SI J’ETAIS BONGO, J’AURAIS LE COURAGE DE DIRE :
Que gouverner, c’est souffrir,
Que je n’ai que trop souffert,
Que le temps est venu de partir ;
Le ciel nous est tous ouvert.
Que mes gombos ont séché ;
Que mon Dieu j’ai péché,
Le pardon est impossible,
Nul n’est infaillible.
Que je suis plein d’aubergines,
Que mes abcès, mes angines,
Ma peau lisse et glabre,
Sont un signe de décembre.
Je partirai en Novembre,
Pour ne pas voir décembre.
Je comprendrai que julien
Battit l’essor des grégoriens.
Si j’étais BONGO,
Je comprendrai que mon temps est passé,
Que des vies j’en ai trop traumatisées,
Je penserais à ce pays si convoité.
Je penserais à ma nation si déboitée,
Si j’étais Bongo :
Je dirais que mon futur est derrière,
Je me suis plongé dans la rivière,
En voulant nettoyer d’un doigt cette face,
Perdue, que j’ai joué à pile ou face.
Si j’étais BONGO :
J’épargnerai de plein cœur la Nation,
De tous les miens et des autres brigands,
Aux mains sanglants, au regard de passion ;
Je saluerai ma paix en face des truands.
Si j’étais BONGO :
Je serais formidable,
Sans être lamentable,
Je ferais seul mon chemin,
Prendrais un autre destin,
Je fermerais mes oreilles,
A toutes les essaims d’abeilles
Si j’étais BONGO, j’aurais le courage de dire :
Qu’il me reste une conscience,
Que j’ai sevré la science
D’un Pays si façonnable ;
Je serais raisonnable.
N. NGUEMA
Conseiller du Président du BDP-Gabon Nouveau,
Chargé des relations avec les jeunes et les étudiants
Mon chèr Robert. Laisse la poésie aux poètes;A chacun son metier.
Les insultes sans raisons sur ce cite sont une marque de faiblesse.La douceur des propos et le respect des autres determine notre personnalité, notre éducation et notre statut social. Vous traitez de moutons des gens que vous ne connaissez pas; c’est vraiment triste. chacun ici est libre de parler de BONGO avec argne parcque nous savons tous que BONGO a détruit notre très chèr beau pays. Moi je n’insulte personne ;Je souhaite simplement le départ de BONGO et je me contente de dire des vérités sans insulter qui que ce soit. C’est comme ça que j’ai été élevé, de surccroit je suis un homme de foi.Je crois que toi Robert, même si tu en as l’air, tu n’es pas un mouton. Tu es un être humain et je te respecte. Que Dieu te bénisse.
Belle poesie! domage que ce bongo ne comprenne pas ça!
et comme des moutons,Virgile Nguema et son cabri Jean-félix N.
trouvent de quoi distraire!
Tu n’es pas Bongo
ce qu’il est facile de critiquer quand on n’est pas dans les affaires.mais la maladie chez nos dirigeants africains et qu’ils se soucient trop peu de la population, ce qui est dommage.mon voeu est de voir les jeunes à la tête de nos pays tout en esperant qu’ils apparterons du nouveau souffle.
Si tu étais BONGO tu aurais fait la même chose, c’est pourquoi tu n’es pas BONGO. Le pouvoir est une drogue qui donne le sentiment d’impunité et même d’immortalité,surtout chez nous en afrique.