Le président français Nicolas Sarkozy a été hué par plusieurs dizaines de Gabonais à son arrivée au palais présidentiel de Libreville pour assister aux obsèques du chef de l’Etat gabonais Omar Bongo Ondimba, selon un journaliste de l’AFP.
Une partie de la foule de quelques centaines de personnes autorisées à entrer dans la cour du palais a d’abord timidement applaudi le chef de l’Etat français. Mais les huées ont rapidement pris le dessus, et une cinquantaine de personnes ont même pris verbalement à partie Nicolas Sarkozy, lui lançant à distance: «On ne veut plus de vous, partez!»
Les responsables de la sécurité ont immédiatement formé un cordon autour du président français, qui est ensuite arrivé sans encombre dans le salon d’attente pour les personnalités invitées aux obsèques. «On n’en veut plus de vous, la France est ingrate. Bois, pétrole, manganèse, on vous a tout donné. La France, si elle est ce qu’elle est, c’est grâce au Gabon, on ne veut plus de tout ça», expliquait, sous couvert de l’anonymat, un de ceux qui s’en sont pris à Nicolas Sarkozy.
Symbole de la Françafrique
Quelques minutes plus tard, l’ambassadeur de France à Libreville Jean-Didier Roisin est venu livrer son interprétation de ces huées: «Ce n’est pas la personne du président qu’on huait (…) c’est l’image qu’on a donnée de ce pays (le Gabon), la nouvelle du décès annoncée de façon prématurée, cela a été très mal ressenti». Le décès d’Omar Bongo Ondimba a été annoncé par des médias français le 7 juin, mais le Gabon affirme qu’il est survenu le lendemain.
Nicolas Sarkozy, dont l’avion s’est posé vers 06h20 locale, fait partie de la quinzaine de chefs d’Etat – la plupart d’Afrique francophone – qui ont fait le déplacement jusqu’à la capitale gabonaise pour les obsèques de Bongo qui a passé 41 ans à la tête du Gabon et dont la succession s’annonce difficile. Après un culte oecuménique, les oraisons funèbres gabonaises sont très attendues dans un contexte politique tendu. A la suite d’un défilé militaire, le cercueil s’envolera vers Franceville, capitale du Haut-Ogooué, où il sera inhumé jeudi dans l’intimité.
Bongo était la Francafrique… les gabonaises pleurent la mort de Bongo… les gabonaises, pleurent-ils la mort de la Francafrique ?
L’observateur impartiel…
La liberte d’expression c’est aussi ce permetre de siffler sarko le manque d’intelligence c’est de la faire dans la maison d’un defunt et le respect? enfin ce qui ce crois les plus forts le fasse voir . En france dans un petit village ils ont vire un itallien juste parceque il l’etais le lendemain plus de pain he oui c’estais le boulanger
faut’il vous rapeller ceux qui on virer les fermiers blancs acceullis par le pays voisin qui avait fain resultat : le materiel agricole casse pille les champs à l’abandon et puis la fain il as bien fallus qu’ils achete les denrees à ceux meme qu’ils avaient chasse
on as tous besoin les uns des autres et des fois ce n’est pas forcement un amis les uns vendent les autres achettent!!!
courage ca iras!!!!
Huer sur un hôte venir nous assister lors de nos pleurs est UNE GRANDE HONTE POUR LE GABON,UN MANQUE DE CIVISME me faisant douter d’une capacité des gabonais de piloter eux même leur destin national pour une société plus viable et enviable-comme on a tendance à le clamer-
L’ATTRACTIVITE ECONOMIQUE D’un pays est de plus en plus le fait du sérieux moral de ses filles et fils et non de ses ressources naturelles.
CA ME LAISSE TRISTE,l’avenir du Gabon!
Le système éducatif gabonais,au sens large, a du FIL de FER A RETORDRE!!
Je ne suis pas un abonné aux pratiques politiques, encore moins lorsque celles-ci concernent la France et ses relations avec l’Afrique. Voilà cette France qui trouve nécessaire de marquer sa présence aux obsèques du regretté Omar Bongo Odimba, par ses deux Présidents — l’actuel et son prédécesseur. Le premier a été hué alors que le second était encensé, même si tous les deux sont du même courant politique. L’occasion était-elle indiquée pour exprimer son dégoût pour la politique qu’on dit française et au détriment du Gabon ? Quel était l’objectif visé ?
Il est tout à fait naturel que certaines personnes se sentent affaiblies par la disparition d’un être qui leur est cher, surtout lorsque ce dernier aurait été sacrifié sur l’autel des intérêts obscurs sinon opaques. Il est aussi normal que d’autres personnes se voient subitement gagnées par l’espoir, l’espérance d’un avenir radicalement opposé à leur passé et prometteur pour leur descendance ou la postérité. Mais il y a une réalité : la mort d’un symbole n’est pas celle du système qu’il incarne ! Il n’y a qu’à voir les pays où une dictature a été destituée, c’est une autre qui s’y est installée tant bien que mal , et parfois avec un férocité légendaire!
La faute à qui ? – Au système, et pas au symbole !
De mon point de vue, la fin de l’exploitation de l’Afrique (ou de tout autre peuple) en s’appuyant sur une minorité en son sein ne pendra fin que le jour où les africains comprendront que c’est dans l’unité totale, la leur, qu’ils obligeront les vendeurs d’illusions à battre en retraite.
En effet ceux qui ont hué sur SARKO sont ceux qui soutiennent la Françafrique et qui croient que SARKO fait parti de ceux qui ont poussé Bongo à la mort avec l’affaire des BMA. Mais ils oublient que c’est que SARKO qui a demandé au Parquet de Paris de classer cette affaire des BMA à de nombreuses reprises,et que c’est SARKO qui a reçu Ali BEN dernièrement à Paris pour parler de sucession. En france les juges d’instructions sont vraiment indépendants et très peu corruptibles; la juge désignée par la justice Française a décidé de poursuivre cette affaire des BMA au grand dam du parquet, là SARKO n’ y peut rien. Sans oublier que quelque part il souhaite mettre fin à ces mauvaises pratiques néo-colonialistes dans l’intérêt du peuple Gabonais. En cette période de crise aucun centime n’est à négliger; des vies humaines en dépendent. Des milliards de centimes d’euros détournés par le clan Bongo gisent dans les banques Françaises, alors que les gabonais souffrent. ça c’est inadmissible. Tout Gabonais qui ne comprend pas aujourd’hui que la justice de Dieu s’est mise en route pour son bien est à plaindre.
Je comprends l’attitude de mes compatriotes qui s’appitoient sur la mort de Bongo. Je suis moi aussi touché par cette disparition, mais pas au point d’oublier que nous sommes tous appelés à mourir; et qu’en ce moment même beaucoup de nos compatriotes agonisent dans les rares hopitaux qui existent encore fautes de soins. Je soutiens la famille Bongo dans cette douloureuse épreuve,mais je reste lucide. Les morts sont morts; ils ne ressentent plus rien. Mais les vivants, eux agonisent en ce moment même dans les hôpitaux où il manque cruellemnt des médicaments.
Ne nous laisssons pas distraire par la mort de Bongo; trop de médiatisation et de sensibilité autour de cette disparition affaiblissent inévitablement l’opposition et augmentent les chances D’Ali de succéder à son père.
. Certains leaders politiques parlent de matutité politique dans notre pays. Mais moi je n’en vois pas les signes. Mon compatriote MOUBAMBA pour qui j’ai fait de nombreuses éloges est passé ce matin sur France 24, et a été très modéré face à la politique ménée par Bongo. J’ai été un peu déçu.
Nous sommes humains, nous avions tous du respect pour Bongo, un grand homme politique Gabonais qui n’a laissé personne indifférent de son vivant, autant par son inaction dans notre pays que par sa générosité envers tous ceux qu’il croisait sur son chemin. Mais aujourd’hui tournons la page et pensons à nos enfants qui manquent d’écoles , d’hopitaux,de toit et de nourriture.
Que Dieu bénisse tous les Gabonais.
il ya que des tarés pour huer sarko et applaudire chirac ce faux cul de merde qui s’est enrichi du petrole gabonais si on venait a demander a ceux qui ont hué sarko d’évoquer les raisons de leur conspuation ils ne diront rien car se sont des leche culs du defunt president qui vivaient pour et par lui, sarko a bien fait de remettre sur le tapis le dossier des « B.M.A » si cest ca qui lui vaut vos huement pitoyablement lamentable ,ne vous inquieté pas en lui huant vous avez fait que conforter son desire de rupture qu’il na de cesse d’evoquer. obo est mort achetez vous une vie maintenant bande de roquet.vivement que bockel revienne sur le dossier pour poursuivre tout les dirigeants gabonais voyous et imposteurs vive sarko et la fin de la « france -a-fric »merde a tous ceux qui lui ont hué