Des nombreux gabonais sont déçus de voir la même équipe gouvernementale reconduite, alors qu’ils espéraient sa non reconduction dont la démission a eu lieu vendredi, a constaté Gabon Actualités.
Madame le Président de la République ne devait pas se laisser influencer par les membres du gouvernement de la République au point de les reconduire aux affaires. Cette équipe gouvernementale dont la démission a eu lieu vendredi a été inefficace depuis sa nomination, à l’exception de l’actuel ministre des sports René Ndémézo’o Obiang pour le travail qu’il abat au sein du département dont il a la charge depuis son arrivée au point que la sélection nationale de football qui occupe la première place du groupe 1 des éliminatoire combinés Can/Coupe du monde 2010 devant le Togo, le Cameroun et le Maroc et pourrait se qualifier pour la première fois de son histoire à une phase finale de coupe du monde, estiment certains Librevillois.
Dans son discours historique prononcé le 2 décembre 2007 à l’occasion de la célébration des 40 ans de son accession à la magistrature suprême le président Omar Bongo Ondimba avait qualifié le gouvernement de cette l’époque « d’incapable et de roitelet » au point qu’il avait annoncé sa dissolution dans les jours à venir mais cela n’avait pas été fait. Quelques anciens barons avaient disparu et de nouvelles têtes faisaient leur apparition pour la première fois.
Dans les quartiers sous intégrés de la capitale les populations souhaitaient que le gouvernement intérimaire compte en son sein des représentants de la majorité présidentielle, ceux de l’opposition ainsi que ceux de la société civile afin de préparer des élections transparentes. L’effectif de ce nouveau Gouvernement devrait être réduit à 22 membres au plus contrairement à la précédente équipe dont le nombre s’élevait à 49 ministres.
Les gabonais réclament également du Président de la République intérimaire le retour au pays en toute liberté et avant le début du prochain scrutin présidentiel des compatriotes opposés au régime Bongo Ondimba et exilés à travers le monde ce qui donnerait plus de crédibilité à la démocratie gabonaise. Ils sollicitent en outre la garantie de leur sécurité une fois ces derniers revenus au pays.
L’ancien Président de La République, Omar Bongo Ondimba, est mort le 8 juin à Barcelone en Espagne où il était hospitalisé dans une clinique depuis le 6 mai pour des raisons de santé. À l’annonce de son décès le Gouvernement avait décrété un deuil de 30 jours.
Le président du sénat madame Rose Francine Rogombé est devenue Président de la République intérimaire comme le stipule l’article 13 de la constitution depuis le 10 juin date au cours de laquelle elle a été investi. Selon la Constitution gabonaise elle doit organiser des élections présidentielles 45 jours après que la Cour Constitutionnelle ait constaté la vacance du poste du Président de la République. La loi fondamentale gabonaise interdit au président de la République intérimaire de se porter candidat à cette élection.
source: Gabon D’abord actualités
Il nous faut quelque chose qui nous permette de cataliser les choses sur le terrain en ce moment on sait ce qu`on a faire mais nous voulons un appuis du Dr Mengara et les autres sur le terrain et celà tout de suite enfin de faire nuage à cette équipe de bandit qui commence à ce positionner,donc faites tout pour passer aussi à la vitesse superieure ici à libreville car les gabonais n`attendent que celà il faut plus qu`une conférence de presse pour ce faire entendre ici c`est pas tous les gabonais qui ont une télévision ou lisent le journal……ON VEUX DE L`ACTION SUR LE TERRAIN POUR PASSER A LA VITESSE SUPERIEURE.
le Gabon a été un îlot de fortune pendant 42ans pour Bongo et famille et les Mandiants français qui ce sont succédés à l’élysé.
trop c’est trop, cela suffit le génocide financier doit s’arreter l’hémoragie prend fin avec la mort de Bongo le Belzébuth alors peuple Gabonais reveiller vous et écrivez une nouvelle page de votre histoire qui vous redonnera toute votre splendeure et dignité. Bongo est mort alors sortés de vos têtes le spectre de bongoqui était source de malheur et d’appauvrissement de tout un peuple et vive la justice et l’égalité.