excuser ,pour moi c’est un pion,on appele sa la politique du troisieme homme.Utiliser un gabonais pour tuer les gabonais.Le probleme cé la france.Le débat sur les origine des BONGO est vain,ils ont tous la nationalité,si la france est convaincu qu’ali ben est l’homme par qui passe ses interets ,on l’imposera aux gabonais.

  11. Entre la gestion du gabon durant plus d’un siècle par les colons et les 41 ans de gestion OBO, je pense que OBO est un champion.
    Je ne pense pas n’ai pas avoir cette capacité de jugement. Je réclame ici le fer de Bélinga qui avait servi à la construction de la tour eifel.POINT
    Mon ennemi c’est le colon , ce n’est pas OBO , ce n’est pas la famille OBO.

  12. Madame Magnogni,

    Je commençais à penser que je n’aurai plus de vos nouvelles. D’habitude vous réagissez assez vite!

    En ce moment, je prépare un projet que je ferai parvenir au ministre de la Défense. Ce dernier portera sur la réforme du ministere de la Défense (organisation du cabinet, de l’administration centrale et des organes rattachés), sur les relations extéreures du ministre (relations parlementaires, relations avec les élus de la majorité, relations avec les enseignants et chercheurs, relations avec les médias, relations avec la jeunesse… ) et sur sa stratégie non pas de communication politique mais de marketing électoral.

    J’envisage faire des propositions à tous les ministres qui ont la responsabilité des départements dits stratégiques. Pour le moment, je commence à travailler sur le ministere de la Défense et ensuite je vais réflechir sur la question de savoir comment on peut moderniser notre ministere des Affaires étrangères. Sur ce dernier, j’ai constaté des manquements. On a par exemple, les services de la communication qui sont sous la responsabilité du porte parole qui a le titre de secrétaire général adjoint. Il est donc rattaché directement au secrétaire général du ministere. Or un porte parole doit etre rattaché au cabinet du ministre, car il parle au nom du ministre et que le poste de porte parole est politique et non administratif. Les pratiques française et américaines peuvent servir d’exemple. De même, on ne peut gérer la diplomatie d’un Etat sans service des affaires stratégiques. Il faudrait parvenir à démontrer à notre ministre des Affaires étrangères l’intéret de l’opérationnalité des services stratégiques. Pour le reste des ministeres stratégiques, j’ai tout l’été pour faire des propositions.

    Vous constaterez que je ne m’oppose pas avec véhémence comme au BDP, mais que je ne suis pas non plus un partisan aveugle du PDG. Je tiens à rester libre, indépendant et lucide. Pour reprendre le président Nicolas Sarkozy, « je veux etre un allié debout ».

    Voici mon courriel: emalb5@hotmail.fr

    Cordialement.

  13. cher ami le Sphinx,
    Ce que vous avez dit ou prédit,pourra peut-être mis en scénario.
    Mais sachons quand même qu’au sein des forces de défence nationale,beaucoup comme vous l’aviez si bien dit ne toléreront pas cet aspect de prise du pouvoir!
    Nous savons c’est vrai qu’en ce moment,en afrique c’est le modus vivendi.Le pays posséde des braves gens prêt à barrer la route à toute velléité offensive des usurpateurs…

  14. cher compatriote,j’aimerai attiré votre attention sur un fait:la tentative de faire du gabon le coup a la togolaise est en marche;la soit disante reaction de la bougeuse de fesse en chef(patience dabany) en est la parfaite illustration;jai aujourdhui 34 ans et depuis mon enfance la rumeurs a toujours couru sur la nationalité de ali bongo pourquoi ont-il attendu tout ce temps pour ne dementir que maintenant?En outre de source sur je vous informe que la recente installation de la video surveillance dans tout le gabon est a cette fin.Mieux la recente opération de controle et d’imobilisation de vehicules administratif a été faite dans le but d’installé des micro dans tout ces autos.Toutefois je vous exhorte a resté confiant car meme au sein de l’equipe au pouvoir beaucoup ne sont pas très a enterinner ce fait et sont pret a s’y opposer par tous les moyens.Face a l’avidité connu pour le pouvoir de notre biaffrai national,il faut etre très prudent et déterminé car il est pret a faire couler le sang pour arrivé a ses fins.Des mercenaires etranger (blancs et noir )seront appellé a contribution pour pallier a l’eventuel refus des militaires gabonais de prendre part a ce futur coup de force;RETENEZ CE QUE JE VIENS DE VOUS DIRE VOUS VERREZ QUE L’AVENIR ME DONNERA RAISON.

  15. Bonjour stratégie,
    J’ai passé un week end superbe avec le livre de françois copé. En fait j’admire ce personnage, j’ai toujours pensé qu’il serait présidentiable, je te ferai un compte rendu de mon analyse, une fois j’aurais avancé dans la lecture, merci. Si tu peux me communiquer ton email, ce serait bien je pourrai t’envoyer directement des articles, et comme cela, tu pourras avoir le mien et m’envoyer des documents, ça m’intéresse.

    Je suis surprise que nous n’ayons plus de nouvelles de Mombo Ngoma sur le site. Refléxion faite, je me demande si ce n’est pas un imposteur, qui au lieu d’être un serviteur de Monsieur Ali Ben, comme l’on peut le penser, en lisant son intervention, serait plutôt une personne qui est contre lui, qui vient raconter des trucs afin de semer le trouble dans les esprits et pousser le peuple à se déchaîner contre ce dernier.

    Ce n’est pas du tout malin! Il n ya pas qu’Ali ben qui convoite le pouvoir au gabon, Certaines personnes qu’ils citent et qui sont d’ailleurs proches d’ali ben, comme Mba Obame, ne crache pas dessus, non plus, enfin bref. J’aurais bien aimé qu’il revienne discuter sur le site, afin de nous en dire davantage.

    Pour continuer notre débat, Il serait bien, je pense que les maires ne se limitent qu’à deux candidatures, d’autant plus qu’ils y restent 7 ans à chaque fois, cela fait 14 ans, s’ils sont réelus. Alors ils pourront laisser la place aux autres, par ce que je pense que c’est à l’échelon municipal que l’on apprend à s’occuper des autres. Et je crois beaucoup à l’aspect formation, je pense qu’elle peut servir de lévier et permettre une vraie connaissance du métier et apporter une vraie prise de conscience des responsabilités municipaux.
    Il faudra donc légiférer à cet effet, si nous n’avons pas des textes, nous aurons afffaires indéfiniment aux mêmes citoyens, d’autant plus que personne ne veut lâcher le pouvoir une fois élus.
    Ils pourront par conséquent se représenter à nouveau 2 ans plutard. pour les parlementaires, tes propositions semblent meilleures, j’en conviens.

    Il est aussi vrai que le nouveau président ne devra pas hésiter à sanctionner, aux risques même de devenir impopulaire. Je ne pense pas que le président Bongo ait été un mauvais président dans le fond. Je trouve qu’il n’a pas été une personnalité suffisamment directive et il a géré le pays comme un chef de village. Il n’a jamais voulu réellement sactionner. La preuve est que beaucoup de nos compatriotes se la tapent, ils sont devenus corronmpus, corrupteurs et malhonnêtes tout en restant aux commandes du pays. Cela a contribué à faire des gabonais, des vrais voyous et voir des hors-la loi. Ils font ce qu’ils veulent en sachant pertinamment qu’il ne va rien leur arriver de grave et même de définitif, puisque, même lorsqu’il tente une sanction, elle n’est jamais lourde et définitif, en ce qu’il va les ramener aux affaires, quelque temps après, c’est ainsi qu’on a vu le mêmes gens partir et revenir. Ils y sont maintenant habitués.

    le problème de la succession devient difficile, d’autant plus que beaucoup ont peur de perdre et leurs priviléges et leurs habitudes. Nous avons besoin d’un président qui ne va hésiter,face à la sanction, en cas de manquement, afin de nous redonner des bonnes habitudes et de nous redonner espoir, car on dit souvent: « qui aime bien châtie bien ».

    En tout cas pour que le gabonais change, il faudra un poutine, tu as raison. C’est bien bon de juger celui qui gouverne, mais il est clair que nous avons abusé de la situation et que tout le monde devra faire des efforts. Lorsque j’aurais ton email et que j’aurai le temps, je t’enverrai un document sur le co-développement que j’avais élaboré pour soutenir un projet que je comptais initier, dans un cadre purement associatif, bien sûr!

    Tu parlais des partis politiques, je t’ai expliqué un peu les difficultés que les nouveaux rencontrent dans le partis politiques, l’on a l’impression que les partis politiques appartiennent à certains, qui ont de gros priviléges et sont influents. D’ailleurs, pour y entrer et être reconnu, il faut un parrain, sinon tu peux y aller pour de la figuration pendant longtemps!
    Ce que je ne possède pas, c’est une constitution gabonaise, mais il me semble qu’elle doit ressembler à la française.
    Je ne suis plus capable de te parler dans les détails de l’actualité gabonaise, je ne suis pas allée ces derniers temps.
    j’ai lu avec attention tes recommandations et je vais essayer de me procurer certains ouvrages et suivre les autres émissions, quand le temps me le permet, étant donné que je m’inplique beaucoup dans l’art et suis retenue pour certains cours les autres jours, mais je trouverai le temps ou les ferai enregistrer afin de pouvoir les regarder tranquillement, une fois rentrée à la maison, il fait beau! profites-en merci, aurevoir

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