LIBREVILLE – Des jeunes Gabonais ont appelé dimanche Ali Ben Bongo Ondimba, actuellement ministre de la Défense, à se porter candidat à l’élection présidentielle qui doit être organisée à la suite du décès du chef de l’Etat et son père, Omar Bongo Ondimba.
« Après une large concertation, nous, jeunesse gabonaise, appelons M. Ali Bongo Ondimba à se présenter à la prochaine présidentielle », ont-ils exhorté dans une déclaration lue par un porte-parole à la télévision publique RTG1.
Aucune indication n’avait pu être immédiatement obtenue sur la représentativité des auteurs de cet appel, qui n’ont pas été identifiés comme membres du Parti démocratique gabonais (PDG, pouvoir), créé par Omar Bongo et dont Ali Bongo, 50 ans, est un des vice-présidents.
Présenté comme un des principaux prétendants au pouvoir, Ali Bongo ne s’est pas publiquement exprimé sur le sujet. Le 12 juin, il avait estimé qu’il était « trop tôt » et « indécent » de parler de succession alors qu’Omar Bongo n’était pas encore inhumé.
Dressant le profil du prochain président, les jeunes ont indiqué avoir besoin d' »un homme qui pourra (les) amener plus loin que son prédécesseur » et « améliorer le quotidien de chaque Gabonais », de « quelqu’un qui encourage selon l’effort, le mérite, et non selon l’ethnie ou l’affinité ».
Ils ont collecté 2 millions de FCFA (plus de 3.000 euros) « pour contribuer au paiement de la caution de candidature d’Ali Bongo Ondimba au cas où il accèderait à leur voeu », a précisé la RTG1.
Selon le Code électoral, le montant de la caution électorale est fixé par décret pris en Conseil des ministres.
Après le décès du président Bongo annoncé le 8 juin, les fonctions de chef de l’Etat ont été confiées pour une période intérimaire à Rose Francine Rogombé, qui a prêté serment le 10 juin.
Mme Rogombé est chargée notamment d’organiser une présidentielle dans un délai de 45 jours au plus après sa prise de fonction, sauf « cas de force majeure », d’après la Constitution.
Lors d’une concertation en vue du scrutin, la classe politique a jugé nécessaire de prolonger la période de transition, évoquant notamment une révision préalable des listes électorales, mais les avis divergent sur la durée.
La majorité a demandé que le délai soit porté à 60 jours. L’opposition a estimé qu’il fallait « cinq à six mois » pour organiser la présidentielle.
Le Premier ministre gabonais Jean Eyeghé Ndong avait, lui, reconnu que le scrutin ne pourrait avoir lieu fin juillet selon les délais constitutionnels prévus, sans exclure de s’y porter candidat le moment venu, dans un entretien le 22 juin à la chaîne de télévision France 24.
Trois personnalités (un responsable du PDG, un leader d’ONG et un pasteur) ont déjà annoncé clairement leur candidature.
Mboumba Kombila excuse moi mais je trouve ta pensée et ton language vraiment ordurier quand tu dis que Ali Ben BONGO est populaire au Gabon… j’ai l’impression que tu fais parti de ces personnes que le système BONGO envoie à la télé pour distraire les gens en faisant croire que la jeunesse est dérrière votre biafrai d’Ali. J’espère que vous pesez vos actes et que vous savez qu’un jour nous trainerons vos corps dans les rues de Libreville comme des chiens en rage.
Et sachez que même la fraude de permettra pas à ce biafrai à la chevelure cuite de diriger le Gabon… si vous pensez que nous vous laisserons faire c’est que vous vous mettez le doigt dans le cul.
Nous voulons des Gabonais digne, des Gabonais qui ont compris que pendant 42 notre pays a vécu sous l’intrigue BONGO, des détournements tolérés, des crimes rituels, des entraves à la liberté d’expression… (la liste est trop longue), et qu’aujourd’hui la LIBERATION d’une GABON passe par l’élimination et l’extermination de BONGO et de son Système.
Dieu a ballayé BONGO, donc il revient à nous Gabonais de ballayé son système.
En bon entendeur…
Ali Ben bongo ondimba est très populaire et crédible (du fait de ses performances en tant que Ministre de la Défense où de plus et contrairement à d’autres il n’a de plus pas prêter le flan à l’ethnicisme…etc.),à ce qu’il semble : il ne serait pas étonnant qu’il remporte l’élection présidentielle, le plus démocratiquement possible.
Koumba kombila
Laissez alain tenter sa chance,lui même verra de quoi les gabonais sont capables.On verra si lui,contrairement à son père est capable d’accepter le verdict des urnes.Si son defunt père s’en est souvent sorti aucours des élections organisées depuis le retour du pluralisme,c’est à cause des « traitres comme mboumbou miyakou,mbourantsouo et tous ceux qui ont vendu leur honneur à satan.Bongo savait que malgré la corruption,malgré toute la fraude qu’il orchestrait ,il était vomi par le peuple et ne pouvait jamais gagner une élection libre et transparante.Même dans son village,il ne faisait jamais l’unanimité.Il a compris qu’il fallait decourager les gabonais au vote en incitant et encourageant l’abstention .Son bétail électoral lui faisait faux bond à la derniere minute.Devant cette situation,notre ex Obo,se voyait obligé de manipuler,truquer et changer les vrais procès verbaux par ceux que son systeme avait déjà délicatement preparés.
Que les gens sachent qu il n ya pas que l’opposition ou les gabonais pauvres qui ne veulent plus du régime.Au sein même du Pdg,beaucoup de hiérarques se sentent libérés depuis le decès du gourou.Alain est conscient que c’est dure!!!Il a raté son coup .Son seul salut était le coup de force le jour de l’annonce de l’hospitalisation de son père.Mais hélas ,les choses se sont tres vites compliquées.Car l’heure du nouveau Gabon était arrivée…
Chers gabonais,laisser alain se masturber pleinement,laisser le rêver.Il faudra au contraire l’ignorer.C’est en parlant de lui qu’il pense qu il est important donc capable de se presenter.Le probleme est qu’il est conscient que le déces de son père entraine aussi sa mort politique.Et derriere lui tout un systeme.Ils cherchent un moyen pour distraire les gabonais car aujourd’hui il a du mal à admettre que ceux qui lui ont fait croire qu il était le successeur et lui faisait des courbettes lui tournent le dos(c’est mal connaitre le gabonais).Les gabonais ne sont pas dupes.En tout cas,j’ai confiance aux hiérarques du future ex-pdg.Ils ne laisseront plus le gabon sombrer davantage.
C’est le moment pour nous de nous reveiller,de faire preuve de patriotisme,de finir avec la gabegie,le tribalisme,l’ethnisme la calomnie et la jalousie.Plus jamais des discours du genre « je prefère l’injustice au désordre » dans notre beau pays…Que ceux qui sont capables se prononcent,présentent au peuple gabonais leur projets pour un nouveau Gabon et le peuple decidera.
Arretons les debats steriles et pensons Gabon d’abord .
Pensez vous que c’est normal qu’apres 42ans de regime et de petrole,le pays ait jusqu’à ce jour des difficultés à concevoir des routes ,des hopitaux,des écoles dignes? Et regardez seulement la petite Guinée Equatoriale(voir documentaire africa 24) en moins de 5ans de petrole ce qu’elle a déjà et est entrain de realiser…Mon Dieu le Gabon va co-organiser la CAN dans moins de 2ans…QUelle honte!!!
Regardez l’image d’un cocotier qui se meurt, tout commence par la tête:la tête du systeme est morte,le reste va suivre.Suivez mon regard…Ce n’est plu qu’une affaire de temps.
Maman Rose Francine,la jeunesse gabonaise compte sur vous…Vous avez devant vous l’occasion de rentrer dans l’histoire.Ce que vous allez faire en 5 ou 6mois restera gravé à jamais.tandisque dans deux ans,on oubliera 42ans de dictature.
Demandez à un jeune Congolais de 06ans qui est Mobutu,il ne sera pas capable de vous repondre.La même question a un jeune gabonais qui est léon mba,il repondra intuitivement:le père de la nation.
Patriotiquement