Depuis deux ou trois jours, les langues commencent se délier au sein du sérail politico-familial gabonais. Surtout qu’il a été admis par toutes les parties concernées par la succession d’Omar Bongo Ondimba que Rose Francine Rogombé, présidente du Sénat devait assurer la transition, comme prévue par la constitution.
Les intrigues et les marchandages politiques battent le plein et c’est ainsi que certaines personnes, n’ayant plus rien à perdre, ont décidé de parler et de livrer des informations jusqu’ici connues par un cercle très restreint .
On apprend ainsi que c’est depuis le 7 mai que Omar Bongo serait décédé. La nouvelle a été tenue secrète
par la France et la famille de Bongo. Toutes les personnes qui ont assisté aux funérailles d’Edith Bongo (fille de Sassou Nguesso) on remarqué l’état fantomatique dans lequel se trouvait le président gabonais. Et ce n’est pas seulement le décès de sa bien-aimée qui l’affectait ainsi, cette extrême souffrance provenait aussi du cancer qui le menait vers la mort. Plusieurs personnes disent l’avoir vu par moments, grimacer sur sa chaise et donner l’ impression qu’il perdait connaissance. Et selon des sources d’informations venues de l’intérieur du cercle familial et politique, c’est le 7 mai dernier dans les airs, entre le Maroc et l’Espagne, que le Président Omar Bongo a rendu l’âme dans l’avion médicalisé dépêch é par la France et qui le conduisait en Espagne. Alors que son décès est constaté par les médecins qui étaient dans l’avion avec lui, l’Elysée et sa cellule Afrique, en
accord avec Pascaline Bongo, Directrice du Cabinet et fille de Bongo maintiennent la destination « Barcelone » et imposent le silence total.
Pourquoi ? Parce que dit-on, L’Elysée tient à récupérer un certain nombre de documents que possédait
(puisqu’il est déjà mort) le Président gabonais. Parmi ceux-ci un dossier sur le financement de la dernière
campagne électorale en France – En retour la famille Bongo (Pascaline Bongo et son époux Ntoungui- membre du gouvernement- , Ali Ben) mais aussi, apprend-on, Jean Ping l’actuel Président de l’Union Africaine (qui a des enfants avec Pascaline Bongo) et Mba Obame (le puissant ministre de l’administration territoriale, issu de l’ethnie Fang, majoritaire au Gabon-40%-)…tout ce monde demande à la France un certain nombre de choses dont notamment la levée des saisies de compte de la famille en France. En plus, Ali Ben exige son adoubement par la France comme successeur immédiat, ce à quoi Pascaline est opposée et continue à s’opposer.
C’est ainsi qu’on comprend mieux « l’hospitalisation
médiatisée d’Ali Ben à Paris. Devant l’opposition de sa soeur et de ses partisans, il a fait appel aux deux Congo et a menacé de faire « sauter les légionnaires sur Libreville ». Nicolas Sarkozy et ses conseillers de la
cellule africaine ont frappé du point sur la table et décidé d’exfiltrer Ali Ben du Gabon – officiellement alors on annonce qu’il est hospitalisé à Neuilly à l’hôpital américain – mais personne ne confirme sa présence dans cet hôpital.
Après les discussions parisiennes, Ali Ben est retourné au Gabon pendant que Sarkozy dépêchait en Espagne Brice Hortefeux avec pour mission de convaincre la famille Bongo du soutien de la France.
Au moment où le Premier ministre français François Fillon arrive à Yaoundé, au Cameroun, nous sommes le 20 mai – il fait alors cette étrange déclaration « Je sais que le président est soigné. Je sais qu’hier soir encore et ce matin sa santé était satisfaisante.
Je formule mes voeux de prompt rétablissement à M. Bongo en espérant naturellement qu’il sera remis sur pied le plus vite possible ». Pour ceux qui connaissent Fillon, le fils du Mans, catholique pratiquant, on le voit mal à l’aise avec ces africanités teintées de Francafrique, il ne comprend pas pourquoi l’on ne veut pas rendre la nouvelle officielle. Le 6 juin soit presque un mois après le décès de Bongo, l’Espagne somme la France de prendre ses responsabilités – le premier ministre espagnol le socialiste Zapatero un ancien religieux jésuite demande à son ministre des affaires étrangères sous la pression des médecins qui ne comprennent pas qu’on garde dans une chapelle ardente un corps aussi longtemps, et qui en plus n’a pas trouvé la mort dans leur etablissement – de rendre la nouvelle publique – le Gabon dit n’être pas prêt et pour les problèmes de sécurité intérieure L’Espagne refuse de reculer – Comme cela
se fait toujours quelques journalistes reçoivent des instructions et c’est alors que le journal Le Point lance un ballon d’essai On décide de dépêcher un avion à Libreville en mission commando avec une conseillère de l’Elysée avec pour mission de ramener en Espagne le premier ministre gabonais – ce qui est fait -. Avant la conférence de presse, les témoins, présents affirment que les membres de la famille Bongo l’auraient menacé de mort : « Salaud !
Si tu dis un mot de travers on te pend haut et court ». Le premier ministre Jean Eyeghe Ndong annonce donc que Bongo est en vie ; pendant ce temps, des dispositions sont prises pour rapatrier le corps au Gabon avant que le décès ne soit annoncé. Las d’attendre, l’Espagne annonce le décès et le premier ministre gabonais est contraint de confirmer la nouvelle. UnknownSender@UnknownDomain
source: dabio.net
MOI,J`ETAIS-LA PRESENT MAIS IL YA DES CHOSE QUI NE SE DISENT PAS A UN CERTAIN MOMENT DE LA VIE,COMME J`ETAIS AUSSI-LA,LORSQUE IZABELLE SA FILLE DU VENUE DU SENEGAL VOULAIT FAIRE DES DECLARATIONS,MAIS BON…LA VERITE NE SE CACHE JAMAIS AU MOINS IL FAUT EN ETRE CERTAIN,CE JOUR-LA J`AI EU POUR MR EYEGHE NDONG LA PITIE ET JE ME SUIS DIT QUE CELA NE ME CONCERNAIT PAS EN TOUT CAS FAITES ATTENTION AU GABON C`EST PAS FINI AVEC LES SURPRISES BONNES OU MAUVAISES….
lapanthère c’est toi qui n’a rien a dire…
nous savons ça depuis longtemps vous êtes en retard sur votre site ou quoi??? même un site camerounais a publié l’info avant vous!ça n’est pas normal!!!
je dirai en un mot que le gabon veut une evolution il ne suffit pas de dire que l’opposition ne peut changer le gabon a 5 ans mais essayons d’abord et Dieu a donné la change au gabonais de choisir le president avant les elections et pour moi laissons tous les candidats s’exprimer devant le peuple gabonais liberons les passports aux membres du BDP et laissons les jeunes de DAKAR menacé par le systeme en place car nous relatons que la verité le gabon est pouriiiiiiii et nous devons changer car un independant dans un parti de 42 ans cela montre que le systeme etait nulllllllllll dakar moukadi
Ahahahahahahahahahahahahahhahahahahahahahahahahahahahahah,au GABON rien ne peut rester cache tres longtemps.DIEU est grand et tout puissant,la petite intelligence humaine ne peut rien…ahhahahahahahahahahahha
FOR MY PEOPLE!!!!!!!!!