« Ali Bongo est un citoyen gabonais comme moi, comme des milliers d’autres. Le fait qu’il soit le fils du président, je ne pense pas que dans une république comme la nôtre, cela lui donne plus de droits, moins de droits. »
source: rfi
« Ali Bongo est un citoyen gabonais comme moi, comme des milliers d’autres. Le fait qu’il soit le fils du président, je ne pense pas que dans une république comme la nôtre, cela lui donne plus de droits, moins de droits. »
source: rfi
Pourquoi Ali est-il toujours au gouvernement?
Je m’interroge sur cet état fait à sa voir comment un candidat déclaré en l’occurrence Ali Bongo fait-il toujours parti du gouvernement? Eyeghe Ndong et Oye Mba ont démissionné de leurs fonctions gouvernementales et lui dispose toujours des moyens de l’état pour faire campagne!! Madame la présidente de la république prennez vos responsabilités. Soit Monsieur Bongo se conforme aux règles comme tous les candidats à la présidence soit les gabonais pourront légitimement s’interroger sur l’issu d’une consultation qui s’annonce jouée d’avance. Pour mettre fin à cette collusion entre biens personnels et ceux de l’état montrez aux Gabonais votre volonté de changement et votre courage politique
Monsieur le Président du BDP,
Avec l’élection d’Ali BONGO comme candidat représentant le parti au pouvoir, j’ai bien peur que le même régime ne s’installe.
Mais je suis aussi convaincu qu’Ali Bongo, lui -même, est l’homme porté au pouvoir par la France, le colonisateur. Vous me donnerez raison quand il sera élu président.
Rappelez-vous sa visite éclaire, en France, lorsque son père était hospitalisé en Espagne. Pour ceux et celles qui ont les yeux bien ouverts, ils savent que c’est bien lui le futur président (ou plutôt la future marionnette de la France). Croyez-moi sincèrement que vous serez bien déçu. Votre lutte est peine perdue.
Ali est soutenu à 100% par la France, et cette France ne le lâchera pas, parce qu’il fera ce que la Métropole lui demandera de faire, comme Bongo l’a « si bien fait « .
Si c’est pour vous une surprise, en tout cas pas pour moi: le Gabon, le Congo Brazzaville, et bien d’autres pays en Afrique demeurent toujours des « colonies de cette France.
Donc s’il y a des gens à qui il faut s’en prendre, c’est surtout à l’Etat Français. Ceux qui sont nommés ne sont que des marionnettes de la France, malheureusement.
En tout cas, je vous souhaite bonne chance pour les élections.
LIBERTE TOTALE
Selon Siracide 47 verset 23: Quand Salomon mourrut et rejoignit ses ancêtres dans la tombe. Il laissa après lui un de ses descandants riche de sottise et pauvre d’intélligence: Roboam, en effet, prit une décision qui poussa le peuple à se révolter.
Les choses sont claires même auprès du premier ministre Eyeghe, le PDG va vers une implosion s’il persiste à envestir Ali Ben. Pire s’il devient président par la fraude. le gabon va à la guerre civile.
Dr Tsira Nfoulou
Virolgue IRD France
A propos de Monsieur Oyé Mba, franchement avec un parcour aussi « réussi » la question que je me pose est la suivante; Qu’a t-il fait pour le Gabon?
Qu ‘il DEGAGE PERSONNES NE VOTERA POUR CE TYPE…MEME DANS SA VILLE DE NAISSANCE OU LES VILLAGEOIS L’ACCLAMENT IL N’A RIEN FAIT LA-BAS… PAUVRES CONS QU’ILS SONT…
Peuple Gabonais, enfin une aurore vient de se lever, c’est pourquoi vous devez vous lever pour barer la route à tous ceux qui ont mangé sur la même table que Bongo.Casimir ne peut apporter à ce pays, qu’a t-il fait au plan? rien du tout et trois 1er ministre pour distribuer dela fauce monnaie à la population de Ntoum; et quant à mr Ali Bongo,qu’il se presente dans un autre coin du monde car au gabon il n’a pas de source. Que la France évite de nous imposer un étranger à cause de ses biens. Même sans ce bongo,le Gabon vivra et les biens de la france seront préservés.
Lire plutot–> Membre du comité central du Parti démocratique gabonais (PDG) de 1973 à 1977, il est élu député du 1er siège du département du Komo-Mondah (Estuaire) le 21 octobre 1990.
MILANG MI SI.
La candidature de M. Oyé Mba à la candidature de la présidentielle saluée par les populations de Ntoum.
De nombreuses personnes ont salué à Ntoum (39 Km de Libreville), la candidature du membre du bureau politique du PDG, Casimir Oyé Mba à la candidature de la présidentielle à venir, lesquelles ont estimé que c’est l’homme qu’il faut pour succéder à Omar Bongo Ondimba.
»Je crois qu’il est capable de diriger le pays raison pour laquelle il doit être investi par le son parti, car il a un bon parcours politique », a souligné un notable qui a recquit l’anonymat.
M. Oyé Mba aura occupé les fonctions de gouverneur de la Banque des Etats de l’Afrique Centrale (BEAC) pendant plusieurs années, avant de regagner le pays en 1990, nommé premier ministre par le défunt président CHEF DE BANDITS Omar Bongo Ondimba. Avec son expérience, en sa qualité d’économiste, il avait la charge de redynamiser l’économie qui sombre dans la crise.
A Ntoum, la seule prière qui est adressée au Tout puissant en cette période de transition marqué par l’élection du nouveau président de la République est la victoire de Casimir Oyé Mba.
QUI EST REELLEMENT CASIMIR OYE MBA?
Né le 20 avril 1942 à Nzamaligué dans le département du Komo-Mondah (province de l’Estuaire), M. Oyé Mba effectue ses études primaires, de 1948 à 1954, à l’école Montfort de Libreville.
Il effectue, ensuite, ses études secondaires, de 1954 à 1961, au collège Bessieux de Libreville où il obtient son baccalauréat en 1961.
Le Gabon ne disposant pas encore d’une université, le jeune étudiant est orienté vers la France pour effectuer ses études supérieures, plus précisément à la faculté de droit des sciences économiques de Rennes où il obtient en 1965 une licence en droit.
Avide de connaissances, l’homme décide de poursuivre, de 1965 à 1967, ses études universitaires à la faculté de Droit et des sciences économiques de Paris où il décroche son diplôme supérieur de Droit public en 1966.
Le 17 février 1969, il soutient avec brio sa thèse de doctorat à la faculté de Droit et des sciences économiques de Paris-Panthéon.
CARRIERE• Il peut alors renforcer ses connaissances en entreprenant, en 1967 à Paris, des études professionnelles au Centre d’études financières, économiques et bancaires (CEFEB) de la Caisse centrale de coopération économiques (aujourd’hui Agence française de développement). Des études sanctionnées par l’obtention du diplôme de ce prestigieux établissement.
De retour au Gabon, Casimir Oyé Mba entame une carrière professionnelle comme stagiaire à la Banque centrale des Etats de l’Afrique équatoriale et du Cameroun (BCEAEC), aujourd’hui BEAC.
Il en profite pour effectuer des stages professionnels au siège de la Banque à Paris, puis au Cameroun et au Gabon.
En janvier 1970, ses compétences et son professionnalisme lui valent une première motion, celle de directeur adjoint de l’agence de la BCEAEC à Libreville. Et c’est le début d’une carrière professionnelle fulgurante : directeur de l’agence BCEAEC de Libreville en avril 1970, directeur national de la BCEAEC pour le Gabon en avril 1973, directeur général adjoint de la BEAC à Yaoundé en janvier 1977 et gouverneur de la BEAC en avril 1978.
M. Oyé Mba remplit avec efficacité et abnégation toutes ces lourdes et exaltantes fonctions.
Ce sont, d’ailleurs, ces compétences et ce professionnalisme qui lui valent d’être remarqué par le président de la République, chef de l’Etat, Omar Bongo Ondimba, qui l’appelle à ses côtés, le 27 avril 1990, pour occuper les fonctions de Premier ministre du gouvernement de transition à l’issue de la conférence nationale.
Membre du comité central du Parti démocratique gabonais (PDG) de 1973 à 1917, il est élu député du 1er siège du département du Komo-Mondah (Estuaire) le 21 octobre 1990.
Reconduit comme Premier ministre chef du gouvernement le 26 novembre 1990, Casimir Oyé Mba est nommé, en 1993, directeur de campagne du président Bongo Ondimba pour l’élection présidentielle de décembre 1993.
Triomphalement réélu à la magistrature suprême, M. Bongo Ondimba, qui est conscient que Casimir Oyé Mba a correctement rempli sa mission, le reconduit comme Premier ministre chef du gouvernement le 13 mars 1994.
A la suite des Accords de Paris conclus entre la classe politique gabonaise en octobre 1994, il devient, le 30 octobre 1994, ministre d’Etat en charge des Affaires étrangères et de la Coopération.
PROFESSIONNEL AVERE• En décembre 1996? il est réélu député du Komo-Mondah (1er siège Ntoum) et, le 25 janvier 1999, il est nommé ministre d’Etat en chape de la Planification, de la programmation du développement et de l’aménagement du territoire.
En décembre 2001, il est réélu député dans sa circonscription électorale de Ntoum puis, conseiller municipal de la commune de Ntoum, en décembre 2002.
Marié et père de six enfants, Casimir Oyé Mba est grand officier dans l’ordre de l’Etoile équatoriale, commandeur dans l’ordre du Mérite gabonais.
D’autres pays, notamment le Cameroun, la RCA, le Congo et la Guinée Equatoriale lui ont également décerné des distinctions honorifiques.
Commandeur de la Légion d’honneur et commandeur du Mérite français, commandeur dans l’ordre de la Cémac et grand officier dans l’ordre du Mérite communautaire, M. Oyé Mba maîtrise, outre le français, l’anglais et l’espagnol.
Membre du Groupe consultatif d’éminentes personnalités (EPAP) sur la transition de l’OUA à l’Union africaine, Casimir Oyé Mba a aussi été, de septembre 1969 à décembre 1976, gouverneur suppléant du FMI pour le Gabon, chargé de cours à la faculté de Droit et des sciences économiques de Libreville, de 1970 à 1972, et président de l’association des banques centrales africaines, de 1986 à 1988.
Comme on le voit, Casimir Oyé Mba EST LOIN D’ETRE COMPARE a un ALI BEN BIAFRA, qui n’a pour seul diplome « fils du defunt chef de bandit OMAR BONGO ».
MILANG MI SI.
http://www.bdpgabon.org/articles/2009/07/04/presidentielle-au-gabon-le-candidat-du-parti-au-pouvoir-connu-le-8-juillet/
A NDAO JP,
M. Ndiawar Soumare a entierement raison sur le gabon. Vous etes peut etre membre de la famille bongo ou affiliés. ou benefivaire du systéme.
Il a raison sur tous les points.
– OMAR bongo n’a pas crée de compagnie petrolière, il a tout donné à la France. C’est pareil pour le bois;
Pour l’uranium, l’exploitation française a épuisé les réserves du Gabon.
Omar bongo lui-m^me se définissait comme un espion de la France. C’est a paris que Omar bOngo a prete serment comme chef d’etat du gabon. BONGO TRAVAILLAIT POUR LA FRANCE. Il en était m^me fier.
M. Ndiawar Soumaré a raison, allez à l’hopital de libreville, vous serez etonné de la misere du peuple tandis que ses chefs vont tous se soigner en Europe(SUISS? FRANCE? ESPagne…)
En plus de 40 ans de pouvoir Omar Bongo a fait construire 900 km de routes. C’est execrable, et vous M. Ndao vous cherchez à défendre l’indéfendable. Le régne de Omar Bongo a été un veritable echec. La misére est palpable dans tout le pays sauf au palais presidentiel.
Vous parlez des vliniques privées et vous demendez aux gens qui ne mangent pas à leur faim d’aller se soigner dans ces cliniques.
Vous etes marrant JP NDAO.
Concernant notre constitution, vous dites que « BONGO ONDIMBA à léguer à la postérité une consitution et des institutions qui jouent pleinement leurs rôles respectifs en République gabonaise à ce jour ». Eh bien M.Ndao notre prochain président sera fils de Omar Bongo ou mari d’une de ses enfants. C’est cala la constitution qui joue son rôle.
Dans le fichier electoral il ya plus 2 millions d’electeurs pour une population d’a peine plus d’1 million d’habitant. C’est cela les « institutions qui jouent pleinement leurs rôles respectifs en République gabonaise ».
Dans vos critiques vous n’etes pas objectifs et votre parti pris est flagrant. M. Ndiawar Soumare a raison lorsqu’il dit que des africains jouent le rôle de laquais des puissances coloniales sur le continent comme Omar Bong, Comme Sassou Nguesso, comme Blais Compaore, Comme le fils Eyadema…. et peut etre bientot comme le fils Bongo.
La Gabon esl mal barré, nous devons combattre ce système et arreter de nous mettre la tete dans le sable M. Ndao. Et des africains diplomés comme M. Ndiawar Soumaré sont une fierté pour notre cher continent.
A bon entendeur …!
http://www.bdpgabon.org/articles/2009/07/04/presidentielle-au-gabon-le-candidat-du-parti-au-pouvoir-connu-le-8-juillet/
Ni ALi ni les alliés de BOngo ne sont crédibles. Ils ont tous crucifié la gabon et ses populations. Nous ne voulons plus du système Bongo.Casimir a été au plan et au mine. Alors regarder le plan au gabon.Pas d’infrastructure pour la population, pas de transport terrestre, pas de plan de dévéloppement concret pour la population. Mais pour eux même oui!! Lorsque j’entrais en classe de 6° j’avais un laboratoire mais aujourd’hui il n’y en a plus. Quel plan pourra t’il alors apporter pour le Gabon de demain? Quant à Ali? Il ne mérite même pas qu’on s’interesse à lui. Et ca doit être le cas pour cette élection. Disons leur NONNNNNNN!!!!!!
Aux armes citoyens
Former vos bataillons
Marchons, qu’un sang impure abreuve nos sillons !!!
Cher(e)s compatriotes et amis du Gabon
Notre pays est à un moment crucial qui marquera à jamais d’une manière ou d’une autre l’histoire Africaine et celle du monde. Cette histoire sera ce que nous voulons qu’elle soit. Elle pourra soit garder l’élan monocorde de la continuité et les dérives accablantes de ces années passées; ou s’inscrire avec sagesse et fierté au panthéon des précurseurs d’une nouvelle Afrique digne et respectée sur la scène internationale. Non pas seulement par une organisation exemplaire des élections et l’extraordinaire transition que nous avons le plaisir d’étaler actuellement; mais aussi par la qualité des candidats et le choix qui en découlera. C’est exactement sur ce dernier aspect qu’on nous attendra : sur le choix véritable qui incarnera un Gabon résolument tourné vers la bonne gouvernance et l’intégrité;
Un Gabon qui sache reconnaître les valeurs de son passé et qui soit en mesure de relever les défis avenirs ;
Un Gabon uni par sa diversité culturelle et fort de sa pluralité politique;
Un Gabon qui ne connaît des oppositions ethniques mais reconnaît plutôt les compétences, les valeurs intrinsèques.
Un Gabon qui ne connait la différence entre le Nord et le Sud ou l’Est et l’Ouest et qui porte haut notre vert jeune bleu national;
Un Gabon qui n’oppose donc pas ses enfants mais où chaque candidat propose ses choix, sa politique réelle de développement pour le pays;
Un Gabon qui ne parle pas en terme d’opposition contre majorité mais d’alternatives de développement différentes…………….Un Gabon uni dans la Concorde et la Fraternité.
Il est temps de rompre avec la facilité des mouvements de soutien sans véritables idéaux et dont le but mesquin n’est autre qu’une volonté manifestement théâtrale de continuer à nous aliéner en évitant le débat essentiel et qui traduit parfois l’état de mendicité auquel sont réduits certains de nos compatriotes tristement nostalgiques des pratiques déplorables . Ce temps est révolu !
Invitons la famille présidentielle du regretté Pdt Omar Bongo à un recueillement encore plus digne et à une méditation sur la création d’une Fondation Humanitaire Internationale afin de rendre hommage à ce père qui a marqué l’histoire de notre pays et du continent malgré tout; fondation à laquelle toute la famille pourra se consacrer et défendre les valeurs de paix et de réconciliation chères à notre défunt Président. Elle trouvera notre soutien le plus fraternel et le plus patriotique dans cette noble œuvre. Par ailleurs, leur retrait définitif ou momentané de la scène politique serait une action héroïque pour la famille et majestueuse pour la cause du pays et inexorablement prometteuse pour cette Fondation proposée ci-dessus.
Les relations paternalistes ou « maternalistes » à travers un cordon ombilical maintenu de façon nostalgique rendent souvent fébriles les décisions déterminantes. Cher(e)s compatriotes, Faisons de cette élection une véritable leçon de démocratie. C’est à ce prix que le monde prendra date d’une nouvelle Afrique et de sa détermination à faire valoir sa place dans ce village planétaire. Cette élection aussi capitale nous l’exige!
Soyons distingués et votons avec intelligence. Seule la Compétence et l’Intégrité doivent et devront primer; au nom du Gabon d’Abord.
Patriotiquement,
Monsieur Mong Y’adzé,
En toute objectivité, Monsieur Casimir Oyé Mba est selon vous le politique qui s’affirme enfin? Allez donc interroger les électeurs de Ntoum au sujet de la campagne présidentielle 1998 et 2005, et le rôle que ce digne fils de feu Omar Bongo Ondimba a joué, par exemple en rémunérant et les prestataires et les membres de son staff de campagne avec des faux CFA. Plus bongoïste que Monsieur Casimir Oyé Mba est difficile à trouver. Ne pensez pas que les héritiers du système Bongo n’appartiennent qu’à sa famille ou à son ethnie, ce serait très mal connaître le gabon et sa classe politique dans son ensemble y compris l’opposition. Encore une fois le peuple n’est pas dupe, derrière ce discours, il y a un homme qui ne cherche qu’à privilégier ses intèrêts et ceux de ses proches…
Enfin qlqs membres du régime qui essayent de s’affirmer personnellement. Ali Ben bongo ondimba est comme un chat dans l’eau; il n’est pas chez lui au Gabon et il le sait. Il va donc s’imposer de force, qu’on ne se leurre pas une seconde. Cet individu n’a aucune idée de la démocratie et toute intervention publique de lui a tjs été violente et agressive. Alors opposants ou pédégistes si vous etes gabonais, faites attention à cet homme qui a le soutien évident de l’élysée!
A bon entendeur…salut!
Malheureusement des pseudos jeunes « non » encartés PDG (mais qui ont reçu quelques billets de CFA) ont appelés Ali à se porter candidat à la présidentiel. Cette mascarade est une pratique très fréquente dans nos démocratures Africaine. Il y a 3 ans des pseudos députés avaient « supplié » Biya de modifier la constitution afin de lui permettre de se représenter en prétextant que c’était la volonté du peuple. Cela fait plus de 25 ans que Biya est au pouvoir, plus de 25 ans de pillage, de corruption, de misère pour le peuple Camerounais, d’assassinat politique, de malversations en tout genre, d’incurie, de cupidité du clan au pouvoir, de sous-développement, et vous pensez qu’un peuple qui a subit un tel calvaire réclamerait la reconduction au pouvoir d’un dictateur aussi cupide. Ali tient l’armée, et l’armée gabonaise est sous haute surveillance de l’armée Française, ainsi ils vont organisée une parodie d’élection et Ali sera élu à 63,88% par la France. Il y a encore du pétrole du bois de l’uranium à voler au Gabon, donc ni Total, ni Bolloré, ni Bouygues etc… ne souhaite voir un nationaliste au pouvoir au Gabon, l’intérêt de la France et des Française prime sur les nègres que l’on considère encore à Paris comme des « êtres » inférieurs. Ensuite pour expliquer la pauvreté au Gabon et ailleurs en Afrique noirs, des pseudos intellectuels prétendent que s’est à cause de la traite et la colonisation, comme si l’Afrique noire était la seule région au monde avoir été colonisé. Tous nos rois Makoko qui se sont approprié du pouvoir en Afrique depuis 50 ans ne sont pas responsable.
Je vous encourage à prendre les rennes en mains et rétablir la véritée! j’ai passé 3 mois dans votre beau pays malheureusement défiguré par la maladresse la cupiditée de certains . Que la monarchie soit expulsée par les ayants droits « le peuple » au nom de celui ci je vous renouvelle mes souhaits de volontarisme de courage de dicernement et de justice