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Le Gabon dirigé par des Congolais ? Maman Dabany et bébé Ali avouent : « Nous les Bongo Ondimba, nous ne sommes pas Biafrais, nous sommes Congolais »

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Ces Kongolais qui dirigent... et pillent... le Gabon?

Drôle de cinéma que celui qui se passe actuellement au Gabon. Les « Bongo Ondimba » seraient-ils tombés sur la tête? A moins que ce soit le ciel qui leur soit tombé sur la cabosse ? Fiston Bongo « l’Ali pas Mohamed » et l’ancienne « Mama Bongo » jadis répudiée avec des valises d’argent aux USA semblent s’être tellement acharnés à se sortir d’un trou déjà profond qu’ils se sont, sans s’en rendre compte, enfoncés dans un autre trou, celui-ci encore plus profond que le premier. En voulant tellement prouver aux Gabonais qu’Ali le fiston Bongo n’est pas, comme la rumeur le maintient depuis qu’Ali existe, un Biafrais adopté par les Bongo, « Mama Dabany » et « Bébé Ali pas Baby Doc » ont avoué devant Gabonais ébahis qu’ils sont, en fait, Congolais. Que l’on cesse d’appeler Ali « Biafrais » a martelé avec fureur « Mama ». Il est Congolais !!! a-t-elle finalement avoué.

On se serait cru dans un de ces films américains où l’avocat malin, à force de cuisiner le témoin, le pousse tellement à bout que le témoin, hors de lui, finit par avouer larmes aux yeux: « Oui, c’est moi qui l’ai tuée, ma femme !! » A la chaîne 1 de la radio-télévison gabonaise (RTG1), Mama Dabany, cuisinée par la rumeur devenue insoutenable, a finalement lâché le morceau : « Nous y en a pas Biafrais ! Nous y en a Congolais !! Cessez de nous appeler Biafrais ! Nous y en a descendants dé la famille royale dé Mani Kongo !! Nous pas Gabonais, mais Gabon ya bon car nous pleins dé CFAs cadeau oh !»

Tout a commencé samedi 25 avril dernier lorsque Monsieur le Ministre de la Défense Nationale Ali Ben Bongo (ABB comme Albert Bernard Bongo ou Alain Bernard Bongo-Mon Dieu comme cette famille change de noms !!) décide, une bonne fois pour toutes, de mettre fin aux rumeurs qui accablent sa vie et le rendent misérable depuis que sa misérable enfance gabonaise fut gâchée par la « biafrité » que les mauvaises langues ont cultivée tout autour de lui. Furieux, le petit Alain Bernard devenu Ali Ben déclare samedi : « Certaines prétendent que je serais nigérian? (…) Tout ce que je sais, c’est que je suis né à Brazzaville en 1959. Ceux qui disent ce genre de choses ne connaissent pas l’histoire. La guerre du Biafra a commencé en 1967 et moi je suis né en 1959. Quand je suis né, le Nigeria n’était même pas indépendant avant de l’être l’année suivante. Donc, quand la guerre du Biafra commence, j’avais déjà 8 ans ».

Jusque-là, pas grand-chose à redire, notre « péti » ABB « Ben béni » par les dieux connaît bien l’histoire, et il le prouve aux yeux de tout le monde ébahi par tant de connaissance. Donc, Ali dit vrai : comment peut-on être Nigérian quand le Nigeria n’existe même pas encore et qu’on est né hors ?

Sauf que, pauvre Ali (quel chagrin !!), nous voilà au courant d’un fait qui n’est pas non plus très reluisant pour notre bonhomme. Apparemment, notre « Minisse » de la Défense n’y comprend rien. On ne sait pas vraiment, en fait, s’il a compris pourquoi la rumeur biafraise a fait tant de bruit au Gabon. On a l’impression que ce qui fait le plus mal à Ali, c’est le mot «Biafrais », qui semble lui sonner dans la tête comme une insulte. Dans sa tête, il semble plus acceptable d’être considéré « Congolais » que « Biafrais ». Cependant, ce que notre bonhomme « Ben béni » ne comprend pas, c’est que ce n’est pas, en fait, le fait d’être « Biafrais » ou « Congolais » qui soit le problème des Gabonais. Ce qui fait tiquer les Gabonais, c’est le simple fait d’avoir un « étranger » imposteur à sa tête (l’Omar) et un autre « étranger » imposteur (le Ben) pour contrôler l’armée d’un pays où il n’est pas né, pays dont il n’a pas non plus la nationalité puisque né, de son propre aveu, Congolo-Français, mais pas Gabonais du tout…

Ce que les Gabonais ne veulent pas, c’est de ces mensonges qui durent depuis 49 ans !

Comme si un seul aveu ne suffisait pas, voilà que Maman Dabany vient, ce mardi soir, en rajouter pour clarifier, clouant finalement au pilori toute la famille Bongo qui, de par sa bouche, avoue finalement aux Gabonais son imposture de 49 ans. Ecoutons « Mama Patience » (encore un faux nom !!) : « Mon fils, moi et mon mari qui était sous le drapeau [congolo-français ?] depuis trois ans, libéré [de quel asile ?] et ayant refusé de demeurer à Brazzaville [il a refusé son pays ?], la capitale congolaise, suite à la guerre civile, arrivons à Libreville le 29 octobre 1960 (…). Je suis Batéké [du Congo ?], Bongo est Batéké [de Brazza ?], nous ne sommes pas Nigérians [vraiment ?]».

Ok, on a compris. La seule chose que les Bongo ne sont pas, c’est Gabonais. Ils ont tout été et ils ont tout fait dans leur vie, y compris changer mille fois de nom et de pays, mais ce qu’ils ne reconnaissent pas, c’est leur « gabonité ». Voilà qui est clair (Ah les pauvres bongoïstes qui défendent Bongo becs et ongles en croyant qu’il est Gabonais ! Ils vont se manger les ongles et se couper le bec comme des oisillons avec cette douche froide !).

Alors, donc, revenons à nos moutons : force est de constater que dans leur défense, ni Ali ni Mama Dabany n’ont à aucun moment revendiqué leur citoyenneté gabonaise. Ils ont tout affirmé, sauf leur « gabonité ». C’est bien étrange, non ?

Ce n’est quand-même pas gentil de leur part. On nous enlève un « Biafrais » pour nous donner quoi à la place ? Un « Congolais » ? Mince, c’est pas juste ! Nous voilà mieux servis. Les Nigérians eux au moins, ils savent bricoler quelques vieilles télévisions et réparer les frigos. A quoi va nous servir Ali, maintenant que nous savons que s’il devenait président, il ne pourra rien bricoler comme un vrai Nigérian sait si bien le faire ? On pourrait au moins faire du bon business « clando » et acheter des iPhones trafiqués et bon marché venant des filières « clando » du Biafra. Non, c’est pas juste du tout, zut ! Que va bien pouvoir nous apporter un Congolais vu que les Congolais sont aussi paresseux que les Gabonais, et qu’ils ne connaissent que la sape et les fesses des femmes et le « soukouss » ? Mais bon, laissons ça de côté sinon Aurlus Mabélé que nous aimons bien va se fâcher.

Les Bongo devenus « Ondimbas » sont donc tout-Français, Batéké (du Congo), Congolais-mais jamais « Gabonais » ni « Batékés du Gabon ». Ils s’en défendent devant tout le monde. C’est ce qui sort de leur propre bouche, pas de la bouche trop bavarde du Kongossa. Qu’est-ce que les gens vont encore dire ?

Mais une question demeure : quelle est la belle jambe que cela fait aux Gabonais qu’Ali soit « Biafrais » ou « Congolais » ? Les Gabonais ont-ils une préférence pour l’un ou pour l’autre ? Rien n’est moins sûr.

Depuis toujours, il a toujours couru deux rumeurs indicibles au Gabon. La première rumeur a toujours été que Bongo n’était pas Gabonais, mais Congolais. Cette rumeur, Bongo l’a toujours démentie avec la plus grosse énergie, au point de mettre en prison les quelques Gabonais qui avaient osé le dire. La deuxième a toujours été qu’Ali Bongo n’était pas Gabonais, mais Biafrais. Celle-là aussi pouvait jeter quelqu’un au caveau.

Or, voilà que, pour démentir la rumeur de la « biafrité » du fils, la Mama Dabany monte au créneau et lâche la plus grosse des bombes : elle confirme sans rougir (bon, ok, elle est noire, d’accord) la rumeur de la « congolité » de toute la famille Bongo, famille qui apparaît tout d’un coup comme une famille habituée à l’imposture non seulement des pouvoirs et des noms (trop de noms changés dans cette famille), mais aussi des nationalités (qui sont-ils vraiment, nos chimpanzés ?).

Parlons un peu de leurs impostures, juste pour avoir les idées un peu plus claires :

Imposture No. 1 : Contrairement à ce que Bongo a souvent raconté, « Mama Dabany pas Patience » vient enfin d’avouer que les Bongo ne sont venus au Gabon que le 29 octobre 1960, soit trois mois et demie APRES l’indépendance du Gabon (Ils ne se sont même pas battus pour l’indépendance du Gabon (Mais comment donc, les voyous !)  On se posera donc toujours la question de savoir comment quelqu’un qui est né hors du Gabon (au Congo) en 1959 et qui arrive au Gabon APRES l’indépendance du Gabon peut être autre chose qu’un « étranger » ? Ali et sa famille ne semblent pas capables de comprendre que ce qui dérange les Gabonais n’est pas le fait que notre Ali défenseur national soit Nigérian, Biafrais, Turc ou Eskimo. Ce qui dérange les Gabonais, ce sont les mensonges, les impostures et les entourloupes qui ont toujours entouré les origines de la famille Bongo. Or, de l’aveu de la mère et du fils eux-mêmes, nous venons d’avoir la confirmation que Monsieur Ali Bongo Ondimba est tout sauf Gabonais. Il ne pourra plus nier ses propres paroles ni celles de sa « Mama ». Ah, « lé pauvre péti ».

Mais voilà où Ali a fait la plus grosse erreur de sa « biafrité », pardon, de sa « congolité » : Il n’y a pas de différence aux yeux des Gabonais qu’il soit « Biafrais » ou « Congolais ». Ce qui est important c’est que les Gabonais aient eu la confirmation, et sachent désormais sans l’ombre d’un doute, qu’Ali Bongo est un étranger et que la famille Bongo a toujours été une famille étrangère qui a toujours fait usage de faux et d’imposture pour s’immiscer dans la vie politique gabonaise et prendre le Gabon en otage. C’est donc là terrible imposture et elle est inacceptable pour les Gabonais, surtout si « Bébé Ben » décide de s’imposer aux Gabonais après son père. Nul n’acceptera une telle imposture de plus au Gabon.

Imposture No. 2 : La deuxième imposture des Bongo devenus « Omars » est le fait de se retrouver à la tête du Gabon après avoir été finir le pauvre vieux Léon Mba en France avec l’aide des Français. C’est parce que les Français savaient Bongo étranger qu’ils l’ont installé au pouvoir au Gabon. Ils savaient qu’un étranger comme Bongo ne pourrait jamais aimer son pays comme un vrai Gabonais. La preuve en est aujourd’hui faite : pendant 42 ans, Bongo a pillé le Gabon comme les Français ont pillé le Gabon. Le Gabon n’étant pas son pays, il ne pouvait que le considérer comme un « pilloir » et le détrousser sans merci comme un pirate pillageur le ferait. Bongo pratique au Gabon une politique de la terre brûlée. Il décime et brûle tout sur son passage et ne laissera que cendres et pleurs pour les pauvres Gabonais.

Gabonais par imposture, donc Président et leaders du Gabon par imposture, sans oublier les élections truquées par l’imposture politique, voilà, mesdames et messieurs, la vérité sur les Bongos: Le Gabon est dirigé non pas par des « Biafrais », mais par des Congolais.

Quand la Mama Bongo répudiée par Papa Bongo depuis des années vient mentionner les Batékés à la télé, elle veut nous jouer le même vieux jeu ethnique par lequel son ancien mari a toujours voulu diviser les Gabonais. Ils veulent faire croire aux Batékés du Gabon que les autres Gabonais leur en veulent. La vérité, aujourd’hui, est pourtant limpide. Ce sont les Bongo qui, étant nés Batékés congolais, se sont installés parmi les Batékés du Gabon par imposture. Dès lors, quand les Gabonais disaient à Bongo qu’il n’était pas Gabonais, mais Congolais, Bongo utilisait cela comme une arme ethnique pour faire croire aux Batékés du Gabon que les autres Gabonais les accusaient d’être Congolais. Or, cette stratégie de Bongo était indécente car le Gabon a d’autres ethnies comme les Fangs qui ont des attaches ethniques en Guinée Equatoriale et au Cameroun. Ce n’est pas pour autant qu’on va dire des Fangs du Gabon qu’ils sont Camerounais ou Equato-guinéens. On ne peut pas donc dire que les Batékés du Gabon soient Congolais car les frontières coloniales ont décidé que certains Batékés seraient du Gabon et d’autres du Congo, tout comme certains Fangs sont du Cameroun et d’autres du Gabon. Mais comme les Bongo sont machiavéliques, ils ont fait l’amalgame et ont confondu leur imposture avec le peuple Téké du Gabon et inventé des divisions ethniques là où il ne devrait pas y en avoir. Les Tékés du Gabon sont Gabonais et les Tékés du Congo sont Congolais. C’est aussi simple que cela.

Les Gabonais refusent donc de retomber dans ce piège ethnique que les Bongo aiment à nous tendre.  La « congolité » des Bongo n’engage point et n’a jamais engagé les Batékés du Gabon. Elle concerne les Bongo et uniquement les Bongo. C’est aussi simple que cela.

Mais attention! Nous au Gabon, nous n’avons rien contre nos frères congolais qui souffrent actuellement sous l’imposture politique des Sassou au Congo comme les Gabonais souffrent sous la double imposture des Bongo au Gabon. Mais reconnaissons quand-même que cela nous en bouche un coin que ce soit maintenant un enfant congolais, arrivé au Gabon APRES l’indépendance du Gabon, qui soit maintenant pressenti pour remplacer son propre papa congolais sur le trône du Gabon !!

Nous ne le disons pas par hasard. Si l’on donne le bénéfice du doute à Ali et accepte son explication, force est de constater que cela ne change pas du tout son problème car tout ce que sa maman et lui-même ont réussi à faire, c’est échanger une nationalité étrangère pour une autre. Ce qui revient exactement au même : Ali est étranger, par conséquent, il ne peut briguer la présidence du Gabon. Regardez vous-même :

Le Congo Brazza est devenu indépendant le 15 août 1960, soit deux jours AVANT le Gabon. Donc, en arrivant au Gabon le 29 octobre 1960, soit trois mois et demi après l’indépendance du Congo, Ali Bongo était bel et bien un Congolais avéré car né au Congo AVANT l’INDEPENDANCE du Congo, donc automatiquement Congolais quand le Congo devient indépendant le 15 août 1960. Autrement dit, quand Ali Bongo arrive au Gabon avec sa mère et son père Albert Bernard Bongo trois mois plus tard APRES l’indépendance du Gabon, ils sont tous Congolais depuis trois mois et demi.

Or, il n’existe nulle part au Gabon un seul papier montrant quand Ali Bongo et Omar Bongo se sont naturalisés Gabonais. Ali Bongo n’étant pas né au Gabon, il ne peut, au vu de la Constitution actuelle, devenir Président du Gabon. Son père lui-même aussi, n’étant pas né au Gabon et n’étant arrivé au Gabon qu’après l’indépendance du Gabon, ne peut pas non plus prétendre au trône du Gabon. Aucun des deux ne disposant d’aucun papier de naturalisation, et aucun des deux n’étant Gabonais de première ni de deuxième génération, leur présidence est illégale. Seuls les enfants et petits enfants de Bongo nés au Gabon peuvent prétendre au trône gabonais, pas Ali Bongo, et encore moins Omar Bongo.

Et comme Bongo lui-même a toujours été « rumoré » comme Congolais, on ne peut que saluer l’honnêteté de Mama Dabany qui, en voulant défendre le fils, a finalement avoué la vérité aux Gabonais. Pire, en disant : « Mon fils, moi et mon mari qui était sous le drapeau depuis trois ans, libéré et ayant refusé de demeurer à Brazzaville, la capitale congolaise, suite à la guerre civile, arrivons à Libreville le 29 octobre 1960 (…).je suis Batéké, Bongo est Batéké, nous ne sommes pas Nigérians », Mama Dabany avoue très clairement un autre fait important : Les Bongo n’ont quitté le Congo que parce qu’ils voulaient fuir la guerre civile congolaise. Autrement dit, si le Congo n’avait pas connu la guerre civile, les Bongo seraient restés au Congo Brazza comme Congolais et personne n’aurait jamais entendu parler d’eux au Gabon. Et puis, ne disait-on pas à l’époque que Patience était stérile et qu’elle ne pouvait pas faire d’enfants? Un autre miracle?

Merci donc les Français pour avoir tué notre président bien gabonais Léon Mba pour nous imposer des imposteurs qui n’ont même pas voulu reconnaître le nom de leur papa et grand papa « Ondimba » pendant toute leur vie, et qui ont tous tellement changé de nom qu’on a fini par s’y perdre. Albert Bernard Bongo est devenu Omar Bongo, puis Omar Bongo Ondimba (Une bien tardive reconnaissance du nom de son père !). Alain Bernard Bongo est devenu Ali Ben Bongo puis Ali Ben Bongo Ondimba (trois fois changé de nom !). Mama Dabany est d’abord née Joséphine Nkama Dabany, puis est devenue Joséphine Bongo, avant d’être répudiée par le Bongo et de se fabriquer la nouvelle identité « Patience Dabany ». Elle encore, on peut la comprendre : étant femme, elle était obligée de prendre le nom de son imposteur de mari, et étant chanteuse, il fallait bien faire « cool ». Mais Ali et papa Bongo, pourquoi ces changements de noms comme on change de chaussettes ?

La vérité est donc enfin là : elle est douce comme bonnet blanc et blanc bonnet. Nous avons, au Gabon, des imposteurs qui se font passer pour des Gabonais depuis le 29 octobre 1960 (49 ans d’impostures !!).

Alors, Bongo et Edith-Lucie, c’était finalement quoi ? Une simple affaire de retour aux sources de papa Bongo ?

Mais pour les Gabonais, une seule question demeure. Ali… Biafro ou Kongolo?

Source: BDP-Gabon Nouveau

Exprimez-vous!

  1. A jeannot, koumbangoye et autres de ce forum.

    J’étais personnellement à ce congrès de Bordeaux.

    Je vais vous révéler un petit truc (que nous avions déjà expérimenté en live) :

    Pour savoir quand c’est Mengara qui réagit (à une attaque) sur le forum avec un pseudo, il suffit de faire attention au vocabulaire tu trouveras tojours des mots comme :

    « Fesses, Pédés, lèche cul, …etc. Robert est un exemple de pseudo utilisé par Mengara ». Tout un vocabulaire en rapport avec le postérieur. Pourquoi cette aversion ou étrange tendance ? Lui seul peut vous repondre. Mais lisez bien par exemple les propos de « Robert » et vous comprendrez.

    La preuve à ce que je dis et dans ses pamphlets à l’endroit de Jocktane, Ekogha et autres…etc. Lisez bien les textes y relatifs.

    Bref que les étudiants gabonais et autres passants du forum fassent très attention à l’imposture, car Mengara est éloigné de celui qu’il prétend être. Fréquentez le et vous comprendrez.

    Le changement trop régulier de pseudos chez Daniel (Mengara) est une chose que la psychologie (que j’enseigne ici en Gironde )qualifie avec des termes précis : troubles de la personnalité.

    C’est l’une des conclusions que nous avions tirée au lendemain du congrès de Bordeaux lorsque nous avions constaté que Mengara faisait tout le contraire de ce qui avait été collégialement décidé (parler tout seul au nom du BDP ; dire le contraire des décisions du congrès,…etc.)

  2. Pour rafat et son ami S.E
    Arretez de venir distraire les gens de grace! ceci est un forum ou échangent de nombeux gabonais a travers le monde.de new york a montréal, de paris a dakar et j’en passe..alors si vous venez ici pour raconter que le Dr mengara parle tout seul allez vous faire traiter chez un psychiatre…je suis au sénegal et j’ai des freres a travers le monde avec qui on discute par le canal de ce site alors ne racontez pas n’importe quoi! si vous avez l’habitude de prendre plusieurs pseudos pour vous faire passer pour des personnes qui défendent bongo et sa clik ne géneraliser pas vos defauts!
    On sait qui vous etes! une bande d’idiots envoyés par le pdg distraire les gens! mais vous ne réussirez pas! ce site va toujors vivre et continuera a mettre a nu les réalités du gabon! honte a vous et a vos pédés de parents assoifés de promotion et de pouvoirs! on vous connait!
    j’attend vos reactions!
    bogoistes!

  3. Jeannot,
    je n’ai rien! ce que je sais c’est que je suis Requin sur le net. je ne suis ni Mengara, ni toi. Au moins nous sommes trois et je crois pas que Mengara puisse jouer à ce jeu. C’est une stratégie des rénos pour nous détourner de la problématique que pose Ali Ben le futur puchiste

  4. vraiment du grand n’importe quoi: Mengara est tout seul,il est webmaster,il discute tout seul sur son site avec plusieurs pseudos, il est BDP en France,Canada, Gabon, USA,Maroc…il est aussi père de famille, il travaille également,il écrit également des romans etc
    ce Mengara est vraiment un surhomme. la bétisse quand tu nous tiens

  5. Il faut tout de même rester vigilant, car il
    y a quelques temps un journal dénommé l’espoir avait
    pulibuqement écrit :

    « le BDP Démocrate ou même le BDP Gabon nouveau se retrouvent tous deux inféodés par des manoeuvres subreptices orchestrées par un ministre proche de Bongo qui souhaite manipuler le Président de la république par le chantage. Comment un ministre de la république peut dire à des compatriotes de ne jamais soutenir le Chef de l’Etat ?  »

    Moi qui fais un peu parti de l’entourage universitaire de Mengara, je dois avouer ici qu’il ya des choses pas très clair chez l’homme. Mais bon, on peut en parler hors forum Jeannot car y a trop d’oreilles ici. As tu toujours mon phone ? appelle moi pour qu’on discute (j’ai plus ton mail).

  6. « …Actuellement ce qui reste de ce que vous appelez BDP ; c’est un site internet animé par Daniel Mengara tout seul, qui utilise plusieurs pseudo ou sobriquets… »

    Tchoouo ! Requin c’est grave ça ce qui est écrit la !
    Un ami de Montclair me l’avait déjà dit mais je n’y
    croyais pas trop. As tu des éléments sur ce dossier là.

  7. Madame Magnogni,
    Je m’excuse auprès de Soldat (sans jalousie) d’avoir usurpé ces compliments!!!
    Le changement de mentalité ne pas être un vain mot, mais un comportement, une culture, un état d’esprit dont les normes doivent être déterminées par ceux qui nous gouvernent.
    Si la corruption, l’impunité, le mensonge, la falsification et même l’incompétence deviennent ces normes, alors ……
    Le PDG peut nous refuser le droit du vote libre, mais pas celui de profiter de la liberté du net

  8. Bonjour Requin,
    En fait j’ai bien adressé cette réponse à Soldat suite à son message. Soit. Pour ma part, je suis presque sûre qu’ali ben ne sera pas le prochain président du gabon. Même s’il arrive par la force, à prendre le pouvoir, cela ne devra durer qu’un moment.

    Nous parlons d’ali ben aujourd’hui, parce que celui-ci s’agite. Mais nous savons tous, qu’il y a dans l’entourage même proche de bongo et notamment parmi les renos, d’autres personnes qui rêvent du pouvoir.
    Et je suis persuadée que bongo très malin, va jouer une autre carte que celle d’Ali. Bongo s’est entouré de tous ceux-là, c-à-d intellectuels et parents, certainement dans le but de se faire aider dans la gestion du pays. Il comptait sûrement sur eux aussi afin de limiter la bêtise, mais ils n’ont su que profiter du pouvoir, en s’enrichissant au détriment des populations. ils auraient pu l’empêcher d’aller dans les mauvaises directions, c’était peut-être le but du jeu, n’étant pas suffisamment expérimenté et même instruit? ils se sont contentés de s’enrichir. Aujourd’hui, l’image de bongo est bien sale aux yeux de tous, même auprès de ceux-là qui lui ont donné le pouvoir et en ont profité avec lui. Quelque part, s’il lui reste encore un peu d’amour propre, il doit certainement les en vouloir. Il y a eu beaucoup d’abus! Je suis persuadée qu’il ne reste pas insensible à tout ce qui lui arrive. Il est poursuivi en justice, alors qu’il y en a qui se sont enrichis plus que lui et grâce à lui, qui sont tranquilles.
    Il peut prendre une décision extrême, allant même contre ces propres intérêts. Mais comme vous l’aviez si bien dit, a l’exemple de Senghor et Mandéla, il serait temps qu’il abandonne le pouvoir, ne serait ce que pour garder le petit temps qui lui reste pour lui. Et qu’il le remette à ceux qui le lui ont donné, dans son cas, ce serait la France!!!
    Non, qu’il laisse le peuple s’en débrouiller, il trouvera solution en son temps. Au gabon, il ya encore des gens capables de relever le pays. Il y a peut-être parmi tous ces gens-là, qui ont partagé le pouvoir avec lui, une ou deux bonnes volontés, capables de s’associer à d’autres, afin de reléver le pays. Des gens comme Ping ont fait parti de ce gouvernement et ils n’ont pas fait trop parler d’eux comme la bande à Mba Obame.
    Bong n’est pas indispensable, s’il venait à mourir, l’on se passera bien de lui, et il mourra bien un jour. Pourquoi diantre faut il qu’il nomme un succésseur ou qu’i donne son avis? J’espère que nous sommes un état souverain et que les textes constitutionnels sont adaptés?
    En tout cas, L’après bongo va être un exercice très difficile,en ce qu’il va falloir mettre tout le monde au pas, les gabonais ont pris de très mauvaises habitudes. Il va falloir redonner à la notion de punition tout son sens. A quoi sert d’avoir des règles, si nous n’avons pas la capacité d’en sanctionner les violations, tout simplement parce que nous avons à la tête des dirigeants qui en sont eux-mêmes les premiers à ne pas les respecter?

    A quoi servent les institutions s’ils ne sont plus capables de répondre aux problèmes de notre temps? Et si le député qui y siège ne pense qu’à son million et à tous ces priviléges? Si celui-ci ne va à l’assemblée que pour son argent! il faudra que ceux-là mêmes qu viennent dans nos assemblées, grâce à nous sachent qu’ils ont le devoir non seulement de nous représenter, mais aussi de protéger nos intérêtes, ils ne doivent pas hésiter de sanctionner, leur rôle est très important. Il n ya pas que les gouvernants qui doivent changer mais nous aussi et pour que le gabon change, il a besoin de toutes ses intelligences, à tous les niveaux de son action. Alors, mon cher Requin, la tâche est rude, merci.

  9. …Le BDP tel que nous l’avons connu est un parti virtuel, Mengara a pu allègrement abuser de la bonne foi des gens dont MENAGARA a utilisé l’intelligence, la notoriété et les noms, afin de faire croire en l’existence d’un réel parti politique d’opposition en exil.

    L’ensemble des participants à ce congrès de Bordeaux aura constaté qu’en dehors de la belle littérature qui nous était livrée sur le site du BDP, il n’y avait rien de pratique voire de concret derrière le discours de Mengrara, si ce n’était que l’invective, le mensonge, la violence politique, la haine ethnique, des insultes répétées envers la personne du Président de la République. Nous avons à cet effet, fait constater à Mengara des risques qu’il faisait courir à nos compatriotes tant au Gabon qu’à l’étranger de par ses déclarations fracassantes voire menaçantes à l’endroit du pouvoir en place au Gabon. Nous avons tous cru que nous travaillions autour et avec un homme responsable qui coordonnait toutes nos idées et prises de position, c’est lors du congrès de Bordeaux que la supercherie à été mise à nu : le sort de Mengara à été scellé à ce moment.

    Je voudrais préciser que Mengara n’a jamais associé aucun membre du BDP quant à la conception, et la rédaction de tracts, de communiqués de presse, de mesures décrétales …. Voire à tout ce qui a été mis sur le site internet du BDP. Mengara s’est toujours caché derrière un comité directeur  » fantôme  » qui lui donnerait des instructions par rapport au fonctionnement du BDP.

    A ce congrès, il a été demandé à Mengara de donner la composition du comité directeur dont nous ne connaissions aucun membre. Silence confus de Mengara, qui ne pouvait apporter aucune réponse.

    C’est à Bordeaux que nous avons tous découvert des prospectus de couleur rose que Mengara avait rédigé et envoyé au Gabon depuis plusieurs mois pour distribution, sans nous en avoir parlé ou associé. Dans ces prospectus Mengara parlait de l’organisation par le BDP de nouvelles élections générales au Gabon, d’une nouvelle conférence nationale, et d’un ultimatum au régime Bongo.

    A la question de savoir où sont ou d’où viendront les moyens avec lesquels Mengara entendait organiser tout cela, nous avons encore eu droit à un silence confus de ce dernier, qui nous renvoyait vers le comité directeur que nous ne connaissions pas ; il n’existait pas..

    Nous lui avons exigé pendant ce congrès de ne plus  » recevoir  » des instructions du comité directeur  » fantôme « , de ne plus rien écrire sans notre consentement, de ne plus utiliser l’injure, la désinformation et d’adopter un langage responsable, car cela nous engageait tous.

    A la surprise de tous, alors que Mengara semblait s’être soumis à la décision du congrès, il s’est permis dès le lendemain à faire des déclarations sur le site internet du BDP dont il avait lui seul les codes d’accès, qui allait de l’exclusion de Mr Okili-Boyer à des mesures décrétales signées du pseudo comité directeur  » fantôme ».

    Cette attitude a purement et simplement outré l’ensemble des participants au congrès. Ce qui a conduit à la prise d’un certain nombre de décisions : se désolidariser avec les prises de position de Mengara voire même avec sa propre personne. Il fallait donc à partir de ce moment là prendre d’autres dispositions. Ce que j’ai fait avec l’aide d’un certain nombre de mes camarades.

    Actuellement ce qui reste de ce que vous appelez BDP ; c’est un site internet animé par Daniel Mengara tout seul, qui utilise plusieurs pseudo ou sobriquets

    Extrait Interview de S.E.

  10. « ENTRE INCONSISTANCE, INCONSTANCE ET INCOHERENCE »

    …Ces dernières années ont été riches en enseignements et il apparaît très clairement que la renommée du BDP ne s’est faite que par l’intermédiaire de crises successives au sein de ce mouvement.

    Il y a un autre fait assez curieux. Les faits d’armes du BDP (Graffiti à LBV, Saccage de l’Ambassade à Washington) ont toujours été l’œuvre d’individus aujourd’hui « bannis » (mais parents de ministres et barons de la République). Comme si le BDP voulait se « débarrasser » de ses membres les « plus virulents ».

    En revanche toutes les manifestations auxquelles Mengara n’ait jamais participé en personne ont toujours été des flops retentissants (Sit in à Washington, Congrès de Bordeaux, Tournée du Patriote).

    Le plus intriguant réside aussi dans la manière populiste avec laquelle ces échecs se sont transformés dans les écrits de Mengara en victoires fantastiques et la récente tournée du patriote en est le parfait exemple.

    Tous les observateurs (et j’ai mené ma petite enquête) font pourtant état de salles vides (au plus 5 personnes quand il y avait du monde). Mais Mengara n’a pas hésité à parler de salles tellement pleines qu’il y a avait même du monde dans les couloirs. Il en est de même de cette vrai fausse histoire de passeport.

    Comme on peut le voir le leader du BDP n’hésite pas à user de l’exagération voire du mensonge pour attirer les projecteurs, en vain…

    Il apparaît que la faiblesse du BDP a entre autre pour origine le populisme, le manque de stratégie politique ainsi qu’à l’amateurisme avec lequel Mengara dirige son mouvement.

    Tant il est évident que les décisions ainsi que les communications intempestives de son coordinateur ne sont souvent pas mûrement réfléchies. Ainsi, ces tergiversations, l’absence de vision politique et les tendances totalitaires dont ceux sont plaints certains de ses anciens amis traduisent les ambitions d’un individu profondément frustré par le peu d’émoi que ses gesticulations entraînent auprès des gabonais.

    En conclusion, comme le régime qu’il dit combattre, il semble que le BDP se soit avec le temps sclérosé et ce mouvement gagnerait probablement en changeant son équipe dirigeante afin que les discours irréfléchis et profondément incohérents fassent place à une stratégie de prise du pouvoir au Gabon.

    Plutôt que de promettre des révolutions puis exiger des légalisations, Mengara devrait plutôt penser à sa démission, seule alternative salutaire pour son mouvement aujourd’hui (s’il existe vraiment).

    Loic Etoughe

  11. Madame Magnogni,

    Requin, pas Soldat!!! Je suis bien civil, Sauf si c’est au figuré que vous employez ce mot. J’ai bien perçu votre sensibilité de femme.

    Que Dieu vous entende!!! Houphouët Bouabny, de son vivant avait écarté toute sa progéniture reconnu des affaires de la politique car estimait que le pouvoir qu’il avait reçu du peuple devait lui revenir à sa mort. Il l’avait déclaré de façon solennelle et publique en précisant que si l’un de ses enfants rentrait en politique, c’était par conviction. De son vivant, aucun n’a été Ministre de la défense ou quelque chose de ce genre. C’est pourquoi, il reste un grand homme pour la plupart des ivoiriens!! Senghor avait la même vision et il est mort, plusieurs années après avoir quitté le pouvoir dans la fierté et la dignité.

    Mais les Eyadéma, les Bongo, les Wade et compagnie qui veulent agir en monarque ne comprennent pas les signes des temps. Les poursuites judiciaires dont ils font l’objet pour des biens mal acquis ne les alertent même pas!!!!

    Voila la problématique de la succession d’Omar par Ali. La recherche de ses origines n’est qu’un prétexte. Wade essai de comprendre et c’est pourquoi il lance son rejetons dans ce qui semble être une mission impossible. Contrairement à Ali qui veut user de la démagogie pour parvenir au pouvoir !!!

  12. Le Gabon est un pays en ruine, il compte le plus grand nombre d’injustice dans le monde, il fait partie des 3 pays les plus touchés par le SIDA dans le monde francophone. C’est l’un des rare pays dans lequel la colonisation et la traite négriaire continue dans les sociétés ou cohabitent les cadres Gabonais (tjs subalterne quelque soient leurs diplomes) et Français (Chef à tout les coups, arrogant).

  13. Dr manioc!
    Enfin tu avoue que le Dr Daniel Mengara est intélligent! tu as soudainement retrouver ton sens du jugement..étonnant!
    Saches pour ta gouverne que je n’interviens pas pour parler de nationalité! tu ne vera ça mentionner nul part dans ma précedente réaction..donc arrete de distraire! je vais plus t’attaquer,tu n’en vaut pas la peine.Merci de de debarasser les lieux
    merci!
    Tu termine toujours tes messages en disant longue vie au président
    je termine le mien en disant:
    longue vie au gabon!

  14. Salut soldat,
    Merci pour vos précisions, cela me rassure. j’ose tout simplement espérer que les responsables de nos armées pensent comme vous et moi. Et qu’en dehors d’eux, tous les soldats du plus grand au plus petit, sont prêt à se battre, cette fois pour la bonne cause.
    Si on peut compter sur vous, il faudra aussi compter sur le peuple, car en tout état de cause, il a sa place et a également un rôle à jouer, à côté de ses soldats. Le mieux, serait d’éviter les bains de sang, mais c’est à ceux qui ont le pouvoir aujourd’hui de décider car d’après ce qu’on entend, ils sont capables d’utiliser la force. Ils ont encore le choix et je souhaite qu’ils réflechissent encore. Bongo est encore au pouvoir,même si c’est plus pour longtemps, mais il peut surprendre, il est malin et a plusieurs tours dans son sac, je ne suis d’ailleurs pas d’emblée que son choix se porte sur ali.
    même si c’est son fils, il a peut être prévu autre chose et le moment venu, nous serons tous surpris et Ali n’aura que ces yeux pour pleurer. C’est peut-être la raison pour laquelle ce dernier veut prendre les devants et jouer un coup de force.

    je vous signale à toutes fins utiles que je ne suis pas Mr Magnogni, mais Madame Magnogni, je suis de sexe féminin. Encore, merci.

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